Cet article est orienté dans une certaine mesure : ce n'est pas le qualificatif de "religieux" attribué au "mariage" qu'il faudrait condamner, mais seul le comportement des individus.
Durant plus d'un millénaire la procédure encadrant le mariage revêtait le caractère religieux mais aussi celui "séculier" : publicité au sein de la tribu (le 3roussa tat dor bien en vue), le tatouage sur le visage établissant son statut, l'intervention de l'imam, du Cadi, des notables, de la famille donnant substance à l'acte "verbal", la présence de témoins.
Le passage de l'acte purement "verbal" à l'acte "authentique" écrit, certifié était validé par la procédure dite "thoubout ezzaoujia" ou constat des témoins sous serment.
Puis vient le tour de cette "innommable" polygamie, sous un éclairage des plus flatteurs ...
Bref un article "neutre", "impartial" qui cite les mérites du volet religieux .....