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trompes de fallope
7 juin 2005 13:19
tout ce qui touche aux problèmes des enfants, des femmes et hommes je m'intéresse, ca peut toujorus servir pour une vie future d'homme marié avec enfants, inchaallahhhhhhhhhhhhhh
et comme j'ai dis, si ca avait été mektab, j'aurai voulu faire medecin.
La vie est dure mais ..."Alhamdoulillah 3ala kouli hal":)[color=#330066]Un humain, un homme, un frére[/color] :)
7 juin 2005 13:21
sinon ba_ssma, oui on est dans une logique de "haram" car c'est décider de ne plus procréer, on peut donc ce poser la question sur la pillule aussi.
Vu que je suis pas vraiment calé dessus, préfère pas m'engager sur un terrain inconnu
La vie est dure mais ..."Alhamdoulillah 3ala kouli hal":)[color=#330066]Un humain, un homme, un frére[/color] :)
7 juin 2005 13:26
Inchalah Shams! winking smiley
7 juin 2005 13:27
tout à fait shams...il en est de même pour les moyens de contraceptions...mais bon on vis dans un monde lay stère ou safi...à l'époque nos ancêtres avaient plus de dix enfants machallah...de nos jours c'est un choix que d'en avoir entre 1 et 3 voir pas du tout pour certains...ce monde est trop calé sur le matériel malheureusement...les êtres vivant, aujourd'hui se base plus sur ce qui se passe sur cette terre ( si tropmpeuse pourtant ) et en "oubli" l'au delà...

Qu'Allah nous guide vers le droit chemin et purifie nos coeurs et âmessmiling smiley
**Hadro fiya, galo manasswach...igolo,li bghaw igolo...*
7 juin 2005 13:31
amineeeeeeeeeeeee
La vie est dure mais ..."Alhamdoulillah 3ala kouli hal":)[color=#330066]Un humain, un homme, un frére[/color] :)
r
7 juin 2005 13:41
ba_ssma a écrit:
-------------------------------------------------------
> tout à fait shams...il en est de même pour les
> moyens de contraceptions...mais bon on vis dans un
> monde lay stère ou safi...à l'époque nos ancêtres
> avaient plus de dix enfants machallah...de nos
> jours c'est un choix que d'en avoir entre 1 et 3
> voir pas du tout pour certains...ce monde est
> trop calé sur le matériel malheureusement...les
> êtres vivant, aujourd'hui se base plus sur ce qui
> se passe sur cette terre ( si tropmpeuse pourtant
> ) et en "oubli" l'au delà...
>
> Qu'Allah nous guide vers le droit chemin et
> purifie nos coeurs et âmes
>
> **Jile 9èmiche may h'chème may rimiche**


ce n'est pas pour les memes raison ma chère bassma
au temps de nos ancêtres, les familles étaient soudées, ils s'occupaient de l'éducation de toute la famille .... ils se souciaient bcp et se serraient les coudes ...

tu sais dans ce monde actuelle, l'éducation est difficile .... c vraiment presque une guerre contre les sionnistes ... et on ne peut pas se permettre d'avoir 8, 9, 10 enfants pour k'ensuite nous les abandonnions dans la rue... il faut etre réaliste ....


vaut mieux avoir peu et les élever dans la dignité que d'avoir une ribambelle et de la laisser a la mrsi des délinquants et autres .... allahé starre ....


enfin c mon opinion ... smiling smiley





Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/06/05 13:42 par rifia1.
c
9 juin 2005 18:16
tout a fait dacord avec toi
I
9 juin 2005 18:49
shams78 a écrit:
-------------------------------------------------------
> sinon ba_ssma, oui on est dans une logique de
> "haram" car c'est décider de ne plus procréer, on
> peut donc ce poser la question sur la pillule
> aussi.
> Vu que je suis pas vraiment calé dessus, préfère
> pas m'engager sur un terrain inconnu
>
> Je ne sais jamais ce que l'avenir m'apportera,
> mais j'ai foi en allah swt!!!


je ne me considère pas calé en religion mais disons que pas mal de choses m'intéressent dans le fiqh, et je lis pas mal la dessus.

