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Union des pays du Maghreb
b
8 décembre 2010 22:58
Le conflit pour le contrôle de l' Alsace et de la Lorraine (un Sahara de charbon et d'acier) a longtemps envenimé les rapports au niveau des pays : rapports Franco-Allemands, sans donner naissance à une entité tierce, Gibraltar UK/Espagne. A l'intérieur même des pays le problème des régionalismes a marqué et continu de marquer la vie politique : France (Front de libération de la Bretagne et Front de libération de la Corse dépassés, autres mouvements hors métropole en veille ou gestation), Espagne (Basque, Catalogne toujours d'actualité), Belgique (Flamands/Wallons une ritournelle épisodique), Italie (Ligue du Nord/ Sud), Allemagne (se manifeste par les frictions au niveau de la politique budgétaire entre régions riches productrice fiscales et régions "pauvres" ou Allemagne de l'Est comme en Italie), enfin au niveau Européen (lutte des blocs, réunification des Allemagnes, problème de l'ex-URSS et de ses satellites, de l'Albanie, du Kosovo, de la Turquie. Nombre de sources de conflits, de visions différentes, parfois opposées et pourtant la construction Européenne est en marche. Bien plus si l'on s'intéresse à la genèse, les alliances se sont cristallisées entre des pays "forts", pourquoi un tandem Franco-Allemand, au lieu d'autres entre pays "forts" et pays "faibles" ? Entre pays faibles la dynamique de la croissance est plus faible, bien plus une alliance entre un pays faible et un pays fort tire le second vers le bas. L'URSS a abandonné ses visions hégémoniques, expansionnistes, rétrogrades en maintenant certains intérêts et une influence dans certains pays et en "lâchant" les boulets qui la tiraient vers le bas, comme Cuba ou l'Algérie et tant d'autres. Le Maroc a intérêt à avoir des alliances régionales avec des voisins forts, tout comme l'Algérie, en tablant sur une complémentarité. Il est temps pour l'Algérie de lâcher le boulet qu'elle traine depuis trente cinq ans, et d'œuvrer enfin à l'amélioration du niveau de vie de ses concitoyens dans le cadre d'un co-développement maghrébin, le temps où elle faisait le jeu des soviétiques dans la région est dépassé ... Avec la vision frileuse algérienne, confirmée par la Tunisie transposée en Europe, ni le Concorde, ni l'Airbus, ni le CERN, ni Ariane et tant d'autres projets européens n'auraient vu le jour ...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/12/10 23:24 par blagheurt.
r
9 décembre 2010 15:59
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Dernières nouvelles d'Algérie ..Câbles Wikileaks : l’Union du Maghreb, une belle fumisterie qui coûte 1,85 million de dollar par an .
Jeudi, 09 Décembre 2010, 09:25 | Arezki said .retweetQuand ils se croisent au hasard d’une rencontre au sommet ou d’une réunion, les dirigeants du grand Maghreb font tout pour s’éviter. S’ils n’ont d’autre choix que de se plier aux règles du protocole, ils échangent volontiers sourires de façade, accolades et poignées de main chaleureuses. Cependant, personne n’est dupe. Qu’ils soient présidents à vie, inamovible guide de révolution ou héritier du trône, les dirigeants des cinq pays du Maghreb se détestent cordialement. Ce n’est un secret pour personne mais c’est ce que confirment dans une large mesure les câbles de la diplomatie américaine révélés jusqu’à présent par Wikileaks.


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Le président Bouteflika pense que Mohamed VI « n’est pas ouvert et manque d’expérience ». A ses yeux, le monarque chérifien serait également dénué de ce sens de l’humour qu’il a tant apprécié d’abord chez son père, Hassan II, puis chez son frère Moulay Rachid avec lequel il a « plaisanté et discuté agréablement » au cours d’une rencontre.

Si pour le moment, Mohamed VI, 47 ans, n’a pas porté de jugement personnel sur Bouteflika, du moins à la lecture des câbles de Wikileaks déjà révélés, son attitude ne révèle pas moins l’abime qui sépare aujourd'hui l’Algérie du Maroc. « Nous n’avons aucune relation avec l’Algérie, hormis une coopération limitée dans le domaine de la sécurité », avoue Mohamed VI au sous-secrétaire d'Etat américain, David Welsh, d’après un mémo en date du 28 février 2008 classé confidentiel.

