Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Mes secrets....
B
15 août 2011 19:22
Un soir de Ramadan, nous étions en train de manger la harira que ma mère avait préparer Et...

Sans raison apparente mon père se mit en colère, s'empara de la casserole et la projeta d'une seule main sur le mur opposer.
Les murs et le plancher étaient souiller de soupe, et silencieusement ma mère nettoyer les dégats, Croyez-moi ou non c'etait un bon savoir puisque ma mère n'avait pas été battue se soir la!
Quand il levait la main sur elle il y allait de toute ses forces, et ma mère pleurait sans réagir, dans mon coeur d'enfant la rage bouillonait déja contre cet homme.
Un autre soir il la frappa brutalement dans le dos avec son bras droit, ma mère poussa un cri strident et tomba par terre en larme.
Plus je grandissait plus le comportement de mon père vis a vis e ma mère empirait et tous les soirs les geste d'horreurs se répétaient sur moi!
J'ai toujours eu honte d'être sa fille j'aurais voulu qu'il meure. Porter son nom signifiait pour moi être une enfant maudite, il ne frappait jamais au visage, ce malin! Pourquoi je ne l'ai jamais denoncé?? Cet enfer aurait il cessé si javais denoncé cette sauvagerie??

Ma mère tomba enceinte d'une petite fille qui s'appelera Melissa, lorsque ma mère accoucha j'étais tellement heureuse d'avoir une petite soeur, J'ETAIS LA GRANDE SOEUR, enfin bref j'étais heureuse de cette merveilleuse venue au monde.

Les visites de mon père se répétaient tard le soir, j'étais de plus en plus mal lorsque j'entendais les planches du sol craquer. Ses touchers de plus en plus intimes m'égressait. Je ne supportait plus son haleine deguelass de tabac froid.
Le pire c'est que je me sentai de plus en plus responsable en grandissant.
J'en avait mare mare mare de cette situation, un jour dans la rue un camion s'approchai à grande vitesse devant moi, j'aurait voulu me jeter sous ses roues si j'avais eu le courage, mais j'était trop faible pour approcher la mort de si près.
La nuit j'avais beau pleurer devant lui il continuait, je le supliait mais en vin, je n'était qu'un simple objet à ses yeux.

Est-ce normal de vouloir mourir à 6ans d'avoir des idées suicidaires à cete age la? Je ne crois pas.
Lorsque mes copines, en primaires, etaient attendu par leur père à la sorti j'étais tellement malheureuse j'aurai voulu que le monde s'arrete autour de moi, je les imaginai en me torturant l'ésprit jouer avec leur père..
Je me faisait du mal en surveillant les fenètres pour y surprendre des familles heureuses réunies autour de la table.
Ma mère était mon unique source de sécurité et de bien être mais elle était si triste.

J'étais malheureuse de retrouver sécurité qu'en dehors de chez moi, je me sentait si bien en dehors de la maison! De 5ans juqua mes 21ans je me deplacais toujours rapidement que se soit a vélo ou a patins c'etait toujours la meme!
Pendants mes années d'école jetais une eleve tres reserver.
J'adorais lhomme que japelais TONTON, l'homme de l'épicierie il étais sympa, c'etai le pere que j'aurais rever d'avoir.
Il prenait le temps de m'écouter et d'essuyer mes larmes, il réussisait à me faire rire et a me changer les idées en m'offrant des sucreries.

Lorsque j'allais au Maroc j'étais heureuse de revoir Amir chez mes grand Parents, une fois nos grand parents nous on envoyer faire du sky en france j'était tellement heureuse de passer mes vacances a skyer avec mon frere mais malheureuse de laisser ma mere seul avec mon pere.

Jusqu' a mes neuf ans mon père ne me prenait plus sur ses genoux de peur d'éveiller les soupçons de ma mere.

Un jour que ma mère s'en alla au Maroc pour le mariage d'un proche, elle me laissa seule avec mon père a la maison, il m'a fait subir l'horreur mais j'ai tellement peur des mots et de leur pouvoir...
n
15 août 2011 23:33
Mercii

cest tellement triste
H
17 août 2011 22:17
Merciiiiiiiiiiiiiii, c'est vraiment triste crying(
F
22 août 2011 00:16
La suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiitttttttttttttttte crying(
B
23 août 2011 21:27
Je vous ecris la suite dès se soir je vais à la mosquée les filles Biisouuus
B
24 août 2011 01:04
Un jour que ma mère s'en alla au Maroc pour le mariage d'un proche, elle me laissa seule avec mon père a la maison, il m'a fait subir l'horreur mais j'ai tellement peur des mots et de leur pouvoir...

