Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Sexe marchandise
c
27 janvier 2005 16:12

Article parue dans femmesdumaroc

---------------------------------------------------------------------------------



Sexe marchandise

Sur le marché national comme international du sexe, le Maroc est bien côté. Il est des jours où le pays a parfois des allures de lupanar tout à fait légal. En termes d'image, on se serait bien passé de cette comparaison récurrente à Bangkok. Mais tout le monde, l'Etat y compris, fait l'autruche devant une tendance exponentielle : la prostitution flambe.

Géraldine Dulat


De l'abattage complaisamment toléré dans le rural aux boulevards du centre-ville en passant par les numéros de portable et les mails, la prostitution au Maroc offre une palette de moyens d'échange totalement diversifiée. Circonscrite ici, disséminée dans la société là, elle s'épanouit sous différentes formes de segmentation sociologique liées, en l'occurrence, au pouvoir d'achat des clients potentiels. Encore livrée à elle-même (plus pour longtemps), elle semble plutôt s'inscrire dans le registre artisanal : pas (encore) de rapt et de réseaux criminels avec tortures systématiques et confiscation de papiers tels que peuvent le vivre, notamment, les prostituées des pays de l'Est et des pays africains en Occident (mais aussi dans quelques boîtes de nuit chez nous). Non, pas encore. A l'échelle mondiale, le commerce du sexe est devenu, en moins de trente ans seulement, une industrie du sexe où le vecteur "tout-rentabilité" a tout banalisé et diffusé sur son passage. En 2004 et partout dans le monde, prostitution sur ou hors net, etc, etc sont en voie de totale respectabilité parce que (vraiment) rentables financièrement. Pas étonnant qu'un pays en voie de développement mal géré ne loupe pas le coche en devenant un fournisseur de matière première au meilleur prix. On y est, donc. En plein dans le mille.
Plutôt plurielle, non organisée, la prostitution au Maroc ne peut entrer dans un cadre clairement défini : de luxe, de rue, de cabaret, de sortie de lycée, de fin de journée, de fin de semaine, de fin de mois, de temps à autre, en solo, en duo, avec ou sans mère maquerelle et toujours en accointance avec le portable et/ou le chauffeur de taxi et/ou la police et/ou le "copain" et/ou la famille qui ferme les yeux, la prostitution est difficilement généralisable. Reste que dans sa grande majorité, la prostitution est l'enfant préféré de la précarité sociale. Misère, pauvreté, ascension sociale totalement bloquée, besoins primaires mais également secondaires et plus (où commence la pauvreté dans une société libéralo-consumériste, vraie question !) poussent à utiliser un des moyens les plus rapides pour obtenir de l'argent : le sexe au même titre que la vente de drogue, la corruption, le vol. Alors oui, certaines prostituées le font pour des raisons de survie élémentaire. D'autres pour des raisons qui le sont moins. Ces dernières, plus occasionnelles et parfois bien intégrées dans un boulot, qui ne sont pas quantitativement majoritaires entérinent une confusion des esprits entre libération sexuelle et syndrome Pretty Woman. Il est tellement difficile (inconcevable ?) pour une jeune fille d'assumer sa sexualité, son désir, son plaisir en dehors du cadre du mariage (pour faire court) sans perdre sa "respectabilité" que certaines de celles qui s'y risquent en font payer le prix au partenaire. Cette prostitution-là, moins misérabiliste (a priori), déresponsabilise totalement les clients qui n'ont pas l'impression glauque d'en être.
Pire. On peut la trouver valorisée dans la bouche de toutes et tous qui maîtrisent mal les codes de la modernité sous prétexte de débrouillardise individuelle dans une société dont la mobilité sociale ascendante est paralysée. Et comme une voiture, un immeuble ou un salon de soins esthétiques ferment la bouche à tout l'entourage, ces occasionnelles font des émules, brouillant ainsi encore plus le jeu des relations hommes-femmes.
