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Qui sont les Salafites???
Y
18 janvier 2007 14:16
Salam,
Svp répondez moi c'est important, pouvez vous me dire qui sont les Salafites, quel genre d'Islam pratiquent ils?
Je suis sur le point de me convertir prochainement avec des soeurs et je viens d'apprendre que c'était des Salafites.
J'avais trouvé leur vision de l'Islam assez extrèmiste, svp aidez moi.
W
18 janvier 2007 14:29
salam 3alaikoum wa rahmatoullah

Je te conseil de faire des recherche sur le net il ya beaucoup de chose la dessus car il faut connaitre leur histoire le fondement de leur principe etc...tu va sur un moteur de recherche et puis tu tappes salafistes.dans tout les cas je te conseil puisque tu vas te convertir de faire des recherches par roi meme car tu n'as pas besoin de rejoindre un groupe quelconque pour te convertir tu sais lire écrir tu as esprit le Coran et la vie du prophéte (saw)reste Les References et pour les queqtions que tu te pose tu peut te rendre à la mosqué de ta ville.Crois moi ça sert à rien que tu te prenne la tete dans des histoire com ça car tu peut devenir une proie facile.
Qu'allah t'aide et dit toi que quant tu t'approche de Dieu en marchant il vien vers toi en courrant et qu'il te façilitera les chemin vers la conversion.

wa 3alaikoum salam wa rah matoullah
s
18 janvier 2007 14:40
Citation
Youlie a écrit:
Salam,
Svp répondez moi c'est important, pouvez vous me dire qui sont les Salafites, quel genre d'Islam pratiquent ils?
Je suis sur le point de me convertir prochainement avec des soeurs et je viens d'apprendre que c'était des Salafites.
J'avais trouvé leur vision de l'Islam assez extrèmiste, svp aidez moi.

Salam haleikoum Youlie,

Quels sont les éléments extrémistes que tu as trouvé? Peux tu être plus précis en donnant des exemples?
h
18 janvier 2007 14:42
As tu cherché sur Internet, sinon mefiez toi de certains sites Anti Islam.
Les salafistes sont avant tout des musulmans qui veulent l'adoption de la chaaria ( la loi de coran) que les lois importés depuis l'occident ou ailleurs.

Le mot "salaf" ça veut dire "passé".

Parcontre il y a differents salafistes : des salafistes jihadistes qui pronnent la lutte armée pour instaurer chaaria, et defendre l'islam dans le monde entier , et des salafistes "démocrates" qui veulent l'instaurer par les urnes comme ce qui s'est passé en Algerie avec FIS.

Alors si tu vis en europe, tu dois certainement avoir une image de musulman mechant, assoifé de sang qui veut egorger le pauvre occidental, et cette image malhereusement est importé par les régimes dictatorials dans les pays musulmans.

Pour, moi musulman non pratiquant, je n'ai rien contre eux alors comme elle dit une chaine celebre : il ya un avis et puis il y a un avis contraire.

Enfin si tu veux te convertir, tu sois le bien venu dans cette ultime merveilleuse religion Angel
Y
18 janvier 2007 15:06
Merci beaucoup pour tous tes conseils, je vais faire des recherches.
On m'a dit de ne plus y aller.
Y
18 janvier 2007 15:08
J'ai l'impression d'avoir eu un lavage de cerveau, à les entendre, il faut que j'arrete de travailler et le jour ou je me convertsi, hijab direct, que je kite mon ami musulman car il né pa pratikan, plus de serrage de mains ou regard au boulot avec les clients, tout un tas de truc dans le genre....et j'en passe...
s
18 janvier 2007 15:23
Citation
Youlie a écrit:
J'ai l'impression d'avoir eu un lavage de cerveau, à les entendre, il faut que j'arrete de travailler et le jour ou je me convertsi, hijab direct, que je kite mon ami musulman car il né pa pratikan, plus de serrage de mains ou regard au boulot avec les clients, tout un tas de truc dans le genre....et j'en passe...

Ce sont des soeurs que tu as rencontré comment si c'est pas indiscret? Est ce qu'elles portent le niqab (voile recouvrant le visage)?
Ont elles changé d'attitude ? Etaient elles gentilles puis d'un coup sévère? Comment ça s'est passé?

Est ce qu'elles font partie d'une asso, un groupe? Quels sont les savants ou noms qu'elle cite le plus souvent? Sont elles aggressives?

Désolé pour toutes ces questions
W
18 janvier 2007 15:34
salam 3alaikoum

En tout fait attention à toi.Car déja elles ne devrai pas te dire de quitter ton copain parcekil est pas pratiquant mais plutot te dire des versets qui te dise pourquoi dieu t'interdit ceci ou cela car la elle le juge et en islam il est interdit de juger son frére musulman meme s'il n'est pas pratiquant .Certes ta vie va changer on ne dit pas le contraire mais tu ne va pas faire les obligations sans savoir qui est Allah qui est son messager comment à été révélé l'islam.peut etre que ces soeurs partaient d'une bonne intention mais fait quand meme intention à toi
Y
18 janvier 2007 15:41
Citation
srnit a écrit:
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Youlie a écrit:
J'ai l'impression d'avoir eu un lavage de cerveau, à les entendre, il faut que j'arrete de travailler et le jour ou je me convertsi, hijab direct, que je kite mon ami musulman car il né pa pratikan, plus de serrage de mains ou regard au boulot avec les clients, tout un tas de truc dans le genre....et j'en passe...

Ce sont des soeurs que tu as rencontré comment si c'est pas indiscret? Est ce qu'elles portent le niqab (voile recouvrant le visage)?
Ont elles changé d'attitude ? Etaient elles gentilles puis d'un coup sévère? Comment ça s'est passé?

Est ce qu'elles font partie d'une asso, un groupe? Quels sont les savants ou noms qu'elle cite le plus souvent? Sont elles aggressives?

Désolé pour toutes ces questions

je les ai rencontrées lors d'un mariage, j'étais avec ma "belle mère" et j'ai fait part à une d'entre elles de mon grand souhait de conversion. (c'est la soeur d'une copine)
oui elles ont le corps recouvert et portent le hijab noir qui couvre tout sauf les mains et visage
je n'y suis allée qu'une fois, mais la femme ki ma parlé me met la pression, kil fo vite que je me convertisse et rupture ou halal illiko après avec mon ami, elles ne se voient qu'entre elles, entre soeurs ou convertissent des francaises, je ne me rappelle plus les noms des savants qu'elles citent le plus, je te dirais ce soir car elle ma tout noté
s
18 janvier 2007 15:51
Citation
Youlie a écrit:
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srnit a écrit:
Citation
Youlie a écrit:
J'ai l'impression d'avoir eu un lavage de cerveau, à les entendre, il faut que j'arrete de travailler et le jour ou je me convertsi, hijab direct, que je kite mon ami musulman car il né pa pratikan, plus de serrage de mains ou regard au boulot avec les clients, tout un tas de truc dans le genre....et j'en passe...

Ce sont des soeurs que tu as rencontré comment si c'est pas indiscret? Est ce qu'elles portent le niqab (voile recouvrant le visage)?
Ont elles changé d'attitude ? Etaient elles gentilles puis d'un coup sévère? Comment ça s'est passé?

