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Serge elie Ayoub juif skinhead ou manipulateur de "bof" ?
c
12 juin 2013 14:47
Les démons violents de la mouvance skinhead, celle là-même dont il se veut aujourd'hui encore le patron, ont rattrapé Serge Ayoub, 48 ans, chef des Jeunesses nationalistes révolutionnaires et fondateur du groupuscule d'extrême droite Troisième Voie autour duquel gravitaient plusieurs personnes impliquées dans la mort du jeune militant antifasciste Clément Méric.
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L'histoire de Serge Ayoub est celle d'un jeune skin parisien, très vite devenu porte-parole de la mouvance au milieu des années 1980, fort de son charisme, de son aptitude à la cogne et surtout d'une capacité inédite à tenir un discours politique dans un milieu où l'on conceptualise assez peu. Ce fils de magistrate mène en parallèle plusieurs aventures politiques au sein de l'extrême droite radicale et multiplie les provocations néo-nazies.

C'est l'histoire, aussi, d'un chef de bande, belle gueule, intelligent, imposant physiquement et volontiers manipulateur, qui, au moment où la France découvre le hooliganisme importé d'Angleterre, tente alors – avec un succès mitigé – de régner, avec sa bande du Pitbull Kop, sur la tribune Boulogne du Parc des princes.

LES PLATEAUX DE TÉLÉ SE L'ARRACHENT

Déjà, à l'époque, il est une vedette médiatique. Les plateaux de télé se l'arrachent et lui offrent une tribune. Dans "Ciel, mon mardi !", en 1988, émission phare animée par Christophe Dechavanne, il est opposé à Harlem Désir, alors patron de SOS-Racisme, puis invité à nouveau pour témoigner sur la violence dans les stades. La Cinq, chaîne nouvellement créée, suivra son groupe de skins boulevard Saint-Michel au cours d'une soirée, en avril 1990, qui débouchera, sous l'œil des caméras, sur des violences à l'encontre d'un jeune métis, membre d'une bande "zulu".

C'est l'histoire, toujours, d'un jeune adulte qui vieillit, ouvre des boutiques pour skins néo-nazis et doit y renoncer – l'une d'entre elles est détruite, la seconde fait l'objet d'une fermeture administrative. Il navigue ensuite entre les faits divers meurtriers qui émaillent la mouvance skin de ces années-là. Il s'éloigne de la scène politique d'extrême droite, s'essaie à la production de films porno, sort avec une vedette du X, effectue un court séjour derrière les barreaux pour trafic de stéroïdes. Il tente d'ouvrir un "chapitre" (une section) des Hell's Angels en France, déclare mort le mouvement skin, se revendique "biker", puis s'évanouit à nouveau. Il dit avoir été directeur de casino au Salvador, travaillé pour une galerie d'art au Japon, fait de l'import-export en Lituanie...

SON POUVOIR DE SÉDUCTION RESTE INTACT

Il ressurgit, ponctuellement, comme témoin, en 2000, dans un procès aux assises, celui de son ancien bras droit, Régis Kerhuel dit "Mad skin", dont un jeune Mauricien, James Dindoyal a eu le malheur de croiser la route sur une plage de la Manche en juin 1990. Forcé à boire un mélange de bière et d'un produit détergent par Régis Kerhuel, puis jeté à la mer, il décédera après plusieurs jours d'agonie atroce. Régis Kerhuel espérera la confirmation d'un alibi de la part de "Serge", qu'il n'obtiendra pas.

C'est l'histoire, enfin, d'un quadragénaire, à la voix douce et haut perchée, qui après une dizaine d'années de pause, affiche son retour sur la scène politique parisienne en ouvrant le Local, un bar privé au statut d'association, en 2007. Au départ associé avec Alain Soral, polémiste d'extrême droite, il finira par le virer et restera seul maître des lieux.

