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Saisie de 250 photo obscènes dans la caravane du pédophile allemand à Agadir

Une perquisition effectuée dans la caravane du ressortissant allemand surpris jeudi dernier en flagrant délit de pédophilie à Agadir, a permis la saisie de nombreuses preuves dont notamment un CD-Rom contenant 250 photographies obscènes de jeunes hommes nus, âgés entre 15 et 21 ans et dont 15 parmi eux sont des Marocains, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale.


L'enquête, signale le communiqué, a établi que durant ses séjours au Maroc, le mis en cause a racolé plusieurs jeunes démunis et désoeuvrés de la banlieue d'Agadir qu'il attirait à bord de sa caravane où il les prenait en photographies obscènes contre des sommes de 50 à 70 DH par cas.
L'intéressé, un touriste de 67 ans, a déclaré qu'il ne s'agissait pas pour lui d'une activité à but lucratif, mais simplement d'un hobby personnel, indique encore le communiqué.
Le pédophile en question a été présenté à la justice pour répondre de ses actes.

[www.aujourdhui.ma]

Et une histoire de plus...une(

c est le resultat d une politique catastrophique de H2 au maroc . Tu ne recoltes que ce tu semes .

Ce n'est que la partie emergé de l'Iceberg...Quand un peuple en arrive à prostituer des bébés , il n'ya plus rien à faire...

Au Maroc, tu peux taquiner de la rondelle de nourrisson sans problèmes quand t'es occidental. C'est une preuve de modernité. Le Maroc, c'est le symbole de l'obscurantisme. Vive la modernité à la Wafaa Soultan!

Je suis triste pour mon pays

Je suis un des ces "occidentaux", mais si ya bien une chose qui me révolte et pour laquelle je serais presque pour la peine de mort c'est bien pour ces gens qui touchent à des enfants, c'est une horreur, c'est immonde.

Citation
Zackmtl a écrit:
Je suis triste pour mon pays

moi je suis en colére contre ceux qui ont abimé mon pays :

en 1er lieu nos "chers" dirigeants

Citation
wachouf a écrit:

Citation
Zackmtl a écrit:
Je suis triste pour mon pays

moi je suis en colére contre ceux qui ont abimé mon pays :

en 1er lieu nos "chers" dirigeants

Non, ils sont bien chers nos dirigeants, vu ce qu'il gagne sur le dos du peuple.

La meilleure...c'est que son gouvernement demande aux autorités marocaines de se pencher sur son cas, ils disent qu'il est malade et a besoin de psychiatre.

Le Maroc est un pays de tourisme, doit-il exiger un certificat de bonne conduite aux occidentaux ? L'individu en question fut suivi depuis son entrée mais il a fallu le surprendre en flagrant délit...Maintenant la population Marocaine est aux aguets, elle qui recevait les gens avec beaucoup d'hospitaltié va se refermer sur elle-même. Le clavaire vécue par les familles des filles d'Agadir avait dépassé l'entendement. Modérez vos propos, ne criez pas à la vindicte populaire.

Les malades qui se déguisent en touristes il y en a partout dans le monde. Les pédophiles rodent un peu partout. Nous devons demander au gouvernement marocain de harceler les harceleurs, et de frapper fort comme avec ce cochon. Si son pays prétend qu'il est malade, il faut le livrer aux prisonniers maorains en manque dans les prisons, ils vont s'occuper de son cas, bien comme il faut, peut-être mieux que le meilleur psy du monde.

J'avais plusieurs fois écrits qu'on exploitait la pauvreté et l'ignorance de notre population. Tant que ces maux sévissent nous ne pouvons pas avancer. Mais je vous prie, au lieu de tomber comme des rapaces sur les victimes essayez de leur trouver des circonstances atténuantes. Heuresusment que vous ne travaillez pas dans les tribunaux marocains, vous castrerez tout le monde, victime ou pervers. Il faut faire la part des choses et inciter le gouvernement à réagir, à troouver des solutions. Certains props comme "j'ai honte", "ce n'est pas possible" ne feront pas avancer le Chmilblik...

mag3

Suis désolé, en général je modère mes propos, mais les pédophiles sont peut être des malades, en tout cas ce sont des monstres, on touche pas à un enfant point, mais à ce moment la, on fait qq chose, je sais pas moi mais la castration chimique c'est efficace et pas inhumain non plus.

