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Mr deltoides a écrit:
Syrie : trois ans de guerre, un bilan humain effrayant
11/03 | 11:38 | mis à jour à 11:51
Plus de 140.000 tués, dont près de 50.000 civils, .
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Béybér a écrit:Citation
Mr deltoides a écrit:
Syrie : trois ans de guerre, un bilan humain effrayant
11/03 | 11:38 | mis à jour à 11:51
Plus de 140.000 tués, dont près de 50.000 civils, .
C'est l'un des bilans les plus civiliser qui soit, quand on compare avec d'autres guerres notamment civiles, les chiffres (surement exagérées par la propagande anti assad) semblent incroyables.
Rien qu'à la saint bartelemy il y a eu 30000 morts, en une journée!!!
Pendant la première guerre mondiale, qui fut une guerre civile européenne, il eu 2 millions de mort par an.
La guerre civile russe: 1 millions de morts en 3 ans et que les pertes militaires.
La guerre d'espagne 500000 morts en 3 ans.
800000 ruwandais en 3 mois
ect....
Bref les kfr, sont bien plus barbares et les chiffres le prouvent.
On y va tout droit et c'est, hélas, inéluctable.Citation
Mr deltoides a écrit:
il faut pas diviser le monde en un affrontement muslims vs non muslims.
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Mr deltoides a écrit:
j'ai l'impression que tu pédales dans la semoule mon pauvre.
la premiere guerre mondiale n'est en rien une guerre civile.
que vient faire le génocide rwandais la dedans?
quand au bilan, c'est juste une question de moyen en fait.
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Btof a écrit:
Pour le cas Syrien, les USA et les monarchies du Golfe ont construit un gigantesque appareil de propagande, notamment avec l’aide financière du gouvernement américain, pour renverser le régime de Damas en manipulant l’opinion mondiale et la préparer à une guerre. Les mobiles affichés pour justifier une intervention n’étant pas crédibles, il semblerait que les motivations réelles soient une fois de plus de nature géo-stratégique et économique (voir à ce sujet la déclaration du Parti Communiste Syrien). La Syrie représente à la fois un obstacle aux volontés expansionnistes des USA au Moyen-Orient et un réservoir fantastique de matières premières, notamment gazières. Face au poids de ces enjeux géopolitiques, il aura fallu toute l’habileté de la diplomatie russe pour désamorcer les risques d’un conflit militaire aux conséquences potentiellement dévastatrices.