Faut-il rappeler que la prostitution est une mise à disposition de corps (féminin à 98% des cas) pour la satisfaction du désir masculin (à 98% des cas) moyennant une rétribution sonnante et trébuchante. Cet échange, sous sa version la plus civilisée, ne peut occulter le fait qu'elle est une sorte de droit archaïque des hommes à abuser du corps des femmes via une rétribution qui correspond, alors, à une compensation d'un dommage. D'après Françoise Héritier, anthropologue*, l'origine de la prostitution se trouverait dans cette compensation financière octroyée aux ayants-droits d'une femme victime de viol. A l'origine, il s'agit donc de l'indemnisation d'un viol. L'argent, seul, distingue la prostitution du viol. Posé ainsi, sans références de quelconques ligues vertueuses, moralisantes et encore moins religieuses, le problème se décline en termes de droits humains. Et n'en déplaise à tous les complaisant(e)s, les indulgent(e)s, les tenant(s)s du libéralisme, la prostitution ne pourra jamais être une transaction comme une autre. Non, ni le corps ni les organes sexuels ne peuvent être considérés tout à fait normalement comme des marchandises! Et ce, ni en raison d'une éthique high perchée, au-dessus des contingences matérielles, mais bien pour des raisons de construction individuelle dans laquelle la sexualité a une partie prenante essentielle. Faut-il rappeler ce que nous nous escrimons à expliquer dans nos pages noires depuis huit ans, la sexualité est ce par quoi l'espèce s'est humanisée : elle mérite d'être choyée, construite, créée en toute liberté, sinon pas de salut pour elle et pas d'individualité en vue. La monnayer, c'est la mutiler. Et mutiler son plaisir. Le moins que l'on puisse dire, ici, c'est que cette autodestruction, banalisée ou pas, n'a jamais été l'objectif du combat féministe du XXème siècle dont la libération du corps a été l'un des pivots du combat. Une libération alors aux antipodes, de la théorie du “wa l’mouhim” (peu importe les moyens) qui justifie le chemin pris pour accéder aux signes extérieurs de richesse.
De toutes façons, le terrain confirme. Il suffit de s'approcher et d'écouter des témoignages intimes de prostituées pour ne plus jamais déraper ou accepter quelconque banalisation autour de soi. Il est rare, très rare, que l'on se prostitue par plaisir (cf. article p. ??) : trop de témoignages de prostituées disent le contraire dès lors qu'elles se sentent en confiance pour parler. Les confidences sur le rapport sexuel et le client sont absolument édifiantes de mépris et de dégoût ! Celles sur le sentiment de déshumanisation qui s'installe, la simulation comme outil de travail et la décorporalisation aux symptômes si bien décrits à défaut d'être conceptualisée… également. Il faut vraiment être dans le déni total pour croire une seconde qu'un être humain puisse avoir du plaisir à l'idée de n'avoir pour seul projet professionnel que de jongler entre fellations (acte le plus demandé de la part des clients) et échangisme (c'est tendance). Et il faut vraiment que la société soit profondément patriarcale, et elle l'est, pour continuer ce discours ambiant avec les soi-disants besoins sexuels irrépressibles des hommes et de la nécessité "naturelle" de la prostitution pour réguler les tensions internes d'une société. La prostitution est aussi "naturelle" que l'esclavage aboli après de longs siècles de freins au changement de statut de ses victimes (l'esclavage avait même trouvé sa justification biblique pour certains de ses défenseurs !). Elle est aussi "naturelle" que la fameuse mécanique incontrôlable du désir masculin, c'est-à-dire tout à fait "culturelle". Afin d'asseoir la domination masculine pour mieux contrôler la filiation, le patriarcat a toujours étouffé, sous toutes ses formes, de la propagande à l'espace proprement dit ou encore les habits, le désir féminin. En vérité, ce dernier est aussi "irrépressible" et "incontrôlable" que le masculin… Ce qui différencie le citoyen de l'homme ou la femme de la jungle, c'est bien sa capacité à se maîtriser. Mais non, voilà, le pauvre homme dépassé par lui-même ! Et toutes ces femmes aguicheuses, allumeuses, le diable !
