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Toute l'actualité sur le Sahara marocain
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12 juin 2006 10:50
La tribu «Oulad Tidrarine» célèbre à Laâyoune le retour de Cheikh Ould M'birik

11.06.2006 | 18h22


La tribu "Oulad Tidrarine" a organisé, dimanche à Laâyoune, une grande fête pour exprimer son bonheur du retour, récemment à la mère patrie, de Mohamed Ahmed Ben Omar Ould M'birik, l'un des chioukhs du "polisario" ayant participé à l'opération d'identification des tribus sahraouies.

Plusieurs membres de la tribu ont exprimé leur immense joie en accueillant Cheikh Ould M'birik qui a mis un terme à de longues années d'exil et d'éloignement dans les camps de Tindouf, dans le Sud de l'Algérie, qui sont le théâtre de nombreux drames, de répression et de souffrances.

Dans une déclaration à la presse locale, Cheikh Ould M'birik a affirmé ressentir une grande joie en retrouvant les membres de sa famille dans la ville de Laâyoune après plus de trente années de séparation.

Il a souligné que la situation dans les camps de Tindouf est des plus dramatiques : la vie y est de plus en plus insupportable en raison de conditions climatiques invivables, une nature rude et de comportements inhumains.
"Il n'y a aucune liberté et la situation est des plus catastrophiques", a-t-il dit, lançant un appel à tous les séquestrés des camps de Tindouf à rallier la mère patrie pour contribuer à son essor et mettre un terme à leur calvaire.

Le projet d'autonomie des provinces du Sud est "une proposition viable et positive pour l'ensemble des Sahraouis", a-t-il affirmé, ajoutant que pareille initiative est capable de mettre fin, de façon définitive, à la question du Sahara qui a trop duré. L'épouse de Cheikh Ould M'birik, Mme Izzana Bent Yahdih, s'est dite heureuse de la décision de son mari de répondre à l'appel "La patrie est clémente et miséricordieuse".

Mme Bent Yahdih avait regagné la mère patrie en 1995 en compagnie de ses enfants, après avoir passé 20 ans dans les camps de Tindouf.

L'épouse de Cheikh Ould M'birik a enfin appelé l'ensemble des égarés à revenir à la raison, à mettre un terme à la politique de mystification dont ils sont victimes et à rejoindre leur patrie.





lematin.ma.
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12 juin 2006 13:43
Puisse Dieu libérer tous les séquestrés de Tindouf..
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12 juin 2006 19:32
Les Marocains de Lanzarote condamnent la répression brutale dans les camps de Tindouf
LANZAROTE (CANARIES) (MAP) - Les membres de la communauté marocaine établie dans l'île canarienne de Lanzarote ont organisé, dimanche un sit-in, pour dénoncer la répression brutale par le ""polisario"" du soulèvement pacifique des séquestrés des camps de Tindouf, enclenché le 29 mai dernier, ainsi que les violations flagrantes par les séparatistes des droits humains dans ces camps.
Plusieurs Marocains et aussi des citoyens canariens se sont donnés rendez-vous ce dimanche dans une place située à la ""Palaya blanca"", à Lanzarote, portant des drapeaux marocains et brandissant des banderoles dénonçant la répression dont est victime la population séquestrée dans les camps de Tindouf.


Au cours de cette concentration, initiée par l'Association locale ""Al Wahda al Maghibiya"", les manifestants ont scandé des slogans appuyant l'initiative royale d'accorder l'autonomie aux provinces du sud, sous souverainté marocaine et appelant à mettre fin à la tragédie véçue par les séquestrés des camps de Tindouf (sud-ouest de l'Algérie).

""Vive SM le Roi Mohammed VI"", ""Oui à l'Autonomie"", ""Non au séparatisme"", ""Le sahara est marocain et le restera toujours"", ""oui à l'Unité territoriale"" et ""Liberté pour tous les séquestrés dans les camps de Tindouf"", scandaient les participants à cette manifestation, la première du genre à être organisée dans cette île, où vit une grande communauté marocaine notamment des provinces du sud.