Presque quinquagénaire, Serge Ayoub, est toujours là, quand d'autres, à l'histoire commune, ont décroché, sont morts ou ont enchaîné les séjours en prison. Son pouvoir de séduction sur la jeunesse skin – la composante la plus prolétarienne et souvent paumée de l'extrême droite – reste intact, même si, à la différence des années 1980-1990, cette mouvance n'a plus de forte dynamique.

RÔLE DE "PATRON DE RUE"

Serge Ayoub reste un mystère. Vivant sur son aura, il organise des troupes dont on se sait plus trop s'il partage leurs convictions ou si elles lui permettent de continuer à jouer le rôle de "patron de rue", qu'il s'est construit au fil des ans. DVD à sa gloire, bières, tee-shirts, son personnage le fait vivre. Ses concurrents directs, comme l'Œuvre française, le méprisent et le désignent comme le "juif Ayoub". Récemment encore, le milieu le vouera aux gémonies pour avoir interposé ses JNR en protection d'une militante des Femen, venue faire un happening, à l'occasion du défilé de l'extrême droite radicale le 12 mai.

Sa garde rapprochée – les JNR, totalement dévouées à sa personne mais qui ont très peu à voir avec un quelconque militantisme politique – focalise l'attention. Mais c'est surtout avec Troisième Voie – au recrutement bien peu maîtrisé – qu'Ayoub a choisi de continuer à être roi dans la mouvance violente et incontrôlable des skins.
c
12 juin 2013 15:02
7/06/213
Clément Méric, militant d'extrême gauche agressé mercredi en fin d'après-midi dans le quartier de la gare Saint-Lazare à Paris, est décédé ce jeudi à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière (XIIIe).


A l'instar d'un monde politique unanime, le président François Hollande a condamné depuis Tokyo «avec la plus grande fermeté l'agression» de Clément Méric. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a dit souhaiter que le gouvernement trouve les moyens pour «mettre en pièces» les groupes d'extrême droite.

Interrogé sur un lien avec le mouvement des opposants au mariage homosexuel, Manuel Valls, qui s'est rendu sur les lieux du drame dans la matinée, a répondu qu'il se méfiait «de tous les amalgames». Si des militants de ces groupuscules ont été repérés dans les défilés, leurs organisateurs et la droite se sont également offusqués d'un tel rapprochement «scandaleux», «indécent».

Sept personnes interpellées

Ce jeudi, sept personnes, dont une femme, ont été placées en garde à vue. Plusieurs sont proches du groupuscule des Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR) et du mouvement affilié de la Troisième Voie. Parmi les gardés à vue, l'auteur présumé du coup mortel, âgé d'une vingtaine d'années, est connu pour appartenir à cette mouvance skin. Selon une source policière, il a indiqué ne pas avoir eu l'intention de tuer.

Selon une source policière, la victime «a été frappée par l'un des skins qui avait un poing américain et a chuté sur la chaussée en heurtant un plot au passage». Une version corroborée par des témoins de la scène, qui s'est déroulée en plein jour, dans une rue très commerçante de la capitale.
c
12 juin 2013 15:07
Batskin répond à BFMTV. Serge Ayoub, alias Batskin, figure emblématique de la galaxie skinhead parisienne et leader des Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR), répond aux incriminations sur le plateau de BFMTV. «Les JNR ne sont impliquées dans aucun cas dans la mort de Clément Méric», répète-t-il à plusieurs reprises. «Je ne connais pas leurs noms», affirme-t-il à propos des auteurs présumés de l'agression en garde à vue, «ils ne sont absolument pas membres des JNR». Il admet les avoir eus dans la nuit au téléphone : «quand je les ai eus, je leur ai dit de prendre un avocat car l'histoire est grave». Serge Ayoub a tenu a faire entendre une autre version des faits : «je condamne le fait que cinq jeunes d'extrême gauche aient agressé des pauvres jeunes qui voulaient s'acheter des polos», a déclaré le chef des JNR, en faisant référence à l'appartement du IXe dans lequel se déroulait une vente privée de vêtements où se sont croisés et provoqués les deux groupes de jeunes.
c
12 juin 2013 15:22
Marine Le Pen assure n'avoir "aucun rapport" avec eux. Jean-Luc Mélenchon prétend l'inverse. Depuis la mort du jeune militant antifasciste Clément Méric et la mise en examen de cinq personnes qui ont toutes reconnu être des sympathisants du groupuscule d'extrême-droite Troisième voie et des Jeunesses nationalistes révolutionnaires, ces deux organisations sont dans le viseur des autorités. Et la présidente du Front national le martèle depuis plusieurs jours : "Nous n'avons aucun rapport avec ces groupes". "Je ne connais pas précisément ce groupe", avait-elle ajouté dimanche sur BFMTV. Tout au plus reconnaissait-elle avoir rencontré une fois le leader des deux organisations, Serge Ayoub.

