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solitude
a
23 août 2011 20:28
slm
tout d'abord ramadan kareem ensuite le texte et assez long mes il en vaut la peine smiling smiley et je voulais le partager avec vous bonne lecture smiling smiley

Dans ce brouillard des codes sociaux, je m’aventure dans les chemins de travers, je cherche un comptoir pour trouver oreille attentionnée à ma détresse. L’ivresse de la vie n’a de sens que dans l’exaltation d’une foi apaisée. Je cherche les liqueurs de l’amour pour mieux résister aux épreuves de la vie qui s’abattent sur ma vie de misère. Les sages me disent qu’il faut faire preuve de patience, chose que je n’ai jamais réellement su pratiquer en ces temps bousculés.


Mon désir est simple, trouver une sérénité afin de patienter jusqu’à mon tour dans cette vie de passage où les êtres sont damnés pour leur insolence à la finalité de la vie. Roder dans les ruelles de mes pensées qui ne connaissent ni limite ni obstacle, se perdre dans les croissements des opinions sur les conditions du bonheur, tel est mon destin en ces lieux propices à la dérive. Porté par un phonème que je ne saurais ni décrire ni identifier, je suis à la merci de ce guide intérieur dont je doute de sa bienséance à mon égard.

Détresse de la vie ou angoisse passagère, déprime de circonstance ou dépression prononcée, je ne sais que penser de mon état dans ces instants de solitude totale en plein cœur de ces foules que je croise dans tous les instants de la vie. Aucun regard ne peut voir ma détresse, aucun cœur ne peut sentir ma douleur viscérale, aucun esprit ne peut imaginer l’obscurité qui aspire mon âme dans les abimes de la vie. Je cherche les sagesses d’amour chez les philosophes que l’on présente comme les lumières de la vie pour tout esprit indomptable, je n’ai trouvé que plaisir linguistique dans une rhétorique des jouissances éphémères. Avec le temps ces jouissances de contingences deviennent misère et fardeau pour mon âme qui ne peut se satisfaire des pré-requis de ces postulats sans fins.

Marcher en direction de mes contemporains, pour mieux les comprendre et trouver mes réponses à mes états d’âmes sont mes passes temps pour consommer du temps à cette vie hostile à toute âme affaiblie et fragilisée par l’érosion des déceptions rencontrées. Ma tristesse est à la hauteur de ma déception, ma solitude incomprise dans cette vie n’a de réceptacle dimensionné à sa taille. J’avance chaque jour avec des larmes intérieurs que nul ne peut voir, je crie de douleur sans que personne ne puisse m’entendre et comprendre ma détresse. La solitude est devenue ma compagne de route sur ce long voyage de la vie dont je perds régulièrement le sens, tant les épreuves deviennent et paraissent insurmontables.

J’appréhende chaque instant à venir, je regrette chaque instant passé tout en ne sachant, que faire de l’instant présent que je ne sais saisir et rendre utile à ma condition. La solitude est devenue plus fidèle que mon ombre, je n’ai su la briser ni la répudier. Carapace d’un jour, tranquillité d’un instant, elle a toujours su se présenter à moi sous sa plus belle apparence, comme jalouse qu’elle ne soit trompé par un autre. Devenue amante d’une vie complexée par les explosions de contradiction interne, je n’ai plus de force pour contenir cette haine que je lui voue. Fatigué par les tourments de mon âme dans cette solitude sans faille, je me résigne à prendre la vie avec sagesse et humilité. Nonobstant mes envies de tuer cette condition d’état de mon être façonné par cette solitude, je dois lui reconnaitre sa présence à défaut de confident pour mon âme qui se réconcilie avec sa meilleure amie.

Trouver une note d’optimisme dans cette solitude immuable, voilà une étrange manière de rendre les amertumes de la vie plus supportables. Jouissance et souffrance sont les fruits de cette solitude que l’on fini par prendre comme amie malgré nous. Seul ma foi en Allah me permet dans l’intimité de mon cœur de briser cette solitude. Si mon être vie la solitude de la compréhension des autres, mon âme a trouvée gîte et couvert dans l’espoir, la grâce et la miséricorde qu’Allah accorde à ceux qui font preuve de patience et de constance jeudi 6 août 2009La solitude dans l’Âme
Dans ce brouillard des codes sociaux, je m’aventure dans les chemins de travers, je cherche un comptoir pour trouver oreille attentionnée à ma détresse. L’ivresse de la vie n’a de sens que dans l’exaltation d’une foi apaisée. Je cherche les liqueurs de l’amour pour mieux résister aux épreuves de la vie qui s’abattent sur ma vie de misère. Les sages me disent qu’il faut faire preuve de patience, chose que je n’ai jamais réellement su pratiquer en ces temps bousculés.


