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La seule démocratie du Moyen Orient
a
28 février 2014 19:38
Salam,

Boualem Snaoui "ne comprend pas". Étonnant de sa part. Comme "militant de longue date pour la cause palestinienne", il devrait normalement connaître les ennemis de cette cause. Leurs méthodes...
2 mars 2014 12:13
Citation
un cousin a écrit:
Quand Laurent Fabius rencontre un extrêmiste sioniste criminel

C’est très curieux comme les idées politiques d’extrême droite n’existent plus dès qu’il est question de l’entité sioniste scélérate !!! C’est en même temps très parlant : on sait qui commande maintenant…

Citation
Panamza a écrit:

 
... 0

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Découvrez les images de la rencontre Fabius-Lieberman, passée sous silence par les médias français.

INFO PANAMZA. La visite officielle à Paris d’Avigdor Lieberman, ministre israélien des Affaires étrangères et leader de l’extrême droite, n’a pas été commentée, ni même rapportée par la quasi-totalité des médias hexagonaux.


Le 21 janvier 2001, il a menacé, en cas d’attaque palestinienne, de« bombarder Beit Jala (un faubourg de Bethléem), Téhéran, Le Caire et le barrage d’Assouan ». (Le Monde, 2 février 2001)
Le 7 octobre 2003, il a allongé la liste de ses cibles : « Nos ennemis dans la région doivent comprendre que l’Etat d’Israël est sur le point de perdre la raison. Faute de quoi, nous ne pourrons pas obtenir le calme ici. Cette effusion de sang chez nous doit s’arrêter. Si nous nous trouvons obligés de brûler tous les champs, outre Damas et Beyrouth, nous le ferons. »
Le 7 juillet 2003, il répondait à une question de la radio Kol Israël sur le sort des milliers de prisonniers palestiniens :
« Il vaudrait mieux noyer ces prisonniers dans la mer Morte, si possible, puisque c’est le point le plus bas du monde. »






[www.panamza.com]



"En Israël, François Fillon évoque « le problème de la religion musulmane »"

[www.panamza.com]
2 mars 2014 12:18
Est-ce qu’un homme politique non couché devant le lobby existe encore en France ?
o
2 mars 2014 21:16
Citation
un cousin a écrit:
Est-ce qu’un homme politique non couché devant le lobby existe encore en France ?
ce n'est ps une question d'etre couché devant un lobby, Israel est un pays souverain et reconnu par l'onu qui a des relations priviligiées avec l'ue. Le monde des mensonges et de l'intox palestiniens ou les arabes se sont enfermés n'a aucun effet sur les hommes politiques européens et américains car eux ils voient la réalité.
B
3 mars 2014 10:07
Citation
omar625 a écrit:
Citation
un cousin a écrit:
Est-ce qu’un homme politique non couché devant le lobby existe encore en France ?
ce n'est ps une question d'etre couché devant un lobby, Israel est un pays souverain et reconnu par l'onu qui a des relations priviligiées avec l'ue. Le monde des mensonges et de l'intox palestiniens ou les arabes se sont enfermés n'a aucun effet sur les hommes politiques européens et américains car eux ils voient la réalité.

Venant d'un menteur patenté, je rigole!ptdr

[www.yabiladi.com]
9 mars 2014 09:50
removed volontarly car doublon avec l'autre message.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/03/14 09:54 par Btof.
9 mars 2014 09:52
la seul democratie du monde est obligé de passer par les memes etapes que les autres; les crimes; genocides, masacres, exploitation; mensonges; destructions; etc...

Les complices coloniaux des crimes israéliens (The Palestine Chronicle)
Vacy VLAZNA
Est-ce juste mon imagination, ou voyez-vous aussi une fibre de supériorité coloniale et de racisme qui lie les Etats-Unis, l’Australie, le Canada et Israël ?

Pensez-y : Tous sont des anciennes colonies britanniques dont le passé est plombé du génocide à l’encontre de leurs populations natives respectives. Tous néanmoins continuent à les traiter comme des citoyens de troisième classe.

Je ne peux m’exprimer pour les Etats-Unis et le Canada, mais hormis la Realpolitik et le commerce des armes, un fond d’arrogance coloniale vient expliquer ce pourquoi ma « démocratie » australienne « civilisée » est complice de l’impunité israélienne dans ses crimes de guerre et crimes contre l’humanité à l’encontre de générations de familles israéliennes.