Est ce qu'elles font partie d'une asso, un groupe? Quels sont les savants ou noms qu'elle cite le plus souvent? Sont elles aggressives?

Désolé pour toutes ces questions

je les ai rencontrées lors d'un mariage, j'étais avec ma "belle mère" et j'ai fait part à une d'entre elles de mon grand souhait de conversion. (c'est la soeur d'une copine)
oui elles ont le corps recouvert et portent le hijab noir qui couvre tout sauf les mains et visage
je n'y suis allée qu'une fois, mais la femme ki ma parlé me met la pression, kil fo vite que je me convertisse et rupture ou halal illiko après avec mon ami, elles ne se voient qu'entre elles, entre soeurs ou convertissent des francaises, je ne me rappelle plus les noms des savants qu'elles citent le plus, je te dirais ce soir car elle ma tout noté

inshaAllah

Dans tous les cas, par rapport à ta conversion, il est important que tu sois entouré de personnes avec qui tu te sens à l'aise et qui te mette en confiance. C'est très important car ce sont tes premiers pas en islam et tu peux en ressortir dégouté par des personnes qui n'auront fait que te donner des limites sans rien te faire comprendre.

Je rajoute quelques questions :
- prononce t'elle souvent le mot kafir (mécréant)? En disant par exemple, un tel est kafir parce qu'il ne prie pas ou bien tel roi est kafir, tel philosophe, tel penseur ...
- critique t'elle des savants? Lesquelles?

Bref, tu réponds à ce que tu peux, l'objectif est de savoir si elles appartiennent à un groupe.
Y
18 janvier 2007 16:14
Citation
srnit a écrit:
Citation
Youlie a écrit:
Citation
srnit a écrit:
Citation
Youlie a écrit:
J'ai l'impression d'avoir eu un lavage de cerveau, à les entendre, il faut que j'arrete de travailler et le jour ou je me convertsi, hijab direct, que je kite mon ami musulman car il né pa pratikan, plus de serrage de mains ou regard au boulot avec les clients, tout un tas de truc dans le genre....et j'en passe...

Ce sont des soeurs que tu as rencontré comment si c'est pas indiscret? Est ce qu'elles portent le niqab (voile recouvrant le visage)?
Ont elles changé d'attitude ? Etaient elles gentilles puis d'un coup sévère? Comment ça s'est passé?

Est ce qu'elles font partie d'une asso, un groupe? Quels sont les savants ou noms qu'elle cite le plus souvent? Sont elles aggressives?

Désolé pour toutes ces questions

je les ai rencontrées lors d'un mariage, j'étais avec ma "belle mère" et j'ai fait part à une d'entre elles de mon grand souhait de conversion. (c'est la soeur d'une copine)
oui elles ont le corps recouvert et portent le hijab noir qui couvre tout sauf les mains et visage
je n'y suis allée qu'une fois, mais la femme ki ma parlé me met la pression, kil fo vite que je me convertisse et rupture ou halal illiko après avec mon ami, elles ne se voient qu'entre elles, entre soeurs ou convertissent des francaises, je ne me rappelle plus les noms des savants qu'elles citent le plus, je te dirais ce soir car elle ma tout noté

inshaAllah

Dans tous les cas, par rapport à ta conversion, il est important que tu sois entouré de personnes avec qui tu te sens à l'aise et qui te mette en confiance. C'est très important car ce sont tes premiers pas en islam et tu peux en ressortir dégouté par des personnes qui n'auront fait que te donner des limites sans rien te faire comprendre.

Je rajoute quelques questions :
- prononce t'elle souvent le mot kafir (mécréant)? En disant par exemple, un tel est kafir parce qu'il ne prie pas ou bien tel roi est kafir, tel philosophe, tel penseur ...
- critique t'elle des savants? Lesquelles?

Bref, tu réponds à ce que tu peux, l'objectif est de savoir si elles appartiennent à un groupe.

Non je n'ai pas le souvenir de ce mot, et c vrai que je suis ressortie de la avec des frissons meme quand jy repnse, j'ai super mal dormi la nuit qui a suivi, et je regrette de tout coeur car pour moi l'Islam c'est pas ça, je ne veux pas etre dégoutée car je pense etre sur la bonne voie...
elle a critiqué une femme dans ma ville qui dinne des cours d'arabe pour apprendre la priere, elle dit d'elle qu'elle avance des choses qui n'ont pas de vérification, bref, alors que je me sens a l'aise avec cette femme moi.
je préfère y aller doucement moi, quitte a retarder ma conversion pour qu'elle soit la plus parfaite possible et que je me sente bien inch'Allah.
s
18 janvier 2007 16:47
Salam alaykoum,

Voici la les inforamtions disponibles sur wikipédia :


Le salafisme, appelé en arabe le minhadj salafi, est un mouvement revendiquant un retour à l'islam des origines.

Étymologiquement, salafisme (en arabe : السلفية as-salafiyyah) provient du mot salaf, prédécesseur ou ancêtre, qui désigne les compagnons de Mohamed et les deux générations qui leur succédèrent.




Sommaire [masquer]
1 Les origines du salafisme
2 Les principaux fondements du salafisme
3 Position au sujet des attributs divins
4 Position par rapport aux quatre écoles traditionnelles
5 Position par rapport au terrorisme : « cheikhistes » et « djihadistes »
6 Relation avec les Frères Musulmans et autres...
7 Les références des salafis
8 Le salafisme dans le monde
9 Liens externes (salafis Cheikhistes)



Les origines du salafisme [modifier]
Les salafis refusent de se voir comme un mouvement de fondation récente, et considèrent qu'ils représentent la continuation légitime de l'islam des premiers siècles. L'utilisation du mot arabe salafiy (salafiste) remonte au moins au XIVe siècle. Ibn Taymiyyah déclarait ainsi : "il n'y a nul inconvénient à s'attribuer aux salafs". On trouve aussi cette attribution dans les écrits de son élève, historien et spécialiste du hadith, Adh-Dhahabiy.

L'attribution au salafisme a été plus largement diffusée au début du XXe siècle par l'école rationnaliste de l'égyptien Muhammad Abduh et de son élève syrien Muhammad Rashid Ridha, par opposition au soufisme, qu'ils combattaient comme étant une des principales sources de la décadence des musulmans. Cependant, ils n'ont pas adopté les autres fondements qui distinguent aujourd'hui les salafistes (non interprétation des attributs divins, rôle limité de la raison dans l'interprétation des textes sacrés...). Les salafis d'aujourd'hui sont donc assez critiques envers cette école. Le yéménite Muqbil Ibn Hâdî a ainsi écrit un livre pour démontrer que Rashid Ridha et encore moins son maître Muhammad Abduh, ne peuvent se prévaloir du salafisme.

Al-Albâniy considérait qu'il est nécessaire aujourd'hui de s'appeler "salafis", et qu'il ne suffit pas de se déclarer simplement "musulman", car les courants les plus opposés, du chiisme au kharidjisme, se déclarent aussi musulmans. C'est donc dans un souci de distinction des autres courants qu'il a insisté sur cette appellation. Il affirmait qu'elle était simplement un résumé en un mot de la phrase "musulman suivant le Coran et la Sunna, selon l'interprétation des pieux prédécesseurs" (as-salaf as-sâlih).