Dans une déclaration à MAP-Las Palmas, M. El Oili Astifate, Président de l'Association ""Al Wahda Al Maghribya"", a exprimé la solidarité totale des membres de la Communauté marocaine de Lanzarote avec les populations séquestrées à Tindouf, qui vivent dans une situation inhumaine, et appelé la communauté internationale et les organisations des droits de l'homme à intervenir d'urgence pour lever le siège imposé à ""nos frères sahraouis dans le territoire algérien"".
Publié le: 11/06/2006 à 20:37:39 GMT Source : MAP atlas vista
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13 juin 2006 16:52
Actualité (Mardi 13 Juin 2006)


Le président Sahraoui durcit le ton
Mohamed Abdelaziz : “Pas d’UMA sans l’indépendance du Sahara occidental”
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Le chef du Front Polisario affirme que tant que la question du Sahara occidental restera en suspens, il sera hors de question de parler de l’Union du Maghreb arabe.

Intervenant à l’occasion de la célébration d’une rencontre des Sahraouis établis à l’étranger à Oughouinit dans le sud du Sahara occidental, le président de la République arabe sahraouie démocratique, a haussé le ton de son discours quant au règlement du conflit. Désormais, Mohamed Abdelaziz lie l’avenir du Maghreb à l’indépendance de son pays. Selon lui, “le rêve de tous les peuples de la région ne se concrétisera que si le Sahara occidental obtient son indépendance”. Le secrétaire général du Polisario a ajouté : “Viendra le jour où se bâtira l’espace maghrébin, mais avec un État sahraoui indépendant.” Il a également indiqué que la “future république sahraouie indépendante est disposée à adhérer à l’UMA, où chaque membre respectera l’autre”.
Il s’agit là d’un changement radical dans la vision du responsable sahraoui, qui se limitait jusque-là à dire que le règlement de la question se fera dans le cadre de la construction du Maghreb. Interrogé sur l’éventualité d’une reprise de l’action armée dans le cadre de la lutte contre l’occupant marocain, Mohamed Abdelaziz n’a pas fourni de réponse claire à ce sujet. Il n’a cependant pas écarté totalement cette possibilité en déclarant : “Le peuple sahraoui a le droit de recourir à tous les moyens légaux pour arracher son indépendance, y compris un retour au combat armé.” Il précisera que “la poursuite de la lutte se fera jusqu’à ce que la monarchie marocaine plie et accepte la légalité internationale, notamment les résolutions des Nations unies sur l’indépendance du Sahara occidental”. Le président de la RASD a saisi une nouvelle fois l’occasion pour rejeter catégoriquement le projet d’autonomie préconisé par le roi du Maroc, en affirmant que l’initiative trouvait son origine à Paris. Il a également révélé que Rabat multiplie les initiatives ces derniers temps dans la perspective de son retour au sein de l’Union africaine, qu’elle a quitté depuis plus de deux décennies maintenant signe de protestation suite à l’adhésion de la République arabe sahraouie démocratique avec l’aval de la majorité des membres de l’instance continentale.
Dans ce cadre, le chef du Front Polisario a déclaré : “Ce retour est tributaire de sa reconnaissance du Sahara occidental et de son droit à l’indépendance et de sa qualité de membre de l’instance continentale.” Il a conclu son intervention en disant : “Le royaume marocain ne veut pas le bien de l’Afrique, et sa requête pour réintégrer l’Union africaine, n’est en fait qu’une manœuvre ayant pour objectif de déstabiliser cette instance, qui a réussi d’excellents résultats sur le terrain.” À travers son nouveau discours, Mohamed Abdelaziz répond à la monarchie chérifienne qui refuse toute autre solution que celle qu’elle propose.
Fort de la légalité internationale, concrétisée par les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU qui reconnaissent au peuple sahraoui son droit à l’autodétermination, le premier responsable de la RASD affiche sa détermination à aller jusqu’au bout de son combat de libération.

K. ABDELKAMEL



liberté(algérie)
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13 juin 2006 16:58
Normalement le mot combat, c'est pour les causes justes..
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13 juin 2006 18:06
l'UMA avec l'algerie? ON A PLUS CONFIANCE EN ALGERIE
IL ONT FAIT PACTE AVEC LES DIABLES (ALMARRAKCHI ET SA BANDE) pour contrarier leurs freres marocains
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13 juin 2006 21:19
Nouvelle provocation du Polisario

Après Tifariti, en février dernier, le Polisario a de nouveau violé le cessez-le-feu avec des festivités dans la localité marocaine d’Aghouinit près de la frontière avec la Mauritanie. Le Maroc n'a pas encore réagi à cette nouvelle provocation.


