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Sonatrach résilie le contrat avec Repsol YPF et Gas Natural
a
15 septembre 2007 23:36
Bonjour à tous,
j'adresse mon message en 1er lieu à Yones: cher yones , quand je lis vos messages , je trouve il t emanque beaucoup de maturité dans le domaine economique et politique, car il n'y a aucune coohérence entre se que tu raconte et le sujet.
et le 2 emme Lieu, je l'adresse à nos voisins les marocains, le sujet entre sonatrach et Repsol, et purement economique , chaque pays tient à défendre ses propres intêrets, si les economistes algeriens que ce contrat n erepond plus à leurs ambitions investissement, alors ils ont bien fait de rompre le contrat, autre le probleme sahara occidentale et le maroc, c'est un probleme que traine depuis depuis lontemps et c'est à lONU de s'occuper de ça. l'agerie ne fait que s'occuper humainement des pauvres saharaoua rejetés par le regime, ni plus ni moins.
Je pense que le coté humain qui nous lie marocain-algerienn et saharaouiet plus profond que les différences politiques.
Je vous souhaite bon rammadane et saha ftourkoum
b
16 septembre 2007 00:09
algereienne,

Ton point de vue me parait trop simple et ne répétant que les positions algériennes officielles.
Il est connu pour tout le monde que l'algerie fait la diplomatie avec son petrole et son gaz, souvent sans succès pourtant. Je n'aurais jamais imaginé de tels contrats se rompre aux temps où Bouteflika était l'ami du fasciste Aznar, même contre le Maroc, un aznar qui aidait Bush à envahir l'Irak. Dans ce temps tout "allait" bien entre les deux pays au détrimant de principes et de fraternités piétinées puis jetées à la poubelle pour l'occasion. Mais la diplomatie algerienne n'a pas su ni pu maintenir ce lien pour la simple raison qu'il était malsain, donc qu'il resposait sur le troc pétro-gazier contre des positions diplomatiques.

Maintenant l'algerie est isolée, de nouveau, cette fois par elle-même, alors qu'elle est gouverné par ce gfameux diplomate de Bouteflika. Quelle misère de se retourner à la fin vers l'ancien colon pour lui offrir après avoir tenté de lui donner des leçons de morale.

Pour les sahraoua, le jour où vous ouvrirez les portes de Tindouf et laisserez ces pauvre bouger comme ils veulent on se rendra compte de quel régime les martyrise. Jusque là on sait pourtant que dans leur pays, le Maroc, ils peuvent aller où ils veulent et ils ne paraissent pas choisir ton pays comme refuge.
b
16 septembre 2007 18:39
Et voilà comment on se trahit et pourquoi le Maroc tout en s'attachant à ses principe doit être vigilant de la fausse fraternité:

Maghreb. Le leadership algérien
Par samir allam le 16/09/2007 à 09:19

Pour la première fois depuis plusieurs années, l’Algérie vient de remporter un bras de fer sur la scène internationale. Après plusieurs mois de tensions et de négociations difficiles, les Espagnols ont fini par céder sur le dossier stratégique du gazoduc Medgaz. Ce projet, qui reliera à partir de 2009, l’Algérie à l’Europe via l’Espagne va permettre à Sonatrach de se positionner comme un fournisseur de taille sur le marché européen du gaz, derrière le russe Gazprom.

Mais au-delà l’aspect économique qui fera de notre champion national de l’énergie un acteur incontournable en Méditerranée, le recul espagnol constitue une grande victoire de la diplomatie algérienne et valide la nouvelle stratégie régionale de l’Algérie. En effet, depuis quelques mois, les hauts responsables algériens le disent clairement à leurs interlocuteurs européens : l’Algérie entend devenir la seule puissance régionale au Maghreb.

Et Alger se donne les moyens de ses ambitions : il commande des armes russes pour plus de 15 milliards de dollars en 2006, durcit nettement sa position sur la question du Sahara occidental malgré quelques ouvertures timides du côté du Maroc, se montre intransigeante avec l’Espagne sur les questions énergétiques et pose ses conditions à la France au point de pousser le Maroc, en juillet dernier, à annuler à la dernière minute l’étape marocaine de la tournée maghrébine du président français Nicolas Sarkozy.

Rabat entendait ainsi protester contre le choix de M. Sarkozy de débuter sa visite par Alger. Mais Nicolas Sarkozy l’a bien compris : pour avoir refusé d’accepter d’accompagner cette nouvelle ambition d’Alger, l’ancien président français Jacques Chirac a du abandonner son projet de Traité d’amitié et avec lui l’occasion de faire de la France un partenaire privilégié de l’Algérie.

L’Algérie, riche de près de 100 milliards de dollars de réserves de change, utilise également l’arme de l’attribution des marchés publics au service de sa nouvelle ambition. Les Chinois, et - à un degré moindre, les Français depuis l’arrivée de Nicolas Sarkozy au pouvoir sont ainsi nettement privilégié dans les appels d’offres pour les grands projets au détriment des autres pays.

Les visites d’Etat du président français en Algérie et au Maroc avant la fin de l’année constitueront une bonne occasion pour évaluer l’évolution des rapports de force dans la région Maghreb. Les Marocains attendent notamment une réponse positive des Français concernant le financement de avions Rafale (lire notre article). Mais les Algériens multiplient les actions de lobbying pour empêcher ce projet d’aboutir…Nicolas Sarkozy va devoir choisir.

Source: [www.toutsurlalgerie.com]
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