Les principaux fondements du salafisme [modifier]
Insister sur le tawhid (monothéisme) dont ils distinguent trois branches, ce qui est une différenciation nette vis à vis des autres théologiens musulmans :
Tawhîd ur-rubûbiyyah : L'unicité d'Allah comme créateur, et pourvoyeur aux besoins de ses créatures.
Tawhîd ul-Ulûhiyyah : Le fait de consacrer tous ses actes d'adoration à Allah et à lui seul. Ils affirment que la première mission de tous les prophètes a été d'appeler les gens à se conformer à cet aspect du monothéisme.
Tawhîd ul-Asmâ`i was-Sifât : Le fait d'accepter le sens apparent des attributs et actes divins qui apparaissent dans le Coran et la Sunna authentique, sans les interpréter de façon métaphorique, et sans les assimiler aux attributs humains.
Revenir à la religion telle que pratiquée par les "pieux prédecesseurs" et dénoncer toute innovation dans les préceptes ou les pratiques religieuses, ce qui les amène bien souvent à dénoncer des choses qui ne sont pas reconnues comme des innovations par le consensus des sunites traditionnels.
Aucune parole ou avis d'aucune personne ne doit primer sur les textes du Coran et de la Sunna. Ils citent ainsi souvent la parole de l'Imâm Mâlik : "L'avis de toute personne est susceptible d'être accepté ou refusé, sauf [les paroles de] celui qui gît dans cette tombe", montrant la tombe du Prophète, ou celle de l'Imâm Ach-Châfi'iy : "Si le hadith se révèle authentique [alors qu'il se contredit avec ma parole], alors jetez ma parole contre le mur".

Position au sujet des attributs divins [modifier]
Du point de vue doctrinal, les salafis s'opposent aux acharites et aux maturidites, en prétendant refuser d'interpréter de façon métaphorique les attributs et les actes divins (tels que l'ascension sur le trône, la "main de Dieu", "l'œil de Dieu", "la jambe de Dieu", "la face / le visage de Dieu", "le sourire de Dieu"...), sans toutefois les assimiler aux attributs humains. Ils se réclament ainsi de la majorité des hanbalites, et notamment d'Ibn Taymiyyah qui constitue une de leur références privilégiées. Mais dans les faits, ils interpretent les attributs divins de façon littérale, ce qui est considéré par la majorité des savants sunnites non salafis comme de l'anthropomorphisme. En effet, pour chaque attribut, ils disent que le sens est connu mais la modalité inconnue. Donc la Main de Dieu serait selon eux véritablement une main au sens ou nous l'entendons mais ne resemblerait pas aux autres mains connues.

Cette position est attestée dans des écrits anciens. At-Tirmidhiy au Xe siècle, dit dans ses Sunan (livre qui constitue l'une des six plus importantes références de hadîth chez les sunnites), en commentant le hadîth selon lequel "Allah accepte l'aumône et la prend de sa main droite ..." :

« A propos de ce hadîth et des récits du même ordre, mentionnant des attributs [divins], ou évoquant la descente du Seigneur - Glorifié et Elevé soit-Il - chaque nuit, au ciel le plus bas, plusieurs savants ont dit : certains de ces récits sont authentiques, [on doit] y croire, mais on ne doit pas l'imaginer ni s'interroger sur le comment. Ceci a été rapporté de Mâlik Ibn Anas, Sufyân Ibn 'Uyaynah et Abd-Allâh Ibn Al-Mubârak. Ils ont dit à propos de ces hadîths : "Faites-les passer sans parler du 'comment'". Ceci est l'avis des savants parmi les gens de la sunna et du consensus. Quant à la [secte] des djahmiyyah, ils ont renié ces récits et ont dit que c'est de l'anthropomorphisme. Alors qu'Allah a mentionné dans plusieurs passages de son Livre, "la Main", "l'Ouïe", "la Vue", les djahmiyyah ont interprété ces versets de manière métaphorique et l'ont expliqué d'une manière contraire à celle des gens de la science. Ils ont prétendu qu'Allah n'a pas créé Adam de Sa Main, mais ils ont dit que "main" ici signifie "force". Ishâq Ibn Râhawayh a dit : "Ce serait de l'anthropomorphisme si on disait : 'Une main telle que telle main' (yadun ka-yad) ou 'une ouïe telle que telle ouïe' (sam'un ka-sam' ) ou 'qui ressemble à telle ouïe' (sam'un mithla sam') (...). Quant à dire, comme Allah l'a dit, 'une Main', 'une ouïe', 'une vue' sans parler du comment et sans dire 'qui ressemble à telle ouïe' ou 'telle que telle ouïe', alors ceci n'est en aucun cas de l'anthropomorphisme. C'est conforme à ce qu'Allah - Glorifié et Elevé soit-Il - a dit dans son Livre : لَيسَ كَمِثْلِه& amp;#1616; شَيْءٌ وهُوَ السَّمِيع& amp;#1615; البَصِيرُ ("Il n'y a rien qui Lui ressemble; et c'est Lui l'Audient, le Clairvoyant"winking smiley »
Les acharites accusent les salafistes d'anthropomorphisme lorsqu'ils parlent de "Main d'Allah", des "Yeux d'Allah", de la "Colère d'Allah", de la "Miséricorde d'Allah", etc. au sens propre, car pour eux ces attributs sont le propre des créatures et impliquent une certaine faiblesse. Les salafis leur répondent que les acharites aussi reconnaissent certains attribus ("La Vie", "La Volonté", "La Vue", ...) alors qu'elles sont partagés par les créatures. Pourquoi donc ne parleraient-ils pas d'anthropomorphisme dans ce cas ?

Les salafis acceptent tout les noms et attributs divins sans les nier, ni les transformer, ni les comparer...


Position par rapport aux quatre écoles traditionnelles [modifier]
Les salafis apprennent des 4 écoles et affirment qu'il n'est pas obligatoire d'adhérer à une école. Au contraire, il est du devoir des salafis de chercher "la vérité" même si elle contredit l'avis d'une école. Ce point de vue des salafis a suscité la colère des fanatiques des quatre écoles.

Les arguments avancés par les salafis, à ce sujet, sont développés dans des livres tels que I'lâm ul-Muwaqqi'în d'Ibn Al-Qayyim (XIVe siècle), Al-Qawl ul-Mufîd fî hukm it-taqlîd d'Ash-Shawkâniy (XIXème siècle), Hadiyyat us-Sultân, ilâ muslimî bilâd il-Yâbân de Sultân Al-Ma'sûmiy, ou encore Bid'at ut-Ta'assub il-Madhhabiy du contemporain 'Îd 'Abbâsiy, qui est une réponse au livre Al-Lâmadhhabiyyah d'Al-Bûtî.


Un Sectarisme

Cependant, la majorité des Musulmans considèrent cette mouvance comme Sectaire. Ce concessus Islamique voit dans la mouvance des Salafis des discours très éloignés des Salafs historiques, cherchant à se distinguer et se valoriser par rapport aux Musulmans, ou à créer une rupture avec la masse Musulmane.