Les passés tragiques des indigènes palestiniens et australiens ainsi que les récits de leurs souffrances causées par les atrocités coloniales affichent une forte ressemblance en étant immortalisés par le sang et les grandes injustices.
Tout comme la symbiose sanglante qui existe entre l’Independence Day israélien et le nakba en Palestine (en commémoration de la déportation et de la dépossession), l’on célèbre ou l’on pleure l’Australia Day ou l’Invasion Day du 26 janvier selon que l’on fasse partie des vainqueurs ou des vaincus.

Les Israéliens, comme les colons britanniques, justifient leur occupation brutale et le vol de masse des territoires par la doctrine de la « terra nullius », celle de la terre vide. L’Israël se vantait d’être venue faire fleurir le désert, mais la Palestine, des siècles durant, faisait déjà commerce d’olives, d’huile, de coings, de pignons, de figues, de caroube, de coton, de dattes, d’indigo, d’artichauts, de citrons, d’amandes, de menthe et plus encore. En Australie, les Aborigènes parvenaient à maintenir leurs réserves de nourriture à l’aide d’une gestion sophistiquée des terres utilisant le feu.

Cette île, nommée Australie par les colons et envahisseurs britanniques, était le foyer de presque un million d’habitants et d’au moins 200 nations dont les origines remontaient à 60 millénaires auparavant selon leurs croyances spirituelles du « Dreaming », leur vision de la Création.

Les guerres génocidaires et les massacres (fusils contre lances) menés par l’Empire tels qu’à Hawksbury, Nepean Richmond Hill, Risdon Cove, Appin, Bathurst, Port Phillip, Swan River (bataille de Pinjarra), Gravesend, Vinegar Hill, Myall Creek, Kinroy, Rufus R, Long lagoon, Dawson River, Kalkadoon, Cape Grim, The Black War, McKinley River ou West Kimberely (auxquels ont résisté des guerriers comme Pemulwuy, Winradyne, Multuggerah, Yagan, Jandamarra) et la famine accompagnée des maladies occidentales ont décimé la population aborigène dépossédée jusqu’à environ 70 000 représentants en 1920.

Les génocides sanglants ont depuis été remplacés par les génocides culturels, politiquement plus corrects, ou les génocides de l’identité aborigène par la politique de l’assimilation visant à éradiquer l’identité aborigène en détruisant, cruellement et systématiquement, les liens familiaux, de la tribu et des terres ancestrales.

Les natifs australiens ont été marginalisés, regroupés dans des réserves et des missions, se sont vus interdire l’entrée dans les villes « blanches », exploités comme esclaves, interdire leurs langues et rituels sacrés et les enfants de sang mêlé (Stolen Generation, la génération volée) ont été arrachés à leurs parents pour être « resocialisés », à savoir « blanchis. »

L’assimilation est le point sur lequel l’Australie, les Etats-Unis et la Canada diffèrent d’Israël. Pour Israël, l’assimilation des Palestiniens consiste en un anathème. Le but des Sionistes est un Etat purement juif, débarrassé de tous les Palestiniens, d’est en ouest. Ironiquement, posséder l’entièreté de la Palestine historique, territoire du peuple élu, est un but poursuivi avec une ferveur idéologique semblable à celle d’Hitler avec sa race supérieure et ses aspirations à la germanisation. Par conséquent, Israël commet un violent génocide étendu dans le temps et pousse inexorablement les Palestiniens au bord de la falaise de l’exil.

Jusqu’au référendum de 1967, les Aborigènes étaient la propriété du gouvernement : « Le droit de se marier avec la personne de son choix, d’être légalement responsable de son propre enfant, de se déplacer librement dans le pays et de socialiser avec des non-Aborigènes n’était qu’un échantillon des droits refusés aux Aborigènes. »

Cela vous rappelle quelque chose ? La politique d’apartheid israélienne a un impact similaire sur les Palestiniens. Isreäl a voté des lois racistes restreignant sévèrement la liberté de mouvement, divisant les familles, empêchant le mariage et le rapprochement de couples provenant de différentes zones. Au moins un tiers des Gazaouis ont des membres de leur famille en Israël et en Cisjordanie. La douleur ressentie par de telles séparations forcées, privant les Palestiniens de ces moments de partage que nous chérissons et dont nous jouissons sans limite, est incommensurable. Des grands-parents n’ont jamais vu leurs petits enfants qui ne vivent parfois qu’à 5 kilomètres. Des adultes se voient refuser le droit de visiter un parent mourant et des naissances, des mariages et des enterrements sont assombris par de lourdes absences.