De son côté Bouteflika,73 ans, s'est plaint, à Frances Fragos Townsend, conseillère du président George W. Bush pour les affaires de sécurité, que l'Algérie soit dans une situation dans laquelle tout geste vers le Maroc pourrait être interprété par la partie marocaine comme le début d'un processus de travail à un règlement bilatéral avec l'Algérie. Pour éviter cela, le président algérien se garde de toute manifestation publique à l'égard de son voisin. Y compris lorsqu’il s’agit d’une simple poignée de main : « Donc, je ne veux pas serrer la main du roi », tranche le chef de l'Etat algérien.

Les frontières terrestres entre le Maroc et l’Algérie restent désespérément fermées depuis la grave crise diplomatique de 1994 et les deux dirigeants ne se sont rencontrés, au cours d’un long tête-à-tête qu’une seule fois, en mars 2005, à Alger. Dans cette histoire de tenace inimitié, Bouteflika a tout de même apprécié le message « fort chaleureux » du roi du Maroc après la qualification en coupe du monde de l’équipe nationale algérienne de football au détriment de son homologue égyptienne. Cependant, selon le vœu du président algérien, cette lettre n’a jamais été rendue publique pour ne pas créer de problèmes entre le Maroc et l’Egypte.

Si Mohamed VI ne trouve pas grâce aux yeux du président Bouteflika pour son manque d’humour, les proches du roi ne cachent nullement ce qu’ils pensent réellement de dirigeants. Au représentant personnel du secrétaire général de l’ONU, Christopher Ross, qu’ils rencontrent en juin 2009, ils expliquent que «le pouvoir est toujours entre les mains de généraux dogmatiques», «pétrifiés» à l’idée du plan d’autonomie pour le Sahara présenté par Rabat. L’Algérie est décrite comme une «menace», un pays qui ferait barrage au Maroc pour lutter efficacement contre le terrorisme et qui chercherait à se doter de l’arme nucléaire.

Pointant du doigt les innombrables échecs d’unité africaine et arabe que le guide libyen a essuyé, le président tunisien Ben Ali,74ans, au pouvoir depuis 1987, en a conclu que son excentrique voisin de l’est « n’est pas une personne normale ». Un Mouammar Khadafi, 68 ans, déjà égratigné par un mémo qui le décrit dépendant de manière obsessionnelle d’un « petit noyau dur d’hommes de confiance» et qui ne saurait mettre le pied hors de Libye sans son infirmière ukrainienne à la plantureuse poitrine. L’entourage du président Ben Ali ne vaut guère mieux selon les câbles diplomatiques de Wikileaks qui décrivent un « régime qui n’accepte ni critique ni conseil » et un président entouré d’une « quasi mafia ».

Passons sur le fait que le président Ben Ali accuse l’Algérie d’être responsable de l’impasse actuelle au Sahara occidental. Le Maroc, selon lui, n’en est qu’au « début du début » pour ce qui est de l’intégrisme islamiste, un problème longtemps occulté par le Maroc que le feu le roi Hassan II n’a jamais voulu discuter. Bref, au vu de ce qui a été révélé jusqu’à présent par le site Wikileaks, les dirigeants des pays du grand Maghreb ne s’apprécient que fort peu.

Et Pourtant. L’Algérie, le Maroc, la Tunisie, la Libye et la Mauritanie font partie d’une organisation dénommée l’Union du Maghreb Arabe (UMA) dont l’actuel secrétaire général est le tunisien Habib Ben Yahia. Formée depuis 1989, cette organisation économique et politique possède son siège à Rabat, au Maroc. Depuis sa création le 17 février à Marrakech, le Conseil des chefs d’Etat de l’UMA ne s’est plus réuni depuis 1994. Dotée d’un budget annuel estimé à 1,85 million de dollars, l'organisation emploie une quarantaine de personnes recrutées parmi les cinq pays de la zone.