Je suis pour la castration chimique qu'avait proposé Sarko ...
Je me souviens d'un pedophile americain qui demandait à etre castré car il disait que c t plus fort que lui...

En attendant , au lieu de s'en prendre aux "occidentaux", prenez vous en aux locaux qui sont les premiers consommateurs de la chaire marocaine...

Au maroc l'offre est abondante sous les yeux indifférent voir complice de la police voir cette article de la nouvelle tribune d'il y a un an.
Rin ne change, si ce n'est en pire.

Enquête
Au marché des jouvencelles
Marc Dutroux, pédophile (et assassin) belge, présentement en train de se faire remonter les bretelles par les institutions judiciaires de son pays, est le « Enzo Scifo » de la pédophilie, le fin du fin de ce qui se fait en matière de détraqués sexuels. Nous aussi, ici, avons nos Naybet, Zaïri, Hajji, Regragui, ou plutôt nos Dolmy, Faras, P’tit Omar, Pitchou, Akesbi, Belmahjoub, Ben Barek et consorts (eu égard à la moyenne d’âge des pédophiles locaux, largement plus élevée que celle de la génération actuelle des Lions de l’Atlas). J’utilise le foot comme métaphore pour ne pas trop vous heurter, lecteurs - vous qui venez tout juste de subir de plein fouet le titre ci-dessus ! Mais, je pourrais aussi bien vous dire, afin de mieux me faire entendre, que le schéma antédiluvien de la société encourage les déviances sexuelles, au même titre que la misère. Je pourrais également me faire grossier, dire qu’une « settachia » (jeune fille de 16 ans dans le jargon des amateurs de chair tendre) est considérée comme un excellent millésime, ou encore que certaines se déguisent en lycéennes et fréquentent « assidûment » leur établissement parce qu’il s’agit là de la meilleure des couvertures. Ce sont là certaines des informations (les plus soft) glanées par La Nouvelle Tribune, qui vous invite à la Foire de la Pédophilie, qui se tient à Casablanca… tous les jours que Dieu fait ! Visite guidée de trois pavillons (parmi tant d’autres) de ce salon : une salle de billard du centre ville, un lupanar sordide du même quartier, et, enfin, le lycée «X», le plus grand gisement naturel de minettes dociles à Casablanca, peut-être !


La salle de billard dans laquelle m’a conduit une de mes connaissances, un « bobo » célibataire à la vie sexuelle bien garnie, est située à proximité d’un « lycée de jeunes filles ». Ce lieu accueille, par conséquent, plusieurs lycéennes adeptes de l’école buissonnière. Des filles de petite vertu, selon mon guide, des prostituées semi-professionnelles dont les parents n’ont pas un sou en poche, et qui tapinent donc pour s’offrir le dernier pantalon taille basse de chez Hermès, par exemple (avec... Hermès écrit sur les « féfesses »), ou encore les petits dessous trop « hot » (qui mettent tout un chacun sens dessus dessous) repérés au Maârif quelques jours plus tôt, entre deux rendez-vous galants.