Cette indulgence à l'égard des clients et la férocité sociale à l'égard des prostituées est totalement machiste et, d'ailleurs, ne peut s'épanouir que dans un environnement tel. Indulgence jusque dans la loi puisque la prostitution étant au Maroc strictement illégale, les clients ne sont jamais poursuivis en justice alors qu'une jeune femme ayant eu des relations sexuelles hors du cadre du mariage peut l'être en tant que prostituée. Dans un tel contexte, le puritanisme et le matérialisme, ont créé un magma d'hypocrisie sociale érigée en grand art devant tout signe extérieur de réussite matérielle, la jeunesse mais plus particulièrement la femme*, parce que placée sous domination politique et économique, (la sortie juridique est une étape, elle ne suffit pas pour l'égalité) est une victime. Dans un tel contexte, la prostitution est l'aboutissement d'une longue chaîne de discrimination envers les femmes. Ce n'est tout de même pas un hasard si les pays les plus développés sur le plan humain mettent en place un arsenal législatif pour lutter contre la prostitution comme "violence à l'encontre des femmes".
Indéfendable. La prostitution est indéfendable. Le "laissez-faire, laissez-passez" actuel est franchement louche : la prostitution fait-elle partie de la stratégie sociale de développement du pays? On est en droit de se poser la question. Lorsque le tapis rouge est déroulé à la corruption, à la magouille, à la contrebande, à la prostitution, force est de constater que la nation n'est plus capable d'honnêteté, de reconnaissance vis-à-vis du travail et de l'effort. Lorsqu'en 2004, travailler au Maroc signifie être nul et n'avoir pas compris le système pour être en mesure de tirer son épingle du jeu alors la prostitution a de beaux jours devant elle. Et ce n'est pas avec des stratégies répressives, inopérantes et totalement dépassées, que l'Etat continuera à ne rien régler du tout. Il est plusieurs façons d'attaquer ce problème. La plus classique étant, nous l'avons vu, de faire payer le prix à la prostituée déjà victime de sa condition. Il en est d'autres qui la règlementent en reconnaissant la fonction "travailleuse du sexe" comme si c'était une carrière sans effets secondaires dévastateurs sur le plan personnel. Il en est une autre, à nos yeux, la plus efficace qui consiste à pénaliser le client afin, à terme, de responsabiliser l'homme. C'est le cas en Suède où la prostitution est interdite. Evidemment, c'est surréaliste chez nous. Et pourtant, l'impact serait énorme sur l'inconscient collectif. Colossal. Et ferait gagner 50 ans d'évolution des mentalités. Cela pour le cadre légal. Plus concrètement, des mesures d'urgence telles que la protection médicale garantie pour tous les citoyens, la refonte d'une système éducatif vers plus d'efficience, l'aide à la libre entreprise de toute une jeunesse livrée à elle-même, des associations de micro-crédits spécifiques à l'aide à la réinsertion de toutes et tous les exclu(e)s. Bref, une politique sociale de toute urgence pour offrir une alternative à la femme de ménage à 1.200 DH/mois, pour la jeunesse au féminin. Et au masculin. Et aux enfants.
En amont, la façon la plus efficace de mettre en place une politique de prévention à la prostitution est de tout miser sur l'éducation sexuelle à l'école. Pétrie de hchouma déplacée, les familles n'ont pas su ouvrir les espaces de dialogue avec leurs enfants sur la sexualité. Comme si cela n'existait pas. Après tout, n'est-ce pas "hram" ? L'école, itou. Reste depuis 10 ans la découverte hardissime de la sexualité via la pornographie (sexe marchandisé et tarifé) sur la parabole et le net. Une jeunesse livrée à elle-même à tout point de vue dans un climat de libéralisme sauvage où seul l'argent donne une respectabilité et peu importe d'où il vient bouscule (s'en rend-elle même compte ?) les lignes rouges de l'économie informelle. Si dès la petite enfance, le respect à son propre corps, à sa sexualité et à son plaisir étaient enseignés sous d'autres formes que la diabolisation religieuse, alors se mettraient en place des mécanismes d'autorégulation personnelle...
Pénalisation du client, Etat providence, éducation sexuelle à l'école autant de solutions irréalistes au Maroc tant elles demandent une volonté politique colossale, habile, hardie pour renverser, véritablement renverser toutes les mentalités et les structures inconscientes d'un pays. Et pourtant, laisser cette critique sociale aux rétrogrades qui n'ont d'autres solutions que la répression à l'encontre des prostituées prouve l'absence de maîtrise du concept "modernité" de la part des décideurs. Ne nous reste que l'état des lieux et il est franchement de plus en plus… “crade”. Reste qu'à FDM, ce n'est pas nous qui culpabiliserons les victimes.