Selon des statistiques fournies en juin 2003 par l’hebdomadaire Jeune Afrique, l'UMA coûte 0 ,016 dollar par habitant et par an (la zone compte quelque 90 millions d’habitants), contre 250 dollars pour un citoyen de la zone euro. Chaque pays doit s’acquitter de 370 000 dollars par pour faire fonctionne cette machine qui tourne à vide, toutefois, seules le Maroc et la Tunisie s’acquittent de cette contribution annuelle, les autres pays refusent de mettre la main à la poche

Au-delà du différent majeur, le conflit du Sahara occidental, qui empoisonne les relations entre l’Algérie et le Maroc, deux pays qui forment l’ossature du Maghreb, l’UMA est d’abord plombée par ses dirigeants. Mal élus, imposés à leurs peuples par une sorte d’héritage de droit ancestral ou maintenus au pouvoir par la force des baïonnettes, ils ont en commun le fait qu’ils ne se parlent pas, qu'ils appartiennent à des générations différentes, qu’ils ne s’apprécient pas ou qu’ils en se supportent pas mutuellement.

Les 90 millions de maghrébins ne peuvent même rêver d’une autre génération de dirigeants qui feraient table rase du passé. Les actuels chefs d’Etat ont presque tous un fils, un frère ou un proche à portée de main pour prendre la relève au pied levé. En attendant, l’Union du Maghreb arabe continue de ronronner.
r
9 décembre 2010 16:13
Zine El Abidine Ben Ali, président tunisien, aurait accusé l’Algérie d’être responsable de l’impasse actuelle au Sahara occidental, selon un câble diplomatique américain publié mardi 7 décembre par le site WikiLeaks. On ignore quelle serait la cause de cette «impasse» évoquée par le président tunisien si le contenu de ce câble diplomatique est authentique mais, selon ce document, la cible est tout indiquée.

Le mémo américain daté du 3 mars 2008 relate une rencontre à Tunis entre le président Ben Ali et David Welch, sous-secrétaire d’Etat américain, auquel il aurait tenu des propos accusant l’Algérie. Cette «impasse», selon le président tunisien, est-elle due au respect de l’Algérie du droit des peuples à décider d’eux-mêmes ?

Ce câble diplomatique, cité par le site Wikileaks qui ne fournit pas de réponse à cette question, rapporte que David Welch a répondu que les Algériens devront accepter qu’il n’y aura pas un Etat indépendant au Sahara occidental, selon le même mémo.


WikiLeaks : lorsque Zine El Abidine Ben Ali accuse l'Algérie
Zine El Abidine Ben Ali a indiqué que le problème était complexe et qu’une solution prendra plusieurs années, précisant que le dossier ne pourra pas être réglé par le Conseil de sécurité des Nations unies.

Ben Ali a indiqué, rapporte cette source, avoir essayé de convoquer une réunion des pays du Maghreb sur le dossier du Sahara occidental.

Selon lui, le Maroc et la Libye avaient donné leur accord pour une participation. Mais l’Algérie avait décliné, estimant qu’il n’y avait rien à discuter, a précisé le président tunisien, cité par le site Wikileaks.

Décliner cette invitation suffit-il comme argument pour accuser l’Algérie d’être responsable de cette «impasse» qui dure depuis des décennies ?
s
9 décembre 2010 21:53
le bon sens ne peut mentir oui
je hais l'hypocrisie
w
10 décembre 2010 17:57
Salam

ben ali est un agent de la C.I.A. un pervers de plus.
Sa parole tout droit vers la poubelle. Pas crédible se evil
S
14 décembre 2010 01:14
Je voudrais bien qu'on arrête de parler d'union, et de maghreb united et ces conneries... l'union avec les cons ne va rien donner. Même en cas de résolution du problème du sahara, il faudra surtout pas songer à une quelconque forme d'union avec les attardés mentaux. Une zone de libre échange, oui, mais arrêtez svp de parler de connerie united !
b
14 décembre 2010 02:36
Tu généralises, t'aimerais bien qu'on dise la même chose de nous, les algériens, les mauritaniens, les libyens, les tunisiens, les marocains sont des frères, dans les familles même élargies il y a toujours des conflits passagers. Les conflits se dépassent la fraternité reste. On a un problème on doit le régler et voir plus loin.
l
15 décembre 2010 06:24
Citation
blagheurt a écrit:
Tu généralises, t'aimerais bien qu'on dise la même chose de nous, les algériens, les mauritaniens, les libyens, les tunisiens, les marocains sont des frères, dans les familles même élargies il y a toujours des conflits passagers. Les conflits se dépassent la fraternité reste. On a un problème on doit le régler et voir plus loin.