à ce sujet, il y a beaucoup d'écoles... certaines interdisent de manière totale toute contraception car elle est à l'encontre de la création de la vie (courant généralement du golfe et du moyen orient).

d'autres (en égypte ou au maghreb par exemple) autorisent la contraception à condition qu'elle soit "ante" c'est à dire pour éviter la fécondation.

mais de plus en plus d'oulema progressistes (se basant sur des faits scientifiques découverts par la recherche histologique et embryologique) donnent un délai de je sais plus combien de semaines (qui correspond à la formation du coeur) où le fait d'avorter reste halal à condition qu'il y ait une raison valable.

mais pour finir, la quasi-totalité des oulema est d'accord sur l'interdiction formelle de toute contraception IRREVERSIBLE (ligature des trompes par exemple).

voilà!
"gallek...qui ne tente rien n'a rien!"
r
9 juin 2005 21:07
mrsi irishman pour cet info

les femmes ont le droit d'avorter avant ke le fétus atteignent deux mois si bien sur elles ont des raisons valables ....

wa allaho a3lame
9 juin 2005 21:09
oui j'ai entendu ca aussi rifia!
Si la fille ou femme avait été victime d'un viol!

merci irishman ce de complément d'information, très instructif
La vie est dure mais ..."Alhamdoulillah 3ala kouli hal":)[color=#330066]Un humain, un homme, un frére[/color] :)
r
9 juin 2005 21:11
ou bien si la femme craind pour sa santé ( mal de dos ou autre ) et ke la grossesse n'a pas été calculé
s
9 juin 2005 21:20
J'ai la quasi-certitude qu'en France, il est impossible de se faire ligaturer les trompes pour des raisons autres que médicales, si l'on a pas atteint un certain âge et un certain nombre d'enfants. Il me semble qu'il y a une façon de calculer ça à l'aide d'un indice obtenu en cumulant l'âge et le nombre d'enfants.

Donc il est impossible d'y avoir recours si on n'a jamais eu d'enfant, à moins d'avoir un problème médical qui le nécessite. Donc pas la peine de leur jeter la pierre...
9 juin 2005 21:22
quelle pierre??? et a qui???
Pas compris sfenj!!!
Mais biensur que dans ce bas monde, tout est possible



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/06/05 21:22 par shams78.
La vie est dure mais ..."Alhamdoulillah 3ala kouli hal":)[color=#330066]Un humain, un homme, un frére[/color] :)
9 juin 2005 21:36
tu as raison sfenj, j'ai eu quatre enfants par césariennes on m'a imposé de faire une ligature des trompes a 33ans,car si j'ai un cinquième enfant je risque ma vie.
J'ai une amie du même age que moi avec 5 enfants, elle voulez faire une ligature car elle ne supportait plus la pilule, et ne voulez pas d'un stérilet, ont lui a refusé la ligature à cause de son age.
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
r
9 juin 2005 21:40
aicha a écrit:
-------------------------------------------------------
> tu as raison sfenj, j'ai eu quatre enfants par
> césariennes on m'a imposé de faire une ligature
> des trompes a 33ans,car si j'ai un cinquième
> enfant je risque ma vie.
> J'ai une amie du même age que moi avec 5 enfants,
> elle voulez faire une ligature car elle ne
> supportait plus la pilule, et ne voulez pas d'un
> stérilet, ont lui a refusé la ligature à cause de
> son age.
>
> Quand vous serez grands ne gardez de rancune
> envers personne. N'oubliez jamais que tous hommes
> sont frères et qu'il faut répondre aux offenses et
> même au mal par le pardon et l'amour


allahu akbar sad smiley
s
9 juin 2005 21:43
shams78 a écrit:
-------------------------------------------------------
> quelle pierre??? et a qui???
> Pas compris sfenj!!!


Shams,

Tout simplement en réponse au sujet posé en ces termes: "que pensez vous des femmes qui se font ligaturerles trompes? alors qu il y en a plein d autres qui n arrivent pas a avoir des enfants".

