Espérons que l´État marocain prenne l´initiative de développer la culture de cet arbre, et pourquoi pas subventionner les agriculteurs qui décideraient de se lancer dans la production du fruit de l´arganier. Cela ferait du Maroc le seul pays au monde à le produire et le différencierait du voisin espagnol et son huile d´olive.
dans l'aromatherapie c'est connu l'huille d'argan , il fallait pas attendre la jeune femme . Elle a fait des etudes de biologie et un troisième cycle en Espagne .Ce qui est touchant c'est la gratification de l'UNESCO qui lui permet une bourse pour etudier en labo le moyen de germination , car a l'etat naturel il pousse mal .
Je lui tire ma réverance , a partir d'un cyber café du rif , elle a reussi a s'inscrire et avoir etait choisie par l'UNESCO .
wa salam
Modifié 1 fois. Dernière modification le 29/03/05 11:46 par abdell.
J'ai vu le reportage, et franchement Allah iâaoun cette femme qui mérite amplement, sinon le double de ce que lui a attribué l'UNESCO en partenariat avec L'OREAL, qui y trouvera bien son compte elle aussi...
C génial ! et j'espère que d'autres initiatives du même type seront récompensées à leurs justes valeurs,
Dommage que l'Etat marocain n'est pas contribué à sa bourse !!
A ma connaissance l'Arganier se trouve principalement dans le sud Agadir, Tiznit...
et ce qu'elle a entrepris de faire, est honorable...
Voili voilou !! Salam et bonne journée
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à la recherche d'une assisante commerciale polyvalente, dégourdie, dynamique, et réactive !!!!!je suis làààààààààààààààààà
Ce qu'il faut retenir aussi , le patriarche tjs present , ses filles lui doivent bcp . Elle a aussi rencontré son futur mari , c'était trop beau . Il s'occupe lui de l'olivier .
Vivement les huiles essentielle , l'organisme en a grand besoin .
lors du dernier salon "vivre naturellement" qui s'est tenu au parc floral de
vincennes, j'ai rencontré des gens d'une association qui aide des femmes
marocaines d'une coopérative marocaine. elle a fournit des machines pour écraser
les noyaux et extraire l'huile d'argan
cette assocation pratique le commerce équitable en revendant l'huile d'argan produite par ces femmes
on m'a donné un noyau d'arganier que j'ai mis à tremper, peut-être qu'il va germer, c'est mon souhait
je m'adresse aux compatriotes qui vont dans les endroits où poussent cet arbre magique, pour leur demander de me ramener des noyaux ou pourquoi pas des implants.
j'adore les plantes et j'essaie d'en faire mon métier.
j'ai déjà fait pousser un figuier que j'ai ramené du maroc l'été dernier, alors que tout le monde rigolait de moi au bled en me disant que ce n'était pas la période pour le planter.
en plus il pousse dans le salon à côté de la fenêtre
j'ai ramené aussi une ballouta, qui est entrain de germer !
Le destin de Meriem Meriem Allache, elle, ne revient désormais à Al Hoceima que pour les vacances universitaires. Cette jeune fille de 28 ans, originaire d’une famille conservatrice, traditionnelle du rif, poursuit depuis deux ans son troisième cycle en Espagne. Et son thème de recherche n’est pas étranger au devenir de sa région. Spécialisée en botanique, Meriem souhaite réintroduire l’arganier dans le nord du Maroc... Un arbre considéré comme une espèce en voie de disparition par l’UNESCO. L’organisation de l'ONU ne s’est pas trompée sur la qualité du travail de Meriem. Elle lui a décerné cette année une bourse d’études de 20 000 dollars. Elle sort ainsi de l’anonymat des laboratoires de l’université Andalouse de Grenade pour faire partie, peut-être, de ces compétences nouvelles qui contribueront, d’une certaine façon, à changer le pays. Meriem est timide. Elle préfère laisser ses travaux parler pour elle. "Le destin de Meriem", un reportage de Youssf Zouitni, Amine Ghaichate et Tarik Laihamdi.
Pour vos critiques, remarques et suggestions écrivez nous sur la nouvelle adresse de Grand Angle : [email protected]
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