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Un transfuge juif averti l'Occident
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25 décembre 2006 19:21
De feu Benjamin H. Freedman

thePeoplesVoice, le 17 décembre 2006


Né en 1890, Benjamin H. Freedman fut l'un des personnages des plus intrigants et des plus étonnants du 20ème siècle, un homme d'affaires juif de New York, couronné de succès, qui fut principal propriétaire de la Woodbury Soap Company. Il a rompu avec l'organisation juive après la victoire judéo-communiste de 1945, et il utilisa le reste de sa vie et la majorité de sa considérable fortune, au moins 2,5 millions de dollars, à exposer la tyrannie juive qui avait investi les USA. M. Freedman savait de quoi il parlait, il avait été initié aux niveaux les plus élevés des organisations et des machinations juives pour prendre le pouvoir de notre nation. M. Freedman fut personnellement informé avec Bernard Baruch, Samuel Untermyer, Woodrow Wilson, Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy, et John F. Kennedy, et beaucoup d'autres grands pontes de l'époque. Ce discours fut donné devant une assistance de patriotes en 1961 à l'hôtel Willard de Washington, au nom de Common Sense (Sens Commun), qui était à cette époque le journal patriotique de Conde McGinley. Bien qu'en certains aspects mineurs ce grand discours improvisé soit devenu démodé, l'essentiel du message de M. Freedman -- sa mise en garde à l'Occident -- est plus urgent que jamais.




Ici aux USA, les sionistes et leurs coreligionnaires ont le contrôle complet de notre gouvernement. Pour beaucoup de raisons, trop nombreuses et trop complexes pour les examiner maintenant ici, les sionistes et leurs coreligionnaires gouvernent les USA comme s'ils en étaient les monarques absolus. Maintenant vous pouvez dire que c'est une déclaration très sommaire, mais laissez-moi vous montrer ce qui est arrivé pendant que nous étions tous endormis.




Qu'est-il arrivé ? La Première Guerre Mondiale a éclaté en été 1914. Il y a peu de gens de mon âge ici qui s'en souviennent. À cette époque, la guerre fut faite d'un côté par la Grande-Bretagne, la France, et la Russie, et de l'autre par l'Allemagne, l'Autriche-Hongrie, et la Turquie.




En deux ans l'Allemagne avait gagné la guerre : pas seulement nominalement, mais gagné réellement. Les sous-marins allemands, une surprise pour le monde, avaient anéanti tous les convois de l'Océan Atlantique. La Grande-Bretagne était sans munitions pour ses soldats, avec une semaine d'approvisionnements alimentaires -- et après cela, les privations. À ce moment, l'armée française s'était mutinée. Elle avait perdu 600.000 de la fleur de la jeunesse française dans la défense de Verdun sur la Somme. L'armée russe désertait, ils ramassaient leurs billes et rentraient à la maison, ils ne voulaient plus jouer à la guerre, ils n'aimaient pas le tsar. Et l'armée italienne s'était effondrée.




Pas un coup de feu n'avait été tiré sur le sol allemand. Pas un soldat ennemi n'avait franchi la frontière allemande. Et pourtant, l'Allemagne offrit des conditions de paix à l'Angleterre. Ils offraient à l'Angleterre une paix négociée sur ce que les avocats appellent un statu quo sur base antérieure. Ce qui veut dire : « Mettre fin à la guerre, et tout laisser comme c'était avant ». En été 1916, l'Angleterre considérait sérieusement cette issue. Elle n'avait pas le choix. Soit elle acceptait la paix négociée que l'Allemagne lui offrait avec magnanimité, soit la guerre continuait jusqu'à totale défaite.




Alors que la guerre continuait, les sionistes en Allemagne, qui représentaient les sionistes d'Europe de l'Est, allèrent au Ministère de la Guerre britannique et -- je serais bref parce que c'est une longue histoire, mais j'ai les documents prouvant toute déclaration que je ferais -- ils dirent : « Ecoutez donc. Vous pouvez encore gagner la guerre. Vous ne devez pas abandonner. Vous ne devez pas accepter la paix négociée qui vous est offerte maintenant par l'Allemagne. Vous pourrez gagner cette guerre si les USA y entrent comme vos alliés. » Les USA n'étaient pas en guerre à cette époque. Nous étions dispos ; nous étions jeunes ; nous étions riches ; nous étions puissants. Ils ont dit à l'Angleterre : « Nous garantirons l'entrée en guerre des USA à vos côtés, si vous nous donnez la Palestine quand vous aurez gagné la guerre. » En d'autres termes, ils ont fait cette affaire : « Contre l'entrée en guerre des USA à vos côtés, le prix que vous devrez payer est la Palestine quand vous aurez gagné la guerre et défait l'Allemagne, l'Autriche-Hongrie, et la Turquie. » À cette époque, l'Angleterre avait aussi peu le droit de promettre la Palestine à quelqu'un que les USA l'avaient de promettre le Japon à l'Irlande pour une quelconques raison. Il est absolument absurde que la Grande-Bretagne, qui n'avait jamais eu aucun lien, ni un quelconque intérêt, ni aucun droit sur la Palestine, puisse l'offrir comme une pièce de monnaie du royaume en salaire aux sionistes qui feront entrer en guerre les USA. Néanmoins, ils ont fait cette promesse en octobre 1916. Et peu de temps après -- je ne sais pas combien ici s'en souviennent -- les USA, pratiquement totalement pro-allemands, sont entrés en guerre alliés à la Grande-Bretagne. [1]




Je dis que les USA étaient presque tous pro-allemands parce que les journaux ici étaient contrôlés par des juifs, les banquiers étaient juifs, tous les mass médias de communications de ce pays étaient contrôlés par des juifs ; et eux, les juifs, étaient pro-allemands. Ils l'étaient parce que bon nombre d'entre eux venaient d'Allemagne, et ils voulaient aussi voir l'Allemagne foutre une pilée au tsar. Les juifs n'aimaient pas le tsar, et ils ne voulaient pas que la Russie gagne cette guerre. Les banquiers juif allemands, comme Kuhn Loeb et les autres grandes sociétés bancaires US, refusaient de financer la France ou l'Angleterre au dessus d'un dollar. Ils se tenaient à l'écart et ils disaient : « Pas un cent tant que la France et l'Angleterre seront alliés de la Russie ! » Mais ils versaient de l'argent à l'Allemagne, ils combattaient auprès de l'Allemagne contre la Russie, pour tenter d'abattre le régime tsariste.




Alors, quand ces mêmes juifs ont vu la possibilité d'obtenir la Palestine, ils sont allés en Angleterre et ils ont réalisé l'affaire. À ce moment-là, tout a changé, comme un feu de circulation passant du rouge au vert. Là où les journaux avaient tous été pro-allemands, là où ils disaient au peuple la difficulté que l'Allemagne avait à combattre contre la Grande-Bretagne commercialement et autrement, soudain les allemands n'était plus appréciés. C'étaient des bandits, des Huns. Ils tiraient sur les infirmières de la Croix Rouge. Ils coupaient les mains des bébés. Ils n'étaient pas humains. Bref, peu après, de toute urgence M. Wilson déclara la guerre à l'Allemagne.