Les Musulmans reprochent aux Salafis leur manière d'interpréter les Textes qu'ils considèrent comme vide de leurs contextes, de leurs sens profond et de justifications appropriées. Ils les reprochent aussi leur manque de rationnalisme et de références scientifiques. Les salafis semblent être vu aussi comme un danger pour l'ensemble du monde Musulman du fait de leur éloignement de la conscience humaine, de la philosophie et de la Raison. Les seuls arguments que les salafis tiennent pour sources "fiables" & "sûres", selon leurs propos, sont leurs références aux Savants qu'ils ont choisit de reconnaître comme "bien pensant". Or, pour les Musulmans, les Savants ne sont pas infaillibles et peuvent se tromper ou émettre des erreurs sur des questions de jurisprudence Islamique ou sur l'interprétation des Textes.

Autre reproche faite aux salafis: leur opposition à la démocratie pour des raisons diverses et variées, mais jamais justifiées concrètement; selon eux, même si l'Islam ne peut pas venir par les urnes, la volonté d'une minorité est de droit (voir le GSPC). Ces quelques faits ont résulté que de plus en plus de Musulmans de s'opposent à cette mouvance qu'ils considérent de bon droit comme sectaire et souvent comme l'antithèse de l'Islam.


Position par rapport au terrorisme : « cheikhistes » et « djihadistes » [modifier]
Les Salafis sont aujourd'hui répartis en plusieurs sensibilités politiques.

Un courant a développé, surtout depuis la guerre en Afghanistan contre les soviétiques, une idéologie militante et militaire, considérant la lutte armée contre les ennemis intérieurs et extérieurs de l'islam comme un obligation religieuse. Ce courant, dit « djihadistes », a déclenché des luttes armées dès le début des années 1990 (qualifiées de terroristes par les pouvoirs en place), en particulier en Égypte (Al-Gama'a al-Islamiyya) et en Algérie (Groupe islamique armé, puis Groupe salafiste pour la prédication et le combat). Dans ces pays, cependant, ces luttes armées ont été globalement des échecs militaires. Le principal front « djihadistes » est depuis 2003 l'Irak, ou le courant salafiste « djihadistes » mêne une triple lutte contre les chiites, considérés comme traitres à l'islam, contre les forces gouvernementales irakiennes et contre les forces armées américaines.

Les salafis restés proches de l'Arabie Saoudite, et condamnant les pratiques « djihadistes » et le terrorisme, sont souvent appelés « cheikhistes ». Ce courant désavouent et dénoncent tout acte terroriste, qu'il soit fait au nom de l'islam ou non. Plusieurs théologiens salafis (les mufti d'Arabie saoudite Âl Ash-Sheikh, Ibn Baz, Ibn 'Uthaymîn, Al-Fawzân, Al-'Ubaykân) se sont prononcés contre les attentats suicides quelle que soit leur justification. Ce qui leur a valu des critiques acerbes des khawarijs contemporains dits « djihadistes ». Beaucoup se sont aussi opposés à l'entrée des militants musulmans dans l'activisme politique. Une des paroles célèbres du cheikh salafis Nasir ud-Dîn Al-Albâniy était : « Il fait partie de la [bonne] politique, aujourd'hui, de délaisser la politique ». Ce théologien Albano-Syrien qui a été la figure la plus marquante du salafisme depuis les années 60, jusqu'à sa mort en 2000, et qui a beaucoup contribué à la diffusion du salafisme, était convaincu que la seule solution aux problèmes des musulmans consiste en ce qu'il appelait "At-Tasfiyatu wa-Tarbiyah" (la purification et l'éducation) : d'une part, purifier la religion musulmane de toutes les "innovations" qui ont entaché ses préceptes et ses dogmes, pour revenir à la religion originelle telle qu'elle a été transmise par le Prophète, et d'autre part, l'éducation des musulmans pour qu'ils se conforment à cette religion purifiée, et délaissent leurs mauvaises coutumes. Il considérait donc, que tout autre solution (qu'elle soit politique ou révolutionnaire) ne fait que détourner les musulmans du bon chemin à suivre. Peu avant sa mort, il estimait que beaucoup a été fait pour ce qui est de la "purification", mais que l'essentiel reste à faire en ce qui concerne "l'éducation".

À noter que les salafis cheikhistes, opposés à tout violence terroriste, sont plus nombreux que les djihadistes pro-terrorisme, ce qui est expliqué par le fait que seul le salafisme Cheikhiste est autorisé dans la plupart des législations (le terrorisme étant proscrit).

Conséquences de leurs divergences politiques, « cheikistes » et « djihadistes » se sont affrontés physiquement, en particulier en Arabie Saoudite, ou le courant « djihadiste », plus spécifiquement la branche saoudienne de Al-Qaïda, a lancé une campagne d'attentats contre les étrangers et les forces du gouvernement « cheikistes » Saoudien.


Relation avec les Frères Musulmans et autres... [modifier]
Certains membres des Frères musulmans sont plus ou moins sympathisants du salafisme, mais le mouvement en lui-même n'est pas une émanation du salafisme. Hassan El-Banna, le fondateur du mouvement, le définissait comme "à la fois salafiste et soufi", dans un souci de rassembler le plus de musulmans dans son mouvement politico-religieux. La plupart des salafis sont très critiques envers le mouvement des Frères musulmans. Ils les accusent notamment :

de ne pas insister sur le tawhid dans leur prêche.
de rassembler des gens de diverses croyances sans se soucier de corriger leurs éventuelles déviances.
de fonder les critères d'alliance et de désaveu sur l'appartenance à leur mouvement, le respect de ses règles, et l'obéissance à leur murchid au lieu de les fonder sur le respect de l'islam.
de s'être rapprochés des chiites qui sont le groupe le plus détesté des salafis.
Cf. Waqafâtun ma'a kitâbi li-ddu'âti faqat ((ar) [1]) de Muhammad Ibn Sayf Al-'Adjmiy.

Sâlih Âl Ash-Shaykh, actuel ministre saoudien des affaires religieuses, déclarait :

« Quant au groupe des Frères Musulmans, parmi les principaux aspects de leur appel, on relève : le secret, la dissimulation, la versatilité, le rapprochement de ceux qui présentent un intérêt pour eux (...). Aussi, parmi les aspects [distinctifs] de ce groupe et ses fondements, est le fait qu'ils empêchent leurs disciples d'entendre les avis qui s'opposent au leur. Ils ont pour cela des tactiques variés : occuper le temps des jeunes du matin au soir (...) pour qu'ils n'aient plus l'occasion de s'intéresser à autre chose, accuser les gens qui connaissent leur vérité et les diffamer (...) pour empêcher les autres de les écouter. Ils sont en cela semblables aux polythéistes, dans un certain aspect, lesquels accusaient le Messager d'Allah (...), en public, de divers maux pour empêcher les gens de le suivre. (...)
D'autre part, le but ultime de l'appel [des Frères Musulmans] est d'arriver au pouvoir. (...) Quant au fait que les gens soient sauvés du châtiment d'Allah (...) et entrent au paradis, ceci n'est pas important pour eux.»
(Propos enregistrés dans une cassette intitulée Fatâwâ Al-'Ulamâ`i fil-djamâ'âti wa atharuhâ 'alâ bilâd il-h'aramayn, aux éditions Minhâdj us-Sunnah, Riyad).