-----------------------------------------------------------------------------------
r
27 janvier 2005 16:16
eh wi la misère est la cauze de tout .....
c
27 janvier 2005 16:22
pas seulement la misére , le laisser aller aussi .
beaucoup de pays aussi pauvre que le maroc ne sont pas aussi touché.
n'oublie pas qu'il ya eu une filiére d'exportation de fille marocainne vers la syrie , pays aussi pauvre que le maroc.
Mais au Maroc tous les verrous ont été brisé :celui de la religion, celui de la famille , celui de la justice.
r
27 janvier 2005 16:24
exacte ....
s
27 janvier 2005 17:54
Casparis ,

Tu peus citer les pays qui sont pas toucher ?

Pour les pays musulmans , meme l'iran est toucher par le probleme ,

Quand aux autres pays non musulmans n'ont parlons plus !!!

Donc d'aprés toi c'est quoi la solution ?
siryne
s
27 janvier 2005 18:00
Voilà pour pour la france , un pays riche !!!


Le bruit cristallin d’un talon aiguille sur le macadam

26 janvier 2005

par Franca Maï



Sachant que la Loi du 18 mars 2003 est de mettre fin aux troubles causés à l’ordre public et de lutter contre le racolage...




Emballé, c’est pesé...

L’agonie de la truie qui couine en une litanie perçante ne percute que le plat de l’assiette vide. On oublie la douleur de la bête pour se remplir la panse. Plaisir immédiat.

Comment l’animal a-t-il été tué ? ... Noyé dans de l’eau bouillante, tabassé au gourdin, électrocuté en masse, asphyxié dans des camions surpeuplés ? ...

Tout comme certains hommes musardent dans les faubourgs peu éclairés de la ville à la recherche de sexe monnayé, combien se posent la question de savoir comment les frangines de sang atterrissent sur le trottoir et dans quelles conditions. Ils se contentent de payer un service. Un billet contre de la chair fraîche. Puis ils rentrent chez eux, vidés de leur sève embrasser leur femme et enfants. Plaisir immédiat.

Qu’en face d’eux, se présente une jeune fille nubile à peine sortie de l’adolescence ne leur pose aucun problème métaphysique. Après tout, n’a-t-elle pas choisi ce métier et ne contribuent-ils pas par leur geste « altruiste » à l’obole de la misère humaine ? ... L’hypocrisie des consommateurs à la libido peu créative.

Sachant que la Loi du 18 mars 2003 est de mettre fin aux troubles causés à l’ordre public et de lutter contre le racolage, les activités parallèles des proxénètes se sont multipliées dépassant les frontières du visible et de l’entendement pour nager dans les sphères fangeuses et abruptes des réseaux organisés. Les plus barbares.

Des chemins de traverse baptisés Enfer, où des femmes pesées et soupesées comme du bétail, n’ont que le choix de se taire par crainte de représailles. Ne pas subir la mort anticipée, comme les truies assassinées salement.

Peut-on parler de choix, lorsque l’on constate que la plupart des filles venant d’ici et d’ailleurs, sont kidnappées, violées, droguées puis lâchées dans des campements clandestins ou des studios de fortune, muselées et encagées par des maîtres-gigolos ?

Le démantèlement des réseaux n’est pas à l’ordre du jour et ne le sera jamais. Il engendre une économie juteuse que les trafiquants et les corrupteurs ne sont pas prêts à sacrifier mais les PV, les humiliations, les coups-bas pour les travailleuses du macadam pleuvent régulièrement, les empêchant de boucler leur fin de mois et de régler la cantine de leurs enfants. La société les maintenant dans une précarité sociale et sanitaire signifiée.

Alors que la Belgique, les Pays-bas ou l’Allemagne réglementent et reconnaissent la prostitution comme une activité légale, la France flirte avec la tolérance et l’intolérance cadrées, dépendant d’un arbitraire policier.

Avant l’avènement du patriarcat, la prostitution était sacralisée, élevée au rang de profession honorable. Les péripatéticiennes étaient des prêtresses de l’amour. Dès que la société a cessé d’être matriarcale et paganiste, la femme a été décrétée impure et source de persécution.

Le plaisir du pubis qui chante est devenu synonyme de chair à broyer.

Légaliser la prostitution est certainement la seule échappée oxygénante pour protéger l’exploitation des filles de sexe minute.

La bombe à parasites se doit d’être puissante et sans concession pour éliminer les cancrelats mercantiles de la chair.

Après tout une femme peut disposer de son corps comme elle l’entend, à partir du moment où ce choix ne lui est pas imposé.

Et puis une capitale illuminée de lucioles de nuit, est moins triste qu’un dortoir-musée fantomatique. Le bruit cristallin d’un talon sur le macadam tient en haleine l’insomniaque dans le monde des chimères.

