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un tres riche caid
m
15 août 2006 22:10
Connaissez vous le salaire d'un caid au Maroc? Réponse : 4 à 10000DH par mois.
J'en connais un dans le nord qui possède des terrains zone villa et immeuble : valeure totale des terrains : plus de 10 000 000 de DH...
Voila qlq un qui arrive à produire une telle richesse à partir de rien.
Il faut le nommer ministre des finances au plus vite.
15 août 2006 22:22
un caid au maroc , sort de l'école des cadres du ministère de l'intérieur, avec grade de ( administrateur adjoint puis avec l'ancienneté il est promu administrateur ). Pour son salaire ca débute de 5.000 dh au tout début ( sorte de stage pas encore titularisé ), puis il atteint plus que 10.000 dh.
----------- Pour les propriétés ( terrain ) , il faut faire des recherches. les a-t-il héritées ? achetées ? a-t-il d'autres ressources autre que sa solde ?
------- à ma connaissance tous les agents d'autorité font une déclaration de TOUS LEURS BIENS , sur un formulaire, dès leur entrée en service ( loi : d'où as-tu ça ? ).
b
15 août 2006 22:30
Il est le citoyen lol
s
15 août 2006 22:42
m
15 août 2006 22:43
à la question : d'ou as tu ça?

Tu prends ta voiture, tu te balades dans les quartiers chics des villes du nord à la recherche d'un terrain à vendre, tu te renseigne auprès des assassa du coin et on te dira : tel terrain voilà son prix, appartient à intel qui lui même est propriétaire de 4 autres lots à tel endroit.
Tel terrain appartient au colonel machin, tel autre au commandant duchmole, tel immeuble au caid tartompion.
Bref les hauts fonctionnaires se sont déjà servi..
Et toi le petit immigré avec ta mégane immatriculé en France, tu croyais que tu avais les moyens de venir acheter un terrain et construire ta petire villa dans un quartier sympa sans le bordel ambulant que l'on connait dans les quartiers populaire. Et bien que nini, pas pour toi camarade : ici les terrains valent une fortune et appartiennent tous au gros et petit bonnet du coin.
Comme tu dis, ils les ont probablement hérités, c'est sûr, mais ils les ont hérités des traficants de drogue.

Et puis comme tu dis, dans le formulaire, le bonnet ne déclare rien, les biens sont au nom du cousin, la nièce, le fils, la fille. Bref à des prêtes noms.

Il est temps que l'état réserve des lotissements pour RME à des prix corrects dans des endroits potables.
s
15 août 2006 22:43
m
15 août 2006 22:45
Citation
bikhir a écrit:
Il est le citoyen lol
j'ai pas pigé bikhir
l
15 août 2006 22:49
Citation
demha a écrit:
un caid au maroc , sort de l'école des cadres du ministère de l'intérieur, avec grade de ( administrateur adjoint puis avec l'ancienneté il est promu administrateur ). Pour son salaire ca débute de 5.000 dh au tout début ( sorte de stage pas encore titularisé ), puis il atteint plus que 10.000 dh.
----------- Pour les propriétés ( terrain ) , il faut faire des recherches. les a-t-il héritées ? achetées ? a-t-il d'autres ressources autre que sa solde ?
------- à ma connaissance tous les agents d'autorité font une déclaration de TOUS LEURS BIENS , sur un formulaire, dès leur entrée en service ( loi : d'où as-tu ça ? ).