Les salafis désavouent la croyance qu'ils pensent être erronée des chiites, des mourjis, des mou'tazila, des ach'arites, des frères musulmans, des khawarijs, des jahmites, des habaches, des soufis, des tijanis, des tablighis... Car pour eux, ces sectes font partie des groupes qui vont au feu, cela appuyé par certains hadiths du Prophète.


Les références des salafis [modifier]
Les salafis Cheikhistes se réfèrent à des oulémas anciens :

D'abord les compagnons du Prophète, qu'ils considèrent comme étant les plus savants et le premier exemple à suivre après Mahomet.
Les quatre Imâms fondateurs des écoles juridiques, pour lesquels ils montrent un grand respect bien qu'ils refusent de les suivre aveuglément.
Les savants spécialistes du hadith du IXème-XIIIème siècle, tels que : Ibn Al-Mubârak, Ibn 'Uyaynah, Al-Bukhâriy, Muslim, At-Tirmidhiy, Abû Daoûd, Ibn Khuzaymah, Ibn Battah, Ibn Mandah, Ibn Qudâmah...
Ibn Taymiyyah et ses disciples Ibn Al-Qayyim, Ibn Kathîr et Adh-Dhahabiy, qui ont vécu au XIIIème-XIVème siècle, à l'époque des mamelouks. Les salafistes les citent très souvent (surtout les trois premiers) car leurs œuvres sont abondantes et qu'ils ont défendu avec énergie la croyance "salafi" contre les courants soufis et asharites, majoritaires à leur époque.
Tous les théologiens qui précèdent sont également reconnus et respectés par les musulmans sunnites des autres courants.

Muhammad Ibn Abd Al-Wahhâb et ses disciples, dont les œuvres ont été rassemblés dans "Les œuvres complètes de Muhammad Ibn 'Abd Al-Wahhab" et "Al-Fatâwa An-Nadjdiyyah". Ces théologiens font l'objet de beaucoup plus de polémiques entre les salafis et les autres courants.
Muhammad Ibn Ibrâhîm, ancien mufti d'arabie saoudite, au début du XXème siècle. Son livre Tahkîm ul-Qawânîn est très cité par les khawarijs, car ils pensent y trouver un jugement d'apostasie des gouverneurs qui n'appliquent pas la chari'a. Ce passage du livre a été discuté par certains salafis pour lui donner sa vraie interprétation.
Quant aux oulémas contemporains, les salafis se réfèrent à :

Ibn Bâz, précédent mufti d'Arabie Saoudite. Ses œuvres complètes ont été rassemblées dans un recueil.
Nasir ud-Dîn Al-Albâniy, spécialiste de la science du hadith. Il a émigré d'Albanie avec son père qui était un mufti hanafite, pour s'installer en Syrie. Il est pour une grande partie auto-didacte. Il a été appelé pour enseigner les sciences du hadith à l'Université de Médine, l'année de sa fondation. Mais, après deux ans, son contrat n'a pas été renouvelé. Il a vécu un certain temps au Liban et aux Emirats, avant de s'installer définitivement à Amman en Jordanie.
Ibn 'Uthaymîn, ancien membre du Comité des grands savants saoudiens. Parmi ses fatwas célèbres est le fait que "l'auteur d'un attentat suicide sera en enfer pour toute l'éternité" (Cf. son livre Sharhu Riyâdh is-Sâlihîn).
le yéménite Muqbil Ibn Hâdî, formé en arabie saoudite. Il en a été expulsé, ce qu'il a vécu comme une injustice. Il a été très critique envers le gouvernement saoudien, jusqu'à peu avant sa mort. Il est revenu sur sa position lorsque des reponsables saoudiens l'ont accueilli et transféré pour être soigné aux États-Unis puis en Arabie Saoudite. Il rapportait que Oussama Ben Laden lui proposait de fournir en armes ses étudiants au Yémen, ce qu'il a refusé. Il a été très critique envers lui, et il a déclaré avant les attentats du 11 septembre : "Qu'Allah nous protège contre Oussama Ben Laden. C'est un mauvais présage pour les musulmans".
Ces quatre oulémas, décédés tous entre 1999 et 2001, constituent les premières références contemporaines des salafis. Ils sont souvent plus ou moins attaqués par les djihadistes ou khawarijs contemporains qui les considèrent volontiers comme étant à la solde des gouvernements arabes, car ils refusaient de les déclarer "apostats" comme le font les djihadistes, et sont opposés aux soulèvements armés et aux attentats.

Parmi les oulémas encore vivants auquels se réfèrent les salafis :

Le saoudien Rabî' Ibn Hâdî Al-Madkhaliy, qui est sans doute leur premier porte-parole aujourd'hui. Ancien chef du département des sciences de la Sunna à l'Université de Médine. Il a été élève d'Al-Albâniy. Le cheikh Rabî' concentre les critiques les plus véhémentes des khawarijs.
L'actuel mufti d'Arabie Saoudite, 'Abd Al-'Azîz Âl Ash-Shaykh (descendant d'Ibn 'Abd Al-Wahhab).
Sâlih Al-Fawzân, membre du Comité des grands savants saoudiens.
Sâlih Âl Ash-Shaykh, actuel ministre des affaires religieuses de l'Arabie saoudite (également descendant d'Ibn 'Abd Al-Wahhab).