balgheurt il y a des jours ,comme ici, ou tu m etonne par ta naiveté,mais c est tres,tres rare.
amicalement.
g
15 décembre 2010 19:55
L'union de quoi ?

Inutile de mettre le frein de l'union sur le dos de l'Algérie,la Tunisie ou la Libye mais plutôt la guerre des CHEFS.

Le roi du maroc vaudra être le roi du grand Maghreb,Bel Ali vaudra être le super président du grand Maghreb.Il en est ainsi pour Boutiflika ou Kaddafi!

Il faudrait des entités indépendantes avec un minimum de démocratie et des pouvoirs légitimes pour que l'union se fasse.
Aucune condition n'est réunie dans aucun des pays.

Le problème du sahara n'est que l'arbre qui cache la forêt.
h
15 décembre 2010 23:41
UNION ! WAHDA!

Un pathétique concept qui ne cesse de torturer l'inconscient collectif des peuples d'Afrique du nord et du moyen orient.
Fantasmé à l'extrême, rêvé en continue, galvaudé à tout bout de champs, il habille les démagogies les plus cyniques, il légitimise toutes les manipulations de masse, et camoufle beaucoup d' exploitations politiciennes odieuses.
Il est dans la bouche des démocrates, des despotes, des civils, des militaires, des intellectuels et des analphabètes.

Ce "terme concept", fait partie d'un ensemble phraséologique vénéré ou sacralisés, produit par notre culture dont les contenus affectent puissamment notre mental individuel et notre inconscient collectif dans un sens aliénant. Le non sens de son contenu dans le contexte des pays et des peuples concernés, de leurs réalités géostratégiques, socio-économiques et psycho-culturelles et constamment occulté par la fantasmagorie collective.

Même au niveau des fratries familiales les "unions" sont exceptionnellement observées, et la nature des choses semble aller dans le sens de la compétition, de la confrontation. l'entraide et la solidarité peuvent cruellement manquer, et la paix familiale souvent absente malgré les vernis et les camouflages sociologiques de façade.

Il en est de même des pays et des peuples, furieusement empêtrés dans des compétions dures, dans des confrontations implacables, des guerres déclarées ou larvées, des haines tenaces et des violences destructrices. Parler alors "d"union" dans un tel état des choses et devant de telles situations et d'un angélisme épouvantablement dangereux et tristement démagogique.

Par contre prendre en considération cette cruelle réalité humaine des êtres, des pays et des peuples et la domestiquer dans le sens de l'instauration de rapports basiques, réalistes, fonctionnels, paisibles et "à intérêts réciproques" dans un premier temps serait profitable.
Les faire évoluer par la suite vers un mieux relationnel à travers des sauts qualitatifs et quantitatifs permet de réaliser des édifices évolués, paisibles et développés des collectivités humaines.
Autant alors laisser tomber ce dangereux concept d'union irréalisable, faux et inutile, pour le remplacer par le concept "d' entre-aide pour des intérêts réciproques dans un minimum de paix ".
l
16 décembre 2010 05:30
Citation
hautatlas_14593 a écrit:
UNION ! WAHDA!

Un pathétique concept qui ne cesse de torturer l'inconscient collectif des peuples d'Afrique du nord et du moyen orient.
Fantasmé à l'extrême, rêvé en continue, galvaudé à tout bout de champs, il habille les démagogies les plus cyniques, il légitimise toutes les manipulations de masse, et camoufle beaucoup d' exploitations politiciennes odieuses.
Il est dans la bouche des démocrates, des despotes, des civils, des militaires, des intellectuels et des analphabètes.

