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elhamdoulilah46 a écrit:
Parceque toi tu sais poser un diagnostic après lecture de qques lignes sur un forum anonyme ?
Tu es psychiatre au moins ? Quoi que mm un psychiatre n aurait pas la pretention de savoir diagnostiquer à distance une personne qu'il n'a jms vu ni parlé
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elhamdoulilah46 a écrit:
Tu lui conseilles donc d'abandonner son frere de 14 ans et ne penser qu'à sa propre personne ?
C est de la non assistance a personne en danger
C est horrible comme conseil, mets toi a la place de ce jeune garcon, seul face a une mere qui est suceptible de le rendre malade mentalement.
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AntiPN a écrit:
J apporte mon expérience à la posteuse et elle en fait ce qu'elle en veut.
Je n ai pas besoin d avoir un diplôme puisque j'ai eu affaire à 3 MPN dans ma vie et je connais leur structuration et mécanismes.
J'ai même été consulter pour avoir essayer de me détruire et me salir.
Je les connais très bien et les repères vite.
Seules les victimes de ces personnes peuvent comprendre.
Jai développé mes connaissances sur cette pathologie.
Je me suis instruite.
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Pertinence a écrit:
Relis ses postes et tu comprendras.
Si c'était quelqu'un d'autres je lui aurais dit de le prendre sous son aile.
Elle est prof si c'était un de ses élèves qui avait subit cela elle aurait fait un signalement direct.
Connaissant l'ambiance dans les foyers crois moi son frère est mieux chez sa mère.
Ce qui pourrait le sauver c'est une famille d'accueil mais y a très peu de place.
Quand à moi si j'étais à sa place j'aurais essayé de sauver mon frère seulement s'il y a pas de risque pour mes enfants.
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elhamdoulilah46 a écrit:
Donc il te suffit de connaitre 3 pn ( dont toi mm tu as donné le nom) pour savoir que sa mere est pn
Sais tu que l etre humain est unique ?
On ne met pas des gens dans des cases sur trois signes cités
C est bien plus complexe que ca , sinon les psychiatres n auraient pas besoin d autant d années d etudes pour obtenir leur diplome
Tu oses poser un diagnostic car tu as connu dans ta vie 3 cas
Je ne sais mm pas si tu te rends compte de l'absurdité de la chose.
Et c est une infirmiere qui a exercé un moment en psychiatrie qui te le dis.
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Sézane a écrit:
Salut les yabis,
J'étais avec ma mère dans le bus, elle me racontait à quel point elle est inquiète pour mon frère de 14 ans (ma mère était vraiment mal en me racontant), qu'elle a l'impression qu'il développe une pathologie mentale car il passe beaucoup de temps sur les jeux vidéos et elle dit qu'il refuse de voir du monde ou de sortir de la maison, qu'elle lui a proposé de l'inscrire au foot ou à la natation mais qu'il a refusé. Egalement, qu'à la veille de chaque rentrée il est angoissé pendant des jours, qu'elle est obligée de dormir avec lui, qu'il vomit etc car ça fait trop longtemps qu'il n'a pas mis le nez dehors.
On est ensuite rentré à la maison, mon frère était en train de jouer un à jeu vidéo.
Il s'est levé de l'ordi et à dit à ma mère "maman, est-ce que samedi prochain je peux inviter deux copains à la maison pour qu'on révise le brevet ensemble ?" Je m'attendais en toute logique à ce qu'elle saute de joie et lui dise OUIIII. Mais au lieu de ça elle lui a jeté un regard noir qui voulait dire Non&je vais te défoncer la gueule si tu oses me redemander à voir des copains. Alors il lui a demandé "je peux les voir 2h l'aprem samedi prochain chez eux ou dehors alors ?" Elle lui a encore jeté un regard noir qui voulait dire Non accompagné d'un "ferme ta gueule et retourner jouer à l'ordi"
J'ai été tellement choquée par l'incohérence entre les inquiétudes dont elle m'a fait part un quart d'heure au paravant et le refus qu'elle venait de lui donner, qu'aucun mot n'est sorti de ma bouche, car j'étais effrayée, elle me faisait peur, je me disais Mais elle est folle.... j'ai juste voulu partir au plus vite car ça m’a rappelé des comportements paradoxaux qu’elle avait eu avec moi également, par exemple quand à partir de mes 13 ans et je suis passée du jour au lendemain de première de la classe à élève extrêmement absentéiste à cause d'elle, les profs ne comprenaient pas. Ils ont convoqué ma mère en ma présence et la CPE m’a demandé devant elle «Sézane, est-ce un pari que tu as fait avec des copines ? Des copines t’obligent à rendre copie blanche ?» et ma mère a fondu en larmes…. je pense que c’est parce qu’elle savait qu’elle était l'unique responsable de mes absences et de ma dégringolade, puisqu’elle cachait mes affaires scolaires chaque matin (ou me tabassait en faisant des marques de sorte à ce que je ne puisse pas aller en cours, lol)….. elle pleurait surement de culpabilité car se rendait compte qu’elle était en train de me ruiner mais pour autant elle était incapable d’arrêter de tout entreprendre pour me saboter….