Le salafisme dans le monde [modifier]
Arabie saoudite : Les autorités et les oulémas saoudiens se réclament du salafisme tout en rejetant l'appellation "wahhabite" considérée comme une insulte.
Afghanistan : A l'époque de l'occupation soviétique, le salafisme était représenté par le combattant Djamîl ar-Rahmân qui fut assassiné par une fraction rivale liée au Frères musulmans. Les talibans ne se revendiquaient pas du salafisme. Ils étaient plutôt des soufis de l'école de Deoband. En Afghanistan, Inde et Pakistan, les salafis se nomment Ahl ul-Hadîth.
Algérie : Certains voient en Djam'iyyat al-'Ulamâ` (l'association des oulémas) fondée par Ibn Bâdis et Al-Bachîr Al-Ibrâhîmiy en 1931 une tendance se rattachant au salafisme.
L'organisation Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat ou GSPC classée parmi les mouvements terroristes revendique son appartenance au salafisme, cependant comme nous l'avons dit plus haut, tous les savants salafis rejettent complètement les actes terroristes (qu'il soient faits au nom de l'islam ou non).
Egypte : Mohammed Rachid Rida (1865-1935) a contribué à la diffusion de l'attribution au salafisme, mais il est critiqué par les salafis d'aujourd'hui. Les salafistes ont été longtemps représentés par l'association Ansâr as-sunnat il-Muhammadiyyah fondée en 1926 par Muhammad Hâmid Al-Faqî (1892-1959), et qui compta parmi ses membres des oulémas tels que Ahmad Shâkir, Muhyi-ddîn Al-Khatîb, 'Abd Ar-Rahmân Al-Wakîl, Khalîl Harrâs, et d'autres. Muhammad Hâmid Al-Faqî était très opposé à l'organisation des Frères musulmans, qu'il appelait ironiquement Al-Khuwwân (les traitres) au lieu d'Al-Ikhwân (les Frères). Cette association existe encore en Egypte et au Soudan. Même si certains membres des Frères musulmans se sont rapprochés des salafistes ou ont adoptés certains de leurs principes, ils ne peuvent être considérés comme une continuation de la tendance salafie. Les grandes figures du salafisme egyptien sont aujourd'hui Hassan Ibn 'Abd Al-Wahhâb El-Banna (à ne pas confondre avec son homonyme fondateur de la confrérie des Frères Musulmans) et son frère Muhammad El-Banna, ou encore les prédicateurs Muhammad Ibrahim et Abou Al-Yamin (élève du cheikh Nasir ud-Dîn Al-Albâniy, dans la région d'Alexandrie).
Pakistan : l'un des plus éminents représentants du salafisme fut Ihsân Ilâhî Zhahîr.
Syrie, Liban, Jordanie : Les adeptes du salafisme dans cette région ont beaucoup été influencés par Nâcir ud-Dîn Al-Albâniy. Un groupe de ses élèves (jordaniens d'origine palestinienne pour la plupart) ont créé un centre appelé Markaz Al-Albâniy à Amman.
Yémen : La présence salafis au Yémen est notamment due à l'enseignement de Muqbil Ibn Hâdî (m.2001). Ses élèves sont à la tête de centres d'enseignement dans plusieurs villes du Yémen.
Afrique de l'Ouest : Les prédicateurs salafis sont nombreux dans le monde et l'Afrique de l'ouest voit naître le mouvement. On notera les plus remarqués (même si les oulémas ouest-africains restent très méconnus) : Au Mali le cheikh Muhammad Traoré, en Guinée le cheikh Salih Camara, et au Sénégal le cheikh Ahmad Lo qui fonde sa dawa sur l'éducation par la discipline, la modération, le juste milieu et s'oppose à toute violence


Wa salam
R
18 janvier 2007 16:52
youlie

il faut que vous sachiez que l'islam est arbre, le tronc c'est la base de l'islam, puis il ya des branches des divisions, certaines branches sont meme pourites.

Il y'a un verset qui parle de ca, il est dit que la basse est claire, mais que certains versets sont ambigu et que les hypocrites se serviront de ces verset la.

Moi je vous conseil d'avancer petit a petit, achettez des livres dans des librairies spécialisés, des livre de al qardawi ou tariq ramadan, et méfiez vous de se que peuvent dire les gens.

Le probleme des salafiste, c'est qu'ils veulent vivre exactement comme vivait le prophete, alors pourquoi conduissent t'il des voitures ?
Non faut contextualiser un peu les choses.

Salam
h
18 janvier 2007 17:00
Citation
Youlie a écrit:
Merci beaucoup pour tous tes conseils, je vais faire des recherches.
On m'a dit de ne plus y aller.

La force de l'islam est cette liberté de le pratiquer comme tu la compris, alors je te conseille de chercher des livres qui t'explique les principes de l'islam, comment le pratiquer et puis laisse toi guider par le destin.

Ecoute ton coeur et seulement ton coeur, mais une chose est sur tu es sur la bonne voie.

Quand à ton amie qui te presse de convertir, s'il y a vraiement l'amour , elle pourra attendre.

Dans l'islam tu trouveras enormement d'exemple et le meilleur c'est celui de notre prophete et sa femme Khadija ( je crois).

J'essayerai de te trouver des titres la prochaines fois
Y
18 janvier 2007 17:32
Merci beaucoup pour tes recherches
N
18 janvier 2007 17:53
Citation
Youlie a écrit:
Citation
srnit a écrit:
Citation
Youlie a écrit:
J'ai l'impression d'avoir eu un lavage de cerveau, à les entendre, il faut que j'arrete de travailler et le jour ou je me convertsi, hijab direct, que je kite mon ami musulman car il né pa pratikan, plus de serrage de mains ou regard au boulot avec les clients, tout un tas de truc dans le genre....et j'en passe...

Ce sont des soeurs que tu as rencontré comment si c'est pas indiscret? Est ce qu'elles portent le niqab (voile recouvrant le visage)?
Ont elles changé d'attitude ? Etaient elles gentilles puis d'un coup sévère? Comment ça s'est passé?

Est ce qu'elles font partie d'une asso, un groupe? Quels sont les savants ou noms qu'elle cite le plus souvent? Sont elles aggressives?

Désolé pour toutes ces questions

je les ai rencontrées lors d'un mariage, j'étais avec ma "belle mère" et j'ai fait part à une d'entre elles de mon grand souhait de conversion. (c'est la soeur d'une copine)
oui elles ont le corps recouvert et portent le hijab noir qui couvre tout sauf les mains et visage
je n'y suis allée qu'une fois, mais la femme ki ma parlé me met la pression, kil fo vite que je me convertisse et rupture ou halal illiko après avec mon ami, elles ne se voient qu'entre elles, entre soeurs ou convertissent des francaises, je ne me rappelle plus les noms des savants qu'elles citent le plus, je te dirais ce soir car elle ma tout noté


salam

les savants dont elles parlent sont Cheikh Mohammad Nasreddine El Albani et Cheikh Ibn El Baz, rahima houmeLah

Je pense qu'il ne faut pas que tu le prennes comme ca, elles y sont peut etre allées un peu fort car elles ont certainement eu peur que tu ailles voir une autre tendance musulmane que la leur. Lorsque quelqu'un se convertit à l'Islam, les différentes divisions que l'on appelle "sectes"(qui n'a rien avoir avec le terme secte que l'on connait) se "battent" pour attirer le plus grand nombre de croyants.

Hamdoulillah que tu te convertissessmiling smileyc'est une bonne chose mais il ne faut pas que tu sois dégoutée de la religion car certaines personnes te mettent la pression,essaye de rencontrer du monde, en général les gens ont plus tendance à dire je suis musulman que de se dire appartenir à une tendance.

Si tu as besoin d'infos n'hésites pas...et bienvenue dans l'Islamsmiling smiley

salam



Modifié 3 fois. Dernière modification le 18/01/07 17:55 par Nawal..
[color=#CC6666][b][center]Il y a, dans la création des cieux et de la terre et dans la succession de la nuit et du jour, des signes pour ceux qui sont doués d'intelligence _ sourate 3/verset 190[/center][/color][/b]
Y
18 janvier 2007 18:02
Citation
Nawal. a écrit:
Citation
Youlie a écrit:
Citation
srnit a écrit:
Citation
Youlie a écrit:
J'ai l'impression d'avoir eu un lavage de cerveau, à les entendre, il faut que j'arrete de travailler et le jour ou je me convertsi, hijab direct, que je kite mon ami musulman car il né pa pratikan, plus de serrage de mains ou regard au boulot avec les clients, tout un tas de truc dans le genre....et j'en passe...

Ce sont des soeurs que tu as rencontré comment si c'est pas indiscret? Est ce qu'elles portent le niqab (voile recouvrant le visage)?
Ont elles changé d'attitude ? Etaient elles gentilles puis d'un coup sévère? Comment ça s'est passé?