Mon désir est simple, trouver une sérénité afin de patienter jusqu’à mon tour dans cette vie de passage où les êtres sont damnés pour leur insolence à la finalité de la vie. Roder dans les ruelles de mes pensées qui ne connaissent ni limite ni obstacle, se perdre dans les croissements des opinions sur les conditions du bonheur, tel est mon destin en ces lieux propices à la dérive. Porté par un phonème que je ne saurais ni décrire ni identifier, je suis à la merci de ce guide intérieur dont je doute de sa bienséance à mon égard.

Détresse de la vie ou angoisse passagère, déprime de circonstance ou dépression prononcée, je ne sais que penser de mon état dans ces instants de solitude totale en plein cœur de ces foules que je croise dans tous les instants de la vie. Aucun regard ne peut voir ma détresse, aucun cœur ne peut sentir ma douleur viscérale, aucun esprit ne peut imaginer l’obscurité qui aspire mon âme dans les abimes de la vie. Je cherche les sagesses d’amour chez les philosophes que l’on présente comme les lumières de la vie pour tout esprit indomptable, je n’ai trouvé que plaisir linguistique dans une rhétorique des jouissances éphémères. Avec le temps ces jouissances de contingences deviennent misère et fardeau pour mon âme qui ne peut se satisfaire des pré-requis de ces postulats sans fins.

Marcher en direction de mes contemporains, pour mieux les comprendre et trouver mes réponses à mes états d’âmes sont mes passes temps pour consommer du temps à cette vie hostile à toute âme affaiblie et fragilisée par l’érosion des déceptions rencontrées. Ma tristesse est à la hauteur de ma déception, ma solitude incomprise dans cette vie n’a de réceptacle dimensionné à sa taille. J’avance chaque jour avec des larmes intérieurs que nul ne peut voir, je crie de douleur sans que personne ne puisse m’entendre et comprendre ma détresse. La solitude est devenue ma compagne de route sur ce long voyage de la vie dont je perds régulièrement le sens, tant les épreuves deviennent et paraissent insurmontables.

J’appréhende chaque instant à venir, je regrette chaque instant passé tout en ne sachant, que faire de l’instant présent que je ne sais saisir et rendre utile à ma condition. La solitude est devenue plus fidèle que mon ombre, je n’ai su la briser ni la répudier. Carapace d’un jour, tranquillité d’un instant, elle a toujours su se présenter à moi sous sa plus belle apparence, comme jalouse qu’elle ne soit trompé par un autre. Devenue amante d’une vie complexée par les explosions de contradiction interne, je n’ai plus de force pour contenir cette haine que je lui voue. Fatigué par les tourments de mon âme dans cette solitude sans faille, je me résigne à prendre la vie avec sagesse et humilité. Nonobstant mes envies de tuer cette condition d’état de mon être façonné par cette solitude, je dois lui reconnaitre sa présence à défaut de confident pour mon âme qui se réconcilie avec sa meilleure amie.

Trouver une note d’optimisme dans cette solitude immuable, voilà une étrange manière de rendre les amertumes de la vie plus supportables. Jouissance et souffrance sont les fruits de cette solitude que l’on fini par prendre comme amie malgré nous. Seul ma foi en Allah me permet dans l’intimité de mon cœur de briser cette solitude. Si mon être vie la solitude de la compréhension des autres, mon âme a trouvée gîte et couvert dans l’espoir, la grâce et la miséricorde qu’Allah accorde à ceux qui font preuve de patience et de constance
jeudi 6 août 2009La solitude dans l’Âme
Dans ce brouillard des codes sociaux, je m’aventure dans les chemins de travers, je cherche un comptoir pour trouver oreille attentionnée à ma détresse. L’ivresse de la vie n’a de sens que dans l’exaltation d’une foi apaisée. Je cherche les liqueurs de l’amour pour mieux résister aux épreuves de la vie qui s’abattent sur ma vie de misère. Les sages me disent qu’il faut faire preuve de patience, chose que je n’ai jamais réellement su pratiquer en ces temps bousculés.


