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Suivre le chemin de Dieu
I
Ima
3 avril 2004 23:17
Salam Alaykoum

Voici un poéme que j'ai lu et qui m'as donné envie de le partager avec vous tellement il est beau. soubhanallah.

********************************************

Suivre le chemin de Dieu
C'est vouloir devenir pieux


Trop de gens restent dans l'ignorance

Croyant que l'Islam est une religion de souffrance

La caractériser ainsi est une offense

Car son mot d'ordre est tolérance


Elle recommande la bonté et la générosité

Et réprouve la vanité et l'iniquité

Elle nous dit d'aimer et de pardonner

Et les pauvres nous interdit de mépriser


Elle n'est pas religion d'oppression

Où la femme n'a pas de droit d'expression

Mais plutôt religion de compassion

Où chacun recherche la juste rétribution


Mes frères et soeurs prenez conscience

du message qui nous a été transmis

Armons nous de patience et pour récompense

nous aurons le Paradis


Eloignons nous du Chaytan et de ses tentations

Ne laissons pas ce bas-monde nous entraîner vers ses passions

Evitons pour nous la confusion et pour notre âme sa perdition

Notre seul refuge est auprès d'Allah , l'Unique le Vivant

Alors nous les croyants combattons contre les mécréants

Notre prophète- bien aimée (saws) a mené une vie de

long combat pour propager l'Islam

Suivre ses pas signifie le salut pour notre âme


Il nous montre la voie et le bon comportement

Grâce à la Sunna et au Saint Coran

Il a offert aux générations suivant la sienne un présent somptueux

Il nous a enseigné comment vivre heureux

Grâce à Allah Ta'ala le Tout Miséricordieux

Qui destine une demeure dans les cieux aux plus vertueux


Malheureusement les hommes sont par nature ingrats

Ils ne sont pas tous reconnaissants, certains ne comprennent pas

Le savoir et la science sont une lumière qui est accessible à chacun

Alors ne passez pas votre vie à accumuler des biens


Ne préférez pas le matériel au spirituel

Et aspirez au Paradis éternel

La purification il ne faut pas oublier

De la foi elle représente la moitié


Alors mes frères et soeurs prions notre Seigneur

Demandons lui le pardon pour nos erreurs

Dkir et Du'a doit être pratiquer régulièrement

Car c'est un devoir pour tout musulman

L'expiation fait partie de la religion

Multiplier les bonnes actions repoussent les tentations


L'Islam est bâti sur 5 piliers :


- 'Achâdou anna lâ illaha ilallah wahdah la chârika lah wa achâdu anna

Mohamad abdouhou warasoulloulah '

est le premier


- La prière on se doit de pratiquer

- Le mois de Ramadan il faut jeûner

- Le pèlerinage aux lieux saints on doit effectuer


Pratiquer cela avec assiduité

ne permet aucune perte de temps en futilité

Ne faîtes pas de cette religion une difficulté

Alors qu'elle n'est que facilité


Si vous avez la foi en Allah Ta'ala

N'ayez crainte, Il vous protègera

Soyez cependant vigilants dans vos propos

pensez aux conséquences, aux dégats des mots


Le Seigneur Tout Puissant a dit dans le Saint Coran :

'Alors veillent sur vous des gardiens, des nobles scribes

qui savent ce que vous faîtes' (S82.V10-12)

