En France, une bombe à retardement couve dans les cités. Les différentes politiques menées depuis les fameuses lois sur le regroupement familial mènent au désastre. Votées dans la précipitation et mises en application sans préparation et sans un véritable programme d'accueil, elles ont créées une décennie après, un tiers monde dans un pays développés.
Certes c'est d'un tiers monde intellectuel qu'il s'agit car en terme économique, les aides et les allocations arrivent à mettre sous abri relatif cette population comparé aux carences du pays d'origine.
Le plus grave dans la situation c'est que ce tiers monde intellectuel englobe tout un pan de la population mal préparé.
L»échec scolaire fait ravage, il donne quelques années plus tard, des jeunes désoeuvrés, livrés à eux même, sans diplômes et au chômage.
Seuls les plus courageux, ceux qui décident de travailler deux, trois, dix fois plus fois plus et souvent sans soutien scolaire familial (et pour cause) arrivent et heureusement il y en a.
On s'étonne après que ces laissés pour compte ghetoisés et avec des réflexes primitifs veulent en découdre avec tout ce qui représente l'état. Caillassant au passage même les pompiers venant au secours de leurs proches ou voisins.
Les parents ceux de la première génération connus pour leur courage dans le monde du travail on baissé les bras laissant leur progéniture livrée à elle même.
Seule une politique volontariste soucieuse de tirer un trait sur la politique du passé refusant les ghettos et le communautarisme exacerbé pourrait empêcher le pourrissement de la situation qui devient de plus en plus inéluctable.
en prennant en compte que par exemple par catégorie sociale ceux qui magrés les aides supplémentaires les enfants dont les parent n'ont- pas suvit de cursus long , auront moins de chance d'accéder aux étude suppérieures en prenat en compte que malgrés les mesure prise les enfants de paysant sont ceux qui ont le moins de chance d'accéder aux études supplémentaires
un jour, un malien que je tannais pour que son fils bosse à l'école, me répondit que son fils avait moins de chance que le miein de poursuivre ses études, je lui répondis, bien sur que c'est évident parce que le mien, je le pousserait a bosser ses études et que lui, Moussa ne s'interressera qu'au résultat sportifs de son fils (il se mit à en rire )