Elles ont les yeux revolver

Vendredi 5 mars, 16 heures. Une enceinte ancestrale crache de la musique ; un disque de rap : « It’s getting hot in here » de Kelly. C’est vrai que l’ambiance se fait chaude. Il doit se trouver là une quinzaine de jeunes femelles, vraisemblablement toutes lycéennes, qui ont les yeux baladeurs (et revolver), qui dévisagent tous les mecs qu’elles jugent capables de raquer pour coucher. La plupart d’entre elles connaissent mon accompagnateur, puisqu’elles figurent, à en croire cet hédoniste trentenaire sur son tableau de chasse.
« Cela ne fait pas de moi un gros pervers ! Lorsque j’avais quinze, seize piges, les filles de mon lycée sortaient presque exclusivement avec des gars plus mûrs, des adultes. Ne dit-on pas que les filles sont en avance sur les garçons, qu’elles mûrissent plus vite ? C’est dans la tradition de ce pays de marier les filles à l’âge de la puberté. Une relation hétéro avec des filles consentantes de 16, 17 ans, même si elle est rémunérée, ce n’est pas de la pédophilie. Ce n’est pas aussi grave que la pédophilie homosexuelle, l’inceste ou le viol, par exemple », indique mon guide entre deux clins d’œil adressés à de jolies et jeunes gazelles apparemment ultra-consentantes (des nanas dont la partie émergée du string dépasse allégrement les 70 % ne peuvent jouer les farouches).
Mon interlocuteur me propose de ne plus perdre de temps dans cette salle à la con et de faire un saut chez l’une de ses amies, une de ses prestataires de service plutôt, qui tient, deux rues plus bas, une sorte de bordel, pop, mais propre. Il a très manifestement envie de… Prêt à tout pour recueillir d’autres témoignages, même à tenir la chandelle à un pédophile sans vergogne, je l’accompagne.
L’appartement dans lequel habite et travaille la « fournisseuse » attitrée du principal informateur de cette enquête est perché au 4ème étage d’un immeuble (sans ascenseur) qui ne paie pas de mine. Pour tout dire, il ne s’agit pas d’un bordel au sens strict du terme. En effet, aucune des filles managées par la maquerelle ne s’y trouvait au moment où nous nous y sommes rendus. Il semble que la salle de billard dans laquelle nous nous trouvions quelques minutes auparavant soit une espèce de show-room où la souteneuse chez qui nous sommes installés présentement «entrepose» son offre.

« Hajja Claude »

Lhajja opère par téléphone. Lorsqu’un client fait appel à ses services, il lui suffit de « bipper » une de ses filles pour que cette dernière rapplique dans les minutes qui suivent. Après m’avoir présenté à son amie comme un client potentiel, mon compagnon lui demande s’il lui était possible de convoquer une certaine Sanaa, une de ses toutes nouvelles recrues. « Lorsque tu me l’as présentée la dernière fois, je l’ai trouvée trop mignonne, mais je n’ai pas pu faire plus ample connaissance avec elle parce qu’elle avait un autre client, un gars très important, m’avais-tu dit, à satisfaire. Aujourd’hui, je sais qu’elle est disponible. Je l’ai croisée à la salle de billard d’où nous venons ; je n’ai pas osé l’aborder là-bas. En fait, elle est si belle qu’elle me rend nerveux », lui annonce-t-il.
Avant que nous n’ayons eu le temps de siroter le café que notre hôtesse nous a servi, la très attendue Sanaa frappe à la porte. Sa patronne lui ouvre, nous la présente en mettant en avant son jeune âge (16 ans) et son inexpérience (elle n’aurait commencé à tapiner que deux mois plus tôt), puis l’invite à aller l’attendre dans une pièce attenante. La petite s’exécute sans même demander avec lequel de nous deux elle devait coucher. Inexpérimentée, mais très professionnelle. Après avoir consenti 200 DH, mon accompagnateur me fausse compagnie pour aller la rejoindre.
Tandis que les deux tourtereaux grimpent aux rideaux dans la pièce à côté, la maquerelle met de la musique, du Oum Kalsoum, sans doute pour couvrir les bruits qui pourraient filtrer de la salle des opérations, vient s’asseoir près de moi, et, pour passer le temps, s’amuse à déterminer mes goûts charnels. Constatant que je ne me fais pas trop bavard, elle se lance dans un long monologue, aussi édifiant que choquant :
« Je me suis spécialisée dans les filles jeunes parce que les clients sont plus généreux à leur égard, mais également parce qu’elles sont, en général, moins redoutables en affaires, plus faciles à gérer que leurs aînées. Lorsque j’ai dépassé le cap de la quarantaine, je me suis rendue compte que je devais céder la place à plus fraîches que moi. Faire le tapin ne me rapportait plus assez à cause de mon âge. Je me suis reconvertie en maquerelle pour conserver un niveau de vie satisfaisant. En fait, après quelques années au top, toutes les prostituées finissent par vivre la redoutable période des vaches maigres. Sanaa, par exemple, qui est adorable aujourd’hui, ne vaudra plus que des clopinettes après dix, quinze ans de métier. Il n’est donc pas étonnant que les filles épousent très tôt le métier, dès 13, 14 ans. Il est même logique, dans un pays où les inégalités sociales sont criantes, que des filles qui fréquentent les lycées se laissent embarquer par des petits vieux pour se faire un peu d’argent de poche. Personnellement, j’ai des clients saoudiens qui alignent des sommes folles pour passer une soirée avec des petites débutantes. Même la fille la plus vertueuse pourrait se laisser tenter par de telles sommes ! »