Est ce qu'elles font partie d'une asso, un groupe? Quels sont les savants ou noms qu'elle cite le plus souvent? Sont elles aggressives?

Désolé pour toutes ces questions

je les ai rencontrées lors d'un mariage, j'étais avec ma "belle mère" et j'ai fait part à une d'entre elles de mon grand souhait de conversion. (c'est la soeur d'une copine)
oui elles ont le corps recouvert et portent le hijab noir qui couvre tout sauf les mains et visage
je n'y suis allée qu'une fois, mais la femme ki ma parlé me met la pression, kil fo vite que je me convertisse et rupture ou halal illiko après avec mon ami, elles ne se voient qu'entre elles, entre soeurs ou convertissent des francaises, je ne me rappelle plus les noms des savants qu'elles citent le plus, je te dirais ce soir car elle ma tout noté


salam

les savants dont elles parlent sont Cheikh Mohammad Nasreddine El Albani et Cheikh Ibn El Baz, rahima houmeLah

Je pense qu'il ne faut pas que tu le prennes comme ca, elles y sont peut etre allées un peu fort car elles ont certainement eu peur que tu ailles voir une autre tendance musulmane que la leur. Lorsque quelqu'un se convertit à l'Islam, les différentes divisions que l'on appelle "sectes"(qui n'a rien avoir avec le terme secte que l'on connait) se "battent" pour attirer le plus grand nombre de croyants.

Hamdoulillah que tu te convertissessmiling smileyc'est une bonne chose mais il ne faut pas que tu sois dégoutée de la religion car certaines personnes te mettent la pression,essaye de rencontrer du monde, en général les gens ont plus tendance à dire je suis musulman que de se dire appartenir à une tendance.

Si tu as besoin d'infos n'hésites pas...et bienvenue dans l'Islamsmiling smiley

salam

Merci Nawal winking smiley
N
18 janvier 2007 18:17
Citation
Youlie a écrit:
Citation
Nawal. a écrit:
Citation
Youlie a écrit:
Citation
srnit a écrit:
Citation
Youlie a écrit:
J'ai l'impression d'avoir eu un lavage de cerveau, à les entendre, il faut que j'arrete de travailler et le jour ou je me convertsi, hijab direct, que je kite mon ami musulman car il né pa pratikan, plus de serrage de mains ou regard au boulot avec les clients, tout un tas de truc dans le genre....et j'en passe...

Ce sont des soeurs que tu as rencontré comment si c'est pas indiscret? Est ce qu'elles portent le niqab (voile recouvrant le visage)?
Ont elles changé d'attitude ? Etaient elles gentilles puis d'un coup sévère? Comment ça s'est passé?

Est ce qu'elles font partie d'une asso, un groupe? Quels sont les savants ou noms qu'elle cite le plus souvent? Sont elles aggressives?

Désolé pour toutes ces questions

je les ai rencontrées lors d'un mariage, j'étais avec ma "belle mère" et j'ai fait part à une d'entre elles de mon grand souhait de conversion. (c'est la soeur d'une copine)
oui elles ont le corps recouvert et portent le hijab noir qui couvre tout sauf les mains et visage
je n'y suis allée qu'une fois, mais la femme ki ma parlé me met la pression, kil fo vite que je me convertisse et rupture ou halal illiko après avec mon ami, elles ne se voient qu'entre elles, entre soeurs ou convertissent des francaises, je ne me rappelle plus les noms des savants qu'elles citent le plus, je te dirais ce soir car elle ma tout noté


salam

les savants dont elles parlent sont Cheikh Mohammad Nasreddine El Albani et Cheikh Ibn El Baz, rahima houmeLah

Je pense qu'il ne faut pas que tu le prennes comme ca, elles y sont peut etre allées un peu fort car elles ont certainement eu peur que tu ailles voir une autre tendance musulmane que la leur. Lorsque quelqu'un se convertit à l'Islam, les différentes divisions que l'on appelle "sectes"(qui n'a rien avoir avec le terme secte que l'on connait) se "battent" pour attirer le plus grand nombre de croyants.

Hamdoulillah que tu te convertissessmiling smileyc'est une bonne chose mais il ne faut pas que tu sois dégoutée de la religion car certaines personnes te mettent la pression,essaye de rencontrer du monde, en général les gens ont plus tendance à dire je suis musulman que de se dire appartenir à une tendance.

Si tu as besoin d'infos n'hésites pas...et bienvenue dans l'Islamsmiling smiley

salam

Merci Nawal winking smiley


salam

de riensmiling smiley
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s
18 janvier 2007 18:36
Resalam alaykum,

Voici un petit historique du wahhabisme, la racine même du salafisme, venant du site wikipédia toujours.

Nous pourrions même dire que le wahhabisme est tiré d'une lecture littéraliste des textes religieux et surtout à son origine de la théologie et du fiqh du madhab hanbalite.

Voici le texte :


Le wahhabisme est une forme rigoriste de l'islam sunnite qui se fonde sur l'enseignement de Mohamed ibn Abd al-Wahhab (1703 - 1792) ; il s'agit d'un courant dérivé du hanbalisme. Il se différencie de la structure hanbalite originelle dans le domaine de la croyance islamique. Il est considéré dans le monde contemporain, comme étant la principale forme de fondamentalisme musulman.

Le texte fondateur de cette forme de l'islam est le Kitab at-tawhid (en arabe, le Livre du monothéisme). Le mot wahhabisme (wahhabiyyah en arabe) a été forgé par les détracteurs d'Ibn Abd-Al Wahhab, reprenant le nom d'une ancienne secte kharidjite. Ses adeptes ont toujours refusé cette appellation et se disent salafis.

Le wahhabisme, spécialement dans sa version du salafisme, affirme purifier l'islam de ce que ses membres considèrent comme des innovations, appelées bida’, des déviances, des hérésies ou des idolâtries. D'après ses points de vues, en suivant sa théologie et sa pratique, un musulman doit retourner à la forme originelle de la foi islamique qu'Allah avait révélée et destinée à être suivie par l'humanité entière. Ils se considèrent donc comme une orthodoxie et par là même, destinés à éradiquer toute autre forme d'islam.

Le wahhabisme interdit notamment le culte des saints, l'édification de monuments funéraires fastueux ou de mosquées luxueuses. Certains de ses adeptes luttent contre l'usage des pierres tombales qu'ils considèrent comme idolâtre, ainsi que l'érection de minaret (voir mosquée), car ils étaient inconnus du temps du Prophète Muhammad (ASS). Fumer est aussi interdit car il s'agit d'une offense religieuse. Dans sa version salafiste, il est interdit aussi d'écouter ou de faire de la musique.

Cette doctrine n'eut aucun succès avant son alliance avec Mohammed ibn Saoud — patriarche des Séoud, alors seigneurs de Najd avant de devenir la famille régnante ayant par la suite donné son nom au pays. Le wahhabisme est depuis la forme officielle de l'islam en Arabie saoudite. Aujourd'hui, le terme wahhabisme est fréquemment utilisé dans les médias pour désigner l'idéologie sous-tendant la politique aussi bien intérieure qu'extérieure de l'Arabie saoudite. Certains musulmans affirment cependant que cette idéologie n'est pas fidèle à l'enseignement originel de Mohamed ibn Abd al-Wahhab.

