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Scène de la vie ordinaire
X
23 mai 2010 22:58
Alors que je m'apprêtais à poser mes os sur un banc public, à l'ombre d'un arbre, mon œil fut attiré par une scène d'agitation au loin. Je fixai la scène un bref instant, j'observai les faits et gestes des protagonistes et j'en arrivai à la conclusion fulgurante que j'assistais là à une véritable scène d'agression. Mon sang ne fit qu'un tour et sans hésiter un seul instant, je détournai la tête et m'allongeai sur le banc, résolu à admirer ce ciel bleu et ce soleil délicieux que quelques rares nuages, blancs comme de la mousse, cachaient de temps à autre. Je restai ainsi quelques minutes mais les cris se faisant de plus en plus stridents, finirent par troubler ma quiétude, m'empêchant de profiter du calme et de la volupté des lieux. Décidément, la tranquillité se paye cher.

Je me levai et réfléchis quelques instants. Je n'avais pas ce jour là, comme toujours d'ailleurs, le caractère particulièrement bagarreur ni l'esprit de chicane. J'hésitai donc à m'approcher de la scène, n'ayant pas vraiment envie de m'attirer quelque souci que ce soit, pour une affaire qui ne me concernait ni de près ni de loin et dans laquelle je n'aurais eu aucun profit à tirer. Je pris finalement le peu de courage que j'avais à deux mains, quoi qu'une main eut largement suffit, et me dis qu'il aurait fallu que j'eusse chu bien bas pour en arriver à manquer à mon devoir d'assistance envers cette femme.

Je me résolus donc à m'approcher, d'un pas déterminé, vers la scène du crime. Les personnages se dessinaient peu à peu et je cru distinguer là une femme, d'un âge respectable, en prise avec un jeune homme d'à peu près mon âge. Il ressemblait à ces habitants de l'Afrique sub-saharienne que l'on voit dans les reportages et paraissait bien mesurer quelques têtes de plus que moi. Une sorte de brute dont on eut pu raisonnablement douter qu'il puisse nourrir de bons sentiments envers qui que ce soit.

Je fus soudain pris d'un doute terrible et se joua dans mon esprit une scène d'une violence qui me glaça d'effroi. J'eu une vision de deux grosses mains s'abattant sur mes joues, de quelques coups de ces longs pieds assénés avec frénésie sur mon grêle corps et d'un contact oppressant entre une semelle qui devait bien mesurer un demi mètre et ma nuque, alors que je palpais du bout des lèvres le sol poussiéreux. De loin, les choses paraissent toujours plus petites. Je regrettait sur le champ mon excès de témérité et me jurai qu'on ne m'y reprendrai plus à vouloir secourir ni la veuve ni l'orphelin. Mais il était trop tard pour me raviser. Ce n'est pas tant les troubles de conscience qui m'empêchèrent de tourner les talons et de détaler à toute vitesse. Non, c'était plutôt la peur que l'on me vit prendre la fuite et que le récit de ma lâcheté ne fut connu de tous, jetant ainsi l'opprobre sur ma personne et poursuivant ma descendance sur plusieurs générations.

Je n'aurai sûrement pas pris le risque de me voir emboutir si je n'eusse eu crainte que l'on fasse de mon honneur de la charpie et que mon nom ne fut cité en exemple de lâcheté par la postérité.

Arrivé à proximité des deux personnages, je vis que ce jeune homme tentait de s'emparer du sac à main de cette femme. Celle-ci se refusait catégoriquement à lui remettre l'objet convoité tant et si bien qu'il finit par perdre patience face au refus obstiné de la bonne dame. Il se mit alors à la couvrir de tout ce que son répertoire comptait d'insultes, propos qu'il serait fort inconvenant de reproduire ici pour ne pas choquer vos chastes oreilles.