N’en déplaise à ceux qui s’insurgent à l’air libre mais qui consomment en catimini. Bardés de loi mal pensées et sans capote.

siryne
c
27 janvier 2005 19:58
Le cas de la france est différent .
En frnace se sont des prostitués "importés" par des réseaux des pays de l'est
ou d'afrique.
AU maroc ce ne sont pas des réseaux
AU maroc il ya 2 catégorie de prostitution , celle qui font ça par misére
pour subvenir à leur besoin ou celle de leur enfants et familles.ET là seul un vrai décollage économique pourra régler ça.

Mais malheureussemnt il ya de plus en plus de filles trés jeunes qui font ça
pour accéder à la société de consommation.
Elles se prostitue à la sortie des lycées , sur les grands boulevards ; elles nt 15 à 16 ans parfois moins.
La morale qui interdit de faire ce genre de chose à été brisé par le laisser faire de la société et de l'état.
Moi j'est été en Tunisie à djerba on voit pas ce qu'on voit par exemple
à Agadir.
En égypte il ya plus de controle , là bas même un couple marié se fait arrété si ils ont une attitude jugée indécente.
Dis moi simplement pourquoi il a eu une filiére d'exportations de filles vers la tunisie qui à le même pib par habitant que le maroc.
extrait confused smileyur le marché national comme international du sexe, le Maroc est bien côté. Il est des jours où le pays a parfois des allures de lupanar tout à fait légal. En termes d'image, on se serait bien passé de cette comparaison récurrente à Bangkok. Mais tout le monde, l'Etat y compris, fait l'autruche devant une tendance exponentielle : la prostitution flambe. >
quelle autre pays arabe est comparé à bangkok.Tant que les marocains et l'état feront l'autriche la situation s'aggravera
Malheureusement le seul parti qui ose parler de ça le pjd ont les accuse d'extrémiste , on les diabolise à croire que cette situation plait à la classe politique
s
27 janvier 2005 20:17
C'est un vice qui touche toute la planete , il y'en un peu ras le bol de dire que ça se passe plus au maroc qu'ailleurs ,

Quand à la tunisie je l'a connais par coeur , et pas mal des marocaines sont marier avec des tunisiens , je ne veus pas commencer les "chez eux et les chez nous" il y'a deja le probleme maroc-alger , n'en rajoutant pas plus chacun , son lot des probleme !

Alors juste une chose il faut condamner et la prostitué et le client et l'etat qui les maque tous les deux .



siryne
c
27 janvier 2005 20:29
a niveau de richesse équivalente le maroc est plus touché que beaucoup de pays
point
ça sert a rien de se voiler la face
les gens comme toi ne font que conforter l'état dans son inaction
s
27 janvier 2005 20:49
Je ne conforte rien du tout simplement venir avec ton article pour nous le dire on le sais deja , si tu as des propositions etale tes plans , sinon il y'a rien de nouveau sur terre !

Vas'y montre nous tes actions , on te suivra peut-etre .
siryne
K
27 janvier 2005 23:33
c vrai que la prostitution au maroc prend des proportions énormes et touche de plus en plus les jeunes filles, je suis d'accord avec l'artice de Geraldine Dulat et tout le monde se cache devant cette cruelle vérité et ferme les yeux car chacun y gagne.
KENZARELLBilal mon bébé je ne t'oublierai jamais
c
28 janvier 2005 13:04
Moi je pense qu'il faut faire une pétition pour qu'il y ait plus d'action de police contre la prostitution , des peines plus sévéres contre les clients et prostitués récidivistes , contre les souteneurs et hotel de passe (notament les palace ou vont les saoudiens et leur harem ).
Un rapport du parlement français qualifié le maroc comme une des principales destination de tourisme pédophike avec qui la france devait collaboré pour lutter contre ce fléau.
j'ai l'impression que ce phénoméne inquite plus la france que le gouvernement marocain , peux être qu'il ya des pédophiles dans ce gouvernement qui bloquent toute action !!!!
g
28 janvier 2005 19:31
sad smiley quelle grande honte aux clients de la prostitution avant la honte de ces prostituées.Je meprise les hommes qui vont chez les prostituées !!!!tfffffffou !!!!!
ils me dégoutent d'exploiter le besoin de ces femmes.
sad smiley
r
28 janvier 2005 20:45
comme on dit

il n'y a pas de fumée sans feu !!!!!! ......
 
Facebook