Pour les wahhabites, les Chiites ne sont pas de vrais musulmans (cette opinion est partagée par d'autres sunnites) et ils sont particulièrement hostiles au Soufisme ainsi qu'à toute autre forme de religion.[1]

Le wahhabisme réfute toute source de législation autre que le Coran, comme le rappelle cette formule du FIS (Algérie) en 1992 : « Le Coran est notre constitution ». Cela explique que ni l'Arabie saoudite ni le défunt régime taliban n'avaient de constitution. En fait, les formes extrêmes du wahhabisme ne reconnaissent pas l'État-nation comme une notion valide et lui préfère l'Oumma (communauté de croyant).

Il faut noter que la majorité des Savants Sunnites déclare le Wahhabisme comme un mouvement sectaire et lui aussi égaré. Ils se basent sur le fait que la croyance Wahhabite est en contradiction totale avec l'asharisme et le maturidisme. Mais cette tendance tend à disparaître, suite à l'afflux de nouvelles personnes en Islam non renseignés sur le sujet, qui souvent, choisissent de suivre ce mouvement, facilement accessible dans ses enseignements sur différents supports médias, tant sur la jurisprudence que la croyance.

Le wahhabisme est, selon les occidentaux, la forme officielle de l'Islam en Arabie saoudite, cependant les autorités saoudiennes se réclament du salafisme et considèrent le terme "wahhabite" comme une insulte, car il laisserait entendre que Mohamed ibn Abd al-Wahhab aurait créé une secte.

Sommaire [masquer]
1 L'essor du wahhabisme
1.1 Inde
1.2 Égypte
1.3 Afghanistan
1.4 Europe
2 Wahhabisme et frères musulmans
3 Voir aussi
4 Liens externes
5 Bibliographie
6 Note



L'essor du wahhabisme [modifier]
Le wahhabisme vient d'une volonté de revenir aux textes sacrés, de limiter toute interprétation humaine dans leur lecture. Ibn Abd al-Wahhab élabore une philosophie d'un islam réformateur et puritain, il dénonce les coutumes locales et les superstitions qui ont appauvri la religion. Il faut revenir à l'âge d'or et donc à une interprétation du Coran basée sur celle des premières générations de l'Islam. Il condamne la musique et la danse qui détournent de l'amour de Dieu. L'homme doit être contrôlé socialement pour être dans le droit chemin : celui de la soumission à Dieu. Il saccage des tombeaux, des objets de dévotion particuliers, il brise des idoles car Dieu est unique, il veille à la régularité des prières. Le radicalisme de la doctrine et de l'action inquiètent les populations locales. Ibn Abd al-Wahhab quitte alors le Sud de l'Arabie, et trouve refuge dans un village de Mohammed al Saoud, favorable à ses idées. Ils concluent un pacte instituant un État islamique selon le rite wahhabique, qui consiste en un prosélytisme religieux et en l'expansion territoriale par la conquête et des conversions forcées. En 1803 le premier État saoudien est fondé.


Inde [modifier]
L'Inde traversa, au cours du XIXe siècle, un épisode wahhabite. En effet, le wahabitisme y fut introduit par Seijid Ahmed et connut un grand succès dans la région de Sitana au nord de Peshawâr. Elle s'opposa aux Britanniques en particulier et à la culture européenne en général. De son fief, elle se répandit dans tout le nord de l'Inde et prospéra à Patna dans le Bihâr où ses membres se révoltèrent. Les troupes britanniques leur firent la chasse et les wahhabites se réfugièrent dans la forteresse de Malka où ils furent finalement écrasés.





Égypte [modifier]
Les Frères Musulmans, une organisation égyptienne, reçurent ainsi, dans les années 1950, une aide financière provenant des Saoud et destinée à faire le contrepoids au nationalisme arabe laïc du leader égyptien Abdul Nasser. Dans les années 1950 et 1960, de nombreux militants de la confrérie se sont réfugiés en Arabie Saoudite, pour échapper à la répression Nassérienne. Une certaine concurrence existe entre ces deux courants et les Frères Musulmans ont influencé les wahabbites en ce qui concerne les préoccupations en matière socio-éducatives.

Un grand nombre de mosquées autour du monde ont été financées par des fonds saoudiens ou provenant d'autres nations pétrolières du Moyen-Orient. De la même façon, de nombreux imams ont été formés en Arabie Saoudite.


Afghanistan [modifier]
Les talibans, qui ont pris le pouvoir dans le pays en 1996 étaient des musulmans fondamentalistes-soufis déobandis qui croyaient à la doctrine et aux traditions de l'école déoband. Le régime qu'ils ont mis en place étant largement critiqué voire rejeté par le reste du monde, ils rencontrent des problèmes de financement qui les amènent à former une sorte de coalition stratégique avec Al-Qaida. En ce qui concerne les aspects extérieurs et la transparence (hijab, barbe, culture occidentale, etc.), les talibans ne présentent pas de différence notable avec les autres courants wahhabites.


Europe [modifier]
L'essor du wahhabisme a aussi atteint les Balkans et le Caucase, où les groupes wahhabites tentent de récupérer des groupes de musulmans qui étaient sous la menace ou la domination de groupes non musulmans. L'exemple le plus manifeste de l'influence wahhabite peut s'observer en Tchétchénie où les exactions russes l'ont considérablement servi.

De nombreuses tentatives ont été montées pour répandre le wahhabisme parmi les musulmans de Bosnie-Herzégovine, de Serbie-et-Monténégro et en République de Macédoine, par le biais du financement de la reconstruction des mosquées, des organisations non gouvernementales et de la construction d'hôpitaux. Malgré la pression (les missionnaires insistent sur la reconnaissance) la majorité d'entre eux protestent et restent fidèles à leur foi traditionnelle.


Wahhabisme et frères musulmans [modifier]
Beaucoup d'organisations militantes islamistes sont influencées par le wahhabisme, totalement ou partiellement. On notera que les islamistes chiites, comme ceux d'Iran ou du mouvement libanais Hezbollah sont des chiites n'ayant rien à voir avec le Wahhabisme


Re wa salam
Y
19 janvier 2007 00:09
Citation
srnit a écrit:
Citation
Youlie a écrit:
J'ai l'impression d'avoir eu un lavage de cerveau, à les entendre, il faut que j'arrete de travailler et le jour ou je me convertsi, hijab direct, que je kite mon ami musulman car il né pa pratikan, plus de serrage de mains ou regard au boulot avec les clients, tout un tas de truc dans le genre....et j'en passe...

Ce sont des soeurs que tu as rencontré comment si c'est pas indiscret? Est ce qu'elles portent le niqab (voile recouvrant le visage)?
Ont elles changé d'attitude ? Etaient elles gentilles puis d'un coup sévère? Comment ça s'est passé?

Est ce qu'elles font partie d'une asso, un groupe? Quels sont les savants ou noms qu'elle cite le plus souvent? Sont elles aggressives?

Désolé pour toutes ces questions

alors voici les nnoms qu'elle m'a cités:
- abu hanifa
- imam malik
- ahmed ibn anbal
- chafii
- muslim
- dukhari
- at tirridi
- abou dawud
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