Voilà!
s
9 juin 2005 21:55
Question :


La contraception est-elle autorisée en islam ?


Réponse :



Répondre à votre question à propos de la contraception demande que l'on aborde tout d'abord la fonction que l'islam assigne à la sexualité.



A ce sujet, il faut tout d'abord souligner que le mariage est le cadre à l'intérieur duquel les relations sexuelles sont permises. Puis il nous faut aborder la question de savoir comment l'islam perçoit-il les relations intimes : celles-ci ont-elles comme seul objectif – donc comme seul cadre de permission – la procréation ? On pourrait le penser en lisant ce Hadîth : "Mariez-vous avec une femme qui vous aime et qui enfante : car je serai fier de votre multitude le jour du jugement" (rapporté par Abû Dâoûd, n° 2050, et An-Nassaï, n° 3227). Mais en fait, si la procréation demeure la finalité de l'existence du désir sexuel, ce n'est qu'un des objectifs que l'islam assigne à la sexualité. A côté de cela, il y a aussi le fait de vivre ce qui fait partie de la nature humaine – le plaisir sexuel – dans le cadre permis. C'est bien pourquoi il existe un autre Hadîth où le Prophète a dit que la sexualité vécue entre les époux était un acte de charité. Et à ses Compagnons qui s'étaient étonnés du fait que quelqu'un puisse être récompensé pour en fait n'assouvir qu'un désir sexuel et y trouver du plaisir, le Prophète répondit qu'étant donné que celui qui vivait sa sexualité hors du cadre permis agissait dans le péché, celui qui la vivait dans le cadre permis faisait un acte récompensé par Dieu (sens du Hadîth rapporté par Muslim, n° 1006, et autres). C'est pourquoi le savant musulman Ibn Qayyim a relevé trois objectifs principaux à la sexualité vécue dans le cadre du mariage : la procréation, le plaisir sexuel, et la pratique de ce qui contribue à l'équilibre humain, sur le plan physiologique (Zâd ul-ma'âd, tome 4 p. 249). Ibn Qayyim a cité le plan physiologique ; on sait aujourd'hui que la sexualité contribue à l'équilibre physiologique mais aussi psychologique. (Voir aussi Tahrîr ul-mar'a, Abû Chuqqa, tome 6 pp. 145-147.)



Il ne faut dès lors pas s'étonner si les sources de l'islam parlent d'une forme de contraception qui avait cours à l'époque du Prophète : le coït interrompu (en arabe : al-'azl). Des Compagnons du Prophète questionnèrent celui-ci au sujet de cette pratique : est-elle permise ou pas ? Le Prophète récusa la parole de certains non musulmans de son époque disant que cette pratique était une petite forme de suppression de l'enfant (al-maw'ûdat as-sughrâ) (Hadîth de Abû Sa'ïd rapporté par Abû Dâoûd, n° 2171, sahîh bi-sh-shâhid). Des Compagnons racontent de même : "Nous pratiquions le coït interrompu à l'époque du Prophète. Le Prophète le sut et ne nous l'interdit pas" (rapporté par Muslim, n° 1440). Cependant, dans une autre parole, le Prophète affirma lui-même que le coït interrompu était une forme dissimulée de suppression de l'enfant (Hadîth de Judhâma rapporté par Muslim, n° 1442).



Cette différence des réponses que le Prophète a données à propos de al-'azl a entraîné des opinions divergentes au sujet de cette pratique contraceptive parmi les savants musulmans :


Certains, comme Al-Hassan al-basrî et Ibn Hazm, sont d'avis que le 'azl est systématiquement interdit (harâm). Ces savants sont d'avis que le Hadîth de Judhâma a priorité par rapport au Hadîth de Abû Sa'ïd.

D'autres savants – At-Tahâwî, Al-Ghazâlî, etc. – pensent que le 'azl est totalement autorisé pour peu qu'il ne soit pas pratiqué pour une cause qui contredit un principe de l'islam (nous allons évoquer quelques-unes de ces causes plus bas). Ces savants donnent priorité au Hadîth de Abû Sa'îd sur celui de Judhâma. Al-Bayhaqî écrit ainsi : "Ceux qui rapportent la permission du 'azl sont plus nombreux et ont mieux retenu".