Le Native Title Act de 1993 reconnait finalement que certains natifs australiens « possèdent des droits sur les terres qui leur appartiennent de par leurs lois et pratiques traditionnelles. Mais alors que l’industrie minière était en pleine expansion sur les territoires aborigènes riches en ressources, le colonialisme corporatiste prit du service en portant atteinte à cet acte historique avec la Northern Territory Intervention.

Cette intervention a été lancée par le gouvernement Howard en 2007 et maintenue par les gouvernements successifs, y compris celui de Kevin Rudd dont on se souvient des excuses historiques présentées à la Stolen Generation malgré le fait que les natifs étaient encore humiliés par la mise en quarantaine de leurs aides financières et se battaient pour leur survie dans des conditions dignes du tiers-monde.

L’intervention a eu lieu sous le prétexte que « des groupes pédophiles étaient établis dans des réserves aborigènes. Des troupes ont été envoyées, des villes ont été saisies et la législation régissant les droits que les natifs avaient sur elles a été ignorée. Malgré cela, aucune inculpation n’en a résulté et les études ont conclu qu’il n’y avait pas de preuve de quelconques actes pédophiles », reporte Marcus Waters.

Alors que le plan Prawler était discuté au Parlement israélien, la jalousie du gouvernement australien devait être palpable alors que son homologue imaginait pouvoir évincer de leurs terres ancestrales 40 000 Bédouins encombrants empêchant l’expansion des terres israéliennes ou de pouvoir simplement écraser les villages palestiniens pour construire des colonies sionistes.

Connue pour ses yeux revolvers, Julie « Médusa » Bishop, la ministre des affaires étrangères australienne, alors qu’elle prenait la parole au nom de son gouvernement le 15 janvier, a déclaré avec un panache colonialiste non dissimulé « qu’elle voudrait bien qu’on lui explique en quoi leurs actions [d’Israël] étaient illégales aux yeux des lois internationales », remettant ainsi en cause les accusations de crimes de guerre planant sur les colonies israéliennes.

Cela ne fait pas bonne figure venant de la part d’un ministre des affaires étrangères d’un pays siégeant au Conseil de sécurité de l’ONU alors que même le jardinier du Parlement a entendu parler de la Convention de Genève.

Tout comme son ami, l’Etat renégat d’Israël, l’Australie ne lève même pas le petit doigt pour honorer ses obligations envers les lois internationales.

Elle a renié ses obligations envers la Convention des réfugiés avec sa politique inhumaine à l’encontre des demandeurs d’asile, forçant les bateaux de réfugiés à regagner l’Indonésie, en refusant d’indemniser les personnes ayant fait l’objet d’une détention obligatoire prolongée et en « ignorant pendant environ trois ans les lois internationales contre la discrimination raciale avec sa politique d’intervention dans les communautés natives des Etats du Nord. »

La liste continue avec la haute mortalité des Aborigènes maintenus en garde à vue, la rupture de l’accord international sur les droits politiques et civils pour le détenu de Guantanamo David Hicks, les allégations comme quoi les services secrets australiens auraient participé aux actes de torture sur Mamdouh Habib lors de sa détention en Egypte, au Pakistan et à Guantanamo et aussi avec les lois anti-gangs du Queensland, déphasées des standards internationaux en matière de procès équitables.

Le cas d’aujourd’hui est l’Australie comparaissant devant une cour de justice internationale pour ses actes d’espionnage sur le Timor-Oriental lors des négociations sur le gaz et le pétrole. Elle aurait tenté d’escroquer la nation la plus pauvre d’Asie.

Le terrorisme colonial, sous couvert d’une démocratie civilisée, n’est pas seulement l’acte des quelques mystérieuses personnes au pouvoir. Ce sont ces personnes pour lesquelles vous et moi votons. Sans nous, ils sont impuissants. Tant que notre conscience morale, notre intelligence et notre compassion ne détermineront pas le bulletin que nous mettons dans l’urne, nous resterons leurs complices.