De Londres, les sionistes envoyèrent un câble au juge Brandeis des USA, disant : « Allez influencer le Président Wilson. Nous avons obtenu de l'Angleterre ce que nous voulons. Maintenant vous allez préparer le Président Wilson afin qu'il fasse entrer les USA dans la guerre ». C'est ainsi que les USA entrèrent en guerre. Nous n'avions aucun intérêt à le faire ; pas plus que d'être ce soir sur la Lune au lieu d'être dans cette chambre. Il n'y avait absolument aucune raison pour que la Première Guerre Mondiale soit notre guerre. Il nous était imposé d'y entrer -- si je peux être vulgaire, nous étions pigeonnés dedans -- juste pour que les sionistes du monde puissent obtenir la Palestine. C'est quelque chose qui n'a été jamais dit au peuple US. Il n'a jamais su pourquoi nous sommes entrés dans la Première Guerre Mondiale.




Après notre entrée en guerre, les sionistes allèrent en Grande-Bretagne et ils dirent : « Bon, nous avons exécuté notre part de l'accord. Mettons par écrit la preuve que vous garderez votre parole en nous donnant la Palestine quand vous aurez gagné la guerre. » Ils ne savaient pas si la guerre durerait encore un an ou dix. Alors ils rédigèrent un reçu. Ce reçu prit la forme d'une lettre formulée dans un langage plutôt sibyllin, de sorte que la masse du monde ne se doute de rien à son sujet. Et cela fut appelé la Déclaration de Balfour. [2]




La Déclaration de Balfour n'était que la promesse de la Grande-Bretagne de payer aux sionistes ce qu'ils avaient convenu en compensation de l'entrée en guerre des USA. Donc cette grande Déclaration de Balfour, celle dont on vous rabâche les oreilles, était exactement comme un billet bidon de trois dollars. Je ne pense pas pouvoir être plus clair.




C'est là que les ennuis commencèrent. Les USA écrasèrent l'Allemagne. La guerre finie, les allemands allèrent à la conférence de paix à Paris en 1919. Il y avait là les 117 représentant de la délégation juive, dirigée par Bernard Baruch. Comme j'étais là, je dois le savoir. Qu'arrivât-il ? Quand ils découpèrent l'Allemagne et répartirent l'Europe entre les nations qui prétendaient avoir quelque droit à une partie, les juifs dirent, « Que pensez-vous de la Palestine pour nous ? » Et, pour la première fois, ils présentèrent la Déclaration de Balfour à la connaissance des allemands. Ainsi les allemands, pour la première fois réalisèrent : « Ah ? c'était ça le jeu ! C'est la raison pour laquelle les USA sont entrés en guerre. » Les allemands se rendirent compte pour la première fois de leur défaite, ils subirent les terribles réparations qui leur furent infligées, parce que les sionistes voulaient la Palestine et qu'ils étaient déterminés à l'obtenir à tout prix.




Cela nous amène à un autre point très intéressant. Réalisant cela, les allemands en ont naturellement éprouvé de l'amertume. Jusqu'alors, les juifs n'avaient jamais été aussi bien, dans aucun pays du monde, qu'ils l'avaient été en Allemagne. Vous y trouviez M. Rathenau, qui était peut-être 100 fois aussi importants dans l'industrie et les finances que l'était Bernard Baruch dans ce pays. Vous y trouviez M. Balin, propriétaire des deux grandes lignes de navires à vapeur, la North German Lloyd et la Hambourg-America Lines. Vous y trouviez M. Bleichroder, le banquier de la famille de Hohenzollern. Vous trouviez à Hambourg les Warburg, les grands banquiers marchands -- les plus grands du monde. Les juifs étaient très bien en Allemagne. Aucun problème à ce sujet. Les allemands ont réellement ressenti ça comme une trahison.




C'était une trahison comparable à cette situation hypothétique : Supposons que nous, les USA, soyons en guerre contre l'Union Soviétique. Nous gagnons et disons à l'Union Soviétique : « Hé bien, arrêtons. Nous vous offrons des conditions de paix. Oublions l'affaire entière. » Et soudain la Chine Rouge entre en guerre alliée à l'Union Soviétique. Et leur arrivée en guerre provoque notre défaite. Une défaite écrasante, avec des réparations telles que l'imagination ne peut les cerner. Imaginez qu'après cette défaite nous découvrons que ce sont nos citoyens chinois, que nous pensions jusqu'ici nous être fidèles, qui nous ont vendu à l'Union Soviétique et que c'est grâce à eux que la Chine Rouge est entrée en guerre contre nous. Comment nous sentirions-nous ensuite envers les chinois ? Je ne pense pas que l'un d'entre eux oserait montrer son nez dans la rue. Il n'y aurait pas assez de réverbères opportuns pour se cacher. Imaginez comment nous nous sentirions.




Hé bien, c'est comme ça que les allemands se sont sentis envers les juifs. Ils avaient été aimables avec eux : Depuis 1905, quand la première révolution Communiste en Russie a échoué, quand les juifs ont dû se bousculer pour sortir de Russie, ils sont tous allés en Allemagne. Et l'Allemagne leur a donné asile. Et ils y ont été très bien traités. Et ils ont trahi l'Allemagne pour l'unique raison qu'ils voulaient la Palestine comme un soi-disant « Commonwealth Juif ».




Maintenant Nahum Sokolow, et tous grands leaders et les grands noms que vous avez lus en relation avec le sionisme en 1919, 1920, 1921, 1922, et 1923 ont écrit dans tous leurs articles -- et la presse était pleine de leurs déclarations sur le sentiment anti-juifs en Allemagne, dû au fait que les allemands s'étaient rendu compte que leur grande défaite avait été provoquée par intervention juive qui avait mis les USA en guerre. Les juifs eux-mêmes avaient admis cela. Ce n'était pas que les allemands avaient découvert en 1919 qu'un verre de sang juif avait meilleurs goût que le Coca-Cola ou la bière de Muenchner. Il n'y avait aucun sentiment religieux. Il n'y avait aucun ressentiment contre ces gens concernant leur croyance religieuse. Tout était politique, économique, tout sauf religieux. En Allemagne personne ne se souciait si un juif rentrait chez lui pour abaisser les stores et dire « Shema Yisroel » ou « Notre Père ». Personne ne s'inquiétait désormais en Allemagne de ce qu'ils faisaient aux USA. À cette époque, le ressentiment qui montait en Allemagne était dû à une chose : Les allemands jugeaient les juifs responsables de leur écrasante défaite.




Et la Première Guerre Mondiale commença contre l'Allemagne sans que celle-ci puisse en être rendue responsable. Elle n'était coupables de rien. Rien que d'avoir de la réussite. Elle a mis sur pied une grande marine. Elle a développé le commerce mondial. Vous devez vous souvenir que l'Allemagne à l'époque de la Révolution Française se composait de 300 petites cités-états, principautés, duchés... Trois cents petites entités politiques séparées. Et entre cette époque et celle de Napoléon et de Bismarck, elles ont été regroupées en un État. Et en 50 ans il est devenu l'une des grandes puissances mondiale. Sa marine rivalisait avec celle de la Grande-Bretagne, Il faisait des affaires partout dans le monde, il pouvait vendre n'importe quoi moins cher. Il pouvait fabriquer de meilleurs produits. Qu'arrivat-il en raison de cela ?




Il y avait une conspiration entre l'Angleterre, la France, et la Russie pour remettre l'Allemagne à sa place. Pas un historien dans le monde ne peut trouver une raison valable pour que ces trois pays décident d'effacer politiquement l'Allemagne de la carte.