Un élève caïd touche 3200 dhs à l'école des cadres et dès sa sortie s'il obtient son certificat il touche 9000 DHS. Ceux qui n'obtiennent pas le certificat sont alignés à l'échelle 10 et n'ont pas
accès à au métier de caïd. En principe le caïd bénéficie du logement de fonction
et d'une voiture de service avec une dotation d'essence de 20 à 70 litres/mois. Ceci dit, ni le logement ni la voiture de fonction ni la dotation d'essence ne sont automatiques sauf son salaire. S'il n'est pas logé par la préfecture il bénéficie d'une prime de loyer de 1300 dhs ce qui fait monter son salaire à 10000 DHS.
Quant à la déclaration des biens c'est de la science-fiction...Juste des imprimés que l'on distribue aux caïds de temps en temps histoire de faire courir le bruit que ça devient sérieux, mais en fait ces imprimés ne sont pas remplis et lorsqu'un naïf les rempli ils ne dépassent pas un tirroire dans la préfecture, mais le caïd en question risque d'être la risée de ses camarades..
b
15 août 2006 22:53
med, j'attendais que l'expert intervienne comme tu vois. lol!
l
15 août 2006 22:55
Bonsoir salamatte, nouvellement inscrit..?
l
15 août 2006 23:00
Citation
med75016 a écrit:
Connaissez vous le salaire d'un caid au Maroc? Réponse : 4 à 10000DH par mois.
J'en connais un dans le nord qui possède des terrains zone villa et immeuble : valeure totale des terrains : plus de 10 000 000 de DH...
Voila qlq un qui arrive à produire une telle richesse à partir de rien.
Il faut le nommer ministre des finances au plus vite.

Mais, il y a des caïd honnêtes au Maroc:


"Mardi 15 Aôut 2006
Par Mehdi Sekkouri Alaoui
Administration. Les malheurs d'un caid (trop) honnête



Bio Express.

1966. Naissance à Rabat
1993. Licence en droit français
1996. Diplômé de l'école des cadres de Kénitra
1996 - 2002. Caïd à Fès
2002. Publication de Ali Baba et les 40 menteurs
2004. Le tribunal administratif condamne le ministère de l'Intérieur à le réhabiliter dans ses fonctions
2005. Le ministère de l'Intérieur ne lui accorde pas le droit de reprendre ses études.




Younes Fennich. (AIC PRESS)


Younes Fennich fait partie de ces Marocains qui se sont brûlés les doigts en voulant combattre un système. Auteur de nombreux “J’accuse”, ce caïd de Fès a fini par tomber.


Younes Fennich n'entrevoit pas le bout du tunnel. Ce caïd qui a défrayé la chronique en publiant des livres dénonçant la corruption qui sévissait dans la ville de Fès continue de galérer. Depuis 2002, date à laquelle il a été mis au placard par ses supérieurs, il moisit chez lui à Salé, dans un petit appartement mis à sa disposition par ses parents. Même s'il ne travaille plus, il est jusqu'à preuve du contraire encore caïd et touche
toujours (des mains du contribuable, bien sûr) une partie modique de son salaire initial, près de 2500 dirhams (au lieu de 9000) pour rester tout simplement à la maison. “On m'a dit de rentrer chez moi jusqu'à nouvel ordre. Ce nouvel ordre je l'attends depuis maintenant quatre ans déjà”, s'insurge-t-il. Entre-temps, il a eu gain de cause dans le procès qu'il a intenté à son employeur, le ministère de l'Intérieur. Ce dernier a été condamné en 2004 par le tribunal administratif à le rétablir dans ses fonctions. Cependant, l'affaire semble loin d'être réglée. Elle est depuis lors entre les mains de la Cour suprême et pour très longtemps. C'est du moins ce que pensent le principal concerné et son avocat, le bâtonnier Abderrahmane Benameur. S'ajoute à cela un dahir compliquant davantage les choses, signé par le premier ministre, Driss Jettou (et non le roi !!) et qui remet sur la table sa révocation. “Ce qui est paradoxal dans ce dahir qui aurait été signé en 2003 et dont je ne prends connaissance qu'en 2005, c'est qu'il spécifie que je suis seulement relevé de mon arrondissement. Ce qui n'enlève donc rien à ma qualité de caïd”, ironise-t-il.

