victimedetoi a écrit: ------------------------------------------------------- > Bass a écrit: > > > > tu crois k'il a ek ça a faire?? > > > > ça se trouve il sait meme plus que tu > existes > > > > vis ta vie > > > > ben avec tout ce que j'ai raconté tu persistes a > dire "tu crois qu'il a que ça a faire" c'est que > ta rien pigé ... >
vous creez la propre ***** dans lekel vous nagez
tu n'es pas la seule
mais chacun ici ce met dans le petrin, pour ensuite se plaindre
comportez comme des adultes responsables, pour une fois et gardez la tete haute
Bass a écrit: ------------------------------------------------------- > victimedetoi a écrit: > -------------------------------------------------- > ----- > > Bass a écrit: > > > > > > > tu crois k'il a ek ça a faire?? > > > > > > ça se trouve il sait meme plus que tu > > existes > > > > > > vis ta vie > > > > > > > ben avec tout ce que j'ai raconté tu > persistes a > > dire "tu crois qu'il a que ça a faire" c'est > que > > ta rien pigé ... > > > > > vous creez la propre ***** dans lekel vous nagez > > tu n'es pas la seule > > mais chacun ici ce met dans le petrin, pour > ensuite se plaindre > > comportez comme des adultes responsables, pour une > fois et gardez la tete haute > > plus rien ne m'etonne
Habité de sanglots, l'Amour se dépitait. Dépourvu du bonheur, il priait l'au-delà Adressant tous ses maux à ce Dieu infondé. De larmes en torpeur, dûment il s'irritA.
Auxiliaire de vie, la Haine le toisait, Nourrissant en ses yeux, que conflit optimum. Le prononçant "maudit", d'injures satanées, Elle le voulait gueux, réduit au minimuM.
Inexorablement, tous deux se détestaient. De coups et de lésions, ils se frappaient de mots, Déclarant tristement une guerre insensée Aux sentiments féconds, d'offenses en duO.
Nébuleux en son corps, l'Amour agonisait... Noyée dans les larmes, la Haine fut repue Lorsqu'elle vit la Mort rafler son traitre aimé. Elle baissa les armes. Elle l'avait perdU.
Emplie d'amertume, dépossédée de lui, Elle défiait le temps, insultait les jours. Sentiments posthumes définissaient sa vie.. Le trépas provoqué... Elle devint l'AmouR.
S’il te plait pardonne moi Si je perds lentement ma raison Si j’ai emprunté la voie Des sentiments, de la passion
Mais ne suis-je pas poète après tout Et si ma mémoire est encore bonne Beaucoup sont devenus fous Alors que l’on me pardonne
Je suis fou sans aucun doute Et grand nombre ont choisi cette route Mais ne va pas confondre la folie Avec une horrible maladie
Car si je n’ai plus toute ma raison Si on me dit fou, parce que je reste moi Il faut savoir faire la distinction Je suis sans doute fou, mais fou de toi
siryne a écrit: ------------------------------------------------------- > Mais je sais Atchoum que c'est des decoupages !!! > hihi > > Tu as bien decouper c'est ce que je veus dire ! > hihi > > siryne
loooolll bah oui et le coulage dans tout caaaaa hein le decoupage coulage ,affichage ti croit si pas di kheedmaa caa lol
siryne a écrit: ------------------------------------------------------- > Mais j'ai rien dis de mal , ya Atchoum el mahboul > , > > Je t'ai dit meme bravo !!! > > Pffff , tu es fou toi !!! hihi > > siryne
Si profondément enfoui dans les méandres de mon désespoir, Ce sentiment de vide qui m’étreint un peu plus chaque soir, Le mur qui s’épaissit encore et toujours, m’isolant d’avantage, Ces rêves d’amours qui me fuient comme de futiles bavardages.
L’araignée qui tisse ce voile toujours plus sur mon cœur, La flamme en lui qui ne brille plus que d’une si faible lueur, Ma main qui tremble et se refuse à faire ce dernier geste, Celui qui abrégerait cette lente agonie d’un avenir de miettes et de restes.
L’infime espoir qui gémit encore perdu dans son quelque part, Cet ange salvateur qui poserait sur moi son doux regard, Cette corde suffisamment longue qui plongerait au fond de mes enfers, La force de m’y agripper pour ne pas tomber plus bas que terre.
Moi qui en arrive à ne plus croire que le simple fait de naître, Que pour cette longue sentence d’une solitude encrée à votre être, Le mal en mon cœur qui ne s’apaise et s’écoule en mes veines, Reste pourtant blottit en moi tout cet amour qui pleure et saigne.
L’étoile solitaire aux vastes étincelles Emerveille de joie, ses nombreux spectateurs. Son immense clarté se fait en leurs prunelles, La divine atonie qui comble les rêveurs.
Elle est fragile fleur, comme une fille en pleurs, L’étoile solitaire aux vastes étincelles, La divine atonie qui comble les rêveurs, A qui l’on donnerait de terribles nouvelles.
Quand elle est regardée par de nigauds rebelles, Elle est fragile fleur, comme une fille en pleurs, A qui l’on donnerait de terribles nouvelles Qui l’insultent des yeux, engendrent ses malheurs.
Donc, elle devient triste, enchante moins les cœurs. Quand elle est regardée par de nigauds rebelles, Qui l’insultent des yeux, engendrent ses malheurs, L’étoile solitaire éteint ses étincelles.
je me promenais pres des lacs de yabi et je fis la rencontre de bambi jolie princesse de casablanca elle me rappele les dunes du sahara sable doux et chaud du desert je croyais voir de loi une vipere mais que vois-je aussi loin un ane ? Ce n'etait que le mirage de radouane
victimedetoi a écrit: ------------------------------------------------------- > > merci pour les poemes c magnifik > > mais bon ...voici mon poeme il est tres court > > > > je me promenais pres des lacs de yabi > et je fis la rencontre de bambi > jolie princesse de casablanca > elle me rappele les dunes du sahara > sable doux et chaud du desert > je croyais voir de loi une vipere > mais que vois-je aussi loin un ane ? > Ce n'etait que le mirage de radouane > > > mdrrrrrr >