Quand les allemands se sont rendu compte que les juifs étaient responsables de leur défaite, ils en ont éprouvé naturellement de l'amertume. Mais pas un cheveu sur la tête d'un juif ne fut touché. Le Pr Tansill, de l'université de Georgetown a eu accès à tous les documents secrets du Département d'État. Dans son livre il a cité un document du Département d'État écrit par Hugo Schoenfelt, un juif que Cordell Hull avait envoyé en Europe en 1933 pour étudier les soi-disant camps des prisonniers politiques. Schoenfelt a dit qu'il avait trouvés les prisonniers en excellente condition. Ils étaient en excellente forme, tout le monde étant bien traité. Et les camps étaient remplis de communistes. Beaucoup d'entre eux étaient juifs, car les juifs s'avéraient justement composés d'environ 98 pour cent de communistes en Europe à cette époque. Et il y avait là quelques prêtres, des pasteurs, des dirigeants syndicaux, des francs-maçons, et d'autres qui avaient des affiliations internationales.




Voici quel était le contexte historique : En 1918-1919 les communistes ont pris pendant quelques jours le pouvoir en Bavière. Rosa Luxembourg, Karl Liebknecht et un groupe d'autres juifs ont assuré le gouvernement pendant trois jours. En fait, quand le Kaiser a cessé la guerre il s'est enfui en Hollande parce qu'il pensait que les communistes allaient gouverner l'Allemagne, comme ils le faisaient en Russie, et qu'il allait vers le même destin que le tsar. Alors il s'est sauvé en Hollande pour sa sécurité. Après que la menace communiste en Allemagne ait été écrasée, les juifs travaillaient toujours à tenter de récupérer leur ancien statut, et les allemands les ont combattu de toutes les façons possibles sans toucher un seul cheveux sur leur tête. Ils les ont combattus de la même manière que, ici aux USA, les prohibitionistes ont combattu tout amateur de boisson alcoolisée. Ni l'un ni l'autre n'ont combattu avec des pistolets. C'était la manière dont ils combattaient les juifs en Allemagne. Et à ce moment-là, voyez-vous, il y avait 80 à 90 millions d'allemands, et seulement 460.000 juifs, soit environ 0,5 pour cent de la population allemande. Mais ils contrôlaient toute la presse, et la majeure partie de l'économie parce qu'ils étaient arrivés quand l'argent était bon marché, quand le mark a été dévalué, et ils ont raflé pratiquement tout.




Les juifs ont essayé de garder ce fait pour eux. Ils ne voulaient pas que le monde comprenne vraiment qu'ils avaient trahi l'Allemagne, et que les allemands en étaient offensés. (1)




Plus tard, les juifs du monde ont appelé à une réunion à Amsterdam. Les juifs de chaque pays du monde ont assisté à cette réunion en juillet 1933. Et ils ont dit aux allemands : « Vous excitez Hitler, et vous avez refoulé chaque juif de son ancienne position, qu'il soit communiste ou peu importe ce qu'il était. Vous ne pouvez pas nous traiter de cette façon. Et nous, les juifs du monde, vous donnons un ultimatum. » Vous pouvez imaginer ce que les allemands leur ont dit. Alors, qu'ont fait les juifs ?




En 1933, quand l'Allemagne refusa de se rendre à la conférence mondiale juive d'Amsterdam, la conférence s'est dissoute, et M. Samuel Untermyer, qui était chef de la délégation étasunienne et président de la conférence, est venu aux USA et s'est rendu du navire aux studios de Columbia Broadcasting System pour faire une émission radio sur l'ensemble des USA, dans laquelle il a dit en réalité : « Les juifs du monde déclarent maintenant la Guerre Sainte à l'Allemagne. Nous sommes maintenant engagés dans un conflit sacré contre les allemands. Et nous allons les priver de nourriture jusqu'à leur reddition. Nous utiliserons un boycott mondial contre eux. Cela les détruira car ils dépendent de leurs exportation. » C'était un fait que deux tiers des fournitures alimentaires allemands étaient importées, et ils pouvaient seulement importer au montant de leurs exportations. Donc, si l'Allemagne ne pourrait plus exporter, deux tiers de sa population allait mourir de faim. Il y avait tout simplement juste assez de nourriture pour un tiers de la population. Maintenant dans cette déclaration, que j'ai ici, et qui a été publiée par le New York Times le 7 août 1933, M. Samuel Untermyer a hardiment déclaré : « Ce boycott économique est notre moyen d'autodéfense. Le Président Roosevelt a préconisé son utilisation à la National Recovery Administration, » et certains d'entre vous peuvent se rappeler que tout le monde devait être boycotté, sauf ceux qui suivaient les règles stipulées par le New Deal, qui furent déclarées inconstitutionnelles par la Cour Suprême de cette époque. Néanmoins, les juifs du monde ont établi un boycott sur l'Allemagne, et il était si efficace que vous ne pouviez trouver dans un magasin quelconque du monde une chose marquée « Made in Germany ». En fait, un directeur de Woolworth Company m'a dit que de la vaisselle et des articles pour une valeur en millions de dollars furent jetés dans le fleuve ; que les magasins étaient boycottés si quelqu'un y trouvait un article marqué « Made in Germany », ils étaient entourés de palissade avec des pancartes indiquant « Hitler meurtrier », ..., quelque chose comme ces manifestations de gens assis qui refusent de bouger, qui ont lieu dans le Sud. Dans un magasin appartenant à la chaîne R.H. Macy, qui était dirigé par la famille Strauss, qui s'avéra être justement aussi juive, des bas trouvés là par une femme venaient de Chemnitz, marqués « Made in Germany ». C'étaient des bas de coton qui pouvaient être là depuis 20 ans, puisqu'on en voyait sur les jambes des femmes depuis de nombreuses années. J'ai vu Macy boycotté, avec des centaines de gens marchant autour en brandissant des écriteaux : « Meurtriers Hitlériens », .... À ce moment là, jusqu'à cette époque, pas un cheveux juif n'avaient été touché en Allemagne. Il n'y avait aucune souffrance, aucune privation, aucun meurtre, rien.




Naturellement, les allemands ont dit : « Qui sont ces gens pour déclarer un boycott contre nous, pour mettre notre peuple au chômage, pour immobiliser nos industries ? Qui sont-ils pour nous faire ça ? » Bien sûr, ils n'aimaient pas du tout ça. Certes ils ont peint des svastikas sur des magasins juifs. Pourquoi un allemand devrait-il entrer et donner son argent à un commerçant qui participait au boycott qui allait faire mourir de faim l'Allemagne pour qu'elle fasse soumission aux juifs du monde, qui allaient imposer qui devait être leur ministre ou chancelier ? Hé bien, c'était ridicule.




Le boycott continua pendant un certain temps, mais ce n'est qu'en 1938, quand un jeune juif polonais se rendit à l'ambassade allemande de Paris pour tirer sur un fonctionnaire allemand, que les allemands ont vraiment commencé à devenir brutaux avec les juifs en Allemagne. C'est alors qu'ils ont cassé des devantures et fait des combats de rue...