Témoin et victime
Dernier fait en date : le ministère de l'Intérieur ne lui accorde pas le droit de reprendre ses études. “Désirant tourner la page, j'ai déposé une demande d'admission à l'Institut national d'urbanisme et d'aménagement. Les responsables de l'établissement y étaient favorables, il ne leur manquait qu'une autorisation écrite du ministère, chose que je n'ai pu avoir à ce jour”, explique-t-il. Ce qui est sûr, c'est que toute cette histoire a eu des incidences sur la petite famille de Younes Fennich. Sa séparation avec son épouse a duré près de deux ans. “On a vécu une pression inimaginable. De plus, quand vous habitez avec votre femme chez vos parents, il est tout à fait prévisible qu'il y ait des clashs”, commente-t-il. Et puis il y a le petit Fennich qui a visiblement beaucoup souffert de cette situation intenable. “Il a été entièrement déstabilisé. Il entendait beaucoup de choses concernant son papa à tel point qu'un jour il m'a demandé si je faisais toujours des bêtises”, raconte, ému, Younes Fennich. Coupé de sa direction, obligé d'attendre une providentielle nomination, il sort livre sur livre pour dénoncer les malversations dont il a été témoin sur le terrain. Tirés à peine à quelques centaines d'exemplaires, “ces ouvrages sont destinés essentiellement à la presse, à la société civile et au gouvernement pour qu'on n'oublie pas mon cas”, justifie-t-il.

Caïd ferme et ambitieux
Cet intellectuel charismatique, au français et à l'arabe raffinés, fils d'un entrepreneur et d'une fonctionnaire du ministère des Finances s'est retrouvé par pur hasard dans la fonction de caïd.
“En 1994, je viens à peine de décrocher ma licence en droit avec mention que je découvre, sur le journal, l'annonce d'un concours qui doit avoir lieu à l'Ecole nationale d'administration publique. Je m'y inscris sans trop savoir de quoi il s'agissait, je ne le saurai que quelques jours avant l'examen pour lequel je ne me prépare même pas. Je n'y crois pas trop sachant qu'il y a près de 12 000 candidatures pour une soixantaine de places seulement”. Le concours, réussi à sa grande surprise, lui ouvre ainsi les portes de l'école des cadres de Kénitra. C'est décidé, il sera caïd. La formation y est purement militaire et makhzénienne, voire basrienne, selon lui : “Ce qui m'a néanmoins beaucoup servi pour tenir le coup par la suite”, avoue-t-il.

Au vu de ses résultats satisfaisants, à sa sortie de Kénitra, il est l'un des rares à qui l'on propose de prendre la tête d'un arrondissement du premier coup. Et c'est à Fès qu'il atterrit. Les conditions sont plutôt bonnes : en plus de son salaire, il a droit à un appartement de fonction, une voiture de service… tout ce qu'il faut pour bien entamer sa nouvelle vie. Très vite il se fait remarquer… pour son incorruptibilité. Ceux qui disent avoir été rackettés par son prédécesseur, notamment des commerçants et des débitants de boissons alcoolisées, sont ravis. Les autres qui étaient habitués aux faveurs moyennant des pots-de-vin se retrouvent soudainement dans l'impasse. Et il ne se limite pas à sa propre personne, puisqu'il essaie d'étendre toutes ses valeurs à tous ceux qui travaillent autour de lui et n'hésite pas à se passer de tous ceux qui lui paraissent douteux. C'est ainsi que 17 moqaddems se verront muter dans d'autres préfectures. Et pendant six mois, fait unique probablement dans l'histoire de ce pays, il sera le seul caïd à tenir un arrondissement de 90 000 personnes… tout seul ! “A son arrivée, tout le monde s'est dit : ‘c'est un jeune qui ne connaissait pas les rouages’ mais très vite on a senti qu'il était très déterminé dans ce qu'il entreprenait”, rapporte ce moqaddem qui a travaillé sous ses ordres. Les témoins se souviennent d'un homme croulant sous le travail qui, d'habitude, est réparti sur une armada de moqaddems. Manquant de personnel, il s'installe à l'accueil de la préfecture pour répondre lui-même aux doléances des visiteurs. Pour ce même moqaddem qui était sous ses ordres, “Younes Fennich donnait constamment l'impression de mener un combat. Un peu trop sûr de lui, il ne revenait jamais en arrière”.

