Voici un poéme que j'ai lu et qui m'as donné envie de le partager avec vous tellement il est beau. soubhanallah.
********************************************
Suivre le chemin de Dieu C'est vouloir devenir pieux
Trop de gens restent dans l'ignorance
Croyant que l'Islam est une religion de souffrance
La caractériser ainsi est une offense
Car son mot d'ordre est tolérance
Elle recommande la bonté et la générosité
Et réprouve la vanité et l'iniquité
Elle nous dit d'aimer et de pardonner
Et les pauvres nous interdit de mépriser
Elle n'est pas religion d'oppression
Où la femme n'a pas de droit d'expression
Mais plutôt religion de compassion
Où chacun recherche la juste rétribution
Mes frères et soeurs prenez conscience
du message qui nous a été transmis
Armons nous de patience et pour récompense
nous aurons le Paradis
Eloignons nous du Chaytan et de ses tentations
Ne laissons pas ce bas-monde nous entraîner vers ses passions
Evitons pour nous la confusion et pour notre âme sa perdition
Notre seul refuge est auprès d'Allah , l'Unique le Vivant
Alors nous les croyants combattons contre les mécréants
Notre prophète- bien aimée (saws) a mené une vie de
long combat pour propager l'Islam
Suivre ses pas signifie le salut pour notre âme
Il nous montre la voie et le bon comportement
Grâce à la Sunna et au Saint Coran
Il a offert aux générations suivant la sienne un présent somptueux
Il nous a enseigné comment vivre heureux
Grâce à Allah Ta'ala le Tout Miséricordieux
Qui destine une demeure dans les cieux aux plus vertueux
Malheureusement les hommes sont par nature ingrats
Ils ne sont pas tous reconnaissants, certains ne comprennent pas
Le savoir et la science sont une lumière qui est accessible à chacun
Alors ne passez pas votre vie à accumuler des biens
Ne préférez pas le matériel au spirituel
Et aspirez au Paradis éternel
La purification il ne faut pas oublier
De la foi elle représente la moitié
Alors mes frères et soeurs prions notre Seigneur
Demandons lui le pardon pour nos erreurs
Dkir et Du'a doit être pratiquer régulièrement
Car c'est un devoir pour tout musulman
L'expiation fait partie de la religion
Multiplier les bonnes actions repoussent les tentations
L'Islam est bâti sur 5 piliers :
- 'Achâdou anna lâ illaha ilallah wahdah la chârika lah wa achâdu anna
Mohamad abdouhou warasoulloulah '
est le premier
- La prière on se doit de pratiquer
- Le mois de Ramadan il faut jeûner
- Le pèlerinage aux lieux saints on doit effectuer
Pratiquer cela avec assiduité
ne permet aucune perte de temps en futilité
Ne faîtes pas de cette religion une difficulté
Alors qu'elle n'est que facilité
Si vous avez la foi en Allah Ta'ala
N'ayez crainte, Il vous protègera
Soyez cependant vigilants dans vos propos
pensez aux conséquences, aux dégats des mots
Le Seigneur Tout Puissant a dit dans le Saint Coran :
'Alors veillent sur vous des gardiens, des nobles scribes
qui savent ce que vous faîtes' (S82.V10-12)
Il fait ici mention des Anges qui prennent notes au-dessus de notre tête
Donc craignez Allah, car Il connaît parfaitement les choses inconnaissables
Les épreuves nous musulmans nous devons surmonter
Avec le souvenir de Dieu nous sommes réconforté
Car la grande récompense accordée en prix à la dévotion
Insha'allah nous l'obtiendrons
Vous procréez pour mourir après, vous construisez ce qui sera détruit
Vous convoitez ce qui va être anéanti car c'est la destinée
Et vous délaissez ce qui est fait pour durer
La vie est brève et la mort nous guette à chaque instant
Soyons frères et soeurs musulmans persévérants
Car la vie présente n'est qu'un objet de jouissance trompeuse
Et pour nous chaque minute de notre temps est précieuse
Nous aurons tous des comptes à rendre au jour du jugement
Vous ne vous en rendez peut-être pas compte en ce moment
Nous serons tous intérrogé au sujet de ce que nous faisions
Alors revenez tous vers une véritable soumission
Vous voyez, l'Islam parle de tout,
Mes frères et soeurs, lisez et cultivez- vous
Ce poème n'est qu'une goutte d'eau dans un océan de connaissances
A tout moment n'oubliez jamais Sa Présence
Musulmans du Monde entier
Soyez bénis où que vous soyez
Restons forts et unis
Et Insha'allah on se retrouvera au Paradis
wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
sincérement je ne sais pas à moins que cela soit la personne qui l'as posté sur un autre site. je me renseignerais et je te dirais ça promis.