Maintenant je n'aime pas le mot « antisémitisme » parce qu'il est dénué de sens, mais comme il signifie encore quelque chose pour vous, je devrais l'utiliser. La seule raison du ressentiment allemand contre les juifs était leur responsabilité de la Première Guerre Mondiale et du boycott mondial. En fin de compte, ils étaient aussi responsables de la Deuxième Guerre Mondiale, parce qu'après que cette chose se soit échappé de leur contrôle, il était absolument nécessaire aux juifs et à l'Allemagne de livrer bataille dans une guerre pour voir qui allait survivre. En attendant, je vivais en Allemagne, et je savais que les allemands avaient décidé que l'Europe serait chrétienne ou communiste : il n'y avait d'autre choix. Et les allemands ont décidé de la garder si possible chrétienne. Et ils ont démarré leur réarmement. En novembre 1933 les USA ont reconnu l'Union Soviétique. L'Union Soviétique devenant très puissante, l'Allemagne a réalisé que « son tour allait bientôt venir, à moins d'être forte ». Les mêmes que nous dans ce pays disons aujourd'hui, « notre tour va bientôt venir, à moins que nous soyons forts. » Notre gouvernement dépense 83 ou 84 milliard de dollars pour la défense. La défense contre qui ? La défense contre 40.000 petits juifs de Moscou qui ont pris le pouvoir en Russie et, avec leurs manières retordes, dans beaucoup d'autres pays du monde.




Pour ce pays, être maintenant au bord d'une Guerre au Tiers Monde, d'où nous ne pouvons pas sortir vainqueur, est une chose qui fait chanceler mon imagination. Je sais que les bombes nucléaires se mesurent en mégatonnes. Une mégatonne est un terme servant à décrire un million de tonnes de TNT. Nos bombes [thermo]nucléaires avaient une capacité de 10 mégatonnes, soit 10 millions de tonnes de TNT, quand elles ont été développées pour la première fois. Aujourd'hui, elles ont une capacité de 200 mégatonnes, et Dieu sait combien de mégatonnes développent celles de l'Union Soviétique.




À quoi faisons-nous face maintenant ? Si nous déclenchons une guerre mondiale qui peut se développer en guerre nucléaire, l'humanité est finie. Pourquoi une telle guerre pourrait-elle arriver ? Elle aura lieu comme le lever du rideau sur l'Acte 3 : L'acte 1 était la Première Guerre Mondiale, ...l'Acte 3 sera la Troisième Guerre Mondiale. Les juifs du monde, les sionistes et partout leurs coreligionnaires, sont déterminés à utiliser encore les USA pour les aider de manière permanente à maintenir la Palestine comme une place forte pour leur gouvernement mondial. C'est aussi vrai que je me tiens ici. Non seulement je l'ai lu, mais beaucoup ici l'ont lu aussi, et on sait cela partout dans le monde.




Qu'allons-nous faire ? La vie que vous sauvez pourrait être celle de votre fils. Vos garçons peuvent partir pour cette guerre ce soir ; et vous ne le savez pas plus que vous le saviez en 1916, quand à Londres les sionistes ont fait affaire avec le Ministère de la Guerre britannique pour envoyer vos fils à la guerre en Europe. Le saviez-vous à ce moment-là ? Pas une personne aux USA ne le savait. Vous n'aviez pas l'autorisation de le savoir. Qui le savait ? Le Président Wilson le savait. Le Colonel House le savait. D'autres initiés le savait.




Est-ce que je le savais ? J'avais une très bonne idée de ce qui se passait : J'étais l'agent de liaison de Henry Morgenthau Senior dans la campagne de 1912, quand le Président Wilson a été élu, et des entretiens se déroulaient ici autour du bureau. J'étais « l'homme de confiance » de Henry Morgenthau Senior, qui était Président du comité des finances, et j'étais agent de liaison entre lui et Rollo Wells, le trésorier. Je m'asseyais donc lors de ces réunions, avec le Président Wilson à la tête de la table, et tous les autres, et je les entendais enfoncer dans le cerveau du Président Wilson l'impôt gradué sur le revenu, ce qui devint la Réserve Fédérale, et je les entendaient l'endoctriner avec le mouvement sioniste. Le juge Brandeis et le Président Wilson étaient exactement comme les deux doigts de la main. Le Président Woodrow Wilson était simplement aussi incompétent qu'un bébé nouveau-né quand il en venait à déterminer ce qui se passait. C'est la manière dont ils nous ont fait entrer dans la Première Guerre Mondiale, pensant que nous dormions tous. Ils ont envoyé nos garçons se abattre là-bas. Dans quel but ? Pour que les juifs puissent avoir la Palestine comme leur « Commonwealth. » Ils vous ont tellement dupé que vous ne saviez pas si vous perdiez les pédales.




Maintenant tout juge, quand il mandate un jury, dit : « Messieurs, si vous trouvez un témoin disant un seul mensonge, vous pouvez ne tenir aucun compte de son témoignage entier. » Je ne sais pas de quel État vous venez, mais dans l'État de New-York c'est la manière dont s'adresse un juge au jury. Si un témoin a dit un mensonge, négligez son témoignage.




Quels sont les faits sur les juifs ? (2) Les juifs de l'Europe de l'Est, qui forment 92 pour cent de la population mondiale de ces gens appelés juifs, étaient à l'origine les Khazars. C'était une tribu guerrière qui vivait profondément au cœur de l'Asie. Ils étaient si guerriers que les asiatiques même les ont conduits hors d'Asie en Europe de l'Est. Ils ont établi un grand royaume Khazar de 800.000 milles carrés [3]. À cette époque, la Russie n'existait pas, ni de nombreux autres pays européens. Le royaume khazare était le plus grand pays d'Europe -- si grands et si puissants que quand d'autres monarques voulaient aller faire la guerre, les Khazars leurs prêtaient 40.000 soldats. C'est dire leur grandeur et leur puissance.




C'étaient des adorateurs phalliques, ce qui est dégoûtant et je ne veux pas entrer dans les détails de cela maintenant. Mais c'était leur religion, car c'était aussi la religion de beaucoup d'autres païens et de barbares ailleurs dans le monde. Le roi Khazare est devenu tellement dégoûté par la dégénérescence de son royaume qu'il a décidé d'adopter une soi-disant religion monothéiste -- soit le Christianisme, l'Islam, soit ce qui est connu aujourd'hui comme le Judaïsme, qui est en réalité le « Talmudisme ». Par la rêverie, et en criant « eeny, meeny, miney, moe », il a choisi le soi-disant Judaïsme, qui est devenue la religion d'État. Il est descendu aux écoles talmudiques de Pumbedita [4] et de Sura, a fait monter des milliers de rabbins, a ouvert des synagogues et des écoles, et ce peuple est devenu ce que nous appelons les juifs. Pas un seul d'entre eux n'avait d'ancêtre ayant jamais posé un orteil en Terre Sainte. Non seulement dans l'histoire de l'Ancien Testament, mais même revenant depuis le début des temps. Pas un d'entre eux ! Mais ils arrivent chez les chrétiens et demandent de soutenir leurs insurrections armées en Palestine en disant, « Ne voulez-vous pas aider à rapatrier le peuple élu de Dieu dans sa Terre Promise, la demeure de ses ancêtres ? C'est votre devoir de chrétien. Nous vous avons donné l'un de nos fils comme seigneur et sauveur. Vous allez maintenant à l'église le dimanche, et vous vous mettez à genoux pour adorer un juif, et nous sommes des juifs. » Mais ce sont des Khazars païen qui ont été convertis exactement de la même façon que les Irlandais ont été convertis. C'est aussi ridicule de les appeler le « peuple de la Terre Sainte », que ce le serait d'appeler les 54 millions de chinois musulmans des « arabes ». Mahomet est seulement mort en 620, et depuis lors 54 millions de Chinois ont fait de l'Islam leur religion. Imaginez maintenant la Chine, à 2.000 milles de l''Arabie, de la Mecque et du lieu de naissance de Mahomet. Imaginez si 54 millions de chinois décidait de s'appeler des « arabes ». Vous diriez qu'ils sont fous. Quiconque pensant que ces 54 millions de chinois sont des arabes serait dingue. Tous ont adopté comme religion une croyance qui avait son origine à la Mecque, en Arabie. De la même façon que les Irlandais. Quand les Irlandais sont devenus chrétiens, personne ne les a jetés à la mer et importés en Terre Sainte comme une nouvelle moisson d'habitants. Ils ne sont pas devenus un peuple différent. Ils sont restés le même peuple, mais ils ont accepté le christianisme comme religion.