Ce "terme concept", fait partie d'un ensemble phraséologique vénéré ou sacralisés, produit par notre culture dont les contenus affectent puissamment notre mental individuel et notre inconscient collectif dans un sens aliénant. Le non sens de son contenu dans le contexte des pays et des peuples concernés, de leurs réalités géostratégiques, socio-économiques et psycho-culturelles et constamment occulté par la fantasmagorie collective.

Même au niveau des fratries familiales les "unions" sont exceptionnellement observées, et la nature des choses semble aller dans le sens de la compétition, de la confrontation. l'entraide et la solidarité peuvent cruellement manquer, et la paix familiale souvent absente malgré les vernis et les camouflages sociologiques de façade.

Il en est de même des pays et des peuples, furieusement empêtrés dans des compétions dures, dans des confrontations implacables, des guerres déclarées ou larvées, des haines tenaces et des violences destructrices. Parler alors "d"union" dans un tel état des choses et devant de telles situations et d'un angélisme épouvantablement dangereux et tristement démagogique.

Par contre prendre en considération cette cruelle réalité humaine des êtres, des pays et des peuples et la domestiquer dans le sens de l'instauration de rapports basiques, réalistes, fonctionnels, paisibles et "à intérêts réciproques" dans un premier temps serait profitable.
Les faire évoluer par la suite vers un mieux relationnel à travers des sauts qualitatifs et quantitatifs permet de réaliser des édifices évolués, paisibles et développés des collectivités humaines.
Autant alors laisser tomber ce dangereux concept d'union irréalisable, faux et inutile, pour le remplacer par le concept "d' entre-aide pour des intérêts réciproques dans un minimum de paix ".

merci pour ce texte haut atlas.
ca doit commencer deja par ce dire ses veritées en face
n est ce pas???
h
16 décembre 2010 10:32
On le fera ensemble cher ami !
A
16 décembre 2010 14:58
Union des pays du Maghreb ? Non non, On ne les veut pas tous! Merci.
Plus loin, ils sont , plus ils sont meilleurs. A méditer.....
Prions pour que Dieu déplace le Maroc vers le milieu de l'océan, et très loin de ses voisins actuels. Prions...
Danse



Modifié 1 fois. Dernière modification le 20/12/10 14:58 par ALI1955.
h
16 décembre 2010 16:09
UNION ! ou la recherche " Insensée" d'une fusion sécurisante.
Par des individus vulnérables et fragiles, par des peuples tout aussi fragiles, créant leurs mythes salvateurs sous la houlette de " Faux guides" bazaristes d'une culture fossilisée incapable de se remettre en cause et d'évoluer.
Si beaucoup de peuples ont eus des guides, DES VRAIS !, qui ont produits des cultures puissantes et performantes, et qui ont en tirés des connaissances utiles, un savoir accomplissant, une science libératrice, des concepts performants et des postures existentielles fiabilisantes pour les individus et les sociétés, qui ont balisé leurs routes, qui les ont encadrés, orientés, et organisés efficacement au sein de nations et de sociétés performantes et protéctrices.

Pour notre part nous avons eus à suivre des camelots forains, des crieurs publics, des ignares, des ignorants sordides et arrogants, des "soukiers" vendeurs de camelotes, des bavards manipulateurs aux esprits retors, inaccessibles à toute évolution des idées, reproducteurs hystériques d'un insignifiant savoir moyen-àgeux, essayants de nous fourguer des non cultures éculées, dépassées, régréssantes et appauvrissantes.

de ce fait, l'émergence d'individus et de groupements d'individus hautement fragilisés mentalement, psycho-socialement, économiquement, scientifiquement, culturellement, moralement ...et en un mot.... civilisationnellement, fabriquant leur "mythes bouées de sauvetage" et recherchant des raccourcis vers un développement sans éfforts, sans travail, sans savoir véritable.
L"UNITE fait partie de ces " mythes bouées" fabriqués en grand nombre par nos faux guides et nos esprits infantilisés aidés par des "Bazaristes- soukiers de la culture", promoteurs d'un petit savoir artisanal hautement vénéré. Le tout emballé dans des postures orgueilleuses, arrogantes, méprisantes, vaniteuses, outrageantes, outrancières, brutales et violentes.
 
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