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Azania a écrit:
Damas aurait refusé la présence des STROUMPFs tout au long de sa frontière avec le Liban.
Et moi qui pensais que cela ne concerné que le sud Liban.
Mais elle dit quoi au juste cette résolution de l'ONU !
( source arte.fr )
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boms a écrit:
Israel ne respecte pas le cesser le feu, les ong ont dénoncer des crimes de guerres flagrant comme le fait d'utiliser des armes interdites sur les civiles.
J'attend des sanctions contre israel.
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bikhir a écrit:
La Syrie veut recupere le Gollan. Mais elle est impuissante face a Israel. Elle ne peut pas le faire de maniere directe. Meme pas diplomatique car elle est piégée par son ideologie.
De ce fait elle a HORREUR de toute force arabe modérée dans la rédion qui serait suceptible d'accepter un accords avec Israel sans que le Gollan soit libéré.
Que faire alors? Miser sur les mouvement radicaux. Eux peuvent lui garantir que la paix avec Israel ne sera pas. La raison pour laquelle le Hamas et le Hizbollah sont tous les deux totalement pris en charge par la Syrie. La raison pour laquelle les prises d'otages ont ete effectuées simultaneement alors que le Hizbollah et le Hamas n'ont aucune coordination visible. Les trois n'ont en fait rien a voir l'un avec l'autre: la Syrie est laique et sa société multi-confessionelle, le Hizbollah est chiite et le Hamas est sunnite.
En d'autre terme, la Syrie, incapable, fait la guerre a Israel sur les terres libanaises et palestinienne, et avec du sang libanais et palestinien pour recuperer le Golan.
La Syrie s'en fout de la Palestine et des palestiniens. Et elle s'en fout du monde arabe et islamique. C'est un regime a la pensée unique.
Vous pouvez applaudir.
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massouach a écrit:
Tu penses réellement que le Hezbollah et le Hamas ne sont que des pions de la Syrie et qu'ils n'ont pas d'inspirations pour leur pays et leur peuple....
Contraiment à ce que tu penses la Syrie est le seul pays arabe qui s'investit pour que les palestiniens et les libanais aient leur liberté et leur dignité...
Tu défends les intérêts isrëliens sur ce forum et tout le monde le sait..
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boms a écrit:
Israel ne respecte pas le cesser le feu, les ong ont dénoncer des crimes de guerres flagrant comme le fait d'utiliser des armes interdites sur les civiles.
J'attend des sanctions contre israel.
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a écrit:
Les autorités doivent de toute urgence enquêter sur les affaires de décès en détention
Embargo : jeudi 10 juillet 2003 (11h00 TU)
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Des informations font état de la mort récente en détention, dans les locaux de la police syrienne, de Joseph Huways, ressortissant libanais ; les autorités syriennes ont, par ailleurs, récemment nié la présence de détenus politiques libanais en Syrie ; Amnesty International appelle donc les autorités syriennes, ce jeudi 10 juillet 2003, à ouvrir une enquête sur cette affaire et à autoriser les prisonniers à consulter un avocat, prendre contact avec leurs familles et recevoir des soins médicaux.
Dans une déclaration reproduite par les médias le 5 juillet, le ministre de l’Intérieur syrien a nié la présence de tout prisonnier politique libanais en Syrie.
“Nous avons les noms d’un certain nombre de détenus politiques libanais détenus en Syrie depuis des années ; maintenus au secret la plupart du temps, ils ont été transférés du Liban en Syrie par les forces militaires syriennes présentes au Liban , a déclaré Amnesty International.
“La mort de Joseph Huways, au cours de la troisième semaine de juin, s’inscrit dans le cadre d’une politique systématique de mauvais traitements des Libanais détenus en Syrie ; elle met en lumière l’incapacité chronique des autorités syriennes à respecter la législation et les normes internationales en matière de détention et de traitement des détenus politiques incarcérés”, a ajouté l’organisation.
Joseph Huways, quarante-trois ans, épileptique, est au moins le troisième Libanais à mourir en détention depuis 1996. On lui aurait refusé tout accès à des soins médicaux.
“Les autorités syriennes doivent ouvrir une enquête indépendante et impartiale sur la mort de Joseph Huways ainsi que sur toutes les morts en détention récentes de détenus politiques, conformément aux normes internationales”, a souligné Amnesty International.
Amnesty International a appelé les autorités syriennes à révéler ce qu’il était advenu des nombreux Libanais “disparus” après leur interpellation au Liban ou leur transfert en Syrie par des militaires ou les services secrets syriens.
En dépit d’appels répétés, les autorités syriennes n’ont fourni aucune explication au cours de toutes ces années sur les nombreuses affaires concernant des ressortissants libanais détenus ou ayant disparu en Syrie.
“Les autorités syriennes doivent communiquer très rapidement les noms de tous les Libanais détenus dans des prisons syriennes et les autoriser immédiatement et sans restriction à prendre contact avec leurs familles et leurs avocats, a déclaré Amnesty International.
“Il n’existe aucune base légale à l’arrestation et au transfert de ressortissants libanais vers la Syrie, pays dans lequel ils sont détenus sans avoir été jugés ou après des procès inéquitables.”
Amnesty International est inquiète pour la sécurité des détenus, particulièrement au vu des informations récurrentes qui lui parviennent concernant des actes de torture et des mauvais traitements ainsi que des conditions de détention inhumaines. Certains détenus particulièrement en danger ont été signalés, comme Shayk Alam el Din Hassan, soixante-six ans et Milad Naoum al Khouri, soixante-quatre ans, détenus au secret depuis plus de quatorze ans. L’organisation s’inquiète aussi de l’incapacité du gouvernement libanais à aborder avec les autorités syriennes la question des Libanais détenus ou disparus en Syrie.
“Les autorités libanaises doivent intervenir au sujet de tous les prisonniers libanais détenus en Syrie, déterminer exactement qui est détenu et dans quelles conditions, et en informer les familles des détenus, a déclaré Amnesty International.
“L’incapacité du Liban à empêcher le transfert de personnes arrêtées sur son territoire, de les protéger de la torture et de s’assurer qu’elles ont la possibilité de contester la légalité de leur détention peut être décrite au mieux comme une faute grave et au pire comme une approbation de ces pratiques.”
Complément d’information
Adel Khalaf Ajjuri, prisonnier politique libanais, est mort dans la prison de Sednaya en Syrie, le 22 septembre 1999, après neuf années de détention ; on lui aurait refusé tout accès à des soins médicaux spécialisés. Selon les autorités syriennes, un arrêt cardiaque serait à l’origine de sa mort mais aucune autopsie n’a été pratiquée ni par les autorités syriennes ni par les autorités libanaises. Joseph Zughayb, citoyen libanais, est mort en détention en Syrie en 1996 dans des circonstances non élucidées. Radwan Ibrahim est mort en détention au Liban peu après son transfert d’une prison syrienne en décembre 2000. Il souffrait d’une infection rénale et d’hypertension et n’aurait reçu aucun traitement.
En 2002, Amnesty International a reçu une lettre des autorités syriennes confirmant la détention de George Ayub Shalawit et Tony Jirgis Tamer, tous deux condamnés à quinze ans d’emprisonnement pour “espionnage” au profit d’Israël. Un troisième détenu, Najib Yusuf Jamani, dont Amnesty International avait soulevé le cas auprès des autorités syriennes, aurait été condamné à mort pour les mêmes charges. On ne sait pas si la peine de mort a été appliquée. On craint qu’il n’ait été victime d’une exécution extrajudiciaire.