Ces Khazars, ces païens, ces asiates, ces turco-finnois, étaient une race mongoloïde qui fut refoulée d'Asie en l'Europe de l'Est. Puisque leur roi a pris la foi talmudique, ils n'ont pas eu le choix en la matière. Exactement comme en Espagne : Si le roi était catholique, tout le monde devait être catholique. Sinon, vous deviez partir d'Espagne. C'est ainsi que les Khazars sont devenu ce que nous appelons aujourd'hui les juifs [5]. Imaginez maintenant comme il était stupide pour les grands pays chrétiens du monde de dire, « Nous allons utiliser notre puissance et notre prestige pour rapatrier le Peuple Élu de Dieu sur la terre de ses ancêtres, leur Terre Promise ». Peut-il y avoir un plus grand mensonge que ça ? Puisqu'ils contrôlent les journaux, les magasins, la radio, la télévision, les affaires d'édition de livre, et parce qu'ils ont des ministres à leur botte et des politiciens pour haranguer les foules dans leur langage, il n'est pas très étonnant que vous croyez ce mensonge. Vous arriveriez à croire que le noir est blanc si vous l'entendiez assez souvent. Vous n'appelleriez plus le noir noir -- vous commenceriez à appeler le blanc noir. Et personne ne pourrait vous blâmer.




C'est l'un des grands mensonges de l'histoire. C'est le fondement de toute la misère survenue dans le monde.




Savez-vous ce que les juifs font le Jour du Pardon (Yom Kippour), que vous pensez être tant sacré pour eux ? J'étais l'un d'entre eux. Ce n'est pas des on-dit. Je ne suis pas ici en tant qu'agitateur. Je suis ici pour donner des faits. Quand, le Jour du Pardon, vous entrez dans une synagogue, vous vous levez pour la toute première prière que vous récitez. C'est la seule prière pendant laquelle vous restez debout. Vous répétez trois fois cette courte prière appelée Kol Nidre. Dans cette prière vous passez un accord avec Dieu Tout-puissant pour que tout serment, vœu, ou engagement que vous pourriez faire pendant les douze mois suivants soient nuls et. Le serment ne sera pas un serment ; le vœu ne sera pas un vœu ; la promesse ne sera pas une promesse. Ils n'auront aucune force ou effet. Et servir, le Talmud enseigne que chaque fois que vous faites un serment, un vœu, ou donnez votre parole, vous devez vous souvenir de la prière Kol Nidre que vous avez récitée le Jour du Pardon, et vous êtes exemptés de remplir votre engagement [6]. Comment, nous les USA, pouvons-nous compter sur leur fidélité ? Nous pouvons compter sur leur fidélité comme les allemands y comptèrent en 1916. Nous souffrirons du même destin que l'Allemagne, et pour la même raison.



*****


Notes


(1) Les allemands ont pris une mesure appropriée contre les juifs. Ils, dirais-je, faisaient de la discrimination envers eux partout où ils le pouvaient. Ils les fuyaient. De la même manière que nous éviterions les chinois, ou les nègres, ou les catholiques, ou quiconque dans ce pays qui nous aurait trahi à un ennemi et provoqués notre défaite.



[Les mesures prises par les allemands contre les juifs était de notre point de vue « inappropriées ». Elles étaient non civilisées et barbares. Mentionner les Chinois et « les nègres » de cette façon révèle une pensée confuse en plus du racisme. La référence aux catholiques est bizarre et nous ne sommes pas d'accord avec cet auteur. NDE]




(2) Je les appelle juifs parce qu'ils sont connus en tant que juifs. Je ne les appelle pas des juifs moi-même. Je me réfère à eux comme à de soi-disant juifs, parce que je sais ce qu'ils sont.



[Ici encore nous sommes en désaccord. Les Khazars sont des juifs, définis en tant que tels par leur religion et leur culture judaïques. Mais les Khazars ne sont pas un peuple sémitique. Il serait donc correct d'employer l'expression « soi-disant sémites », puisqu'ils ne le sont pas, mais faux de les appeler soi-disant juifs ». En fait, ce SONT des juifs comme défini ci-dessus. NDE]



Merci à Joanna Francis



Original

Traduction de Pétrus Lombard.



Notes du traducteur



(J'ai un peu simplifié la traduction pour éviter la lourdeur des répétitions.)



[1] Cette opinion de Freedman, que la guerre était gagnée en deux ans par les allemands, n'est pas du tout rapportée par l'Histoire officielle, à part le fait que l'armée russe abandonnait le combat. Le récit de Freedman pourraient être vrai si l'Histoire officielle avait été trafiquée. Cependant, le fait que la guerre n'a pas touché le sol allemand pourrait aller dans ce sens, comme le fait que les USA étaient au début en faveur des allemands.



[2] Ce qui est officiellement connu de la Déclaration de Balfour : [fr.wikipedia.org]



[3] Le Royaume khazare occupait environ 2.071.000 kilomètres carrés, presque 4 fois la France, sur les rives nord de la mer Caspienne et au nord du Caucase, sur une partie du Kazakhstan et de la Russie actuels. [fr.wikipedia.org]



[4] «...Les Académies les plus célèbres sont celles de Pumbedita Soura et Nehardéa... »[fr.wikipedia.org]



[5] Il s'agit certainement des juifs ashkénazes, pas des juifs séfarades qui vivaient plus au sud et sur le pourtour méditerranéen.



[6] D'après le lien ci-dessous, le Kol Nidre ne concernerait pas les vœux de la vie civile : « Il permet de délier " tous les vœux, obligations, serments et promesses " à caractères religieux contractés durant toute l'année ». [www.fsju.org]

Alterinfo .
siryne
s
25 décembre 2006 20:00
ALTER INFO

Le juif étasunien s'élève dans le racisme

Harmonie Grant

Une enluminure dans un livre de prière juif de 1470 représente Haman exécuté avec ses dix fils à la demande exprès de la Reine Esther, l'épouse juive du Roi Ahasuerus (Xerxes I, environ 519-465 avant JC). L'événement est marqué par le festival de Purim (Esther 9:13-14).




Ceux qui critiquent Israël et l'activisme juif de gauche peuvent s'attendre à être appelés des antisémites fous.



Mais les juifs militants admettent régulièrement des actions et des intentions aussi malveillantes ou pire que celles dont les accusent leurs critiques. De nombreuses confessions semblables peuvent être trouvées dans l'autobiographie révélatrice, Mémoires d'un juif extrémiste (1995, Little, Brown & Co.), de Yossi Klein Halevi.



Comme jeune juif zélé de Brooklynite, Halevi est devenu activiste pour Israël, travaillant même avec le rabbin extrémiste Meir Kahane, fondateur de la terroriste Jewish Defense League (ligue de défense juive). L'extrémisme de Halevi a été modéré par son passage dans des années de mariage avec une fille gentille [non juive,NDT], mais il arbore une kippa sur la photo de garde de son livre et son écriture glisse souvent carrément dans l'activité militante du complexe de la victime juive.