Des livres pour dénoncer un système
Tout ceci lui apporte forcément des ennemis, apparemment si influents que les autorités de la ville lui mènent le vie dure. En six années à Fès, il sera muté à trois reprises. Pour ce notable fassi, “il est évident, les autorités de la ville n'étaient pas réjouies du travail qu'il accomplissait, tout simplement parce qu'il empiétait sur leurs intérêts”. Younes Fennich flaire alors un mauvais coup à venir. Il se sent de moins en moins en sécurité : lui vient alors l'idée d'écrire un livre pour assurer ses arrières. En 2002, il publie Ali Baba et les quarante menteurs, une sorte de fiction qui s'inspire de son expérience personnelle. “Même si beaucoup se sont reconnus dans ce livre, le but n'était pas de régler des comptes mais surtout de dénoncer un système”, explique-t-il. Quelques semaines plus tard, alors qu'il est en congé de maladie, il reçoit une lettre lui annonçant sa mise à pied.

Younes Fennich analyse et comprend fort bien pourquoi les caïds touchent des pots-de-vin. “Le système fait en sorte que ça se passe ainsi. Même si notre salaire est de 9000 DH, nous savons que les deux tiers de cette somme sont des indemnités que l'on peut nous retirer à tout moment. Les caïds ayant des familles à nourrir, des crédits à payer, ne peuvent se permettre de risquer tout cela” dit-il, ajoutant “qu'à Rabat on laisse faire parce qu'on sait que l'argent amassé contribue également à alimenter les caisses noires qui serviront à bien d'autres choses”. On l'aura compris, pour lui, le responsable est “le Makhzen hérité de Driss Basri”. Et Hassan II dans tout ça ? “Le croyant que je suis ne peut se permettre de parler des morts”, répond-il. Des regrets, caïd Fennich ? “Sincèrement, si c'était à refaire, j'y réfléchirais par deux fois avant de faire quoi que ce soit”. Dur, dur d'être honnête au ministère de l'Intérieur."

Source: telquel
c
15 août 2006 23:01
Le citoyen, très aimable à toi pour l'info, mais on connaît déjà ta biographie.
l
15 août 2006 23:09
Citation
bikhir a écrit:
med, j'attendais que l'expert intervienne comme tu vois. lol!

HA,HA,HA,HA...Merci pour le titre "expert".

Humblement,

le citoyen.
l
15 août 2006 23:10
Citation
chelhman a écrit:
Le citoyen, très aimable à toi pour l'info, mais on connaît déjà ta biographie.

Hum...! hum...!??
a
15 août 2006 23:22
Citation
med75016 a écrit:
à la question : d'ou as tu ça?

Tu prends ta voiture, tu te balades dans les quartiers chics des villes du nord à la recherche d'un terrain à vendre, tu te renseigne auprès des assassa du coin et on te dira : tel terrain voilà son prix, appartient à intel qui lui même est propriétaire de 4 autres lots à tel endroit.
Tel terrain appartient au colonel machin, tel autre au commandant duchmole, tel immeuble au caid tartompion.
Bref les hauts fonctionnaires se sont déjà servi..
Et toi le petit immigré avec ta mégane immatriculé en France, tu croyais que tu avais les moyens de venir acheter un terrain et construire ta petire villa dans un quartier sympa sans le bordel ambulant que l'on connait dans les quartiers populaire. Et bien que nini, pas pour toi camarade : ici les terrains valent une fortune et appartiennent tous au gros et petit bonnet du coin.
Comme tu dis, ils les ont probablement hérités, c'est sûr, mais ils les ont hérités des traficants de drogue.

