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Sentences...
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26 août 2007 18:42
On demandait à Veis Qarni: " Quel état de recueillement convient-il d'avoir dans la prière? - Un état tel,répondit-il,que,si quelqu'un te frappe avec une hache,tu ne dois pas t'en apercevoir."
Une autre fois,comme on lui demandait pourquoi il était soucieux," C'est répondit-il,parce que ma route est longue et mes provisions nulles."
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26 août 2007 20:17
Citation
BlackHead a écrit:
J'ai compris..

Que la prière de celui qui ne distribue ou donne pas de nourriture n'est pas acceptée...

je me trompe??

je l'espère..

je pense que tu te trompes.... salam tout d'abord.

je crois qu'en fait le dispensateur de notre subsistance est Allah swt et donc celui qui a guidé la priere ne connnait pas les bienfaits que DIEU dispense.

enfin, c ce que j'ai compris.
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28 août 2007 18:32
Pendant bien des années Malik dinyar avait désiré aller à la guerre sainte,et il disait à ce propos: " Lorsque j'y allai enfin,le jour même de la bataille,je fus pris d'un si violent accés de fièvre que je ne pus y assister.Je restai couché et je me disaiconfused smileyi j'étais compté pour quelque chose à la cour du Seigneur très haut,je ne serais pas aujourd'hui gisant,en proie à la fièvre.M'étant endormi au milieu de ces pensées,j'entendis qu'on me disait en songe:Ô Malik!si tu étais entré aujourd'hui dans la mêlée,on t'aurait renversé et fait prisonnier;une fois prisonnier,on t'aurait fait manger de la viande de porc et on t'aurait rendu infidèle.Cette fièvre a donc été pour toi un grand bienfait de la part du Seigneur très haut. Je me réveillai après ce songe et je rendis au Seigneur beaucoup d'actions de grâces."
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31 août 2007 16:43
Pendant un certain temps,Malik Dinyar restait très gravement malade,et il disait à ce propos: " Lorsque je me sentis mieux,je me rendis au bazâr. Tout à coup,je vis le beg de la ville qui le traversait,précédé de ses huissiers,lesquels criaient "Arrière! Arrière!",et frappaient la foule. A cause de mon état maladif,je ne pus m'éloigner à temps,et un homme,s'approchant de moi,me frappa d'un fouet. De ma langue s'échappa cette imprécation:" Que le Seigneur très haut te coupe la main!"
Le jour suivant,je vis le même homme,la main coupée,étendu dans le bazâr. A ce spéctacle,j'eus un remords et me promis de ne plus maudire personne."
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31 août 2007 18:43
salam, barakaLLAH o fikoum!!


smiling smiley
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1 septembre 2007 20:44
" Une fois,disait, Abdallah ibn mubarak,pendant la guerre sainte,je me battais avec un infidèle. Lorsque vint le moment de faire la prière,je lui demandai de m'accorder un instant de répit afin que je puisse m'acquiter de ce devoir. Il y consentit et je m'écartai pour faire la prière.
Lorsque vint l'heure de la prière pour l'infidèle,il me demanda à son tour un peu de répit,que je lui accordai,et il fit sa prière. Tandis qu'il s'éloignait pour aller se prosterner devant son idole,je me dis: "je vais le tuer"; et tirant mon sabre,je me plaçai à portée de sa tête. A ce moment, une voix intérieure se fit entendre: " Ô Abdallah! sois fidèle à ta parole". En entendant cette voix,je me mis à pleurer. L'infidèle releva la tête,et voyant que je pleurais,me demanda ce qu'il y avait. Je lui racontai ce qui m'était arrivé. Une voix mystérieuse s'est fait entendre à moi à propos de toi,lui dis-je. Alors,l'infidèle de s'écrier: " Comment pourrais-je détourner ma face d'un Dieu si compatissant!" Et,sans plus attendre,il se fit musulman..
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2 septembre 2007 21:08
On raconte qu'un jour,de son vivant,Sofiân Thabiri,étant allé au bazar,vit qu'on mettait en vente un petit oiseau. Il l'acheta et lui rendit la liberté. Cet oiseau venait souvent chez Sofiân et,quand il le trouvait absorbé dans ses exercices de piété,il le contemplait en silence. Quand on déposa Sofiâne dans sa dernière demeure,l'oiseau accompagna le corps; ce que voyant,tous les assistants se mirent à pleurer...
Un homme vit Sofiâne Thabiri en songe et lui demanda quelle était sa condition. " Le Seigneur très haut m'a fait miséricorde,répondit-il,et de plus il m'a accordé une place dans le paradis."
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3 septembre 2007 19:51
Hâtim Assam racontait: " Dans une expédition,je me battis contre un infidèle qui m'asséna un coup dont je fus renversé. Lui,alors,s'assit sur ma poitrine pour me tuer à son aise. Pour moi,je n'éprouvais aucune crainte,et mettant ma confiance dans le Seigneur très haut,je restais ferme. Cependant,l'infidèle cherchait son coutelas pour me couper la tête lorsque,soudain,une flèche l'atteignit et le perça de part en part. Aussitôt,il tomba mort ,et moi,je rendis grâces au Seigneur très haut qui m'avait délivré de ce péril."