En effet, selon le livre de deux journalistes du Monde paru en 2011 et intitulé Le système Le Pen, la patronne du Front a dîné en 2010 avec Serge Ayoub, alias "batskin" dans le milieu skinhead. A l'époque, la chef de file du FN n'avait pas démenti cet épisode. Elle avait décidé de le rencontrer car l'homme, contrairement à beaucoup d'autres issus comme lui de l'ultra-droite, avait choisi de la soutenir lors de la campagne interne au FN, contre Bruno Gollnisch.

D'autres membres du FN connaissent Ayoub
Rien de plus? Marine Le Pen a dû entendre parler d'autres fois de Serge Ayoub. En mai 2012, en pleine campagne pour les législatives à Hénin-Beaumont, ce dernier avait embarrassé la candidate du FN par un tractage sous ses yeux. Elle disait alors ne pas le connaître. Pourtant, en 2008, elle a participé à une soirée "100% French pride" à son "Local", un bar où il organise de nombreux colloques pour l'extrême-droite.


Et Troisième voie entretient des liens avec certains membres du FN. Le 1er mai, 2010, puis 2011 et encore en 2012, Ayoub avait participé au défilé du FN. En 2012, il y distribuait notamment son journal Salut public, dans lequel écrit Christian Bouchet. Ce dernier a été investi à Nantes par le FN aux législatives l'année dernière face à Jean-Marc Ayrault. Robert Ménard, soutenu par le parti pour les municipales à Béziers, a participé à un débat au "Local" en mai dernier.

Et puis l'appareil du parti connait bien Serge Ayoub, puisque ce dernier avait été approché en 1995, pour lui proposer une tête de liste aux municipales, en banlieue parisienne, racontent Les Inrockuptibles. L'affaire avait capoté. En 1999, le FN a eu également une petite attention pour "batskin". Selon l'ancien skinhead et JNR Eric Rossi, dans son mémoire Jeunesse française des années 1980-1990: la tentation néo-fasciste, le Front avait fait parvenir un télégramme de soutien à Ayoub après l'explosion (à la dynamite) de son magasin pour skinheads en 1993. Le parti avait été le seul à faire un geste.

Vivien Vergnaud - leJDD.fr
lundi 10 juin 2013
c
12 juin 2013 15:44
c'est un peu exagéré tout ça. ayoub c'est surtout un raté qui sait pas quoi faire de sa peau.
le mystére, c'est son engagement. fait il cela pour gagner du fric? parce que son emploi, c'est sa légende et son aura. c'est ça qui le fait vivre.
en fait, il s'etait éloigné du militantisme d'extreme droite. il avait monté un projet de boutique mais son passé l'a rattrapé et des gens ont manifesté contre lui .
on l'a renvoyé au serge ayoub des 80's.
perso, je crois qu'il voue une haine à l'extreme gauche pour ses magasins détruits ou fermés et qu'il a repris le flambeau du nazi pour faire ch..er tout le monde et s'assurer un revenu.
et puis ça lui plait d'etre sous les feux des médias. c'est un narcissique.
B
12 juin 2013 16:52
Quel manipulateur, ce coldman.perplexe