Je me demande si ça n'est pas le même comportement qu'elle est en train de refaire avec mon frère. S'inquiéter pour lui qu'il soit en rejet du monde et totalement éteint intérieurement alors qu'en réalité c'est elle qui entreprend tout pour qu'il le soit ?! Qu'elle voit le résultat, que ça marche, qu'il devient de plus en plus éteint et développe des troubles. Ca l'inquiète mais elle ne peut pas s'empêcher de continuer à le détruire...
D'autant que j'ai parlé avec mon frère en lui demandant pourquoi il ne sortait pas ou ne faisait pas un sport, il m'a répondu : "maman ne veut pas, ça fait 5 ans que chaque année je la supplie de m'inscrire au foot mais elle ne veut pas. Et pour mes copains pendant tout le collège je n'ai eu le droit de les voir qu'une seule fois, au stade, parce que je me suis plaint au médecin de famille que je n'avais pas le droit de sortir, du coup il lui a dit à maman cet après midi elle devait me laisser sortir"
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Deux versions totalement différentes donc.
Vous en pensez-vous, d'un point de vue extérieur ? Je n'arrête pas d'y penser, ça me rend malade car j'ai peur qu'elle soit en train de faire avec lui ce qu'elle a fait avec moi (sachant que moi j'en traine encore de graves casseroles). Et comme elle a été une mère perverse avec moi, j'ai peur que mon histoire avec elle influence mon objectivité sur cette situation et d'être en train de l'accuser pour rien.
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elhamdoulilah46 a écrit:
La posteuse n'a pas d'enfants il me semble
Donc il ny a aucun risque
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Sézane a écrit:
Et quand bien même je faisais un signalement, qu'imagines-tu que la société fait pour protéger les enfants de leurs parents ?
A 13 ans j'étais allée voir l'assistante sociale de mon collège en la suppliant de m'aider à aller dans un internat, et sa réponse a été de me rire au nez en me disant qu'un internat c'est payant.
Ensuite quand la fin d'année scolaire est arrivée j'ai moi même pris le téléphone et appelé le 119 en pleure en disant qu'on venait de me m'étrangler et de me mettre le couteau sous la gorge pour la énième fois, que c'était fait de manière de plus en plus violente chaque jour, et que comme la fin d'année scolaire arrivait j'avais peur pour ma vie, peur d'y passer pendant les vacances. Ma vie était réellement en danger.
Ce n'est qu'en septembre que suite à mon appel un policier de la brigade des mineurs est venu dans mon collège m'interroger. Et ensuite il ne s'est rien passé. Je n'ai eu aucune nouvelle, aucune inscription dans un internat alors que c'est ce que j'ai demandé, aucun placement. Rien de rien, aucune nouvelle, aucun suivi. Ce n'est q'un jour, plusieurs mois après, que l'assistante sociale du collège m'a appelé dans son bureau pour me faire un compte rendu, en me disant qu'en gros la brigade des mineur avait jugé le comportement de mes parents comme étant culturel et qu'ils ont eu un rappel sur le fait qu'en France ça n'était pas acceptable. Mais je n'ai eu aucun suivi.
