Les stations de métro Londoniennes prennent les noms d'anciennes gloires qui ont marqué les jeux olympiques. On y retrouve notamment Hicham El Guerrouj et Saîd Aâouita.
Des athlètes d'exception, qui nous ont fait chavirer d'émotion en élevant le drapeau national le plus haut possible, nous ont fait pleurer quand ils ont échoué à réaliser ce qu'à quoi ils aspiraient (ce qui était rare bien sûr) comme la finale des jeux olympiques de Sydney remporté par Lagat face à El Geurrouj.
Depuis la retraite d'El Geurrouj, et à part Jawad Gharib qui a rélisé des exploits avec des moyens plus que limite, l'athlétisme marocain est sur le déclin. Les résultats glorieux n'étaient apparemment que le fruit d'efforts personnels et non d'une politique sportive.