Pour quelqu'un qui se prétend, du front de gauche, syndicaliste............et plein d'autres mensonges, Il est très étonnant, de minimiser le rôle d'un raciste notoire.
c
12 juin 2013 21:29
De source sûr, personne ne connaît @coldman au front de gauche ni même à gauche tout court ....Ill
"impossible"...
c
12 juin 2013 21:42
ayoub, il n'a aucun poids dans la vie politique.
c'est pas lui qui va reculer l'age de la retraite à 70 ans.
50 co.ns le suivent depuis 20 ans. voila..
et des blaireaux dont on peut même doute de l'engagement vu le niveau de certains.
c'est un gang,pas une organisation politique.
si serge ayoub avait été accepté chez les hells angels, nous n'aurions peut etre plus jamais entendu parler de lui.
c
13 juin 2013 04:55
Citation
Lee Mouna a écrit:
De source sûr, personne ne connaît @coldman au front de gauche ni même à gauche tout court ....Ill
"impossible"...



c'est un pseudo............ grinning smiley
tu as contacté qui pour avoir ce renseignement? le bureau de l'extreme gauche?
B
13 juin 2013 09:07
Citation
Lee Mouna a écrit:
De source sûr, personne ne connaît @coldman au front de gauche ni même à gauche tout court ....Ill
"impossible"...

Quel imposteur!
13 juin 2013 15:08
salam,

moi ce qui relève mes sourcils par rapport à tout ça, c'est la légèreté avec laquelle est prise la montée du fascisme en notre sein, on oublie qu'il y a même pas un siècle, les mêmes gars ont provoqués des génocides du fait de leurs idées...

le gouvernement nous parle de dissolution, mais il a la loi dans la main, bien sûr les racistes au lieu d'être direct, parce que lâche, ils usent de termes non condamnables, ils ont massacrés un jeune français pour ses idées, si tout le monde assassinait à a moindre joute verbale, les cimetières seraient plus grand que les villes.

on ne doit pas considérer à la légère ces montées du racisme et du fascisme, parce qui si c'est traité que d'une façon partial, ça ne peut que nuire à la majorité qui se dit non concernée.
c
13 juin 2013 15:40
Citation
jisuikiyes a écrit:
salam,

moi ce qui relève mes sourcils par rapport à tout ça, c'est la légèreté avec laquelle est prise la montée du fascisme en notre sein, on oublie qu'il y a même pas un siècle, les mêmes gars ont provoqués des génocides du fait de leurs idées...

le gouvernement nous parle de dissolution, mais il a la loi dans la main, bien sûr les racistes au lieu d'être direct, parce que lâche, ils usent de termes non condamnables, ils ont massacrés un jeune français pour ses idées, si tout le monde assassinait à a moindre joute verbale, les cimetières seraient plus grand que les villes.

on ne doit pas considérer à la légère ces montées du racisme et du fascisme, parce qui si c'est traité que d'une façon partial, ça ne peut que nuire à la majorité qui se dit non concernée.


disons qu'il ne faut pas que l'arbre ayoub cache la foret fasciste.
ayoub, il fau tquoi à part faire payer des biéres aux consanguins qui viennent à son bar?
on peut pas dire qu'il fasse venir des foules. autour de lui il n'y a que des ratés qui etaient deja là il y a 25 ans.
c
13 juin 2013 15:49
Serge Ayoub alias Batskin, un Mussolini au petit pied
Mots clés : cactus, persona non grata, serge ayoub, groupuscules d'extrême-droite, troisième voie,

Chaque jeudi dans l'Humanité, découvrez Cactus, notre supplément corrosif. Extrait: Menton en avant, poings serrés, Serge Ayoub sert chaque 13 mai aux spectateurs de l’hommage à Jeanne d’Arc, place des Pyramides à Paris, une mauvaise imitation de Mussolini. Son quart d’heure de gloire, le jour où il prend la lumière.