Après les "festivités" de Tifariti en février dernier, le Polisario choisit de nouveau la provocation en s'emparant de la localité d’Aghouinit près de la frontière avec la Mauritanie pour y célébrer ce que les amis de Mohamed Abdelaziz appellent la "journée du martyr".
Jeudi et vendredi derniers, avec la complicité et le soutien des autorités algériennes, le Polisario a organisé, dans cette localité proche de Zouirate, un "défilé militaire" avec une quarantaine de blindés, selon des informations de l'Association le Sahara Marocain (ASM). Cette ONG affirme d'ailleurs que quatre desdits blindés sont tombés en panne durant le même défilé.
Selon la presse algérienne, qui a fait grand cas de cette nouvelle provocation, le Polisario a lancé plusieurs projets dans cette localité dont un hôpital financé par des fonds basques, une station de dessalement d'eau avec des budgets du gouvernement andalou, ainsi qu'une école et le "siège de la mairie".
Selon plusieurs sources d'information, le Polisario, comme c'est devenu une coutume chez les séparatistes, a déplacé les populations séquestrées des camps de Tindouf pour assister à cette "manifestation". L'ASM affirme, dans un communiqué, qu'il s'agit-là d'une nouvelle provocation du Polisario et de l'Algérie, mais surtout d'une tentative pour détourner l'attention de l'opinion publique internationale sur la situation qui prévaut dans les camps de Tindouf. Le Polisario, depuis la dernière semaine de mai 2006, avait de nouveau imposé un strict blocus aux camps après un soulèvement guidé par la tribu des "Laâyaycha" qui protestait contre les violences exercées contre les siens.
Aghouinit, commune rurale relevant d'Aousserd et située à près de 900 kilomètres de Tindouf, fait partie de la zone démilitarisée (comme Tifariti) suite au cessez-le-feu de 1991.
Le Maroc n'a pas encore réagi officiellement à cette nouvelle provocation comme il l'avait fait lors de l'incursion des polisariens dans la localité de Tifariti (commune rurale relevant de Smara).
Dans son dernier rapport au Conseil de sécurité de l'Onu, Kofi Annan avait cité cette incursion à Tifariti comme l'une des violations du cessez-le-feu commises par le Polisario et appelé au strict respect des dispositions de l'accord de septembre 1991.
Fin février 2006, et pour célébrer le 30ème anniversaire de la "RASD", la direction du Polisario avait érigé près de 4.000 tentes à Tifariti pour y héberger des centaines de familles déplacées de Tindouf pour l'occasion. Le Polisario prévoyait même la construction d'un "parlement" à Tifariti, aussi qu'une route reliant Tindouf et la Mauritanie via cette même zone.
Les accords, signés sous l'égide de l'ONU, stipulent que les "populations sahraouies réfugiées" devaient s'installer à l'intérieur de la frontière algérienne.




Le 13-6-2006
Par : Mohamed Boudarham
aujourd'hui le maroc
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13 juin 2006 21:27
L'organisation Moroccan Congress of USA saisit le SG de l'ONU au sujet de la répression dans les camps de Tindouf
New York, 13/06/06 -L'organisation Moroccan Congress of USA a annoncé, lundi, avoir saisi, le Secrétaire Général des Nations Unies, M.Kofi Annan au sujet de la répression perpétrée par le "Polisario" dans les camps de Tindouf, au sud-ouest algérien.

Dans une lettre adressée à M. Annan, l'organisation a fait part de la "profonde inquiétude" des Marocains établis aux USA vis-à-vis des sérieuses violations des droits de l'homme commises par le "Polisario" appuyé par le gouvernement algérien dans les camps de Tindouf, indiquant que la population dans ces camps est dans "une situation critique" à cause de la répression.