Quelques années plus tard, j'avais 17 ans, et un oral extrêmement important, le concours de ma vie. Sauf que l'avant-veille de cet oral ma mère m'avait mis des coups de poings dans le visage et s'était acharnée à me griffer profondément (le visage). C'en était trop, elle était en train de faire en sorte de ruiner mon avenir encore une fois, car évidemment je ne pouvais pas me présenter à mon oral ainsi avec un cocard et tout éraflé de griffures profondes. Je me suis dit il faut qu'on me sorte de là. Je suis allée avec mon visage à l'Aide Sociale à l'Enfance. Ils ont vu mon visage ravagé et recueilli mon témoignage (mon visage était vraiment ravagé hein, tout le monde dans la rue me regardait et des personnes m'arrêtaient pour me demander si j'avais besoin d'aide). L'ASE m'a dit qu'ils m'aideraient, qu'ils me ferait un contrat jeune majeur j'sais pas quoi, et que je serai rappelée dans quelques jours sur mon téléphone, mais que pour l'instant je devais retourner chez moi. JE N'AI JAMAIS ETE RAPPELEE.
Donc mon frère, qui lui n'a jamais vécu de violences physiques, qui n'est absolument pas conscient de la perversion de notre mère, ma mère n'étant absolument pas consciente de sa propre perversion, penses-tu que la société fera quelque chose pour lui ? Non, évidemment que non. Et de toute manière la seule chose que les services sociaux sont capables de faire c'est mettre en foyer, et je t'invite à aller voir comment ça se passe en foyer..... Je t'assure qu'il vaut mille fois mieux rester chez ses parents aussi malsains soient-ils.
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Sézane a écrit:
Et quand bien même je faisais un signalement, qu'imagines-tu que la société fait pour protéger les enfants de leurs parents ?
A 13 ans j'étais allée voir l'assistante sociale de mon collège en la suppliant de m'aider à aller dans un internat, et sa réponse a été de me rire au nez en me disant qu'un internat c'est payant.
Ensuite quand la fin d'année scolaire est arrivée j'ai moi même pris le téléphone et appelé le 119 en pleure en disant qu'on venait de me m'étrangler et de me mettre le couteau sous la gorge pour la énième fois, que c'était fait de manière de plus en plus violente chaque jour, et que comme la fin d'année scolaire arrivait j'avais peur pour ma vie, peur d'y passer pendant les vacances. Ma vie était réellement en danger.
Ce n'est qu'en septembre que suite à mon appel un policier de la brigade des mineurs est venu dans mon collège m'interroger. Et ensuite il ne s'est rien passé. Je n'ai eu aucune nouvelle, aucune inscription dans un internat alors que c'est ce que j'ai demandé, aucun placement. Rien de rien, aucune nouvelle, aucun suivi. Ce n'est q'un jour, plusieurs mois après, que l'assistante sociale du collège m'a appelé dans son bureau pour me faire un compte rendu, en me disant qu'en gros la brigade des mineur avait jugé le comportement de mes parents comme étant culturel et qu'ils ont eu un rappel sur le fait qu'en France ça n'était pas acceptable. Mais je n'ai eu aucun suivi.
Quelques années plus tard, j'avais 17 ans, et un oral extrêmement important, le concours de ma vie. Sauf que l'avant-veille de cet oral ma mère m'avait mis des coups de poings dans le visage et s'était acharnée à me griffer profondément (le visage). C'en était trop, elle était en train de faire en sorte de ruiner mon avenir encore une fois, car évidemment je ne pouvais pas me présenter à mon oral ainsi avec un cocard et tout éraflé de griffures profondes. Je me suis dit il faut qu'on me sorte de là. Je suis allée avec mon visage à l'Aide Sociale à l'Enfance. Ils ont vu mon visage ravagé et recueilli mon témoignage (mon visage était vraiment ravagé hein, tout le monde dans la rue me regardait et des personnes m'arrêtaient pour me demander si j'avais besoin d'aide). L'ASE m'a dit qu'ils m'aideraient, qu'ils me ferait un contrat jeune majeur j'sais pas quoi, et que je serai rappelée dans quelques jours sur mon téléphone, mais que pour l'instant je devais retourner chez moi. JE N'AI JAMAIS ETE RAPPELEE.
Donc mon frère, qui lui n'a jamais vécu de violences physiques, qui n'est absolument pas conscient de la perversion de notre mère, ma mère n'étant absolument pas consciente de sa propre perversion, penses-tu que la société fera quelque chose pour lui ? Non, évidemment que non. Et de toute manière la seule chose que les services sociaux sont capables de faire c'est mettre en foyer, et je t'invite à aller voir comment ça se passe en foyer..... Je t'assure qu'il vaut mille fois mieux rester chez ses parents aussi malsains soient-ils.