J'ai travailler avec une 20 aines de scoutes Belge , j'ai admirer leur amitier entre eux et l'intelligence de certain .Filles comme garcons , l'esprit d'équipe était là . Des études brillantes a l'université et garde tjs l'esprit joviale et insouciant.
Je me suis amusé a les faires rire .
Je me pose la question , pkoi sommes nous pas comme eux !!! Et pkoi pas faire comme eux .
Le Caire, 19/12/03- Le représentant du Maroc à la réunion du comité exécutif de l'Union arabe des parlementaires scouts, M. Abdellah Ouarti, a mis en exergue le rôle actif du scoutisme au Maroc dans la mobilisation et l'éducation des jeunes.
M. Ouarti, membre à la chambre des représentants, a indiqué, lors de cette réunion qui a clos ses travaux mercredi au Caire, que le mouvement du scoutisme au Maroc a contribué et continue à le faire, avec tous les moyens disponibles, dans différentes actions de la société civile.
Il a rappelé à ce sujet le grand intérêt accordé par la famille royale depuis les années 30 au mouvement scout, soulignant que Feu SM Mohammed V avait encouragé en 1933, le prince héritier Moulay Hassan, à porter l'uniforme des scouts et à s'engager dans ce mouvement. Il a ajouté que Feu SM Hassan II a suivi la même voie avec le Prince héritier Sidi Mohammed en l'encourageant à adhérer au scoutisme.
Cet intérêt, a-t-il dit, s'est poursuivi sous le règne de SM le Roi Mohammed VI et s'est concrétisé par la nomination de SAR le Prince Moulay Rachid, Président de la Fédération Royale Nationale de scoutisme.
Dans une déclaration à la Map, M. Ouarti a indiqué que les participants à cette réunion ont salué la décision du Souverain d'abaisser l'âge de vote à 18 ans, précisant que cette initiative qualifiée de "forte et audacieuse" est de nature à renforcer la participation des jeunes dans la vie politique nationale.
Lors de cette réunion, le comité a adopté le procès-verbal de sa précédente réunion tenue en 2002 en Algérie et passé en revue les législations en vigueur dans les pays arabes dans le domaine de la jeunesse.
Ils ont également convenu de l'institution de prix qui seront attribués par l'Union arabe des parlementaires scouts à ses membres en récompense de leur action dans l'élaboration de législation encourageant la promotion de la jeunesse.
abdell a écrit: ------------------------------------------------------- > > J'ai travailler avec une 20 aines de scoutes > Belge , j'ai admirer leur amitier entre eux et > l'intelligence de certain .Filles comme garcons , > l'esprit d'équipe était là . > Des études brillantes a l'université et garde tjs > l'esprit joviale et insouciant. > > Je me suis amusé a les faires rire . > > Je me pose la question , pkoi sommes nous pas > comme eux !!! > Et pkoi pas faire comme eux .
"le grand intérêt accordé par la famille royale depuis les années 30 au mouvement scout, soulignant que Feu SM Mohammed V avait encouragé en 1933, le prince héritier Moulay Hassan, à porter l'uniforme des scouts et à s'engager dans ce mouvement. Il a ajouté que Feu SM Hassan II a suivi la même voie avec le Prince héritier Sidi Mohammed "
quelle evolution!!on est des rapides au maroc!plus de 70 ans qu on fait du
Le scoutisme est une organisation mondiale et bénévole dont le but est le développement personnel des enfants et adolescents des deux sexes par une éducation morale, physique, pratique et civique. Le mouvement, qui compte aujourd'hui prés de 25 millions de membres répartis dans 136 pays, fut fondé par Lord Robert Baden-Powell. »
Voici la définition que donne l'encyclopédie Encarta du scoutisme. Je vais approfondir cette définition en vous racontant comment le scoutisme est né, comment il a évolué à travers le siècle ainsi que l'uniforme que porte tout scout de part le monde.
I/ Lord Baden-Powell, fondateur du scoutisme.
Lord Baden-Powell, fondateur du scoutisme, apprit à l'école de sa propre vie ce qui lui servit à créer ce grand mouvement international. Ce sont ses aventures qui fournirent le modèle. L'homme ne fut pas le produit d'une culture livresque car les études le trouvèrent assez rebelle. Il eut surtout pour éducateur les évolutions libres dans les bois, les navigations intrépides, les sports, la musique, les arts plastiques, le théâtre improvisé, plus tard, les voyages, les grandes chasses, la guerre, l'existence du soldat colonial. Les étapes les plus importantes de son existence et de sa carrière, il le disait lui-même, furent déterminées de la manière la plus inattendue, par un coup de chance ou sous l'action de causes extérieures: une série de « bombes » comme il aimait aussi à le répéter.
Du moins, est il permis de s'apercevoir qu'il était merveilleusement doué pour tirer le meilleur parti de ces faveurs du sort. C'est cette façon d'apprendre, de vivre, de survivre, de servir et de réussir qu'il voulut faire partager à d'autres et qui fut à l'origine du scoutisme.
En 1870, à treize ans, quand il s'échappait de la pension anglaise de Chaterhouse pour se réfugier dans les bois, Robert ne se doutait évidemment pas qu'il deviendrait le plus grand chef scout de la terre. En pleine nature, isolé de tous, il bricolait des collets, faisait rôtir son gibier, poussait la chansonnette en cueillant des colchiques, croquait des biches et des libellules sur un carnet de dessin, s'inventait des rôles et rusait déjà comme un sioux pour éviter les surveillants. Le scoutisme, cette école de l'autodiscipline et de l'initiative, a sans doute vu le jour au fond d'un bois dans une caboche d'un mauvais élève désobéissant. Robert échoue à l'examen d'entrée à Oxford et abandonne tout espoir universitaire. Par la même occasion, il tire un trait sur une éventuelle carrière d'acteur. Dans son entourage familial, on a beau vénérer les grans dramaturges, il est exclu de compter un « saltimbanque » dans la dynastie des Baden-Powell.
A 19 ans, déprimé, il tourne les pages d'un quotidien et trouve la solution grâce à une petite annonce de l'armée. Au concours d'entrée d'une école d'officiers, il est reçu cinquième sur 718 candidats !