Contentons-nous simplement de dire que ce jeune tentait de faire comprendre à cette pauvre femme qu'il était dans son intérêt personnel – tant d'un point de vue physique que psychologique - de lui remettre l'objet sur lequel il avait jeté son dévolu. Certes, il le disait en des termes un peu plus fleuris et d'ailleurs, il parlait un langage tellement étrange que je ne comprenais pas tout ce qu'il disait. Je cru cependant comprendre qu'il exprimait un désir ardent d'avoir une relation intime avec cette dame –et même avec sa « race »- si celle-ci s'entêtait à crier et à se débattre. Le projet de ce jeune homme n'eut pas l'heur de la gréer, à en juger sa réaction. Je pu tout de même saisir quelques bribes de phrases baragouinés par cet individu qui ponctuait chacune de ses envolées lyriques par des références à une célèbre marque de chaussures de sport griffée d'une virgule. Il dénonçait aussi avec virulence les mœurs corrompus de cette femme, qu'il qualifia à plusieurs reprises de« femme dévergondée de mauvaise vie » et même de « péripatéticienne ». Mon Dieu, je n'avais jamais entendu autant d'insultes de ma vie !



Modifié 1 fois. Dernière modification le 24/05/10 10:19 par Rastapopûlos.
B
24 mai 2010 07:41
Citation
Rastapopûlos a écrit:
Contentons-nous simplement de dire que ce jeune tentait de faire comprendre à cette pauvre femme qu'il était dans son intérêt personnel – tant d'un point de vue physique que psychologique - de lui remettre l'objet sur lequel il avait jeté son dévolu. Certes, il le disait en des termes un peu plus fleuris et d'ailleurs, il parlait un langage tellement étrange que je ne comprenais pas tout ce qu'il disait. Je cru cependant comprendre qu'il exprimait un désir ardent d'avoir une relation intime avec cette dame –et même avec sa « race »- si celle-ci s'entêtait à crier et à se débattre. Le projet de ce jeune homme n'eut pas l'heur de la gréer, à en juger sa réaction. Je pu tout de même saisir quelques bribes de phrases baragouinés par cet individu qui ponctuait chacune de ses envolées lyriques par des références à une célèbre marque de chaussures de sport griffée d'une virgule. Il dénonçait aussi avec virulence les mœurs corrompus de cette femme, qu'il qualifia à plusieurs reprises de« femme dévergondée de mauvaise vie » et même de « péripatéticienne ». Mon Dieu, je n'avais jamais entendu autant d'insultes de ma vie !
Oh
heu !!!!

Depuis quand les voleurs à la sauvette content comptine à leur victime ?

Généralement les vols de sacs à main se font à l'arrachée. Ce qui donne au voleur plus de chance de profiter de son "butin". Il est quand même extradordinaire celui-là.
Ben quoi 0-°
X
24 mai 2010 12:28
Oui Belle, il est bien extraordinaire... D'ailleurs la scène est surréaliste.
24 mai 2010 13:14
oui,,, je vois, c'est plutôt une belle histoire sortie d'un téléfilm policier français qu'on voie a la télé grinning smiley

qu'on ils montre,, les pauvre vielles française qui se fonts agresser par des jeune beurs de la cité evil

mais bon
histoire m'étire d'être lu smiling smiley
si les mérites de tout sorte pouvais arrêter les cours des années je ne vieillirai jamais mais puisqu'il m'est impossible de commander au temps qui s’enfuie malgré moi,,,,,,
H
24 mai 2010 15:39
Bonsoir (salam),

Vos écrits ne laissent personne insensible, imperturbable, moi y compris d'ailleurs.

Ce texte, qui apparemment est le vôtre, sinon vous l'auriez mis entre guillemets n'est-ce pas ? Je disais donc ce texte est surprenant et intéressant à la fois.

Pourquoi ?

D'abord cette scène disons "banale", vous offre la possibilité d'exercer votre talent littéralement littéraire (euh pardonnez le pléonasme) et de nous amener à réfléchir sur le sens que vous y attribuez. Je vous en remercie.

Puis, vous nous donnez à raisonner avec discernement sur ce fait-divers qui vient « troubler » votre « quiétude », seriez-vous à ce point égoïste ? Seriez-vous le porte-parole de ceux qui crient « assez ! Plus jamais ça ! » face à ceux qui « acceptent » sans broncher ? Vous nous donnez là une occasion de nous interroger sur le devenir de l'être humain, voire de la société même, qu'une scène (qui devrait choquer, faire réagir) laisse de marbre !