Et puis comme tu dis, dans le formulaire, le bonnet ne déclare rien, les biens sont au nom du cousin, la nièce, le fils, la fille. Bref à des prêtes noms.

Il est temps que l'état réserve des lotissements pour RME à des prix corrects dans des endroits potables.


d ou a tu ca , n etait pas une question c est le nom d une loi.
et meme si il t avais posé la question:

ton investigation personnel n a pas valeur d arguments on ne peu pas generaliser,il y a des caids vereux et il y a des caid honnetes comme il y a des marocains vereux et d autres honnetes.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/08/06 23:25 par antitout.
l
15 août 2006 23:43
Citation
antitout a écrit:
il y a des caids vereux et il y a des caid honnetes comme il y a des marocains vereux et d autres honnetes.

Oui, sauf que malheureusement les caïds honnêtes sont renvoyés au placard pour laisser place libres aux véreux..et malheureusement ça ne rate pas jusque là. Espérons que le nouveau concept d'autorité sera enfin appliqué pour donner leur chance aux caïds honnêtes de poursuivre leur carrière sans risquer d'être sanctionnés..



Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/08/06 23:44 par le citoyen.
s
16 août 2006 12:32
hep hep hep

si ce n'est pas de l'égoisme ça!!!!

et les marocains qui vivent au Maroc ??? les locaux, il t'arrive par moment de penser à eux ?? c'est plutôt plus à eux à qui il faudrait trouver des mesures et des prix en adéquation avec leur capacité financière et leur soucis d'investissement, non?

les RME oui mais peut être qu'il faut qu'ils pensent avant aux locaux qui eux vivent 12 mois/12 là bas!!

comme si le souci n'était que les RME!!! c'est bien la résidence secondaire que la vie là bas, alors à relayer au second plan

s'il y a des soucis à régler, ce serait d'abord ceux qui satisfassent nos marocains locaux!

Citation
med75016 a écrit:
Il est temps que l'état réserve des lotissements pour RME à des prix corrects dans des endroits potables.
l
16 août 2006 16:42
Je connais quelqu'un qui a fait la même formation, puis son stage à l'ena en france quand il est rentré il a choisi la repression des fraudes, comme il est intégre il se prenait la tête avec son superieur qui est était un adepte de rachwa, il a fini par être muté, et il a persisté et actuellement il est régisseur général des fraudes à casa, mais comme il dit, au maroc il ne faut pas prendre de vacances dès que tu quitte ton bureau, c'est l'histoire du chat et des souris. la personne en question est pieuse et intégre.
[color=#FF0000]il y'a bien des laideurs qui ne se voient pas!!!!!!!! [/color]
v
16 août 2006 18:45
d ou a tu ca , n etait pas une question c est le nom d une loi.
et meme si il t avais posé la question:

ton investigation personnel n a pas valeur d arguments on ne peu pas generaliser,il y a des caids vereux et il y a des caid honnetes comme il y a des marocains vereux et d autres honnetes.[/quote]

Oui mais moi je ne comprends pas une chose :
Puisqu'il y a une loi qui protège les biens du peuple ... et qu'il y a des caids vereux et honnetes, pourquoi on arrete pas les vereux??????????????????????? est ce que cela veut dire que tout les caids sont honnetes... ca serait une bonne chose pour notre pays!!
l
16 août 2006 20:04
Citation
viveMaroc a écrit:
Oui mais moi je ne comprends pas une chose :
Puisqu'il y a une loi qui protège les biens du peuple ... et qu'il y a des caids vereux et honnetes, pourquoi on arrete pas les vereux??????????????????????? est ce que cela veut dire que tout les caids sont honnetes... ca serait une bonne chose pour notre pays!!

Euh..à mon humble avis, ils ne sont pas, disons, très tolérés les honnêtes caïds dans les rangs du ministère de l'intérieur..et il y en a même qui disent qu'ils sont combattus farouchement par ce même ministère..
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