Vacy Vlazna

Le Dr Vacy Vlazna est Coordinatrice de Justice des Affaires Palestiniennes. Elle était une conseillère en droits de l’homme pour le mouvement GAM (pour un Aceh libre) lors des négociations de paix pour Aceh à Helsinki en février 2005 avant de démissionner par principe. Vacy était aussi coordinatrice du lobby de justice pour le Timor-Oriental et a également travaillé au Timor-Oriental avec l’UNAMET (Intervention des Nations unies au Timor-Oriental) et l’UNTAET (Administration de transition des Nations unies au Timor-Oriental) de 1999 à 2001. Elle a fait don de cet article à PalestineChronicle.com.
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
22 mars 2014 16:10
Et voila comment la democratie se joue au Nazionistan

Ses rares défenseurs voient en elle la réplique israélienne de Hillary Clinton. Ses procureurs, nombreux et féroces, hésitent entre Elena Ceausescu et Mimi Papandreou. Première dame d'Israël et troisième femme de Benyamin, la blonde Sarah Netanyahu, 38 ans, emprunte il est vrai à ses trois aînées quelques traits de - fichu - caractère. A l'instar de Hillary, elle prétend partager avec son élu de mari, époux naguère volage mais en apparence absous, le pouvoir, ses ors et ses pompes. A l'image de la défunte harpie roumaine, Sarah goûte l'apparat et les diplômes, fussent-ils suspects. Enfin, de même que la compagne de feu Andreas Papandreou exaspérait les disciples du vieux lion grec, elle irrite au plus haut point l'entourage de "Bibi" et les caciques du Likoud.

Le cousinage ne s'arrête pas là: comme l'ambitieuse Hellène, Sarah subit les assauts acharnés d'une presse hostile; et, comme Mimi, elle était hôtesse de l'air lorsque ses pas et son regard croisèrent ceux du grand homme, alors vice-ministre des Affaires étrangères. Bien sûr, Cupidon frappa, non en plein vol, mais plus prosaïquement dans une boutique hors taxes de l'aéroport d'Amsterdam. On ne dira jamais assez combien la promotion sociale doit aux compagnies aériennes. Jusqu'à ce jour béni de 1989, en effet, le parcours de Sarah Ben Artzi manquait quelque peu d'altitude. Fille d'un couple d'universitaires traditionalistes - le père, Shmuel, enseignait la Torah - elle vécut son enfance non loin de Haïfa, dans l'ombre de ses frères, élèves modèles et tous trois lauréats d'un concours de culture biblique. Aujourd'hui professeur de mathématiques à l'Université hébraïque de Jérusalem, l'aîné passe pour le doux rêveur d'une famille très à droite. Acquis à la gauche pacifiste, il voit en Jérusalem-Est la capitale d'un futur Etat palestinien. A l'inverse, le cadet, Hagaï, confident de Sarah aux heures de détresse, a rallié en octobre 1996 les colons juifs d'Hébron et dénonce urbi et orbi la "trahison" d'un beau-frère dont il fut le sherpa au pays des rabbins. S'il est fâcheux d'entendre son frangin préféré vociférer sous le balcon familial, la first lady de Jérusalem n'a rien d'une colombe. "Elle est beaucoup plus à droite que Bibi", confie un intime.

De tribunes d'honneur en voyages officiels, Sarah savoure les fastes du pouvoir, au point de s'emporter quand les caméras la négligent trop à son goût. Mais elle se mêle aussi des affaires de l'Etat. Certes, c'est en vain qu'elle combattit, l'an dernier, la nomination de Limor Livnat, ministre de la Communication et seule femme du gouvernement. En revanche, Madame aura obtenu la tête d'Eyal Arad, fidèle compagnon de route de son mari. On l'a vue aussi, lors d'un vol vers Washington, surgir au beau milieu d'une réunion restreinte et sommer le directeur du cabinet de Bibi de lui céder son fauteuil. Que lui vaut, diable, une telle emprise? La fascination d'un mari énamouré? Sûrement pas. De l'aveu de ses amis, Benyamin Netanyahu a convolé à contrecoeur. "Il n'avait pas le choix, avance l'un d'eux, navré. Sarah était enceinte de leur premier fils. Après, un troisième divorce aurait nui à ses ambitions. Et puis, il y a ce contrat..." Le contrat, quel contrat? En Israël, nul ne l'a lu mais tout le monde en parle, y compris dans l'entourage du Premier ministre. Rédigé par des avocats de haut vol - l'un sera un temps ministre de la Justice, l'autre émissaire auprès d'Arafat - le document régit les termes d'une union singulière, sauvée in extremis du naufrage. En gros, Sarah consentait, en cas de victoire de Bibi, à passer l'éponge sur une incartade fameuse; en retour, le pacte lui garantit le droit de suivre partout son époux, où qu'il aille. Privilège auquel l'ancienne hôtesse de l'air ne renonce que pour éviter de côtoyer Arafat. Il y a des limites à tout...