Ce récit est pour vous , me semble-t-il, un terrible constat hélas, celui du chacun pour soi... Votre « Décidément, la tranquillité se paye cher. », le confirme, car chaque individu est sensé être protégé par ses gouvernants, sa police... Le sommes-nous, finalement ? A moins que vous ne payiez des gardes du corps non loin de moi cette idée. Un petit conseil, si vous le permettez, si vous voulez être tranquille, vivez sur une île déserte, cela vous permettra de disserter en long et en large... tout seul...

Entendez-vous par là, la tranquillité de tous nos concitoyens ou juste la vôtre ?

« Je n'aurai sûrement pas pris le risque de me voir emboutir si je n'eusse eu crainte que l'on fasse de mon honneur de la charpie et que mon nom ne fut cité en exemple de lâcheté par la postérité. » Faut-il agir pour soi, en étant convaincu que ce que l'on fait est juste humainement parlant ? Ou bien agir, en fonction d'éventuelles conséquences futures ? (du type « héros malgré lui".


"Mon Dieu, je n'avais jamais entendu autant d'insultes de ma vie !" La provocation, cela ressembe à de la provocation ! J'ose espérer que c'est votre façon de nous encourager à réagir sur l'action, le fait même et non sur de tels propos qui certes nous choquent... qui sont mineurs face à cet homme qui chercher par tous les moyens à atteindre son but.

Ce n'est pas la scène qui est surréaliste, c'est la chute de votre nouvelle" qui l'est sad smiley

A moins que tout cela ne soit pour vous qu'un moyen de nous dire que vous vous placez au-dessus de la mélée car vous êtes un philolittérateur




"Le véritable courage consiste à être courageux précisément quand on ne l'est pas"
G
24 mai 2010 15:51
Si c'est ordinaire, pourquoi tu t'es tant appliqué à écrire de si long paragraphe pour pas grand chose?

Sinon pour l'histoire, tu aurais du bouger tes os sur un autre banc ou chez toi...
X
25 mai 2010 21:17
Merci pour vos commentaires.

@Hadès,

Je ne prétends pas que ce texte puisse avoir quoi que ce soit d'autobiographique. Mais je ne prétends pas non plus qu'il ne l'est pas. Tout ça pour ne rien dire en fait.
X
25 mai 2010 21:23
La pauvre femme se débattait et s'accrochait à son sac à main avec une obstination à la limite du ridicule. On eut dit que celui-ci contenait tous les trésors de la terre. Je ne comprendrai jamais ce fétichisme et cet attachement sans borne que manifestent les femmes envers leur sac à main. Encore un mystère féminin qui défie la raison.

Je retroussai mes manches, en marchant d'un pas ferme et déterminé mais je décidai rapidement, dans un éclair de lucidité, qu'il serait plus avantageux de les ramener à leur place. Un tel geste aurait pu être interprété par ce gaillard comme une volonté personnelle d'en découdre et il me fallait éviter toute prise de risque inutile. Je ralentissais la cadence de mes pas et je sondai d'un bref coup d'œil la configuration des lieux au cas ou la suite des événements tournerai en ma défaveur. La fuite devait être envisagée, quoi qu'avec les enjambés de cet homme, elle ne devrait faire que retarder de quelques secondes ma mise hors d'état de nuire.

Il ne me virent pas m'approcher - trop occupés qu'ils étaient à se quereller - et ne me remarquèrent qu'une fois arrivé à leur hauteur. Les cris n'avaient en rien diminués en intensité, bien au contraire, ils avaient redoublé et la bonne femme était dans un état d'excitation avancé alors que le jeune homme se faisait toujours plus menaçant. Aux cris d'orfraie répondaient les menaces et le jeune homme leva même la tentacule qui lui servait de main au dessus du visage de cette femme, lui promettant, selon ses termes, de là « battre comme monnaie ». Je trouvai l'expression heureuse. Il faut dire qu'il avait une main à faire de l'ombre à n'importe quel visage et qu'une joue qui en faisait connaissance s'en trouvait forcément marquée à vie.

« Lâcherez-vous enfin mon sac à main, engeance de canaille ! » s'écriait la bonne dame. « Ah ça par exemple ! En voilà un barbare ! Mais lâchez moi, malotru ! Au secours ! Que l'on me vienne en aide !»