Après avoir relevé que la population des camps est torturé pour la simple raison d'avoir exprimé son opposition d'une manière pacifique, Moroccan Congress of USA a souligné que ces violations devraient faire l'objet d'investigations et que le gouvernement algérien et le Polisario doivent répondre de ces pratiques.

L'organisation a rappelé que le Maroc "coopère pleinement avec l'ONU pour parvenir à une solution politique à la question du Sahara" dan le cadre d'une large autonomie, tandis que le gouvernement algérien entrave toute solution à ce problème et tous les efforts pour réaliser cet objectif, citant à cet égard l'annulation injustifiée de la visite d'une délégation du Haut Commissariat aux Réfugiés en Algérie et du programme d'échange des visites entre les familles, confirmant la réticence d'Alger de résoudre ce conflit.

"Les peuples marocain et algérien partagent les mêmes valeurs, cultures, langue et religion, et ne permettront jamais au gouvernement algérien ni au Polisario de mettre en péril l'opportunité pour toute la région de vivre dans la paix et la prospérité", conclut le message.


map.
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14 juin 2006 03:19
Bonne chance pour l'UMA si c'est comme ca, ils peuvent remplacer Rabat par Tindouf s'ils le desirent.
l
14 juin 2006 09:49
si l'UMA pouvait se faire sans le Maroc (je pense aux autres pays qlq soit leur nombre) elle aurait franchi depuis plusieurs étapes ,seulement l'obstacle majeur à cette édification n'est pas le Maroc ni meme le Sahara (le Maroc coopére avec l'Espagne et la Mauritanie malgré ce problème)l'obstacle c'est l'Algérie elle n'arrive pas à batir quoique ce soit avec ses voisins. Denièrement elle essaye de faire l'intermédiaire entre les révoltés Touareg et le Mali ......? Quelle mouche l'a donc piqué pourqoui n'essayerait pas de jouer ce role entre le Maroc et les saharaouis de Tindouf........?Pourquoi ne demanderait-elle pas un referendum d'autodetermination d'indépendance pour les Touareg? ...Ne risque-t-il pas de se bruler celui qui joue avec le feu?
f
14 juin 2006 13:54
Le Maroc compte ses soutiens

A l’heure où le Maroc pratique la répression et la manipulation dans le Sahara Occidentale, Ramon Pérez-Maura, journaliste chez ABC, tente d’apporter son soutien au royaume en invitant le gourverment espagnol à changer de stratégie.
mardi 26 juillet 2005.

Le Maroc devrait respecter le souhait du peuple du Sahara Occidental d’organiser un référendum d’auto-détermination.
Le journaliste Ramon Pérez-Maura, ami du Maroc, estime que "Le meilleur intérêt pour l’Espagne est de donner une sortie raisonnable à la question sahraouie : un Etat qui n’est pas viable devrait être remplacé par la plus large autonomie possible sous le dais de la monarchie marocaine".

Il ajoute que le ministre espagnol des Affaires étrangères ne fait pas assez pour aider à trouver une solution au conflit entre le Maroc et le Sahara Occidental : "Celui qui est le mieux placé pour maîtriser ce sujet, Miguel Angel Moratinos, a agi d’une manière tout à fait inadéquate".

Le journal ABC s’en prend à ce qu’il considère comme une "campagne d’harcèlement" qui vise le Maroc depuis plusieurs semaines au sujet de la question du Sahara Occidental, avec un défilé de missions espagnoles pro-polisario qui veulent, selon leurs promoteurs, enquêter sur les violations des droits de l’homme au Sahara.

Le rédacteur d’ABC ajoute : "Durant les dernières semaines, on a utilisé la question sahraouie comme moyen pour mortifier le voisin. Un effort gratuit".

ABC approuve la proposition du Maroc pour une autonomie au Sahara Occidental sous la souveraineté marocaine comme solution à ce conflit, qui dure depuis 30 ans, soulignant non sans humour que le Royaume est le pays le plus proche de la démocratie occidentale, parmi les pays membres de l’Union du Maghreb Arabe (UMA).

Il ajoute : "Au bénéfice de tous, c’est le Maroc, l’Etat qui s’approche le plus même s’il est encore loin de la démocratie parmi les cinq pays qui forment l’Union du Maghreb Arabe, qui avance sur la même voie".