A cette époque nous vivions encore en France, habituellement je fuyais à l' éxterieur quand il était la mais comme il pleuvait dehors je suis rester à la maison et je fus moins vigilente, Et puis non ce n'était pas ma faute ce n'était pas du à mon manque de vigilence, il n'avait pas le droit, j'ai peur de vous le dire j'ai peur qu'en ressassant le passé" tous le mal qu'il m'a fai eclate et que je n'ai encore du mal à oublier!

La première fois un jour de pluie très forte sans aucun vent, j'étais dégouter d'être coincer avec cette homme seul à la maison.

Tout à coup j'entendis sa respiration haletante. Je me retournai. Il était debout preès de la porte de la salle à manger, je n'étais pas surprise de le voir je savais qu'il profiterais de l'absence de maman. Son regard vide me fixait comme si j'avais été transparente. Que voulait-il de moi? Allait il me tuer?*Il fit quelque pas dans ma direction, s'il allait a droite de la table je me dirigeai vers la gauche. J'anticipais ses mouvement. Soudain mon manège l'impatienta. Il contourna la table et s'élanca a ma poursuite je montais les escaliers à vive allure, mais j'avais mes jambes molles, j'aggripais la rampe pour me donner de la force lorsque j'ai glisser sur le vieux tapis. Il en profita pour m'aggriper le bras, je me débattais de toutes mes forces mais en vain, il me traina jusqua la salle de bain Apres mavoir allonger sur le sol, il se coucha sur moi. Je sentis alors mon corps se faire déchirer. je n'ai pas d'autres mot il m'a déchirer. Je n'éxistais plus j'avais beau crier il continuai et la douleur de mon ame devint plus fulgurante que la douleur qui avait éclater à l'interieur de mes cuisses. Quand il terminais je pleurais et me recroquevillais c t la premiere fois que je pleurais aussi intensément. En me relevant j'ai mis ma main dans une flaque lorsque j'ai vu mes doigt qui était rouge je pensais que j'étais blesser je cherchais l'endroit quand je constatais que seules mes fesses étaient enssanglantées c'est alors que je devinais la verité.

C'était un mercredi...
B
24 août 2011 02:34
C'était un mercredi...

Ma mère revint Du Pays. Je ne la quittais plus d'une semelle tant j'avais besoin d'elle. Je ne voulais plus endurer pareille experience, j'avais honte et cette épisode devint mon secret. J'étais terrifier de ce qu'il pourrait m'arriver si j'en parlais, d'être placer en famille d'accueil et ainsi être separer de ma mere. En ecrivant ces mots je frissone et le fait d'y repenser me donne encore envie de vomir. Quand on me voit pleine de joie et toute souriante les gens sont loin de s'imaginer tout se que cache mon passé. Mais je dois me battre contre moi même tous les jours.

J'usais de tout les moyens pour l'éviter systématiquement. Je passait la majorité de mes journées de congé à l'éxterieur.
Je fesais en sorte de ne jamais me retrouver seule avec lui, le pire est qu' a l'époque je me sentais responsable.

Mon 'père' n'étais plus mon pere je le craignais et le fuyais. C'est à partir de la que je l'ai detesté de toute mes forces. C'etait alor un soir de fete le 14 juillet 1990. La journée avait été tres chaude. J'avais 10ans à lépoque, mon grand frere Amir était en vacance chez nous et comme de coutume le samedi soir ma mère nous reunissait autour d'un barbecue dans le jardin derrière la maison. Je me sentais bien ce jour la, j'avais l'impression d'être une vraie famille unie. Amir, Melissa et moi attendions avec impatience de savourer le festin!!
Moi: Maman, quand est ce que l'on mange? J'ai faim!
Maman: Bientot si ton père j'arrive pas dans 15minutes nous commencon sans lui.
Choses dites, choses faites. Quinze minutes plutard maman nous servit la viande bien griller tant attendu.
J'en raffolais c'etais un repas grandiose et l'ambiance était au rendez-vous et surtout mon père n'étais Jamais la!
Amir ignorait se coté sombre de son père, car il n'avait jamais été témoins d'un incident violent.
Apres le repas nous eumes la permission d'aller dans le quartier voisin s'amuser avec les autres enfants. Il était 21H et nous attendions avec impatience le feu d'artifice. La première fusée parti et le ciel s'illumina. Des OOOH!! et des AHHH! admiratifs fusaient spontanément. Quel spectacle mémorable pour nos yeux!!