Entre les paragraphes de propagande il y a des coups d'œil furtifs sur l'éducation d'un jeune juif étasunien -- une éducation qui choquerait et alarmerait les millions de chrétiens évangéliques non éclairés, qui pensent aux juifs comme à des frères pieux qui méritent un soutien moral et monétaire inconditionnel.



Halevi écrit avoir été sensibilisé à considérer les non juifs comme des ennemis éternels, à mépriser le Christ, et à révérer le Talmud, un livre qui, en réalité, préconise la violence raciste contre les gentils. Les synagogues de l'enfance juive de Halevi contiennent beaucoup plus que les rouleaux et les accroche-cœurs imaginés par les naïfs chrétiens. Elles sont éloignées de Dieu, contenant à la place un culte des ancêtres, la suprématie raciale, et le sectarisme.

Halevi se souvient :



[Mon père] a fait en sorte que j'apprenne la sagesse du juif exilé : la Halakhah, c'est la loi, Esav sone l'Ya'akov, Esau le goy déteste Jacob le juif. Le goy n'est pas seulement un groupe parmi d'autres, pas même une nation entière, mais le monde non juif dans son ensemble. Chaque pays avait fermé ses portes aux juifs d'Europe. (6) Mon père... ne les a jamais appelés, comme je l'ai fait, les " goyim ", mais les gentils, les gens non juifs, un respect formaliste... (201)
Imaginez si les peuples blancs en dehors du " respect formaliste " désignaient tous les autres comme des " non blancs ". Est-ce que ce serait du respect ou du racisme ?



Halevi parle des immigrés européens qui vivaient dans sa jeunesse à Brooklyn :



Ils ne suscitaient pas notre curiosité, juste de la crainte. Nous les voyions tous comme des membres d'un même groupe ethnique : les ennemis des juifs. Nous les avions appelés goyim, un mot hébreu signifiant littéralement " les nations ", mais que nous avions appris vouloir dire ennemis. Le mot le plus poli que nous employions parfois était " non juifs ", qui définit ce qu'ils ne sont pas. (13)
Les mots de Halevi révèlent la manière dont l'antisémitisme (et particulièrement " l'holocauste "winking smiley a été exploité par les sionistes et les activistes juifs de gauche comme moyen pour unir les juifs contre les gentils. L'incessante image du juif martyre a servi à imposer le silence aux critiques d'Israël et de l'activisme juif, à stimuler les juifs dans leur supériorité pharisaïque, et à forcer les spectateurs gentils à des compromis moraux révélateurs de remords, qui autrement n'auraient pas été permis.



Si la souffrance juive n'avait pas été aussi massivement exploitée et mésusée, les étasuniens regarderaient probablement de plus près le groupe ethnique le plus puissant des USA et ses activités. Les évangélistes US seraient capables de percevoir l'injustice énorme endurée par les palestiniens, qui continuent à languir dans des camps de réfugiés des décennies après avoir été refoulés de leurs maisons par le terrorisme sioniste. Et ils pourraient aussi se demander pourquoi ils devraient soutenir un état religieux du Moyen-Orient qui est engagé dans l'opposition au Christ, le Dieu du Christianisme.



Selon l'auteur israélien Israel Shahak, en Israël les juifs crachent quand ils passent devant une église, ils persécutent continuellement les juifs messianiques, et ils ont même supprimé les signes plus (+) dans les livres de maths de leurs enfants parce qu'ils ressemblent à la croix du Christ.



Halevi révèle qu'il n'est pas nécessaire d'aller à Jérusalem pour rencontrer la haine des juifs pour Jésus. À New York, il écrit ;



Les enfants hassidiques appelaient Jésus " Yoshke ", un nom moqueur signifiant l'idiot du village ; quelques adultes l'appelaient " Yimach Sh' moinik ", celui dont le nom devrait être effacé, le juif perfide qui apportera le désastre sur son peuple... Quelques enfants dans le parc de Borough [quartier de New York, NDT] disaient que c'est un mitzvah, un commandement religieux, pour cracher quand vous passez devant une église. (17)
Les évangélistes étasuniens ne seraient-ils pas étonnés d'apprendre que leurs " frères " juifs donnent au Christ de pareils noms blasphématoires, et aux USA en plus ?



Les enfants hassidiques étasuniens apprennent à haïr le Christ aux pieds de leurs chefs religieux, qui l'apprennent du Talmud. Dans ce livre -- l'autorité la plus révérée de la religion juive -- le Christ est décrit comme un bâtard et Marie comme une prostituée. Il permet aux juifs de tromper les gentils, de causer leur mort indirectement, et ils sont réellement encouragés à tuer les chrétiens. Le Talmud enseigne que la race humaine sera finalement rachetée seulement quand les juifs domineront les gentils dans un contrôle mondial.



Un tel livre de suprématie raciste est-il condamné par les juifs modernes ? À peine. Il demeure leur autorité la plus estimée. Halevi est explicite à propos du rôle du Talmud dans son éducation juive à New York. À son lycée, la Brooklyn Talmudic Academy, Halevi dit :



Les sujets comme la bible, l'histoire juive, et la philosophie rabbinique ont été enseignés, mais à contrecœur : Notre unique véritable éducation religieuse était le Talmud. (65)
Jeune homme, Halevi a expérimenté l'extrémisme radical du Rabbin Meir Kahane. À l'âge mûr, il revoit la haine fanatique de Kahane pour les gentils et il admet que son racisme était enraciné dans le Talmud lui-même.



J'ai tenté de me convaincre que la haine de Kahane serait compréhensible s'il était devenu fou suite à l'holocauste ou à l'isolement d'Israël. Mais Kahane sortait du rang non seulement par le sentiment mais aussi par la théologie. Il avait rassemblé les citations anti-gentils dispersées à travers les écrits religieux juifs et les lois rabbiniques destinés à maintenir à l'écart juifs et gentils, et les avait placées au cœur du Judaïsme -- pour Kahane, une religion de supériorité juive et d'assujettissement des gentils. Bien que guère traditionnelle, la théologie de Kahane était suffisamment identifiable comme, dans ses mots, " authentiquement juive ". Comme toujours, Kahane nous confrontait à une vérité insupportable au sujet de nous-mêmes. (182)
Comme Halevi le concède, les écritures les plus sacrées du Judaïsme autorisent le terrorisme violent que Kahane pratiquait contre des gentils innocents. Le Talmud et d'autres écrits rabbiniques incitent à la haine contre les gentils, ce qui permet aux juifs de massacrer impitoyablement les arabes, de trahir les USA par l'espionnage, et de démolir la civilisation étasunienne chrétienne à chaque occasion. La haine juive des valeurs et de l'influence chrétienne est une cause à l'origine de la laïcité anti-Christ aux USA. Les juifs de gauche s'assemblent pour soutenir l'état religieux d'Israël alors que dans le même temps ils dénoncent le droit à la prière des enfants étasuniens pendant leur déjeuner à l'école publique.



Il ne peut y avoir meilleur outil que l'holocauste pour les sionistes et les juifs de gauche. Halevi revient à cette outrance maintes et maintes fois comme à la source de ses plus profondes émotions juives.