Le drame se noue en janvier 1993, deux mois avant un congrès décisif du Likoud. Un soir, Sarah apprend, par un appel anonyme, son infortune: Benyamin a cédé au charme - incontestable - de sa conseillère en image, Ruth Bar. Affolé, le coupable se précipite sur les plateaux de télévision pour confesser en prime time sa faiblesse à des concitoyens médusés et goguenards. Mieux, il évoque l'existence d'une vidéocassette "compromettante" et accuse, sans le nommer, son rival David Lévy, aujourd'hui ministre des Affaires étrangères, d'avoir ourdi "le pire crime politique de l'histoire d'Israël, sinon de l'histoire de la démocratie". Rien que ça. Depuis lors, Bibi-le-dur préfère filer doux. Place au bon père et au bon époux. Lorsque Yair, 5 ans, s'ouvre le front au jardin d'enfants, Benyamin interrompt sans barguigner une séance du Conseil de sécurité pour rejoindre Sarah à l'hôpital.

Tout aussi virtuel que le film des ébats, un livre jamais paru à ce jour aura hanté les Netanyahu. Son auteur? Doron Neuberger, l'ancien époux de Sarah. Cet obscur kibboutznik menaçait de "tout" déballer au nom de l'intérêt supérieur de la nation: on ne peut, à l'en croire, laisser une femme si instable nager dans les secrets d'Etat. Soupçonné de réclamer 1 million de dollars pour prix de son silence, l'ex accusera en retour l'entourage de Bibi d'avoir tenté de l'acheter. Transaction, menaces, pressions? Une certitude: harcelé par un bataillon d'hommes de loi, Neuberger a rengainé son brûlot. Avec Sarah, les avocats ne manquent pas d'ouvrage. Il leur faut désormais défendre celle qu'une baby-sitter congédiée poursuit pour licenciement abusif. Tania Shaw, immigrante sud-africaine de 21 ans, avait, entre autres crimes inexpiables, laissé brûler la soupe des garçons... Peu auparavant, une autre garde d'enfants, exténuée et chichement nourrie, avait fui le foyer après une semaine. Toutes deux dépeignent la maîtresse des lieux sous les traits d'une virago autoritaire et vindicative, obsédée de propreté. "Par contraste, note un familier, Bibi fait figure d'ange de douceur. Ce n'est déjà pas si mal." Peut-être les ténors du prétoire auront-ils aussi un jour à défendre le pedigree universitaire de leur cliente. Pour sa thèse de psychologie de l'éducation, Sarah aurait en effet largement puisé dans les travaux d'une collègue. Qu'à cela ne tienne: elle recevra son diplôme des mains, non du recteur, mais de son mari. "Pour l'occasion, grince un professeur, on avait fermé l'université."

En Israël, le forcing de la first lady passe mal. L'opinion résiste farouchement à l'américanisation des moeurs politiques. De même, il est d'usage que les premières dames restent dans la coulisse. Qui connaît Sonia Peres ou Shulamit Shamir? Leah Rabin elle-même n'est vraiment sortie de l'ombre qu'après l'assassinat de son mari. "Si Sarah prend des coups, elle les cherche, note sobrement un intime du couple. On s'expose comme on se marie: pour le meilleur et pour le pire."

En savoir plus sur [www.lexpress.fr]
o
22 mars 2014 22:48
effectivement c'est la seule démocratie au moyen orient

"Le plaidoyer pro-israélien d'un journaliste palestinien

Khaled Abou Toameh, journaliste arabe israélien et palestinien, était récemment de passage à Paris. Il porte un regard sceptique sur les chances des négociations de paix et la capacité de Mahmoud Abbas de les conduire.

C’est peut-être parce que les négociations entre Israéliens et Palestiniens semblent sans issue que Khaled Abou Toameh a pris l’habitude de détendre ses auditoires avec quelques blagues, une façon de démontrer par l’absurde quels sont les obstacles au processus de paix.