Nous sommes revenues à la maison, les yeux lourds de sommeil et le coeur léger. Apres lui avoir resumé la soirée je me retirais Avec amir et melissa et maman venait nous enbrasser.
Au milieu de la nuit un bruit confus en provenance du jardin me reveilla. Je prettais l'oreille : plusieurs voix incoonu qui s'entremelaient ainsi que des cris et des jurons. Je me precipitai à la fenetre.
Un homme criait. C'etait mon père.
Mon pere:Ne me touchez pas, ne me touchez pas!
Je distinguais une femme menue, ma mère surement ainsi que trois autres personnes, dont deux policiers qui maitrisait mon pere a grand peine mon père qui titubait et vociferait. Immobile, les main couvrant son visage, ma mère attendait la suite des evenements.

Elle devait surement esperer qu'il l'enmene! Il meritait une leçon!
Mon père: Lachez moi! Puisque je vous dis de me lacher! cria mon père d'une voie forte.
Policier; Monsieur vous devez nous suivre au poste de police.
Mon père; Je ne viendrai pas lachez moi.
Policier; Calmez-vous ou nous allons être dans l'obligation de vous enmener de force.
Mon père; Ca va je me calme vous voyez... Vous pouvez partir.
Les policiers se tournerent vers ma mère afin de connaitre ses intentions.

Et moi je ne comprenais pas la situations! Pourquoi l'enmener au poste? Avait il commis un acte illegal?!
Je choisi de demeurer dans la chambre. C'est alors que j'entendis ma mère déclarer d'une voie monotone.
Ma mère: Vous pouvez partir Maintenant je crois qu'il c'est calmer, je crois que tout ira bien!
Ma mère n'osait jamais réagir devant mon père cette soumission que j'avais remarquer me faisait fulminer de plus en plus.

Une porte claqua. Ma mère montait en pleurant et en gemissant, suivi par mon père qui la suppliait ce qui me semblait trop inhabituel. Ma curiosité l'emporta et j'allai a leur rencontre.
Moi: Quesquia maman?
Ma mere: Il est completement soul! ton pere est completement soul!
Mon pere: Samia, Samia aide moi. ( En parlant a ma mere)
Ma mere: Qu'ai je fait au bon dieu pour meritér sa, ne me parle plus, JE NEN PEU PLUS, je nen peu plus, jai honte pour toi!
Moi: maman il pu c'est intolérable.
Elle examina plus attentivement l'homme pitoyable qui la suplliait et elle eclata indignée,
Ma mere; Mais qu'est ce que ta fait?? C'est pas vrai? Noooon!!
Moi: Maman qu'ya til?
Ma mère: Ton père a fait dans son pantalon, Comme un bb, voila pourQuoi sa,pue autant!!
Moi: Maman ne t'approche pas de lui il ne merite pas que tu le nettois!
Ma mere;mais je ne peux pas le laisser comme sa! il n'est meme pas capable de se tenir debout.
Mon pere attendais immobile l'air stupide et démunit.

Ma mère Ceda...
A
24 août 2011 08:37
Salam,

Merci pr l histoire elle est vraiment triste.

La suite srpp
a
29 août 2011 04:51
la suite please....
u
29 août 2011 11:17
la suiiiite stp mercismiling smiley
M
29 août 2011 13:00
Salam smiling smiley

Je suis une de tes fans, la suite STP même si l'histoire me parait difficile à vivre !!!
Qui a remarqué quand on dit " LÂ ILAHA ILÂ ALLAH " nos lèvres ne bougent pas? Soubhân'Allah ! ♥ Louange à ALLAH QUI nous a facilité la prononciation de cette phrase, pour ne pas trouver de difficulté à la dire le jour de notre mort !
B
29 août 2011 15:48
Salam les filles,

Et ma mère céda...

Encore une fois, elle lui conférait la première place, et lui passait tout ses caprices, je detestait mon pere et le comportement de ma mère m'indignait d'avantage. Je devais l'aider à réagir.
Apres un long moment passé à l'aider a le nettoyer dans la salle de bain, elle ressorti en exhalant un long soupire d'éxasperation. Puis apres avoir refermer la porte elle fixa la veranda ou s'etait dérouler l'action je pouvais voir toute la nostalgie dans ses yeux sont enfance envolé ses meilleurs souvenirs oublié et un futur raté.
J'étais assise sur le lit, je respectais son silence pendant quelque minutes, mais, ne pouvant plus attendre j'interrompis le cours de ses pensées.

