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Summertime a écrit:
Bah j'avais le choix tantôt c'était le nez, d'autres fois la gorge et d'autres fois encore les oreilles.
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Ithran☆ a écrit:
Elle a dû se rendre compte que t'étais le malade imaginaire mdr
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Cryxus a écrit:
Il faut te reprendre si un simple regard te fait vasciller tu vas droit vers la catastrophe...
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LeFeuFollet a écrit:
Surement mon inexpérience je pense. Il suffit d'un rien, un seul regard et c'est bon je deviens fou amoureux, j'idéalise la personne et ça vire à l'obsession.
Une caissière ce matin bref... Ça me rend terriblement malheureux en même temps.
Je sais pas c'est le bordel dans ma tête.
Qu'est-ce qui cloche chez moi ??!
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LeFeuFollet a écrit:
Dépendant affectif j'ai vite fait vu sur le net... Mais j'ai honte d'être comme ça, c'est pas normal sérieux un truc cloche chez moi.
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Maaryaãm a écrit:
tu as de la chance, ton coeur est encore vif et tout frais il s'emporte pour rien, un jour tu connaîtra l'amour et tu ne sauras plus retomber amoureux pour rien
en attendant si tu es musulman, détourne le regard des femmes, car les yeux sont la porte du coeur, tu idéalise et ton coeur est très jeune par rapport à ton esprit c'est tout il faut savoir le gérer, tu as aussi sans doute un fort besoin d'affection, de trouver quelqu'un à aimer etc..
baisse le regard et garde cet amour pour son temps
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LeFeuFollet a écrit:
Dépendant affectif j'ai vite fait vu sur le net... Mais j'ai honte d'être comme ça, c'est pas normal sérieux un truc cloche chez moi.
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Sha--Sha a écrit:
[www.psychologies.com]-!
Un manque de confiance en soi
« Personne ne m’aime ! » résonne comme une insatiable demande de compliments dont le but est de rassurer sans cesse. Cet état de dépendance à l’égard de l’autre est symptomatique d’un manque de confiance en soi : « Celui qui a été suffisamment soutenu et valorisé par ses parents n’aura pas besoin des autres pour se construire, affirme Maud Lehanne. L’appui qu’il aura reçu lui suffira pour avancer avec confiance, sans avoir besoin d’obtenir la confirmation qu’il est digne d’être aimé. »
Revisiter son enfance
Puisque ce sentiment de ne pas être aimé trouve ses origines dans l’enfance, on s’efforcera de s’y replonger, seul ou avec un thérapeute : « Me suis-je senti entouré ? M’a-t-on montré que l’on m’aimait ? » Ces réflexions ne doivent pas servir à régler des comptes avec ses parents, mais à prendre conscience que le problème se rapporte à sa propre histoire et qu’il est inutile et injuste d’en faire porter la responsabilité aux autres.
Se rappeler ceux qui nous aiment
L’affirmation « personne ne m’aime » est toujours le fait d’une exagération. Pour la contrer, noter le nom de cinq proches et écrire la dernière attention que chacun nous a manifestée : appel téléphonique, invitation, compliment… Ces gestes qui, sans être la marque d’un amour immense, sont des preuves que l’on nous estime.
Etre conscient de ce que l’on donne
« Qu’ai-je fait pour mériter leur attention ? » Noter les dernières marques d’affection données à ces personnes. Une manière efficace de prendre conscience que l’amour est un échange. Et de découvrir que le plaisir de donner est aussi gratifiant que celui de recevoir.
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LeFeuFollet a écrit:
Surement mon inexpérience je pense. Il suffit d'un rien, un seul regard et c'est bon je deviens fou amoureux, j'idéalise la personne et ça vire à l'obsession.
Une caissière ce matin bref... Ça me rend terriblement malheureux en même temps.
Je sais pas c'est le bordel dans ma tête.
Qu'est-ce qui cloche chez moi ??!
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LeFeuFollet a écrit:
Surement mon inexpérience je pense. Il suffit d'un rien, un seul regard et c'est bon je deviens fou amoureux, j'idéalise la personne et ça vire à l'obsession.
Une caissière ce matin bref... Ça me rend terriblement malheureux en même temps.
Je sais pas c'est le bordel dans ma tête.
Qu'est-ce qui cloche chez moi ??!