Et conclut : "C’est le régime marocain, parmi ses pairs, qui a fait le plus de pas en direction de la démocratie occidentale. Nous pouvons tout dynamiter ou appuyer ceux qui évoluent vers la direction la plus adéquate".

A l’évidence, le journal espagnol ABC préfère servir l’agenda du Maroc en oubliant que la communauté internationale dans sa majorité, continue d’exiger que soit respectée la liberté d’expression de la population au Sahara Occidental et que seule une solution ONUsienne est à même de mettre fin au conflit que le Maroc persiste à vouloir manipuler à sa guise.

Synthèse de Mourad, algerie-dz.com
Avec agences
f
14 juin 2006 13:59
Des tracts pour dénoncer Mohamed Abdelaziz

Sahara occidental
Des tracts hostiles au chef des séparatistes sahraouis, Mohamed Abdelaziz, ont été distribués dans la nuit du jeudi au vendredi dernier par des dissidents, membres du mouvement la “ Ligne du martyr ”.

Des tracts hostiles au chef des séparatistes sahraouis, Mohamed Abdelaziz, ont été distribués dans la nuit du jeudi au vendredi dernier par des dissidents, membres du mouvement la “ Ligne du martyr ”. L’information a été donnée dans un communiqué émanant de l’Association de défense des séquestrés de Tindouf (ADESETI). Ces tracts traduisent le ras-le-bol des séquestrés des camps de Tindouf qui dénoncent l’instabilité qui y règne. Ils appellent par ailleurs au retour des populations (à la mère patrie) sur la base de la réconciliation
“ Oui au retour à la patrie avec dignité, non au séjour indéfini à Lahmada ”, “ renforçons l’intifada par la reforme et la justice ”, “ trente ans de pouvoir absolu, mal absolu ”, l’alternance au pouvoir, meilleure méthode civilisationnelle de gestion ”… Tels sont les slogans qu’on pouvait lire sur les tracts.
Les camps de Tindouf sont le théâtre, depuis le 30 mai, d’un large soulèvement des populations qui protestent contre la répression, dite sauvage, d’une manifestation déclenchée après l’arrestation et la torture d’un opposant à la direction du “ Polisario ”.

Louis B. Parfait


fraternite matin(cote d'ivoire)
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14 juin 2006 14:07
moi je pense que rien ne va plus ou plus tres bien entre l'algerie et la rasd.Tous porte a croire que la rasd pourrait se retourné contre son principale allié l'algérie et ce vanger contre elle, pour toute cette mascarade préparé et monté uniquement dans l'interet de l'algerie la rasd commence a ouvrir les yeux et garre a l'algerie( son bébé craque il a fin alors...).
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14 juin 2006 17:58
Aminatou Haidar appelle le Maroc à mettre fin à la violence et à la persécution des populations sahraouies

Rome - La militante sahraouie des droits de l'homme Aminatou Haidar a appelé le Maroc à mettre un terme à la violence et aux persécutions des populations sahraouies dans les territoires occupés et réaffirmé les revendications et la lutte pacifique du peuple sahraoui pour son indépendance.
[Aps 14/6/06]

aps(algerie).
b
14 juin 2006 18:00
N'importe quoi cette aminatou de quelle percecution elle parle et de quelle independance. les sahraoui n ont jamais demander d'independance.
l
15 juin 2006 10:21
lutte pacifique .........le commandanté El marrak ché fait des défilés militaires sur toutes les dunes......n'importe quoi Aminatou.fais un éffort et viens voir Laayoune ou tout simplement regarde TV Laayoune.
b
15 juin 2006 11:01
tous les prisonniers sahraoui on été libéré des prisons marocaine, logiquement y en a plus.
Alors l'aps!! tes information c'est de la désinformation.