Je suis du même avis, ce poéme est vraiment magnifique et nous donne a méditer plus encore sur nos actes.
Allah y hdina jami3 amine
wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
Merci Iman : je sais que c'est secondaire mais juste comme ça par curiosité savoir qui a eu autant de talent de discernement pour écrire ce poème aussi beau que vrai...
je te dirais ça demain inch'allah. là je vais faire dodo.
sabhi aala kheir inch'allah Chireen.
wa salam
ps: moi c'est Ima sans n.
wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
wa fi l'baraka Chireen. j'espere que tu as bien dormi inch'allah. moi le révéil a été un peu rude pas dormi autant que je l'aurais voulu
Kenza c'est avec plaisir
wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
Merci beaucoup de nous avoir fait partager avec toi ce magnifique poème que Dieu te protége est t'illumine ma soeur.Si tu a d'autre poème comme ça fait les nous partager avec toi merci.
Salam alicom
QUE DIEU NOUS GUIDE DANS LE DROIT CHEMIN INCHALLAH
voici ci dessous un poéme de Victor Hugo parlant de notre prophéte Saws. ettonant. un peu long mais ça vaut la peine.
************************************ L'AN NEUF DE L'HEGIRE
Victor Hugo, le 15 janvier 1858
Comme s'il pressentait que son heure était proche, Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ; Il marchait en rendant aux passants leur salut ; On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu'il eût A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ; Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire, Se souvenant du temps qu'il était chamelier. Il semblait avoir vu l'Eden, l'âge d'amour, Les temps antérieurs, l'ère immémoriale. Il avait le front haut, la joue impériale, Le sourcil chauve, l'oeil profond et diligent, Le cou pareil au col d'une amphore d'argent, L';air d'un Noé qui sait le secret du déluge. Si des hommes venaient le consulter, ce juge Laissait l'un affirmer, l'autre rire et nier, Ecoutait en silence et parlait le dernier. Sa bouche était toujours en train d'une prière ; Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ; Il s'occupait de lui-même à traire ses brebis ; Il s'asseyait à terre et cousait ses habits. Il jeûnait plus longtemps qu'autrui les jours de jeûne, Quoiqu'il perdît sa force et qu'il ne fût plus jeune. A soixante-trois ans une fièvre le prit. Il relut le Coran de sa main même écrit, Puis il remit au fils de Séid la bannière, En lui disant : " Je touche à mon aube dernière. Il n'est pas d'autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. " Et son oeil, voilé d'ombre, avait ce morne ennui D'un vieux aigle forcé d'abandonner son aire. Il vint à la mosquée à son heure ordinaire, Appuyé sur Ali le peuple le suivant ; Et l'étendard sacré se déployait au vent. Là, pâle, il s'écria, se tournant vers la foule ; " Peuple, le jour s'éteint, l'homme passe et s'écroule ; La poussière et la nuit, c'est nous. Dieu seul est grand. Peuple je suis l'aveugle et suis l'ignorant. Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. " Un cheikh lui dit : " o chef des vrais croyants ! le monde, Sitôt qu'il t'entendit, en ta parole crut ; Le jour où tu naquit une étoile apparut, Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. " Lui, reprit : " Sur ma mort les Anges délibèrent ; L'heure arrive. Ecoutez. Si j'ai de l'un de vous Mal parlé, qu'il se lève, ô peuple, et devant tous Qu'il m'insulte et m'outrage avant que je m'échappe ; Si j'ai frappé quelqu'un, que celui-là me frappe. " Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton. Une vieille, tondant la laine d'un mouton, Assise sur un seuil, lui cria : " Dieu t'assiste ! " Il semblait regarder quelque vision triste, Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : " voilà, Vous tous, je suis un mot dans la bouche d'Allah ; Je suis cendre comme homme et feu comme prophète. J'ai complété d'Issa la lumière imparfaite. Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur. Le soleil a toujours l'aube pour précurseur. Jésus m'a précédé, mais il n'est pas la Cause. Il est né d'une Vierge aspirant une rose. Moi, comme être vivant, retenez bien ceci, Je ne suis qu'un limon par les vices noirci ; J'ai de tous les péchés subi l'approche étrange ; Ma chair a plus d'affront qu'un chemin n'a de fange, Et mon corps par le mal est tout déshonoré ; O vous tous, je serais bien vite dévoré Si dans l'obscurité du cercueil solitaire Chaque faute engendre un ver de terre. Fils, le damné renaît au fond du froid caveau Pour être par les vers dévoré de nouveau ; Toujours sa chair revit, jusqu'à ce que la peine, Finie ouvre à son vol l'immensité sereine. Fils, je suis le champ vil des sublimes combats, Tantôt l'homme d'en haut, tantôt l'homme d'en bas, Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne Comme dans le désert le sable et la citerne ; Ce qui n'empêche pas que je n'aie, ô croyants ! Tenu tête dans l'ombre au x Anges effrayants Qui voudraient replonger l'homme dans les ténèbres ; J'ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ; Souvent, comme Jacob, j'ai la nuit, pas à pas, Lutté contre quelqu'un que je ne voyais pas ; Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ; Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie, Et, comme je sentais en moi la vérité, Je les ai combattus, mais sans être irrité, Et, pendant le combat je criais : " laissez faire ! Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère. Qu'ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis ! Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis Auraient, pour m'attaquer dans cette voie étroite, Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite, Ils ne me feraient point reculer ! " C'est ainsi Qu'après avoir lutté quarante ans, me voici Arrivé sur le bord de la tombe profonde, Et j'ai devant moi Allah, derrière moi le monde. Quant à vous qui m'avez dans l'épreuve suivi, Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi, Vous avez bien souffert, mais vous verrez l'aurore. Après la froide nuit, vous verrez l'aube éclore ; Peuple, n'en doutez pas ; celui qui prodigua Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega, Les perles à la mer et les astres à l'ombre, Peut bien donner un peu de joie à l'homme sombre. " Il ajouta ; " Croyez, veillez ; courbez le front. Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront Sur le mur qui sépare Eden d'avec l'abîme, Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ; Presque personne n'est assez pur de péchés Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez, En priant, que vos corps touchent partout la terre ; L'enfer ne brûlera dans son fatal mystère Que ce qui n'aura point touché la cendre, et Dieu A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ; Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ; Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes, Les chevaux sellés d'or, et, pour fuir aux sept dieux, Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ; Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse, Habite un pavillon fait d'une perle creuse ; Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur ! Ils auront des souliers de feu dont la chaleur Fera bouillir leur tête ainsi qu'une chaudière. La face des élus sera charmante et fière. " Il s'arrêta donnant audience à l'espoir. Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit : " O vivants ! Je répète à tous que voici l'heure Où je vais me cacher dans une autre demeure ; Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu, Que je sois dénoncé par ceux qui m'ont connu, Et que, si j'ai des torts, on me crache aux visages. " La foule s'écartait muette à son passage. Il se lava la barbe au puits d'Aboufléia. Un homme réclama trois drachmes, qu'il paya, Disant : " Mieux vaut payer ici que dans la tombe. " L'oeil du peuple était doux comme un oeil de colombe En le regardant cet homme auguste, son appui ; Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui, Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière, Et passèrent la nuit couchés sur une pierre Le lendemain matin, voyant l'aube arriver ; " Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever, Tu vas prendre le livre et faire la prière. " Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ; Il écoutait pendant qu'Aboubékre lisait, Et souvent à voix basse achevait le verset ; Et l'on pleurait pendant qu'il priait de la sorte. Et l'Ange de la mort vers le soir à la porte Apparut, demandant qu'on lui permît d'entrer. " Qu'il entre. " On vit alors son regard s'éclairer De la même clarté qu'au jour de sa naissance ; Et l'Ange lui dit : " Dieu désire ta présence. - Bien ", dit-il. Un frisson sur les tempes courut, Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.
wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X