Et elle se débattait, vociférait, comme prise d'un accès de démence, se cramponnant aux sangles de son sac à mains qui, ce n'est pas peu de le dire, était maintenant doublement griffé. On aurait dit qu'elle avait le diable au corps ou quelle était atteinte du syndrome Gilles de la Tourette, qui pousse ceux qui en sont atteint à piler les autres d'injures et d'insanités. Cette manifestation d'hystérie féminine continua bien quelques instants pendant que le jeune homme, lui, restait impassible et étrangement silencieux. Un comportement dont la femme aurait pu s'inspirer au lieu de s'agiter dans tous les sens. Mais le manque de modération est un des traits caractéristiques des dammes.
N
25 mai 2010 21:26
Citation
Rastapopûlos a écrit:
Merci pour vos commentaires.

@Hadès,

Je ne prétends pas que ce texte puisse avoir quoi que ce soit d'autobiographique. Mais je ne prétends pas non plus qu'il ne l'est pas. Tout ça pour ne rien dire en fait.


Comme d'hab, quoi. grinning smiley
♪ ♥ ♫ ♪ ♥ ♫ ♪ ♥ ♫ ♪ ♥ ♫
H
26 mai 2010 08:32
Citation
Rastapopûlos a écrit:
Merci pour vos commentaires.

@Hadès,

Je ne prétends pas que ce texte puisse avoir quoi que ce soit d'autobiographique. Mais je ne prétends pas non plus qu'il ne l'est pas. Tout ça pour ne rien dire en fait.

Welcome

Ne seriez-vous pas adepte du "je ne suis ni pour, ni contre bien au contraire" de Coluche ?

Bonne journée.
B
26 mai 2010 14:55
Citation
Rastapopûlos a écrit:
La pauvre femme se débattait et s'accrochait à son sac à main avec une obstination à la limite du ridicule. On eut dit que celui-ci contenait tous les trésors de la terre. Je ne comprendrai jamais ce fétichisme et cet attachement sans borne que manifestent les femmes envers leur sac à main. Encore un mystère féminin qui défie la raison.

Je retroussai mes manches, en marchant d'un pas ferme et déterminé mais je décidai rapidement, dans un éclair de lucidité, qu'il serait plus avantageux de les ramener à leur place. Un tel geste aurait pu être interprété par ce gaillard comme une volonté personnelle d'en découdre et il me fallait éviter toute prise de risque inutile. Je ralentissais la cadence de mes pas et je sondai d'un bref coup d'œil la configuration des lieux au cas ou la suite des événements tournerai en ma défaveur. La fuite devait être envisagée, quoi qu'avec les enjambés de cet homme, elle ne devrait faire que retarder de quelques secondes ma mise hors d'état de nuire.

Il ne me virent pas m'approcher - trop occupés qu'ils étaient à se quereller - et ne me remarquèrent qu'une fois arrivé à leur hauteur. Les cris n'avaient en rien diminués en intensité, bien au contraire, ils avaient redoublé et la bonne femme était dans un état d'excitation avancé alors que le jeune homme se faisait toujours plus menaçant. Aux cris d'orfraie répondaient les menaces et le jeune homme leva même la tentacule qui lui servait de main au dessus du visage de cette femme, lui promettant, selon ses termes, de là « battre comme monnaie ». Je trouvai l'expression heureuse. Il faut dire qu'il avait une main à faire de l'ombre à n'importe quel visage et qu'une joue qui en faisait connaissance s'en trouvait forcément marquée à vie.

« Lâcherez-vous enfin mon sac à main, engeance de canaille ! » s'écriait la bonne dame. « Ah ça par exemple ! En voilà un barbare ! Mais lâchez moi, malotru ! Au secours ! Que l'on me vienne en aide !»

Et elle se débattait, vociférait, comme prise d'un accès de démence, se cramponnant aux sangles de son sac à mains qui, ce n'est pas peu de le dire, était maintenant doublement griffé. On aurait dit qu'elle avait le diable au corps ou quelle était atteinte du syndrome Gilles de la Tourette, qui pousse ceux qui en sont atteint à piler les autres d'injures et d'insanités. Cette manifestation d'hystérie féminine continua bien quelques instants pendant que le jeune homme, lui, restait impassible et étrangement silencieux. Un comportement dont la femme aurait pu s'inspirer au lieu de s'agiter dans tous les sens. Mais le manque de modération est un des traits caractéristiques des dammes.