Lorsqu’en 2010, il relance Troisième Voie, cible – « les travailleurs » – et devise fasciste – « Croire, combattre, servir » – comprises, il ne s’imaginait sans doute pas sous les feux de la rampe. Car à son corps défendant, à part d’imbitables vidéos doctrinales sur Internet où il développe sa version personnelle de la lutte des classes, l’homme et son mouvement étaient jusqu’ici plutôt invisibles. Puis vint la mort, jeudi dernier, d’un jeune homme agressé par les Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR), sa création. À quarante-huit ans, Serge Ayoub s’est enfin fait un nom… sur celui de Clément Méric.

Amis de Klaus Barbie

Dans les années 1980, alors qu’il colle occasionnellement, contre rémunération, des affiches pour le RPR, Serge Ayoub s’appelle encore Batskin, référence à son accessoire de prédilection, la batte de base-ball. Bonehead (skinhead néonazi) reconnu dans le milieu, il compte à son actif quelques morceaux de bravoure, dont l’organisation d’une manifestation, en 1985, sous une banderole « Les amis de Klaus Barbie »… Fort de son aura, il fonde les Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR), qui intègrent Troisième Voie à l’automne 1987. Quelques dizaines d’hommes qui, dans les années 1990, forment aux côtés du GUD une force d’appoint au service d’ordre des réunions du Front national.

Quart d'heure de gloire malvenu

Sa carrière politique est jalonnée d’échecs. En 1993, deux ans après l’autodissolution de Troisième Voie par son créateur, Jean-Gilles Malliarakis, Ayoub remise la batte contre un bulletin de vote, pour les élections législatives dans les Hauts-de-Seine… que seulement 0,17 % des électeurs choisiront. Un score qui ne freinera pas le FN: selon Libération, il lui proposera de conduire sa liste aux municipales de 1995 à Stains (Seine-Saint-Denis). Sans succès, Batskin n’ayant pas pardonné au FN d’avoir «balancé» des noms de skinheads après le meurtre de Brahim Bouarram, noyé dans la Seine en marge d’une manifestation parisienne du parti. Skin un jour…

Tiré de l’ombre du Local, son bar parisien, siège de Troisième Voie, le fondateur des JNR a eu droit à un quart d’heure de gloire malvenu, avant dissolution.
B
13 juin 2013 17:34
Toujours à minimiserperplexe

Retour de la peste brune redouté

La mort d'un militant de gauche jeudi à Paris interpelle au bout du lac. Des liens unissent les mouvements d'extrême droite français et genevois.

«Nous appelons à la vigilance. A Genève aussi, des groupes néonazis véhiculant les mêmes idéaux que ceux qui ont tué Clément Méric à Paris existent.» Ces propos sont signés Johanne Gurfinkiel, secrétaire de la Cicad, qui se bat contre l'antisémitisme. Pour lui, la mort de ce jeune militant d'extrême gauche jeudi n'est pas anodine.

«On ne peut plus ne rien faire»

«Il existe non seulement une proximité idéologique entre les groupuscules d'extrême droite français et genevois, mais également des liens et contacts. Nous avons d'ailleurs constaté une présence genevoise dans des manifestations d'extrême droite en France. Malheureusement, on ne veut pas le voir.»