Mon désir est simple, trouver une sérénité afin de patienter jusqu’à mon tour dans cette vie de passage où les êtres sont damnés pour leur insolence à la finalité de la vie. Roder dans les ruelles de mes pensées qui ne connaissent ni limite ni obstacle, se perdre dans les croissements des opinions sur les conditions du bonheur, tel est mon destin en ces lieux propices à la dérive. Porté par un phonème que je ne saurais ni décrire ni identifier, je suis à la merci de ce guide intérieur dont je doute de sa bienséance à mon égard.

Détresse de la vie ou angoisse passagère, déprime de circonstance ou dépression prononcée, je ne sais que penser de mon état dans ces instants de solitude totale en plein cœur de ces foules que je croise dans tous les instants de la vie. Aucun regard ne peut voir ma détresse, aucun cœur ne peut sentir ma douleur viscérale, aucun esprit ne peut imaginer l’obscurité qui aspire mon âme dans les abimes de la vie. Je cherche les sagesses d’amour chez les philosophes que l’on présente comme les lumières de la vie pour tout esprit indomptable, je n’ai trouvé que plaisir linguistique dans une rhétorique des jouissances éphémères. Avec le temps ces jouissances de contingences deviennent misère et fardeau pour mon âme qui ne peut se satisfaire des pré-requis de ces postulats sans fins.

Marcher en direction de mes contemporains, pour mieux les comprendre et trouver mes réponses à mes états d’âmes sont mes passes temps pour consommer du temps à cette vie hostile à toute âme affaiblie et fragilisée par l’érosion des déceptions rencontrées. Ma tristesse est à la hauteur de ma déception, ma solitude incomprise dans cette vie n’a de réceptacle dimensionné à sa taille. J’avance chaque jour avec des larmes intérieurs que nul ne peut voir, je crie de douleur sans que personne ne puisse m’entendre et comprendre ma détresse. La solitude est devenue ma compagne de route sur ce long voyage de la vie dont je perds régulièrement le sens, tant les épreuves deviennent et paraissent insurmontables.

J’appréhende chaque instant à venir, je regrette chaque instant passé tout en ne sachant, que faire de l’instant présent que je ne sais saisir et rendre utile à ma condition. La solitude est devenue plus fidèle que mon ombre, je n’ai su la briser ni la répudier. Carapace d’un jour, tranquillité d’un instant, elle a toujours su se présenter à moi sous sa plus belle apparence, comme jalouse qu’elle ne soit trompé par un autre. Devenue amante d’une vie complexée par les explosions de contradiction interne, je n’ai plus de force pour contenir cette haine que je lui voue. Fatigué par les tourments de mon âme dans cette solitude sans faille, je me résigne à prendre la vie avec sagesse et humilité. Nonobstant mes envies de tuer cette condition d’état de mon être façonné par cette solitude, je dois lui reconnaitre sa présence à défaut de confident pour mon âme qui se réconcilie avec sa meilleure amie.

Trouver une note d’optimisme dans cette solitude immuable, voilà une étrange manière de rendre les amertumes de la vie plus supportables. Jouissance et souffrance sont les fruits de cette solitude que l’on fini par prendre comme amie malgré nous. Seul ma foi en Allah me permet dans l’intimité de mon cœur de briser cette solitude. Si mon être vie la solitude de la compréhension des autres, mon âme a trouvée gîte et couvert dans l’espoir, la grâce et la miséricorde qu’Allah accorde à ceux qui font preuve de patience et de constance dans leur adoration en ces lieux inhospitalièrs à l’apaisement des âmes essoufflées par les aléas de la vie.
a
23 août 2011 20:31
dsl je l'ai copier en double
D
23 août 2011 22:55
Mem en tripl mdr
[color=#FF00CC][/color]dpa 14 juillet inchallah 70 % chance que tu sois une fille !!!!
v
24 août 2011 01:17
vérité et sincérité avec sois même: mots clé de joie de vivre
 
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