Un jour,Hâtim demanda à quelqu'un comment il se trouvait. " Je me trouve heureux et en sûreté,répondit celui-ci.
- En sûreté? reprit Hâtim Assam,tu y seras quand tu auras passé le pont du Sirat. Heureux? tu pourras l'être que lorsque tu seras dans le paradis."
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4 septembre 2007 19:29
Un jour,Buchr Hâfi cheminait en état d'ivresse quand il trouva un morceau de papier sur lequel était écrit: " Au nom de Dieu,le clément et le miséricordieux." Ramassant ce morceau de papier,il l'enveloppa dans un fragment d'étoffe de lin sans tâche,en y joignant du musc et de l'ambre et le déposa dans un coin avec toute espèce d'honneurs et de respects...
Cette même nuit,un vénérable personnage eut un songe où on lui prescrivait d'aller dire à Buchr: " Puisque tu as ramassé ce morceau de papier qui gisait à terre et que tu l'as débarrassé des souillures dont il était couvert,nous,à notre tour,te traitons avec honneur,et nous t'avons purifié de tes péchés. Tu as enveloppé notre nom dans un fragment de lin sans tâche,à notre tour, nous te revêtirons dans l'autre vie d'un vêtement complet;et parce que,après l'avoir recouvert d'ambre et de musc,tu l'as placé hors de toute atteinte,nous,de notre côté,nous t'honorons dans ce monde et dans l'autre et nous laverons ta renommée de toute tâche."
Le lendemain matin,ce personnage vénérable partit à la recherche de Buchr Hâfi. Il le trouva en état d'ébriété...Il ne lui eût pas plus tôt répété ces paroles que Buchr Hâfi,prenant congé de ses camarades,leur dit: " Mes amis,on nous appelle!nous y allons"; et,sans hésiter,il renonça au péché.
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5 septembre 2007 21:46
On raconte qu'un jour,Ma'rouf Kharchi était accompagné de ses disciples quand de jeunes gens arrivèrent,tenant à la main,des coupes remplies de vin..."Ô Mar'ouf! lui dirent ses disciples,fais une prière pour que ces débauchés soient tous engloutis dans les eaux du fleuve. " Lui,élevant les mains au-dessus de sa tête, s'écria: " Mon Dieu,de même que tu leur as donné dans ce bas-monde la vie joyeuse et agréable,accorde-la leur également dans l'autre monde!"
A ces mots,les disciples,n'en pouvant croire leurs oreilles,lui dirent: " Quelle étrange prière tu as faite,Mar'ouf? Au même mots,les jeunes gens,entendant la prière de Mar'ouf,répandirent le vin à terre,puis,s'approchant,ils embrassèrent Mar'ouf Kharchi,et firent amende honorable.
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6 septembre 2007 19:55
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6 septembre 2007 21:19
On raconte que Malik Dinyar,étant allé prendre des nouvelles d'un malade,vit que sa dernière heure était approchait. Aussitôt,il commença à prononcer tout haut la profession de foi musulmane. Le malade,lui,ne la répétait pas et il s'écria: " Je suis tout prêt à la faire mais il y a comme une montagne de feu qui se dresse devant moi,chaque fois,que je me dispose à faire la profession de foi."
Malik demanda alors aux autres personnes présentes,quelle était la profession de cet homme. " Il prêtait son argent à gros intérêt,répondirent-elles; quand il achetait,il usait d'un poids excessif,et quand il vendait,un poids défectueux."

Malik Dinyar disait: " Si l'on demande quelle est la plus méchante des créatures,je serai bien obligé de répondre que c'est moi."
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8 septembre 2007 19:25
Ahmed Hanbal raconte: " J'entendis dire à Fuzeil ibn Ayyaz que quiconque recherchait la grandeur en ce bas-monde serait méprisé dans l'autre. Alors,je le priai de me donner un conseil. Ö Ahmed! me répondit-il,sois petit,n'aspire jamais à la grandeur."
Emission spécial MRE
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