L'holocauste a pris dans mon esprit la place que d'autre enfants donneraient à Dieu, une place à la fois impressionnante et intime. (19)
Halevi écrit se reposer avec son tefillin [boîtes pour la Torah, NDT] comme un jeune homme dans les matins ; ses moments religieux sacrés n'étaient pas dédiés à la prière à Dieu, mais à la communion imaginaire avec des " âmes juives ", celles qui ont péri dans l'holocauste et celles qui ont porté le tefillin tout au long des siècles.



Le livre de Halevi ne mentionne presque jamais Dieu, prouvant par ce silence que le judaïsme ne concerne pas Dieu mais le peuple juif. Cela n'a jamais été aussi vrai qu'à l'ère de l'industrie de l'holocauste, quand le Hollywood juif produit laborieusement un autre chant funèbre régulièrement en quelques mois.



Des gens qui allaient souvent à la synagogue de son enfance, Halevi écrit ça :



Dieu n'avait rien à faire de leur Judaïsme : ils préservaient les rituels du kedoshim, les martyres qui sont morts dans l'holocauste. Si leurs prières étaient saintes, c'est seulement parce que le kedoshim le leur avait dit. (27)
Comme note marginale intéressante, Halevi dit que l'holocauste était passablement inexprimé dans les films ou les écoles jusqu'à ce que " en 1961, l'holocauste soit soudainement apparu à la télévision" (21) avec le procès d'Eichmann.



C'est dans les années 60 que la puissance militaire d'Israël était ainsi révélée à la télévision, quand l'état religieux poussait ses frontières plus loin dans les terres arabes et qu'il démontrait sa mesure militaire dans le raz-de-marée de la Guerre des Six Jours. L'industrie de l'holocauste a réellement démarré en prise à ce moment, fournissant la propagande nécessaire pour justifier l'agression militaire israélienne. Les agneaux juifs en souffrance était amené au massacre dans des douzaines de livres et de films peu sincères qui ont aidé le monde à oublier le ravage quotidien des palestiniens par le loup militaire juif.



Cela a marché. Cela marche toujours aujourd'hui.



Halevi peut n'avoir plus grand chose de commun avec son extrémisme, mais les mêmes sources corrompues qui ont inspiré son activisme de jeunesse demeurent les guides de la communauté juive mondiale [la communauté Juive Orthodoxe, qui reconnaît ces faits et les dénonce, se bat pour être différenciée du Sionisme ; elle publie même des livres démontrant la collusion entre sionistes et nazis lors de la Deuxième Guerre Mondiale NDT].


Original : the PeopleVoice

Traduction de Pétrus Lombard

Lundi 25 Décembre 2006 - 00:00
Harmonie Grant
siryne
K
25 décembre 2006 22:48
Intéressant tout ça! De la littérature profondément antisémite, comme qui dirait!
V
26 décembre 2006 00:01
Citation
Kapka a écrit:
Intéressant tout ça! De la littérature profondément antisémite, comme qui dirait!

bien sur t'a lu les deux articles dans leur totalité ............

à ne point en douter
s
26 décembre 2006 05:20
La Conférence sur l'Holocauste, un test pour la liberté d'expression


La Conférence sur l'Holocauste, qui s'est tenue, la semaine dernière, à Téhéran, s'est transformée en un test, pour évaluer la liberté d'expression, en Occident. L'enseignant suédois, Yan Brenhov, qui avait participé à cette conférence, deux jours après son retour en Suède, a été licencié.


De même, l'ancien professeur d'Université, chercheur et écrivain français, Robert Faurisson, qui, lui aussi, avait participé à ladite conférence, est poursuivi, par le gouvernement français. La France figure parmi les 10 pays européens qui considèrent, comme un délit, toute remise en question de l'Holocauste et qui condamnent et mettent en prison les écrivains et tout ceux qui rejettent ou expriment des doutes sur son existence. Mais, en Suède, la remise en cause de l'Holocauste n'est pas un délit et le licenciement de l'enseignant suédois, qui a participé à la Conférence de l'Holocauste, n'est pas justifiable, même, selon les critères officiels de l'Occident. Dans ce droit fil, le Ministre français des A.E., Philippe Douste-Blazy, au cours de la réunion des membres du gouvernement avec le parlement, la semaine dernière, a déclaré que le gouvernement avait envisagé toutes les voies juridiques, pour poursuivre Faurisson. En 1995, après la première élection de Jacques Chirac à la magistrature suprême, celui-ci a reconnu la responsabilité de la France dans la déportation des Juifs dans les camps nazis. Ce geste de Chirac témoigne, clairement, de l'influence du lobby sioniste, au sein du gouvernement français. Les Etats européens, notamment, la Grande Bretagne, ont mis sur pied le régime illégal sioniste, dans les territoires islamiques palestiniens, afin, selon les hommes d'Etat occidentaux, de compenser une partie de la barbarie, exercée, par l'Occident, à l'encontre des Juifs. Mais, durant ces derniers jours, un groupe de chercheurs occidentaux a commencé à faire toute la lumière sur les réalités et à éliminer toutes les ambiguïtés qui planaient, encore, sur l'Holocauste, et tout cela, dans le but de révéler au monde entier que l'Holocauste était utilisé comme un instrument, afin de présenter les Sionistes comme des victimes de l'oppression. Ces personnes éprises de liberté s'attèlent à étudier et à réviser l'histoire, écrite, par les vainqueurs de la seconde guerre mondiale, afin de mettre au jour la vérité sur l'Holocauste. En tout état de cause, la révélation de la vraie nature de l'Holocauste n'est pas dans l'intérêt du régime sioniste, des Etats-Unis et de ses alliés européens, car, dans ce cas, on comprendra que le régime sioniste a imposé sa souveraineté, sur le territoire palestinien, afin d'agir en tant que levier et bras militaire de l'Occident, dans la région névralgique et hautement énergétique du Moyen-Orient.


Mardi 19 Décembre 2006 - 12:03
irib
C
26 décembre 2006 10:50
Citation
Kapka a écrit:
Intéressant tout ça! De la littérature profondément antisémite, comme qui dirait!

Et quelle est la personne qui a copié-collé ces pages sur ce forum?


Demain le Ku-Klux-Klan ou le White Power publiera ses bonnes pages sur l'"invasion musulmane de l'Occident".



Modifié 4 fois. Dernière modification le 26/12/06 10:53 par Cyril.
w
26 décembre 2006 11:06
Citation
Cyril a écrit:
Citation
Kapka a écrit:
Intéressant tout ça! De la littérature profondément antisémite, comme qui dirait!

Et quelle est la personne qui a copié-collé ces pages sur ce forum?


Demain le Ku-Klux-Klan ou le White Power publiera ses bonnes pages sur l'"invasion musulmane de l'Occident".

si pour toi c est ça etre antisemite, alors nous sommes tres nombreux a l etre. mais juste un petit rappel en passant, arabe juif aramein sont tous semites, faudrait songer a réouvrir ses cahiers du college.
C
26 décembre 2006 11:40
Citation
wahed mustapha a écrit:

si pour toi c est ça etre antisemite, alors nous sommes tres nombreux a l etre.

On sait depuis longtemps que l'antisémitisme n'est pas limité à l'extrême-droite. Les victimes du racisme deviennent parfois, hélas, aussi racistes que leurs oppresseurs.


Citation
a écrit:
mais juste un petit rappel en passant, arabe juif aramein sont tous semites, faudrait songer a réouvrir ses cahiers du college.