L'état de santé des prisonniers politiques sahraouis au Maroc inquiète des Ong des droits de l'homme


Rabat - L'association marocaine de défense des droits humains (AMDH) a exprimé mercredi son "'inquiétude devant la détérioration de l'état de santé" des prisonniers politiques sahraouis en grève de la faim dans les prisons marocaines, et a appelé à la fin de la violations des droits de l'homme au Sahara Occidental. L'Ong marocaine a indiqué, dans un communiqué de son bureau central, "être inquiète de l'état de santé et de la vie des prisonniers politiques sahraouis, en grève de la faim, dans les prisons d'Aït-Melloul et d'Inzekane".
[Aps 14/6/06]

aps(algerie).
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15 juin 2006 13:07
Une ONG US tient l'Algérie pour responsable de la situation prévalant dans les camps de Tindouf

Washington, 15/06/06 - Un responsable du Comité américain pour les réfugiés et les immigrants (USCRI) a tenu l'Algérie pour responsable de la situation prévalant dans les camps de Tindouf, au sud-ouest de l'Algérie, soulignant que ce problème mérite davantage d'attention.

M. Merrill Smith, qui a contribué à l'élaboration de l'étude de l'USCRI, rendue publique mercredi sous le titre: "World Refugee Survey 2006 : Risks and rights", a déploré le fait que l'Algérie n'ait pas répondu aux appels qui lui ont été lancés concernant la fermeture des camps de Tindouf où des milliers de personnes sont confinées depuis une trentaine d'années.

Le Comité a en effet interpellé l'Algérie, dans plusieurs de ses rapports et études, au sujet des conditions déplorables dans lesquelles vivent les populations sahraouies séquestrées dans les camps de Tindouf par le "polisario", avec l'aval d'Alger, et l'avait appelé en mars dernier à fermer ces camps à la suite des inondations ayant aggravé le calvaire enduré par les populations.

"Nous n'avons reçu aucune réponse'' à cet appel de la part de l'Algérie, a déploré M. Merrill Smith, dans une déclaration à MAP-Washington .

M. Smith, qui a expliqué que l'USCRI essaie toujours de travailler avec "la société civile des pays abritant des réfugiés", étant convaincu de l'importance d'une telle solidarité, a indiqué que le Comité a tenté d'entrer en contact avec la société civile algérienne mais que cela n'a pas été possible en raison de "l'environnement restrictif sur le plan politique", qui prévaut dans ce pays.

"Si certains imputent la responsabilité de la situation prévalant dans les camps de Tindouf au "polisario" puisque c'est lui qui gère ces camps, le Comité américain pour les réfugiés et les immigrants tient l'Algérie pour responsable de cette situation", a-t-il poursuivi.

"C'est un territoire algérien et l'Algérie est responsable des réfugiés se trouvant sur son territoire'', a affirmé le responsable de l'USCRI. Le Comité a en outre épinglé l'Algérie pour le traitement réservé aux populations des camps de Tindouf en les privant du droit à la liberté de mouvement, au travail ou à la propriété.

Le Comité note, d'autre part, que ceux parmi les séquestrés qui "parviennent à quitter les camps, sans autorisation, sont souvent appréhendés par les militaires algériens et remis aux responsables du +polisario+ avec lesquels ils coopèrent étroitement".

L'USCRI, créé en 1911, s'est fixé comme mission la protection des réfugiés, l'aide des immigrants et la défense de leurs libertés.


map.
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15 juin 2006 16:05
Un organisme américain épingle l'Algérie pour le traitement réservé aux populations des camps de Tindouf

Washington, 15/06/06- Un organisme américain a épinglé l'Algérie pour le traitement réservé aux populations des camps de Tindouf qui sont confinées dans des régions désertiques et qui n'ont droit ni à la liberté de mouvement, ni au travail ni à la propriété.

Le gouvernement algérien a permis au "polisario" de confiner plusieurs milliers de réfugiés du Sahara dans quatre camps dans des régions désertiques, a souligné le Comité américain pour les réfugiés et les immigrants (USCRI), dans une étude rendue publique mercredi.

Dans cette étude intitulée ''World Refugee Survey 2006 : Risks and Rights'' (enquête mondiale sur les réfugiés 2006 : risques et droits), le comité, se référant à Amnesty International, souligne que cette population ne jouit pas du droit à la liberté de mouvement dans les camps situés en territoire algérien et que ceux qui ''parviennent à quitter les camps, sans autorisation, sont souvent appréhendés par les militaires algériens et remis aux responsables du +polisario+''.