Moi: Maman il faut que tu divorce!
Ce qu'il ta fait subir aujourd'hui est innacceptable et je lui remémorais les violences qu'elle avait endurées, le climat de peur dans lequel nous avions grandi. J'énumerais les plaies, les coups, les cris, les meubles qui se brisaient sur les murs.
Mon discours devenait de plus en plus enflamé. Elle se bornait a répondre " je sais, je sais" Elle n'était pas sans savoir que sa vie n'était plus supportable?
Ma mère: J'ai l'impression d'être couverte de merde.
Moi: viens on monte dans la chambre, les odeeurs y seront moins forte.
Ma mère: C'est une bonne idée allons-y.
En ouvrant la porte, elle se retrouva face à face avec Abdel en slip noir. Ellle lui cria de la laisser tranquille.
Moi: Pourquoi il est rentré dans cet état? C'est la première fois que je le vois Soûl!
Ma mère: Tu ne l'as pas remarqué avant parce qu'il revient souvent tard à la maison.
Moi: tu ne m'en a jamais parlé!
Ma mère: Pourquoi je l'aurais fait? tu en connais déja assez sur ton père et moi. J'aurais tant voulu que tu n'assiste pas au scenes de violences que j'ai du subir. Pour toi j'aurai voulu etre un modèle de force, un modèle à suivre, mais...

En prononçant ses mots, elle se dirigea vers la fenètre qui donnait à l'avant de la maison. Ce qu'elle apperçut interrompit le fil de ses pensées.
Ma mère: Regarde! Notre voiture bloque complétement la rue! Personne ne pourra passé! A wili wilii je le déteste cette homme je le haie,puis elle se mit a pleurer, lorsque je lui donna une bonne idée qui pourrait être marrante.
Moi: ta qu'a sortir et la déplacer!
Ma mère; mais je n'ai jamais fait sa.
Moi: essaie quand meme.
Elle sorti et de la fenêtre je l'apperçu. Le moteur gémit et cala quelque instant plutard. Apres deux ou trois tentative elle sortit et leva les bras au ciel en signe de desarroi. Au moin elle avait éssayer j'étais fier d'elle.

Je la vis se diriger vers une maison ou brillait une lumière. A trois heures du matin elle osa sonner. Mon voisin sortir la tête par la fenetre.
Lui: Mais Samia Que se passe t-il??
Ma mère lui explique la situation.

Prise de vertige, je retournai au lit. Etait il causer par un trop-plein d'émotion. ou par mon impuissance devant les évènements? Je voulais que ma mère revienne, qu'elle me réconforte par sa présence. Je ne voulais plus parler, il n y avait plus rien a ajouter. Je ne voulais plus me sentir seule. J'avais besoin de sortir sans avoir peur.

Ma mère revint, traînant avec elle eu un relent d'odeur suspecte. Elle semblait embarassé.
Ma mère: C'est fait, notre voisin a déplacé l'auto. Mais devine! C'est dans la voiture que ton père s'est échappé. Ca s'entait tellement mauvais! Le voisin qura surement compris, même s'il ne m'en a pas parlé. Le pauvre.
Moi: J'ai remarqué que l'avant de la voiture est cabossé Abdel a surement eu un accident. Pourvu qu'il n'ait renversé personne!
Un silence pénible s'installa dans la pièce. Penser qu'il aurait pu frapper quelqu'un me donna un froid dans le dos.
Moi: Maman qu'est ce qu'on va faire? Qu'est ce qui va se passer maintenant?
Ma mère: Je ne sais pas Norah, Si tu savais à quel point j'en ai assez de cette vie et combien je me sens lasse!
Elle s' allongea près de moi et me serra dans ses bras.
Sur ces mots nous nous sommes endormis. On est déja loin de tout ça... On en aura vécu des choses!!!

Ma Mère ne demanda pas la divorce donc vous imaginez bien qu'elle vit nous avons endurés, je m'évadais dans mes rêves et il m'arrivait de composer des poèmes.
En voici un que j'ai retrouvé récemment:

Je voudrais partir.
Laisser-moi m'en aller.
Je voudrais respirer.
M'en aller au plus loin.
Courir et m'envoler.
Peut-être sur un pic
Ou dans l'océan Pacifique?
Hors de la voie lactée?