Il fait ici mention des Anges qui prennent notes au-dessus de notre tête

Donc craignez Allah, car Il connaît parfaitement les choses inconnaissables


Les épreuves nous musulmans nous devons surmonter

Avec le souvenir de Dieu nous sommes réconforté

Car la grande récompense accordée en prix à la dévotion

Insha'allah nous l'obtiendrons


Vous procréez pour mourir après, vous construisez ce qui sera détruit

Vous convoitez ce qui va être anéanti car c'est la destinée

Et vous délaissez ce qui est fait pour durer


La vie est brève et la mort nous guette à chaque instant

Soyons frères et soeurs musulmans persévérants

Car la vie présente n'est qu'un objet de jouissance trompeuse

Et pour nous chaque minute de notre temps est précieuse


Nous aurons tous des comptes à rendre au jour du jugement

Vous ne vous en rendez peut-être pas compte en ce moment

Nous serons tous intérrogé au sujet de ce que nous faisions

Alors revenez tous vers une véritable soumission


Vous voyez, l'Islam parle de tout,

Mes frères et soeurs, lisez et cultivez- vous

Ce poème n'est qu'une goutte d'eau dans un océan de connaissances

A tout moment n'oubliez jamais Sa Présence

Musulmans du Monde entier

Soyez bénis où que vous soyez

Restons forts et unis


Et Insha'allah on se retrouvera au Paradis

wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
C
3 avril 2004 23:36

Macha'Allah !

Salam Ima,

Sais-tu qui en est l'auteur ? c'est magnifique :merci ! smiling smiley
I
Ima
3 avril 2004 23:44
Aleikoum salam Chireen,

sincérement je ne sais pas à moins que cela soit la personne qui l'as posté sur un autre site. je me renseignerais et je te dirais ça promis.

Je suis du même avis, ce poéme est vraiment magnifique et nous donne a méditer plus encore sur nos actes.

Allah y hdina jami3 amine

wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
C
3 avril 2004 23:47

Amine...

Merci Iman : je sais que c'est secondaire mais juste comme ça par curiosité savoir qui a eu autant de talent de discernement pour écrire ce poème aussi beau que vrai...
I
Ima
3 avril 2004 23:51
Salam aleikoum,

je te dirais ça demain inch'allah. là je vais faire dodo.smiling smiley

sabhi aala kheir inch'allah Chireen.

wa salam

ps: moi c'est Ima sans n.winking smiley

wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
C
4 avril 2004 00:05

Baraka Allah ou fik oukhti IMA ( sans n...désolée winking smiley )

Sabhi aala khayr hata antiya In cha ' Allah

Wa salam Aleikoum
K
4 avril 2004 07:06
Merci Ima c très joli!

La vie a plus d'imagination que n'en porte nos rêves.
I
Ima
4 avril 2004 11:22
Salam aleikoum

wa fi l'baraka Chireen.smiling smiley j'espere que tu as bien dormi inch'allah. moi le révéil a été un peu rudesad smiley pas dormi autant que je l'aurais voulugrinning smiley

Kenza c'est avec plaisir

wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
f
4 avril 2004 21:15
Salam ma soeur,

Merci beaucoup de nous avoir fait partager avec toi ce magnifique poème que Dieu te protége est t'illumine ma soeur.Si tu a d'autre poème comme ça fait les nous partager avec toi merci.

Salam alicom

QUE DIEU NOUS GUIDE DANS LE DROIT CHEMIN INCHALLAH
m
4 avril 2004 21:43
Magnifiquesmiling smiley. Merci.
I
Ima
4 avril 2004 22:40
Aleikoum salam Fatiha,

amine! barakallaoufik.

voici ci dessous un poéme de Victor Hugo parlant de notre prophéte Saws. ettonant. un peu long mais ça vaut la peine.winking smiley

************************************
L'AN NEUF DE L'HEGIRE



Victor Hugo, le 15 janvier 1858


Comme s'il pressentait que son heure était proche,
Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ;
Il marchait en rendant aux passants leur salut ;
On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu'il eût
A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ;
Il s'arrêtait parfois pour voir les chameaux boire,
Se souvenant du temps qu'il était chamelier.
Il semblait avoir vu l'Eden, l'âge d'amour,
Les temps antérieurs, l'ère immémoriale.
Il avait le front haut, la joue impériale,
Le sourcil chauve, l'oeil profond et diligent,
Le cou pareil au col d'une amphore d'argent,
L';air d'un Noé qui sait le secret du déluge.
Si des hommes venaient le consulter, ce juge
Laissait l'un affirmer, l'autre rire et nier,
Ecoutait en silence et parlait le dernier.
Sa bouche était toujours en train d'une prière ;
Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ;
Il s'occupait de lui-même à traire ses brebis ;
Il s'asseyait à terre et cousait ses habits.
Il jeûnait plus longtemps qu'autrui les jours de jeûne,
Quoiqu'il perdît sa force et qu'il ne fût plus jeune.
A soixante-trois ans une fièvre le prit.
Il relut le Coran de sa main même écrit,
Puis il remit au fils de Séid la bannière,
En lui disant : " Je touche à mon aube dernière.
Il n'est pas d'autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. "
Et son oeil, voilé d'ombre, avait ce morne ennui
D'un vieux aigle forcé d'abandonner son aire.
Il vint à la mosquée à son heure ordinaire,
Appuyé sur Ali le peuple le suivant ;
Et l'étendard sacré se déployait au vent.
Là, pâle, il s'écria, se tournant vers la foule ;
" Peuple, le jour s'éteint, l'homme passe et s'écroule ;
La poussière et la nuit, c'est nous. Dieu seul est grand.
Peuple je suis l'aveugle et suis l'ignorant.
Sans Dieu je serais vil plus que la bête immonde. "
Un cheikh lui dit : " o chef des vrais croyants ! le monde,
Sitôt qu'il t'entendit, en ta parole crut ;
Le jour où tu naquit une étoile apparut,
Et trois tours du palais de Chosroès tombèrent. "
Lui, reprit : " Sur ma mort les Anges délibèrent ;
L'heure arrive. Ecoutez. Si j'ai de l'un de vous
Mal parlé, qu'il se lève, ô peuple, et devant tous
Qu'il m'insulte et m'outrage avant que je m'échappe ;
Si j'ai frappé quelqu'un, que celui-là me frappe. "
Et, tranquille, il tendit aux passants son bâton.
Une vieille, tondant la laine d'un mouton,
Assise sur un seuil, lui cria : " Dieu t'assiste ! "
Il semblait regarder quelque vision triste,
Et songeait ; tout à coup, pensif, il dit : " voilà,
Vous tous, je suis un mot dans la bouche d'Allah ;
Je suis cendre comme homme et feu comme prophète.
J'ai complété d'Issa la lumière imparfaite.
Je suis la force, enfants ; Jésus fut la douceur.
Le soleil a toujours l'aube pour précurseur.
Jésus m'a précédé, mais il n'est pas la Cause.
Il est né d'une Vierge aspirant une rose.
Moi, comme être vivant, retenez bien ceci,
Je ne suis qu'un limon par les vices noirci ;
J'ai de tous les péchés subi l'approche étrange ;
Ma chair a plus d'affront qu'un chemin n'a de fange,
Et mon corps par le mal est tout déshonoré ;
O vous tous, je serais bien vite dévoré
Si dans l'obscurité du cercueil solitaire
Chaque faute engendre un ver de terre.
Fils, le damné renaît au fond du froid caveau
Pour être par les vers dévoré de nouveau ;
Toujours sa chair revit, jusqu'à ce que la peine,
Finie ouvre à son vol l'immensité sereine.
Fils, je suis le champ vil des sublimes combats,
Tantôt l'homme d'en haut, tantôt l'homme d'en bas,
Et le mal dans ma bouche avec le bien alterne
Comme dans le désert le sable et la citerne ;
Ce qui n'empêche pas que je n'aie, ô croyants !
Tenu tête dans l'ombre au x Anges effrayants
Qui voudraient replonger l'homme dans les ténèbres ;
J'ai parfois dans mes poings tordu leurs bras funèbres ;
Souvent, comme Jacob, j'ai la nuit, pas à pas,
Lutté contre quelqu'un que je ne voyais pas ;
Mais les hommes surtout on fait saigner ma vie ;
Ils ont jeté sur moi leur haine et leur envie,
Et, comme je sentais en moi la vérité,
Je les ai combattus, mais sans être irrité,
Et, pendant le combat je criais : " laissez faire !
Je suis le seul, nu, sanglant, blessé ; je le préfère.
Qu'ils frappent sur moi tous ! Que tout leur soit permis !
Quand même, se ruant sur moi, mes ennemis
Auraient, pour m'attaquer dans cette voie étroite,
Le soleil à leur gauche et la lune à leur droite,
Ils ne me feraient point reculer ! " C'est ainsi
Qu'après avoir lutté quarante ans, me voici
Arrivé sur le bord de la tombe profonde,
Et j'ai devant moi Allah, derrière moi le monde.
Quant à vous qui m'avez dans l'épreuve suivi,
Comme les grecs Hermès et les hébreux Lévi,
Vous avez bien souffert, mais vous verrez l'aurore.
Après la froide nuit, vous verrez l'aube éclore ;
Peuple, n'en doutez pas ; celui qui prodigua
Les lions aux ravins du Jebbel-Kronnega,
Les perles à la mer et les astres à l'ombre,
Peut bien donner un peu de joie à l'homme sombre. "
Il ajouta ; " Croyez, veillez ; courbez le front.
Ceux qui ne sont ni bons ni mauvais resteront
Sur le mur qui sépare Eden d'avec l'abîme,
Etant trop noirs pour Dieu, mais trop blancs pour le crime ;
Presque personne n'est assez pur de péchés
Pour ne pas mériter un châtiment ; tâchez,
En priant, que vos corps touchent partout la terre ;
L'enfer ne brûlera dans son fatal mystère
Que ce qui n'aura point touché la cendre, et Dieu
A qui baise la terre obscure, ouvre un ciel bleu ;
Soyez hospitaliers ; soyez saints ; soyez justes ;
Là-haut sont les fruits purs dans les arbres augustes,
Les chevaux sellés d'or, et, pour fuir aux sept dieux,
Les chars vivants ayant des foudres pour essieux ;
Chaque houri, sereine, incorruptible, heureuse,
Habite un pavillon fait d'une perle creuse ;
Le Gehennam attend les réprouvés ; malheur !
Ils auront des souliers de feu dont la chaleur
Fera bouillir leur tête ainsi qu'une chaudière.
La face des élus sera charmante et fière. "
Il s'arrêta donnant audience à l'espoir.
Puis poursuivant sa marche à pas lents, il reprit :
" O vivants ! Je répète à tous que voici l'heure
Où je vais me cacher dans une autre demeure ;
Donc, hâtez-vous. Il faut, le moment est venu,
Que je sois dénoncé par ceux qui m'ont connu,
Et que, si j'ai des torts, on me crache aux visages. "
La foule s'écartait muette à son passage.
Il se lava la barbe au puits d'Aboufléia.
Un homme réclama trois drachmes, qu'il paya,
Disant : " Mieux vaut payer ici que dans la tombe. "
L'oeil du peuple était doux comme un oeil de colombe
En le regardant cet homme auguste, son appui ;
Tous pleuraient ; quand, plus tard, il fut rentré chez lui,
Beaucoup restèrent là sans fermer la paupière,
Et passèrent la nuit couchés sur une pierre
Le lendemain matin, voyant l'aube arriver ;
" Aboubékre, dit-il, je ne puis me lever,
Tu vas prendre le livre et faire la prière. "
Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ;
Il écoutait pendant qu'Aboubékre lisait,
Et souvent à voix basse achevait le verset ;
Et l'on pleurait pendant qu'il priait de la sorte.
Et l'Ange de la mort vers le soir à la porte
Apparut, demandant qu'on lui permît d'entrer.
" Qu'il entre. " On vit alors son regard s'éclairer
De la même clarté qu'au jour de sa naissance ;
Et l'Ange lui dit : " Dieu désire ta présence.
- Bien ", dit-il. Un frisson sur les tempes courut,
Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut.

wa salam aleikoum,‘’Si je meurs en ayant apporté la plus petite lumière, la plus petite parcelle de vérité, si je meurs en ayant pu contribuer à détruire le cancer raciste qui ronge la chair américaine, alors, tout le mérite en revient à Allah. Ne m’imputez que les erreurs.’’Malcom X
f
5 avril 2004 12:38
Merci ma soeur pour ton deuxiéme poéme balakala o fik
h
9 mai 2004 21:05
Super beau, merci Ima

wa salam aleikoum
f
11 mai 2004 20:52
Salam alicom

Ima peut tu m'envoyer ce poème s'il te plait
fatiha2909yahho.fr
Merci ma soeur

QUE DIEU NOUS GUIDE DANS LE DROIT CHEMIN INCHALLAH
 
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