« Il fut un temps, à Tarim [Yemen], où toutes les femmes de chaque foyer étaient des faqihat du madhab Shafi'i et beaucoup avaient appris le Coran par cœur. Chaque foyer était telle une madrassah et chaque mère produisait des savants. En 2017, la plupart de nos femmes ne savent même pas ce qu'est un madhab et beaucoup [d'entre elles] n'ont pas appris la prière ou les règles de la purification. Nous ne pouvons pas espérer/nous attendre à ce qu'elles fassent partie des saintes si nous ne leur enseignons [rien]. Ne prendrons-nous pas exemple sur la Fleur du Prophète ﷺ, Sayyidah Fatimah al-Zahra ? Elle était nourrie par les pluies de clémence et d'amour de Sayyidah Khadijah, et elle grandit en prenant de la lumière du noble visage de son père ﷺ رضي الله عنهما »