L'étude ajoute que des points de contrôle érigés par le "polisario" entourent les camps et que les militaires algériens montent la garde à l'entrée de Tindouf.

L'étude a également relevé que les réfugiés dans les camps n'ont le droit de s'adonner à aucune activité lucrative, critiquant à cet égard les lois algériennes qui limitent de façon draconienne le droit des étrangers au travail, indiquant que les contrevenants peuvent être condamnés à des amendes et/ou à des peines d'emprisonnement.

Le document rappelle que la loi de 1990 relative au travail qui a reconduit les dispositions sur le travail des étrangers dans le pays, ne comporte pas d'exception pour les réfugiés et qu'un décret a institué en janvier des bureaux régionaux d'inspection du travail chargés d'appliquer les lois sur le travail des étrangers et de sévir ''contre toute forme de travail illégal''.

Les seuls étrangers non-qualifiés autorisés par la loi à travailler dans le pays sont ceux ayant le statut de ''réfugié politique''.

Les populations Sahraouies sont confinées dans des régions désertiques entourant Tindouf où elles ne peuvent entreprendre aucune activité génératrice de revenus, à l'exception de l'élevage caprin et ovin, note l'étude de l'USCRI, précisant que ces populations n'ont pas, non plus, droit à la propriété et ne sont autorisées à posséder que des chèvres et des moutons.

L'étude note que les personnes confinées dans les camps de Tindouf dépendent presque exclusivement de l'assistance internationale fournie par des instances comme le Haut Commissariat aux Réfugiés (HCR) ou le Programme Alimentaire Mondiale (PAM) qui considèrent la majorité de ces personnes comme ''des plus vulnérables''.

L'USCRI qui s'est fixé depuis 1911 comme mission la protection des réfugiés, l'aide des immigrants et la défense des libertés, avait appelé en mars dernier l'Algérie à fermer les camps de Tindouf à la suite des inondations qui avaient ravagé ces camps, aggravant ainsi le calvaire enduré par les populations ''confinées dans les camps par le +polisario+, avec l'aval de l'Algérie''.

L'ONG américaine, par la voix de sa présidente, Mme Lavinia Limon, avait alors insisté que l'envoi de l'aide internationale aux camps de Tindouf ''n'est pas la solution'' et que ''l'Algérie devrait fermer ces camps''.



map.
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15 juin 2006 16:06
Un groupe de 48 Marocains ex-détenus civils à Tindouf compte porter plainte contre l'Etat algérien
Madrid, 15/06/06 - Un groupe de 48 Marocains qui étaient détenus à Tindouf sur le territoire algérien, pendant plus d'un quart de siècle pour certains d'entre eux, portera plainte contre l'Etat algérien pour "enlèvement, séquestration, détention illégale et torture" devant des juridictions internationales et de certains pays, a appris jeudi la MAP auprès du collectif.

Tous membres de l'Association le Sahara Marocain (ASM), les 48 ex-détenus civils exigent des "réparations financières et des excuses officielles de l'Etat algérien" pour sa responsabilité dans la violation de leurs droits sur son territoire.

Le collectif des 48 ex-détenus assure que plusieurs d'entre eux ont été enlevés vers la fin des années 70 et durant les années 80 en plein territoire marocain, alors qu'ils vaquaient à leurs occupations quotidiennes comme agriculteurs ou simples ouvriers.

Soutenus par des avocats de différents pays, les ex-détenus affirment qu'ils ont été "victimes de graves violations des droits humains commises à leur encontre par les militaires algériens qui les ont torturés dans des casernes aux alentours d'Alger avant de les transférer au Sahara algérien où ils ont vécu de véritables horreurs".

"Durant leur détention illégale, et depuis la fin des années 90 ils ont été visités deux fois par an par le CICR qui a pu constater comme la Fondation Danielle Mitterand et d'autres organisations internationales leurs horribles conditions aussi bien morales que physiques et demandé leur libération immédiate", rappelle l'ASM dans un communiqué.

L'Association prépare une tournée dans plusieurs pays européens et aux Etats Unis pour sensibiliser l'opinion internationale et les responsables gouvernementaux à la situation de ces victimes de l'Etat algérien et pour demander à ce que justice leur soit rendue.


map.
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