"Je suis un journaliste arabe israélien, ou un journaliste israélien arabe ou un Arabe israélien journaliste, vous pouvez intervertir les adjectifs comme il vous plait. Tout me va". Le quinquagénaire, invité par le sénateur de Paris Yves Pozzo di Borgo, jeudi dernier, au Palais du Luxembourg, ne laisse aucune ambiguïté sur son attachement à l’État hébreu. "C’est parce que je vis en Israël avec les juifs que j’ai le droit de m’exprimer librement. À Ramallah, je ne l’aurais pas fait. Si je parlais de négociations de paix à Ramallah, j’aurais de la chance de ne recevoir qu’une balle dans la jambe."

Khaled Abou Toameh est né d’un père arabe israélien et d’une mère originaire de Cisjordanie. Depuis plus d’une douzaine d’années, il publie analyses et reportages dans le Jerusalem Post, journal placé plutôt à droite. Il produit également des reportages télé pour la chaîne américaine NBC News et, en parallèle, accompagne des journalistes à travers la bande de Gaza et la Cisjordanie, organisant des rencontres avec, notamment, des leaders du Hamas. Pourtant il y a trente ans c’est au journal de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) qu’il a commencé sa carrière.
"Après avoir obtenu mon diplôme, j’ai décidé de quitter la "Pravda" locale pour écrire dans la presse libre," poursuit le journaliste, diplômé de l’université hébraïque de Jérusalem. Après un virage à 180 degrés, il est aujourd’hui un contributeur incontournable du "Think Tank" américain Gatestone Institute, réputé de droite et plutôt pro-israélien. Il parcourt le monde, défendant des thèses qui ne déplaisent pas aux juifs d’Israël et de la diaspora. C’est ainsi qu’il a donné une conférence au Sénat français, avant de repartir en Israël et reprendre ses critiques à l’encontre du leadership palestinien, qu’il juge impuissant et corrompu.

"Les dirigeants palestiniens ne veulent rien céder"

Sur les négociations de paix en cours, il n’a aucune illusion. "Mahmoud Abbas est-il légitime pour négocier un accord de paix ? Il a entamé la dixième année de son mandat de quatre ans", raille-t-il, provoquant les rires de son auditoire. "D’ailleurs, même si Abbas signe un accord, où va-t-il le faire appliquer ? Dans son quartier de Ramallah ? Il ne contrôle rien. Il ne peut même pas accéder à sa propre maison à Gaza [territoire contrôlé depuis 2007 par ses rivaux du Hamas, NDLR]."

Non, les négociations n’ont aucune chance d’aboutir, ni avec Mahmoud Abbas, ni avec le reste du leadership palestinien, selon le reporter, qui soutient qu’aucun leader arabe ne se sent autorisé à céder quoi que ce soit aux Israéliens. Et de citer en exemple l’ancien "Raïs" Yasser Arafat, qui avait rejeté en 2000 le marché roposé par le Premier ministre israélien de l’époque, Ehoud Barak, à Camp David, aux États Unis. "Je suis allé avec d’autres journalistes arabes demander à Yasser Arafat pourquoi il n’avait pas accepté l’offre, poursuit-il. Il nous a répondu : ‘ils ne m’ont pas donné 100% de ce que je demandais.’ Lorsqu’on lui a demandé combien de pourcentages Barak avait offert, il a répondu ‘95%’"

Selon le journaliste, Arafat aurait ajouté : "Je n’ai aucune intention de prendre le thé avec Anouar el-Sadate dans l’au-delà" [le défunt président égyptien avait été assassiné trois ans après la signature, en 1978, d’un accord de paix avec Israël, NDLR]. Conclusion de Khaled Abou Toameh : pour conclure un accord, il faudrait que les Israéliens acceptent "100% des exigences de l’Autorité palestinienne", notamment un retrait complet des territoires conquis en 1967. Une idée qui ne semble pas séduire l’auditoire, majoritairement proche d’Israël.

"L’Europe doit poser des conditions à ses subventions"

Pour le journaliste, la situation s’est dégradée depuis les accords d’Oslo de 1993 : la presse des Territoires est encore muselée et les Palestiniens sont abreuvés de propagande anti-israélienne, "largement subventionnée par l’Union européenne.". Khaled Abou Toameh conseille ainsi à son public de faire pression sur l’UE pour qu’elle change d’attitude vis-à-vis de l’Autorité palestinienne. "L’Europe paie les salaires de 160 000 Palestiniens. Je ne dis pas qu’il faut qu’elle arrête, mais elle peut au moins poser certaines conditions à ces subventions".

Le reporter juge toutefois la paix possible, à condition "qu’Israéliens et Palestiniens restent séparés". Sollicité par FRANCE 24 sur la question du droit de retour des réfugiés palestiniens, il répond qu’"il ne faut pas oublier les réfugiés juifs qui ont dû quitter des pays arabes. Il faut en tenir compte dans les négociations". Surtout, Khaled Abou Toameh, qui jure n’être "ni pro-palestinien, ni pro-israélien", insiste sur ce qu’il ne faut pas faire : un nouveau retrait unilatéral d’Israël. Selon lui, les retraits du Sud-Liban, de la bande de Gaza, et de quatre implantations de Cisjordanie, ont été interprétés comme une défaite d’Israël, et ont encouragé le Hamas à poursuivre sa lutte.
À qui accuse Israël de pratiquer une politique d’apartheid, le journaliste répond : "La situation n’est évidemment pas parfaite, mais nous avons des droits que les Palestiniens n’ont pas dans les pays arabes de la région. J’habite dans un quartier juif à Jérusalem, mes filles peuvent aller à l’école juive, par contre au Koweït, mes amis palestiniens n’ont pas le droit d’acheter une maison". Et d’ajouter: "Si vous trouvez un Arabe israélien qui veut partir vivre dans un État palestinien, amenez-le moi."

[www.france24.com]
22 mars 2014 22:51
Citation
un cousin a écrit:
Aleykoum salam abde12

regarde

"France. Huit heures de garde à vue pour des affiches dénonçant la politique d'Israël"

[www.lecourrierdelatlas.com]

« La liberté d'affichage est constitutive d'une liberté fondamentale. C'est une pratique enracinée dans la tradition démocratique »

Archi faux...l'affichage est tres reglementé...surtout en periode electorale...
En plus ils le disent eux meme qu'ils collent des affiches sur celles des autres depuis des années...c stupide...c pas parcequ'ils ont "lhabitude" de le faire que c légal....
C con de crier au loup sans se proteger derriere...
22 mars 2014 23:34
Citation
heywa a écrit:
Citation
un cousin a écrit:
Aleykoum salam abde12

regarde

"France. Huit heures de garde à vue pour des affiches dénonçant la politique d'Israël"

[www.lecourrierdelatlas.com]

« La liberté d'affichage est constitutive d'une liberté fondamentale. C'est une pratique enracinée dans la tradition démocratique »

Archi faux...l'affichage est tres reglementé...surtout en periode electorale...
En plus ils le disent eux meme qu'ils collent des affiches sur celles des autres depuis des années...c stupide...c pas parcequ'ils ont "lhabitude" de le faire que c légal....
C con de crier au loup sans se proteger derriere...

Ouai mais Huit heures de garde à vue. Quand même !!!
22 mars 2014 23:47
Citation
un cousin a écrit:
Citation
heywa a écrit:
Citation
un cousin a écrit:
Aleykoum salam abde12

regarde

"France. Huit heures de garde à vue pour des affiches dénonçant la politique d'Israël"

[www.lecourrierdelatlas.com]

« La liberté d'affichage est constitutive d'une liberté fondamentale. C'est une pratique enracinée dans la tradition démocratique »

Archi faux...l'affichage est tres reglementé...surtout en periode electorale...
En plus ils le disent eux meme qu'ils collent des affiches sur celles des autres depuis des années...c stupide...c pas parcequ'ils ont "lhabitude" de le faire que c légal....
C con de crier au loup sans se proteger derriere...

Ouai mais Huit heures de garde à vue. Quand même !!!

Biensur que c abusé mais le mec en face a juste été plus malin...il a utilisé ce que la loi lui permettais ...c bien cela le pblm.....
23 mars 2014 13:05
Citation
omar625 a écrit:


Hitler aurait passé un "contrat de transfert" avec les juif sioniste pour leur installation en Palestine. Révélateur

2 avril 2014 17:02
l'aggression quotidienne des lieux de culte Chrestiens et Musulmans laissent indifferent les vendus a la puissance financiare du sionistan



Israël: encore des graffitis sur un lieu de culte chrétien


Le monastère de Deir Rafât, à l’ouest de Jérusalem, a été la cible d’un acte de vandalisme lundi 31 mars 2014. Un acte signé par un groupuscule israélien d’extrême droite.
Tous les pneus des véhicules garés dans la propriété ont été crevés et sur les murs s’étalent des slogans anti chrétiens mais, cette fois, aussi anti américains, écrits en hébreux...