D'autres, comme certains savants hanafites, disent que le 'azl est systématiquement déconseillé (mak'rûh). Cet avis constitue une synthèse entre les deux Hadîths du Prophète cités ci-dessus, l'un et l'autre mettant en évidence le caractère déconseillé de la méthode contraceptive. D'ailleurs, disent ces savants, d'autres Hadîths du Prophète semblent également montrer qu'il a utilisé à l'égard du 'azl des termes qui laissent à penser qu'il voulait dire que cette pratique était à éviter même si elle n'est pas interdite ("lâ 'alaykum an-lâ taf'alû"winking smiley.

Enfin, d'autres savants sont d'avis que la méthode du coït interrompu est en soi permise mais, en plus d'être pratiquée pour une cause qui n'est pas interdite, elle doit remplir une condition supplémentaire : il faut que l'épouse ait donné son consentement, car cette méthode nuit à la qualité des relations intimes en ce qui la concerne (à cause du retrait), de même que, comme toute méthode contraceptive, elle touche le droit de la femme à la maternité.


Mettant en exergue la différence existant entre l'avortement et la pratique du coït interrompu, le savant Al-Ghazâlî explique que le coït interrompu empêche la rencontre de la semence masculine avec l'ovule. Il n'y a donc pas, dit-il, suppression d'un être existant, puisque l'enfant ne naît pas de la semence masculine seulement mais de la rencontre des deux semences. Par contre, l'avortement, lui, intervient bien à propos d'un être déjà existant. Al-Ghazâlî écrit à ce sujet en substance :
"Le premier niveau de l'existence humaine est le moment où les semences masculine et féminine se sont rencontrées et que cela s'est préparé à la naissance de la vie : se débarrasser de cette existence est mauvais [peut-être voulait-il évoquer là l'étape où l'ovule a déjà été fécondé par un spermatozoïde].
Le deuxième niveau de cette existence est le moment où l'embryon se développe : le tuer est plus grave encore.
Le troisième niveau est le moment où l'âme [ar-rûh al-insânî] y est insufflée [au bout de quatre mois d'après les Hadîths] : tuer l'embryon à ce moment-là est plus grave encore.
Enfin, le quatrième niveau de l'existence humaine commence avec la naissance [et dure donc toute la vie] : attenter alors à la vie est très grave" (Al-Ih'yâ, tome 2 p. 82).


Les causes pour lesquelles il arrive qu'un couple ait recours à la contraception



Pour Cheikh Khâlid Saïfullâh, la règle générale à propos de la contraception est qu'elle est normalement à éviter (mak'rûh). Il ajoute qu'il est des causes qui la rendent interdite, (comme la crainte de la pauvreté, etc.), et il en est d'autres qui la rendent entièrement autorisée (par exemple la présence d'un risque établi d'une détérioration grave de la santé de la femme en cas de grossesse, la présence d'un risque établi de grave malformation de l'enfant à naître, la présence d'une maladie mentale entraînant l'incapacité de la femme à assumer ses devoirs de mère, la volonté d'espacer les naissances pour pouvoir donner aux enfants une meilleure éducation…).


Pour Al-Ghazâlî, par contre, la règle générale à propos de la contraception est la permission, tant qu'elle n'est pas entreprise pour une cause interdite, laquelle, par voie d'incidence, rendrait le recours à la contraception interdit aussi. Aussi, selon lui, il n'est pas besoin d'une cause valable pour que la contraception soit permise : il suffit qu'il n'y ait pas de cause interdite.