You've already done better perplexe
BBR
X
2 juin 2010 22:39
Citation
Hadès a écrit:
Citation
Rastapopûlos a écrit:
Merci pour vos commentaires.

@Hadès,

Je ne prétends pas que ce texte puisse avoir quoi que ce soit d'autobiographique. Mais je ne prétends pas non plus qu'il ne l'est pas. Tout ça pour ne rien dire en fait.

Welcome

Ne seriez-vous pas adepte du "je ne suis ni pour, ni contre bien au contraire" de Coluche ?

Bonne journée.

Excellent ce Coluche. Son humour était supérieur.
P
5 juin 2010 03:09
Cette scène semble durer des heures ^^ !!
Pourquoi mets tu si longtemps à nous raconter le moment le plus intéressant??
Je parle bien évidemment de celui durant lequel tu te prendras une bonne raclette = ) !!
eye rolling smiley
La vie est un long fleuve tranquille pour ceux ayant un super canoë... Pour les autres bah c'est la nage. Mais bon les moins doués se noient à chaque fois u_u
X
5 juin 2010 20:58
Très drôle Pppeyna (drôle de pseudo). Tu veux voir du sang et des larmes...Honte à toi.
D
6 juin 2010 10:03
Salam,

Si j'ai bien compris d'après tes réponses à ceux qui s'y sont risqués, ce sujet n'est pas censé donner lieu à débat.
Je dirai donc seulement que je trouve l'analyse de Hadès tout à fait pertinente et je rajouterai qu'on sent chez toi un certain questionnement quant à la nature féminine qui te mène pour le moment à des généralités quelque peu maladroites. Mais je te pardonne, tu dois être très jeune, tu verras avec l'âge que non seulement les femmes te seront toujours aussi mystérieuses mais qu'en plus elles sont toutes différentes. winking smiley
X
6 juin 2010 10:49
Ce qui est probable, c'est que tu n'ai pas vraiment compris. Enfin, si j'en juge de ce que tu sembles avoir compris.
Ce texte n'est pas une réflexion sur la femme, ce n'est donc pas sous cet angle qu'il convient de l'aborder. Ce qui du coup, répond au reste sur ma méconnaissance des femmes. Et quant à m'apprendre qu'elles sont toutes différentes, cela revient à essayer de m'enseigner que tous les hommes sont différents. Ce qui est connu de tous...

7/20.
D
6 juin 2010 11:03
Je n'ai jamais dit que c'était là ma synthèse de ton écrit, comment le pourrais-je vu qu'il n'est pas achevé.
C'était juste une remarque, pour compléter l'analyse de Hadès.

4/20 en compréhension eye rolling smiley
P
10 juin 2010 19:38
Citation
Rastapopûlos a écrit:
Très drôle Pppeyna (drôle de pseudo). Tu veux voir du sang et des larmes...Honte à toi.

Nan maiiis... C'pas ce que tu crois... u_u !! Je sais pas ce qui m'a pris de dire ça... Me pardonneras tu un jour?
lol !! C'est quand tu veux la suite... Faut pas avoir honte = ) !!

En ce qui concerne mon pseudo, le tien aussi est assez original !! Ca me rapelle Rasta Rocket, le movie !! bref...
La vie est un long fleuve tranquille pour ceux ayant un super canoë... Pour les autres bah c'est la nage. Mais bon les moins doués se noient à chaque fois u_u
B
10 juin 2010 20:22
[ perplexe ]
J'espère qu'on aura un tome , chapitre consacré à la description du sac...En phyton doré,en osier rouge cerise ou en cuir matelassé?Chaîne à épaule en bronze,pompom en daim?
C'est quand même lui la star de cette histoire,celui que les deux protagonistes s'arrachent au risque de leur vie au cours d'une étrange lutte périlleuse...Il est l'objet de tous les désirs,et l'on se demande tout bonnement si la prétention d'en faire une affaire ne signifie pas tout simplement que l'objet du désir finalement ne serait il pas carrément le bonheur lui même?
[ perplexe]
[i]Rose des Sables,Rose des Vents[/i].
X
10 juin 2010 21:03
@Pppenya,

La maitresse (Djemila75) m'a mis 4/20. Ça ne m'encourage pas à continuer...


@ Bedoon essm,

Tu n'a rien compris à l'histoire. C'est le banc, le héro.
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