L'idéal à mon coeur,
Serait le bonheur
D'être seule, certes,
Mais sur une île désert
Dépourvu d'être Humains,
De curieux, de taquins.
Pas de bruit d'animaux,
Pas même un oiseau!

Juste le sable sous mes pieds,
Au-dessus de moi, un palmier.
Seules chanteraient les vagues,
Pures et bleues, sans algues.
Le soleil doux sur la peau,
Pas besoin de chapeau!

J'oublierais qui je suis,
D'où je viens et qui je fuis.
Je referais ma vie
Pour un jour ou juste une nuit.


Le monde des garçons me fascinait depuis toujours.
t
29 août 2011 17:10
le voile de la peur!!!!!
B
29 août 2011 17:53
Comme ,je l'ai expliquer c'est une histoire qui existe vraiment et qui est sorti en livre, le pays et les prénom on été modifier dans le livre mais mon histoire et plus reele je ne viole pas ses droit car la personne qui a vécu l'histoire est ma cousine et ma meilleurs amie et c'est avec sa permission que je retranscrit son histoire, pour éviter ses pratiques qui nous sembles honteuse et barbares mais que l'on dénonce parfois trop tard.
B
30 août 2011 13:13
Le monde des garçons me fascinait depuis toujours.

Leurs activités me plaisaient et je cherchais à les connaitres. Avec fierté, je confiais à mes amies intime le nom de mon amoureux du moment.
Vers l'age de 11ans je vis mon interet se transformer en attirance marquer. Ou etait ce parce que j'avais été eveiller aux gestes sexuelles plu tot que les filles de mon age?
Je revois entre autre le beau jeune homme blond aux yeux noirs qui habitait la rue voisine. QUand je le croisais je fondais!
J'aimais ses meches blondes qui retombaient sur son visage! S'il me lancai un simple cou d'oeuil je craquais. Il se pavanait du haut de sa mobilette ppour voir si je l'avais remarquer Cependant nous n'avons jamais echanger un mot.

Puis, à l'approche de mes douze ans je vécu a nouveau l'horreur. Il avait profité de l'abscence de ma mere et de melissa. Je savais que ma mère subissai regulierement ses assaut. Je sus comment me protéger du moins psychologiquement. J'aurais voulu mourir. Si seulement j'avais eu 10centimètres et quelques kilos de plus..

Et il y eu une troisieme fois! Jamais deux sans trois dit on, je venais d'avoir 12ans, il s'approcha furtivement et me pénétra par l'arriere. La douleur fut si intense et si soudaine que je perdis conaissance. Il n'a surement pas oublié cette foi la! A partir de ce moment je devins obsédé par le desir de me venger et de l'éliminer de ma vie. J'étais prète à le tuer tant cet assaut m'avait humiliée!
Pendant les mois qui suivirent je pris du poids et de la force. Je pouvais enfin lui faire face.
J'étais devenue tres habile dans l'art d'échapper aux contacts de mon père, mais je ne devais jamais baisser la garde. Un jour, je prenais mon bain quand je l'entendis monter. Merde! J'avais oublié de fermer la porte! Je sortis précipitament de l'eau et, dans ma panique, je glissai. En tombant, mon menton frappa le carrelage de céramique. Ma chute déclancha un vacarme ahurissant. En entandans ce brouhaha, ma mère interrompit sa conversation téléphonique.
Ma mère: Norah! Est ce que ca va? Je préférerais qu'Abdel aille voir, tu connais ma peur du sang!
Malgré la douleur, je verouillai la porte et je replongeai dans la baignoire. Des élancement douloureux irradiaient de ma machoire jusqu'au bou des doigs. J'avais peine à ouvrir la bouche. Ma tete tournait. Etait-ce causé par la vapeur, la chute ou la peur de mon père. Je priai silencieusement.
Ya Allah empechez le d'entrer. Il ne doit pas venir! Maman s'il te plait jai besoin de toi et surtout pas de lui.
Mon père: Norah sava? sur un ton faussement préocupée.
Moi: Oui sa va
Mon père: Que c'est il passé?
Moi: Rien jte di!
Mon père: Ouvre que je voi!
Moi: Je t'ai dis que sa allait
Mon bain terminé, je descendis dans le salon ou mes parents m'attendaient. Ma mère qui avait rappelé son amie, interrompit à nouveau sa conversation.
Ma mère: Norah, montre moi s'il te plait Ou tu es blessé?
Moi: Sur le menton, maman.
Ma mère:Fais voir!
Elle leva les yeux vers ma blessure et poussa un cri strident d'horreur en laissant tombé le telephone.
Moi: Mais je vais bien maman! Et je saigne pas!
Ma mère: On va toute dsuite a l'hopital tu as besoin d'un bon pansement!