Pour le Patriarcat Latin de Jérusalem, les tags anti américains sont probablement une réaction aux pourparlers qui ont eu lieu la nuit précédente entre le secrétaire d’Etat américain John Kerry et le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou concernant les négociations de paix avec les palestiniens. John Kerry avait profité de cette occasion pour exiger qu’Israël libère un certain nombre de palestiniens détenus dans des prisons israéliennes.

Le Patriarche Latin de Jérusalem, MgrFouad Twal, s’est rendu dans l’après-midi du mardi 1er avril au couvent de Deir Rafât et a publiquement déploré et condamné ces actes « de folie ». « Dans quelle école ces gens ont-ils pu recevoir une telle éducation ? » s’est-il demandé. « Ces gens ont-ils réalisé avant de commettre un tel acte, que vivent ici des moniales qui sont là pour prier et jeûner, jours et nuits, pour la paix ? »

Répondant aux questions des journalistes, le Patriarche s’est exprimé en ces termes : « Mais nous, comme les moniales, nous allons continuer à prier pour ces esprits malades, afin que le Seigneur les tire de leur ignorance et de leur étroitesse d’esprit. Cependant, nous ne devons pas nous taire, et nous allons tout faire afin que justice soit faite et que ces vandales et ces fanatiques soient poursuivis ».

Il y a malheureusement peu de chance que ce vœu soit suivi d’effet. Les agresseurs n’ont pas été identifiés personnellement, mais l’un de leurs véhicules a été retrouvé à Ebron, haut lieu de lutte entre Palestiniens et colons Israéliens. Ce détail, ajouté à la signature « מדיניות תג מחיר », littéralement « le prix à payer » désigne le groupuscule connu internationalement sous le titre de « price tag ».
Il s’agit de jeunes colons israéliens radicaux, adeptes d’actions violentes en tous genres, s’attaquant aux palestiniens et aux communautés minoritaires dont les chrétiens. Or si le premier ministre Netanyahu a condamné ouvertement ce mouvement, force est de constater que les militants de « Price Tag » sont rarement condamnés.
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
7 avril 2014 11:48
Il faut tordre le cou au myth de seule etat democratique du monde. Les criminels de guerre qui gouverne ce pays depuis le debut doivent etre traduit devant un tribunal internationale.

Tous ceux qui ont lu Comment le peuple juif fut inventé de Shlomo Sand1 devraient compléter leur lecture par celle du livre d’Ilan Pappe2, historien israélien, professeur comme lui à l’Université de Tel-Aviv. Les deux ouvrages, fondés l’un et l’autre sur un ensemble documentaire rigoureux, se font écho et, pourrait-on dire, se justifient l’un par l’autre. Après le mythe du peuple juif éclaté voici le mensonge d’une terre promise. Pour donner à ce mythe, entretenu pour des raisons politico- religieuses, une consistance autre que celle que lui procure la Diaspora, il faut donner une terre à cette chimère, l’enraciner dans une situation géopolitique bien réelle, quoique artificielle et savamment orchestrée autour d’un mensonge.
Deux courtes phrases, en tête de l’ouvrage, extraites d’une déclaration de David Ben Gourion à l’Exécutif de l’Agence juive en 1938, donnent le ton : « Je suis pour le transfert forcé [des Arabes]. Je ne vois rien là d’immoral ». Ilan Pappe, en s’appuyant rigoureusement, scrupuleusement, sur des documents d’archives de la Haganah3 dans lesquelles il puise la plupart des informations qui étayent son ouvrage, et tout particulièrement le journal que tenait David Ben Gourion tout au long des années de conquête des territoires, nous fait découvrir une réalité qui bouleverse bien des idées reçues sur l’histoire de la Palestine au cours de la première moitié du xxe siècle.
L’expansion territoriale des Juifs sur ces territoires ne serait pas la résultante du seul achat de terres, ni même des victoires au cours de la première guerre israélo-arabe. Les destructions de villages où des Palestiniens vivaient depuis plusieurs générations, les déportations forcées de populations entières, les pires exactions (viols, assassinats,…) auraient constitué la méthode presque exclusive des sionistes pour s’y installer.
Ayant rappelé la définition de la notion de nettoyage ethnique (en prenant référence aux événements de l’ex-Yougoslavie dans les années quatre-vingt-dix et aux déclarations de l’ONU sur cette question4), Pappe
commence par brosser un tableau de la situation de la Palestine au cours........

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