Rassemblés vendredi aux Cropettes en hommage à Clément Méric, les militants d'extrême gauche confirment. «L'un des chefs de file de Genève non conforme (GNC) (ndlr: un groupe d'extrême droite) était en tête d'un cortège anti-mariage gay, note l'un d'eux. Nous savons qu'ils montent de plus en plus souvent à Paris. On ne peut plus ne rien faire.» Il relève que de nombreuses agressions ont eu lieu ces derniers mois avec, en point d'orgue, celle survenue aux Bastions lors de la Fête de la musique l'an passé.
c
13 juin 2013 20:15
Citation
Bengi a écrit:
Toujours à minimiserperplexe


ce n'est pas de moi.
c'est un article de l'humanité.
tu vois, méme le parti communiste pense comme moi. grinning smiley
P
13 juin 2013 21:33
Salam

Ce type est un cassos, et bon allez une cellule souche qui a fait beaucoup de métastases, rendons à César ce qui lui appartient son titre mdr..Un no life que des no lifes suivent tels des chiens, de braves toutous juste pour oublier leur misérable vie et de temps en temps "exister" avec des actes comme celui de ce jeune tué par une personne Française néo-nazi d'origine Espagnole.

S'ils avaient pris, les médias, l'Etat cette affaire, le parisien datant du 20 mai 2013 (entre autres affaires similaires) au sérieux, alors peut-être que ce jeune de 18 ans ne serait pas décédé.


Citation
Lee Mouna a écrit:
7/06/213
Clément Méric, militant d'extrême gauche agressé mercredi en fin d'après-midi dans le quartier de la gare Saint-Lazare à Paris, est décédé ce jeudi à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière (XIIIe).


A l'instar d'un monde politique unanime, le président François Hollande a condamné depuis Tokyo «avec la plus grande fermeté l'agression» de Clément Méric. Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a dit souhaiter que le gouvernement trouve les moyens pour «mettre en pièces» les groupes d'extrême droite.

Interrogé sur un lien avec le mouvement des opposants au mariage homosexuel, Manuel Valls, qui s'est rendu sur les lieux du drame dans la matinée, a répondu qu'il se méfiait «de tous les amalgames». Si des militants de ces groupuscules ont été repérés dans les défilés, leurs organisateurs et la droite se sont également offusqués d'un tel rapprochement «scandaleux», «indécent».

Sept personnes interpellées

Ce jeudi, sept personnes, dont une femme, ont été placées en garde à vue. Plusieurs sont proches du groupuscule des Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR) et du mouvement affilié de la Troisième Voie. Parmi les gardés à vue, l'auteur présumé du coup mortel, âgé d'une vingtaine d'années, est connu pour appartenir à cette mouvance skin. Selon une source policière, il a indiqué ne pas avoir eu l'intention de tuer.

Selon une source policière, la victime «a été frappée par l'un des skins qui avait un poing américain et a chuté sur la chaussée en heurtant un plot au passage». Une version corroborée par des témoins de la scène, qui s'est déroulée en plein jour, dans une rue très commerçante de la capitale.
c
13 juin 2013 21:36
Citation
coldman a écrit:
Citation
Bengi a écrit:
Toujours à minimiserperplexe


ce n'est pas de moi.
c'est un article de l'humanité.
tu vois, méme le parti communiste pense comme moi. grinning smiley


Mais arreeeeeeeetes là !!! assume toi !!!!!!!!!!!!! le parti communiste te connais pas !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!.
La honte.!!!!! c'est pas possible!



Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/06/13 23:01 par Lee Mouna.
c
13 juin 2013 23:14
Citation
Lee Mouna a écrit:
Citation
coldman a écrit:
Citation
Bengi a écrit:
Toujours à minimiserperplexe


ce n'est pas de moi.
c'est un article de l'humanité.
tu vois, méme le parti communiste pense comme moi. grinning smiley


Mais arreeeeeeeetes là !!! assume toi !!!!!!!!!!!!! le parti communiste te connais pas !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!.
La honte.!!!!! c'est pas possible!


mais as tu téléphoner au bon secrétariat? c'est place du colonel Fabien. grinning smiley
B
14 juin 2013 00:08
Taisez vous Elkabach!
c
14 juin 2013 00:20
Citation
Bengi a écrit:
Taisez vous Elkabach!


le bon vieux temps.........
mais tu étais déjà âgé à cette époque, non?
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