Citation
Patty Bouvier a écrit:
Vous avez fait comment pour lire cet orange pisseux sur le fond gris clair?
Citation
Patty Bouvier a écrit:
Vous avez fait comment pour lire cet orange pisseux sur le fond gris clair?
Citation
LifeIsBeautiful a écrit:Citation
Patty Bouvier a écrit:
Vous avez fait comment pour lire cet orange pisseux sur le fond gris clair?
ça va mieux là?
Citation
LifeIsBeautiful a écrit:
Salam 3alaykom,
Une traduction que j'ai trouvé sur internet d'une chanson chleu7, que j'aime bien, les connaisseurs devront la reconnaître :
C’est pour toi seule, tendre mère, que j’ai éduqué mon cœur et mon amour.
C’est sur ses genoux que j’ai trouvé chaleur et protection.
Elle a pour seule couverture le froid, c’est nous qu'elle protège ainsi.
Elle moud, elle rapporte du bois, de l'eau aussi bien dans la chaleur que dans le froid.
Elle supporte les cris de colère de mon père et les coups qui lui donne.
Ô mon père, quand tu vois ma mère, respecte-nous.
Toi qui, dès que tu la vois sortir, prends le bâton.
Ô malheureux est l’enfant qui perdra sa mère.
Il restera avec son père devenu compagnon des femmes.
Il n’aura pour couverture que les murs et pour seul lit le sol.
Ô mon Dieu, Si jamais un mort pouvait être ressuscité.
Il quitterait le cimetière et verrait ses propres enfants.
maaaaaaaaaaaaaaagnifique
Citation
MissYabiladi2010 a écrit:
salam
ce n'est pas : Immi 7nna de Izenzaren?
salam
Citation
LifeIsBeautiful a écrit:Citation
MissYabiladi2010 a écrit:
salam
ce n'est pas : Immi 7nna de Izenzaren?
salam
Salam,
yah
oramdfragh yat
Citation
LifeIsBeautiful a écrit:
Salam 3alaykom,
Une traduction que j'ai trouvé sur internet d'une chanson chleu7, que j'aime bien, les connaisseurs devront la reconnaître :
C’est pour toi seule, tendre mère, que j’ai éduqué mon cœur et mon amour.
C’est sur ses genoux que j’ai trouvé chaleur et protection.
Elle a pour seule couverture le froid, c’est nous qu'elle protège ainsi.
Elle moud, elle rapporte du bois, de l'eau aussi bien dans la chaleur que dans le froid.
Elle supporte les cris de colère de mon père et les coups qui lui donne.
Ô mon père, quand tu vois ma mère, respecte-nous.
Toi qui, dès que tu la vois sortir, prends le bâton.
Ô malheureux est l’enfant qui perdra sa mère.
Il restera avec son père devenu compagnon des femmes.
Il n’aura pour couverture que les murs et pour seul lit le sol.
Ô mon Dieu, Si jamais un mort pouvait être ressuscité.
Il quitterait le cimetière et verrait ses propres enfants.
maaaaaaaaaaaaaaagnifique