Soulignons ici que s'il faut, d'une part, que le recours à la contraception soit en soi autorisé comme nous venons de le voir, il faut également et d'autre part que, dans le cadre de cette autorisation, le moyen auquel on a recours soit aussi autorisé…


Les moyens contraceptifs auxquels on a recours


Cheikh Khâlid Saïfullâh écrit qu'il serait faux de penser que, dans le cadre des causes valables autorisant la contraception, seules des méthodes ce contraception dites "naturelles" telle que le coït interrompu soient autorisées. Au contraire, poursuit-il, on peut, par le biais du raisonnement par analogie, établir le caractère d'autres méthodes contraceptives. Cependant, rappelle-t-il, le raisonnement par analogie n'est valable que s'il tient compte de l'ensemble des principes de l'islam.
A analyser les différents moyens contraceptifs existant aujourd'hui, on s'aperçoit qu'ils consistent à avoir recours à un ou plusieurs des moyens suivants :
a) soit on empêche les spermatozoïdes de parvenir jusqu'à l'ovule,
b) soit on empêche l'ovulation,
c) soit on n'empêche pas la fécondation d'un ovule par un spermatozoïde mais on empêche seulement la nidification de l'œuf,
d) soit on supprime le fœtus après la nidification de l'œuf (dans le cas de l'avortement par exemple),
e) soit on stérilise définitivement l'homme et/ou la femme.

Sont interdits :
– le moyen e : la stérilisation définitive de l'homme ou de la femme (ligature des canaux déférents chez l'homme, des trompes chez la femme, etc.), car le Prophète l'a interdit (al-ikhtisâ') ;
– le moyen d : l'avortement pour se débarrasser d'une grossesse non désirée (lire mon article L'avortement en islam).

Est à éviter absolument d'après Khâlid Saïfullâh :
– le moyen c : toute méthode qui n'empêche pas la fécondation d'un ovule par un spermatozoïde mais qui empêche seulement la nidification de l'œuf, car comme Al-Ghazâlî l'a écrit, c'est déjà un premier niveau d'existence ; il s'agit donc d'une méthode qui n'est donc pas vraiment contraceptive ("qui agit avant la formation de l'œuf, contre la conception"winking smiley mais qui est contragestive ("qui agit après la formation de l'œuf, contre sa gestation seulement"winking smiley.

Restent en soi permis (dans le cadre des causes autorisant le recours à la contraception) :
– les moyens a et b : toute méthode qui, à l'instar du coït interrompu (al-'azl), empêche la rencontre de l'ovule et des spermatozoïdes (méthodes naturelles d'abstinence avant, pendant et juste après la période de l'ovulation, préservatif masculin ou féminin, crème spermicide, blocage de l'ovulation, etc.).



Khâlid Saïfullâh écrit également qu'il y a une différence entre le fait d'avoir recours à un moyen de contraception de façon individuelle et le fait d'établir ce recours au niveau de toute une société. Le premier, écrit-il, est possible dans le cadre sus-cité. Le second n'est selon lui pas permis.


Synthèse de la réponse



Le musulman et la musulmane gardent comme objectif de mettre au monde le plus grand nombre d'enfants possible, leur intention étant de leur donner une éducation qui sera – avec la permission de Dieu – à même d'en faire des êtres humains agissant pour Dieu et pour le bien de tous les hommes.
Il n'est cependant pas interdit à ce musulman et à cette musulmane d'avoir cet objectif en tant que principe général, tout en maîtrisant leur fécondité. A condition toutefois que cela soit fait dans le cadre de l'éthique musulmane, donc que cela soit fait à la fois pour une cause et par un moyen qui n'entrent en contradiction avec aucun principe des sources musulmanes.



Wallâhu A'lam (Dieu sait mieux).
9 juin 2005 21:56
barakallahoufik slaouia
La vie est dure mais ..."Alhamdoulillah 3ala kouli hal":)[color=#330066]Un humain, un homme, un frére[/color] :)
s
9 juin 2005 21:57
je t'en prie khouya smiling smiley
9 juin 2005 22:11
Salam slaouia je suis d'accort pour l'interdiction de L’avortement pour se débarrasser d'une grossesse non désirée, car cela a toujours existé, mais j’ai un doute pour la stérilisation définitive de l'homme ou de la femme (ligature des canaux déférents chez l'homme, des trompes chez la femme,le Prophète n'as pas put l'interdire car cela n'exister pas a l'époque, c'est comme ceux qui disent que la télé est haram grinning smiley
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
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