je me permet de poster sur ce site pour vous expliquer mon cas et essayer inchAllah d'avoir une aide de votre part!
Hamdoulila, je ne manque de rien, j'ai tout pour être heureuse, j'ai tout ce que j'ai toujours voulu avoir mais je ressens très souvent un grand sentiment de tristesse, des idées noires sans en comprendre la raison...
est ce que qqun est ds le mm cas et a réussi a s'en sortir? si oui, merci de m'éclairer...
selam,sa m arrive aussi,a l inverse je n ai pas une vie aussi remplie,mais j ai ma fille,on s accrochent toutes les 2,parle en a tes proches,as tu des enfants?
C'est normal et passager... mais au moins dans ces moments de tristesse tu fais le point et tu te rends compte qu'il y a quand meme du positif ... ou alors ca te permet de changer ci et la ce qui n'allait pas
Rien de grave et hamdullah tu ne manques de rien, il faut passer par ces moments la pour ensuite savourer les moments de bonheur
Citation Unerenaissance a écrit: je ne manque de rien, j'ai tout pour être heureuse
Tristesse c'est le contraire de joie
La joie est un sentiment que l'on éprouve lorsqu'il y a une complémentarité entre deux ou plusieurs choses qui en font une seule entité = satisfaction = gaité = plaisir = bonheur ;
Pour exemple les collectionneurs sont prêt à dépenser des millions pour avoir "la pièce" qui complétera leur collection - et cela pour en tirer un plaisir, une satisfaction, de la joie etc....
La joie et la complémentarité sont synonymes - pour retrouver le sentiment de joie - il ne doit manquer aucune pièce au puzzle;
Donc si la joie n'est pas au rendez vous et que tu es envahi par des sentiments de tristesse c'est qu'il y a forcément un manque de quelque chose dans ta vie , peut-être sur le plan professionnel, spirituel ou sentimental etc....
Il faut que tu retrouve cette pièce qui manque à ta vie pour être heureuse.
Un autre conseil, l'entourage est important, si tu es entourée de gens triste alors ne t'étonne pas d'être toi même triste.
Je ne sais pas si mon post serai utile mais je me permet de participer. Ce sentiment de tristesse est normal du moins pour moi (signe astro cancer donc j'ai souvent des coups de blues ) Ce que j'ai fais c'est un changement de mon rythme de vie et j'ai essayer de me rapprocher du bon Dieu le plus que je peux! j'ai vécu bcp d'expériences dans mes 25 ans et j'ai eu des moments de joie intense, des réussites, des échecs, des sensations fortes et des moments de détresse qui m'ont brisée.. Mais quand je fais le bilan de tout ça, je trouve que j'étais le mieux dans ma peau quand j'étais satisfaite de moi même dans ma relation avec le bon Dieu. C'est vrai pour moi je ne sais pas si ça marche pour les autres. J'ai donc changé mon rythme de vie : je me réveille tot, je prie el fajr chaque matin, je lis le coran chaque matin et ad3iya avant d'aller au taff et en rentrant le soir.. Et crois moi, je me sens soulagée, moins nerveuse et même ma relation avec mon fiancé s'est amélioré puisque je suis devenue moins chiante lol! Donc un conseil, rapproche toi davantage du bon Dieu et dès que tu sens un coup de blues repenti toi et prie le bon Dieu pour te débarrasser de tes chagrins.. InchAllah tout ira bien!
Le prophète alayhi salat wa salam a dit : "Lorsque les péchés du serviteur deviennent nombreux et que celui-ci n'a pas de bonnes actions pour les compenser, ALLAH l'éprouve par la tristesse afin de le purifier."
Rapporté par Ahmed
"Tout malheur qui vous atteint est du aux péchés que vos mains ont commis. Et il (ALLAH) pardonne beaucoup." S42, V30
En fait dans le passé, beaucoup de choses m'ont angoissée des années durant... puis par la suite j'étais toujours angoissée à l'idée de tomber malade, de perdre un être cher, de ne pas me marier, de ne pas réussir...enfin bref...
Hamdoulila, petit a petit beaucoup de choses se sont réglées et j'arrive de plus en plus a en parler a mon entourage, alors qu'avant je gardais tout pour moi.
mais j'ai l'impression que j'ai tellement angoissé que je ne peux m'empecher de l'être (aujourdui j'angoisse beaucoup au sujet de mon enfant (peur de ne pas etre a la hauteur pour son éducation, de ne pas savoir l'elever, peur de le perdre).