Citation
a écrit:
2006-2007, l'âge d'or du crédit à taux variable
L’âge d’or du crédit à taux variable c’était jusqu’à fin 2007. Le marché financier marocain était caractérisé à l’époque par une surliquidité, notamment chez les banques et les investisseurs institutionnels, et par une aisance financière du Trésor. Résultat, les indices de base du crédit à taux variable (les bons du Trésor à 10 et 15 ans) étaient au plus bas, rendant ce financement très intéressant. Par exemple, entre 2006 et 2007, les mensualités de prêts à taux variable ont baissé de plus de 10%. Il faut dire qu’un minimum historique de 5,07% d’intérêt a été relevé sur la période. Cela a fait que les clients ont afflué en masse vers cette formule de crédit. En 2007, elle pesait 49% de l’encours de crédits immobiliers. Mais, depuis, le vent a tourné. Le crédit à taux variable s’est mis à être plus cher à partir de 2010 du fait d’un besoin renouvelé du Trésor d’emprunter sur le long terme. Même avec l’introduction du nouveau système d’indexation pour ce type de crédit, le risque que son coût continue d’augmenter persiste. Le nouvel indice de base, le taux moyen pondéré interbancaire, est susceptible de fluctuer pour plusieurs raisons, quand par exemple les grandes entreprises à actionnariat étranger procèdent à la distribution de leurs dividendes, du fait de l’aggravation du déficit commercial du pays ou encore en raison de l’inflation. Quand on sait en plus que les banques ne font profiter les clients des baisses des taux variable qu’au- delà d’un certain retrait de l’indice de base, ou que cela peut encore être entravé par des défaillances techniques plus courantes qu’on ne le croit, la balance penche nettement pour le taux fixe actuellement.]
Une vraie performance de yogi: Le mort qui s'étouffe.Citation
Rastapopûlos II a écrit:
Personne pour corriger cet ignare...
Le forum n'est plus ce qu'il était. On peut y débiter des âneries sans risque.
Actualisation...Mort de rire.
Tontine...Je m'étouffe...
Citation
a écrit:
Il faut ajouter que, comme à chaque fois qu'il y a des pigeons activistes, les financiers "islamiques" se gavent et s'engraissent grâce aux pigeons qui y croient