Je me retrouvai en route vers l'hopital.
Mon pèretongue sticking out smileyourquoi tu est tombé en dehors de la baignoire?
Moi: Parce que j'avais oublier le savon je repondais en avallant ma salive.
Mon père: Pourquoi ne pas avoir ,ouvert la porte comme je te le demandais?
J'avais l'impression d'être le petit Chaperon Rouge qui rencontre le grand méchant loup dans la forêt.
Moi: Mais parce que je prenais mon bain!
Mon père: et alors je suis ton père?
T'en es sur? Dommage...
u
30 août 2011 15:24
merci pour cette suiiite j'attends impatiemment les autreswinking smiley

aidekoum moubarak wa koul am wa antoum bi kheir yawning smiley

salam
B
30 août 2011 19:19
Allahi bark fik a toi aussi et toute ta famille Inchallah je post une suite se soiir boussa
B
30 août 2011 19:54
T'en es sur? Dommage...

A l'hopital mon menton se mit à saigner abondament. On m'appliquait compresse sur compresse, TOUT SA A CAUSE DE ABDEL! JE LE DETESTE!

Lorsque le medecin arriva il essaya de ma calmer en me demander si je voulais voir avec lequel il me soignera, je refusais catégoiquement que l'on me touche avec sa j'étais effrayer alor il ammena l'infirmiere qui me rassura et pri soin de moi.
J'étais affolé le tissu sur mon viosage m'empechait de respirer, je les voyais enfoncer une aiguille et la ressortir, je criais je pleurais je me défoulais et j'utilise comme boucs émissaire mon menton, alors qu'en faite c'est mon ame qui avait mal.
Toutes ses émotions a cause d'une porte entrouverte!! J'avais payer cher mon bain!

Mes douze ans fur tout de meme l'une des epoques les plus heureuse de ma vie, je fréquentais le college ou je reussissaient bien. J'avais un group de Meilleur ami et parmis eux ce trouvai SEKOUBA Sa présenvce etait pour moi précieuse et indispensable.
Et il était si beau sa peau metisse briait et son sourir irradiait comme un soleil. Durant les cours on etait ,toujours tout pres. Il m'aimait beaucoup aussi je le sais.
Mes journée pouvaient alors commencer parce qu'il était la. Si tu savais Sekouba comme tu m'a manquer par la suite.

Mon père annonça un beau matin sa décision de déménager au maroc pour la poursuite de ses affaires.
Je ne pouvais manifester mon désaccord par peur de l'enerver. Or, je savais que le Climat politique du maroc etait instable et que ses habitants fuyaient le pays et nous nous allions dans la guele du loup!! PFFF nimporte quoi celui la!

Je commencais a peine a controler ma vie et a gouter a mon indépendance Et voila que je devais partir.
Il me rester une derniere chance, convaincre ma mere de se séparer de lui!
Aucun chance elle me disait je ne peux pas je ne peux pas!

D'ailleurs le départ etait obligatoire un couple de médecin venait d'acheter la maison et il comptait sy instaler dans kelke mois.
Le Seul avantage est que je gagnais une nouvelle Chambre sans mauvais souvenirs d'haleine et de cigarete et aussi ma cousine était la haut pour un petit moment de vacance j'était aussi contente de la revoir.
Durant les trois moi suivant je me forcai a trouver les points positifs de notre déménagement.
Plus le temps passait et plus la réalité me ratrappait je ne voulais pas m'éloigner de Sekouba rien que dy penser sa me brisait le coeur.
En guise d'adieu mon professeur et mes meilleurs amies organiserent une fete pour mon départ.
Avec la permission de maman j'avais apporter le camescope pour immortaliser ses dernier moment, Si vous aviez vu Sekouba en train d'apprendre a danser le professeur LE BREAK DANCE vous seriez surement mort de rire.
Puis mes camarades se flimerent a tour de role en me laissant chacun un message, des excuses, des adieux, des messages d'amour, des conneries!
Il avaient tous cotisé pour m'acheter la cassette du Bolero De ravel dont je raffolais, mais bon je devai partir!

Mais heureusement je me rapprochais d'Amir.

Un vendredi 13 nous primes le bateau en Direction de Tanger...
t
30 août 2011 22:57
la suite pleazee
u
31 août 2011 12:25
la suiiiite stp
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook