J'ai fais un déni de grossesse (et eu par la suite un mioche avec un mec trois fois plus vieux que moi) et je sers de référence à la nouvelle génération
La musique est un facteur majeur dans la décrépitude des arabo-berbères dans ce pays. C'est même l'arme ultime de destruction massive pour abrutir la masse d'enfants issus de l'immigration et leur essorer ce qui leur sert de boite crânienne.
Je salue et m'incline devant le pragmatisme des programmateurs musicaux... Vous avez réussi votre coup.
La liste des vidéos postées plus hauts de ces petites beurettes en mal d'exotisme et de renommé qui se prostituent sur une pseudo musique (si on peut appeler ces trois pauvres accords, et la boite à rythmes utilisée de la sorte), en compagnie de beaux et magnifiques hommes de couleurs en arrière plan de leur clip n'est pas exhaustive.
"Finalemen j'ignoré ki tété." "j'avé raisOn de douté" "tant de fois j 'ai douté, tant de fois t'as découché"
Chaque phrase est un monument, du génie à l'état pur. Je pensais que les Marseillais étaient épargnés par ce cancer, mais non. J'ai ricané quant à la présence d'un personnage comorien qui joue le rôle d'un type du grand banditisme, (un bad boy de supermarché incapable), surtout quand on connait la composition des membres du milieu marseillais.
Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/11/13 13:06 par Ath Fraisoo.
Elle nous raconte ses tourments amoureux, apparemment il est question d'une séparation, et que par la suite malgré les "larmes", elle s'éclate et profite de la vie. Allez savoir ce que ça signifie.
"Oh oh oh oh yeah Zaynaaaaaaaaaaaaa" Elle se fait tabassé dans un grenier, mais elle garde le sourire. Elle pense à lui, mais espère l'oublier, tout en concluant par un paradoxal "jamais je t'oublierai". Une vraie serpillière. En gros, c'est je t'aime, je t'aime plus. Casse toi, reviens. Je te déteste. Laisse moi. Reviens.
Merci à vous d'exister. Vraiment
Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/11/13 21:49 par Ath Fraisoo.
Le pionnier, j'ai pas trouvé plus ancien dans le genre musical "OPA sur la beurette". La pauvre Djemila des lilas, qu'on cherche à arracher de la religion musulmane pour devenir esclave de la société de consommation et la tenter à quelques saloperies occidentalisantes à savoir, émancipation par la cuisse, vol, pseudo indépendance. Tout ça dans le but de saper la cellule familiale maghrébine.