Sémite est un terme historique désignant un groupe de populations du Proche-Orient qui partageaient des langues, des religions et des cultures étroitement apparentées. On n'utilise actuellement que l'adjectif sémitique pour les langues correspondantes. Le nom Sémite n'est utilisé que par les livres d'histoire ancienne ou par les racistes occidentaux.
w
26 décembre 2006 12:12
Citation
Cyril a écrit:
Citation
wahed mustapha a écrit:

si pour toi c est ça etre antisemite, alors nous sommes tres nombreux a l etre.

On sait depuis longtemps que l'antisémitisme n'est pas limité à l'extrême-droite. Les victimes du racisme deviennent parfois, hélas, aussi racistes que leurs oppresseurs.


Citation
a écrit:
mais juste un petit rappel en passant, arabe juif aramein sont tous semites, faudrait songer a réouvrir ses cahiers du college.

Sémite est un terme historique désignant un groupe de populations du Proche-Orient qui partageaient des langues, des religions et des cultures étroitement apparentées. On n'utilise actuellement que l'adjectif sémitique pour les langues correspondantes. Le nom Sémite n'est utilisé que par les livres d'histoire ancienne ou par les racistes occidentaux.


oui les victimes d hier sont devenu les bourreaux du peuple palestiniens, tu as raison la dessus.
C
26 décembre 2006 17:57
Citation
wahed mustapha a écrit:
oui les victimes d hier sont devenu les bourreaux du peuple palestiniens, tu as raison la dessus.

Ma remarque "Les victimes du racisme deviennent parfois, hélas, aussi racistes que leurs oppresseurs" est valable pour tous les cas.
w
26 décembre 2006 18:38
Citation
Cyril a écrit:
Citation
wahed mustapha a écrit:
oui les victimes d hier sont devenu les bourreaux du peuple palestiniens, tu as raison la dessus.

Ma remarque "Les victimes du racisme deviennent parfois, hélas, aussi racistes que leurs oppresseurs" est valable pour tous les cas.

on voudrait t entendre t exprimer sur le cas aborder. a savoir les palestiniens paient pour des crimes qu ils n on t pas commis.
s
26 décembre 2006 23:24
c'est vrai, je suis intéressé aussi à t'entendre t'exprimer sur la tragedie palestinienne Cyril winking smiley
C
27 décembre 2006 09:29
Citation
sridina a écrit:
c'est vrai, je suis intéressé aussi à t'entendre t'exprimer sur la tragedie palestinienne Cyril winking smiley

Je me suis déjà exprimé souvent sur ce forum. La tragédie palestinienne est une tragédie, mais une tragédie minuscule à l'échelle de la terre, pour des territoires minuscules. Qu'est-ce que la Palestine comparée à d'autres territoires musulmans en guerre que sont la Tchétchénie, l'Iraq ou le Darfour?

Une population juive veut à tous prix occuper un territoire bien à elle entre le Jourdain et la Méditerranée en prétextant qu'elle était la seule à ne pas en avoir un.
Elle a commencé son processus d'installation sur sa "terre promise" au 19e siècle, et ce mouvement se continue encore aujourd'hui.

Seuls les habitants palestiniens de ce petit territoire résistent pied à pied à l'éviction progressive de leurs terres, sans qu'aucun pays voisin, ni un pays de la communauté internationale n'intervienne. Cela confirme mon opinion que pour la vaste majorité des pays il s'agit d'un conflit local, qui ne mérite même pas une intervention armée. C'est le temps qui se chargera de régler le problème lorsqu'il n'y aura plus de combattants.
w
27 décembre 2006 11:21
Citation
Cyril a écrit:
Citation
sridina a écrit:
c'est vrai, je suis intéressé aussi à t'entendre t'exprimer sur la tragedie palestinienne Cyril winking smiley

Je me suis déjà exprimé souvent sur ce forum. La tragédie palestinienne est une tragédie, mais une tragédie minuscule à l'échelle de la terre, pour des territoires minuscules. Qu'est-ce que la Palestine comparée à d'autres territoires musulmans en guerre que sont la Tchétchénie, l'Iraq ou le Darfour?

Une population juive veut à tous prix occuper un territoire bien à elle entre le Jourdain et la Méditerranée en prétextant qu'elle était la seule à ne pas en avoir un.
Elle a commencé son processus d'installation sur sa "terre promise" au 19e siècle, et ce mouvement se continue encore aujourd'hui.

Seuls les habitants palestiniens de ce petit territoire résistent pied à pied à l'éviction progressive de leurs terres, sans qu'aucun pays voisin, ni un pays de la communauté internationale n'intervienne. Cela confirme mon opinion que pour la vaste majorité des pays il s'agit d'un conflit local, qui ne mérite même pas une intervention armée. C'est le temps qui se chargera de régler le problème lorsqu'il n'y aura plus de combattants.

alors si la tragedie palestinienne et minuscule a tes yeux, les incidents qu on subit les juifs pendants quelques peties années ne meritent meme pas une plaque. en quoi la palestine est au juifs? parceque c est leur religion qui le dit? alors si demain un "nouveau prophete" arrive et dit l europe et la terre promise des africains, tu n y verrais aucune ojection????
C
27 décembre 2006 15:29
Citation
wahed mustapha a écrit:
alors si la tragedie palestinienne est minuscule a tes yeux

Ne modifie pas mes paroles. En soi toute tragédie n'est pas minuscule, même si elle n'a entrainé qu'une seule perte humaine. J'ai dit minuscule à l'échelle du monde.

Citation
a écrit:
en quoi la palestine est au juifs?

Demande le leur.

Citation
a écrit:
parceque c est leur religion qui le dit?

Tu connais donc la réponse qu'ils donnent. Une autre se trouve dans mon message précédent.

Citation
a écrit:
alors si demain un "nouveau prophete" arrive et dit l europe est la terre promise des africains, tu n y verrais aucune ojection????

La prétention juive sur la Palestine se base sur la Bible (à tort ou à raison) un livre saint bien connu.
Le nouveau prophète devra d'abord apporter des écritures qui soutiennent ses dires.
C
27 décembre 2006 15:43
"La prétention juive sur la Palestine se base sur la Bible (à tort ou à raison) un livre saint bien connu. "


C'est bien de souligner que le sionisme politique n'est au fond rien d'autre qu'une forme de fondamentalisme.
j
27 décembre 2006 17:02
simplement : à mort le sionnisme!
w
27 décembre 2006 17:09
Citation
Casasurseine a écrit:
"La prétention juive sur la Palestine se base sur la Bible (à tort ou à raison) un livre saint bien connu. "


C'est bien de souligner que le sionisme politique n'est au fond rien d'autre qu'une forme de fondamentalisme.


c est ce que je voulais entendre aussi. d apres la thora on peut aujourd hui (en fat depuis 60 ans meme) tuer pour voler une terre. alors c est la fete, il ne faudra plus s ettonner si "des musulmans tuent des juifs puisque vous comprenez que c ets ecrit dans le coran.
C
27 décembre 2006 17:18
Citation
jebly a écrit:
simplement : à mort le sionnisme!


Avec un N,sa fin sera plus rapidesmiling smiley
C
27 décembre 2006 17:23
Wahed:la réalité du sionisme,c'est pas celle expliquée à nos "potes" par l'autre pitre juifiste.
Malheureusement,le Français moyen est sous-informé et désinformé quand il s'agit d'expliquer le sionisme.On peut comprendre pourquoi:c'est une idéologie fondamentaliste,raciste et nauséabonde.
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