Lycées de jeunes filles de joie

Dans la rue, alors que nous nous dirigeons vers le lycée «X», troisième et dernière étape de nos pérégrinations dans « le Casa pédophile », mon guide ne tarit pas d’éloges à propos de Sanaa. Il fanfaronne, dit l’avoir atomisée. Parce qu’il m’indispose de me faire commenter le détail, position par position, d’un détournement de mineure, je lui explique que je suis dans l’obligation d’écourter notre enquête. La compagnie d’un pédophile se révèle très vite lassante !
Ce n’est que le lundi d’après, en fin d’après-midi, que je me suis rendu aux environs du lycée «X», plus précisément dans un café qui sert, paraît-il, de QG aux plus « émancipées » des élèves de cet établissement réservé strictement aux filles, mais que beaucoup d’hommes de tous les âges fréquentent assidûment, tout de même. Là encore, à l’image de ce qui avait cours dans la salle de billard salace, toutes les gamines, chichement habillées, déshabillent du regard, matent sans vergogne, invitent à l’abordage, poussent au crime. « C’est du déjà-vu », me dis-je, en tournant les talons, mais c’est là que mes yeux croisent le regard d’un petit vieux rabougri, assis, seul, à une table surplombant celles où prend place un groupe de lycéennes particulièrement excitées. J’ai vu, dans ce café-là, un tigre en train de détailler sa proie, tout en buvant gentiment son caoua. En moins de cinq minutes, je l’ai également vu prendre en chasse des gazelles encore frêles, puis jeter son dévolu sur l’une d’entre elles, belle et cupide comme ils les aiment. Tout cela en moins de cinq minutes !
Si un flic se donnait la peine de traîner en civil, ne serait-ce qu’un petit quart-d’heure, dans un endroit de ce type ou aux alentours de n’importe quel lycée, c’est à tour de bras qu’il prendrait les vieux vicieux en flagrant délit de détournement de mineures. Et dire que la Wilaya de police de Casablanca fait face à un lycée, sur l’autre rive du boulevard Zerktouni !

M.L.

Au trou, les « Dutroux » !

Alors que le procès de Marc Dutroux bat son plein, le photographe de La Nouvelle Tribune et moi sommes tombés nez à nez avec… Marc Dutroux aux abords d’un « lycée de jeunes filles » du centre ville de Casa, mardi 9 mars en début d’après-midi ! Evidemment, ce n’était pas vraiment Marc Dutroux ; « seulement » une enflure de pédophile comme il en est tant par ici ! Dutroux croupira en taule pour le restant de sa vie, sans doute, tandis que, sous nos latitudes, dans ce pays où un rien est jugé tabou, les tordus du trou, les déviants sexuels, les pépés qui les aiment bien petites, continueront de sévir tant que la rue, l’opinion publique, fera preuve d’indifférence à leur égard.
Le pédophile que nous avons repéré, la soixantaine à vue d’œil, conte fleurette, depuis le siège en cuir de sa « kaouada » (maquerelle : c’est ainsi que les « Bidaouis » pur sucre appellent les bagnoles), à une gamine à peine nubile, une « hmama » comme ils disent en salivant, qui n’attendait manifestement que ça.
Il aura suffi à ce satyre quelque chose comme trente secondes pour attirer dans sa tire l’objet de son désir. Mais, alors qu’il devait déjà réviser dans son for(t) (moche) intérieur les postures du Kama-Sutra qu’il s’en allait expérimenter sur la petite, le photographe de La Nouvelle Tribune, un gars imprévisible, un peu déjanté (mais tous les artistes ne le sont-ils pas un peu ?), a fait capoter son plan olé-olé. Spontanément !
Sans me mettre au courant de sa démarche, mon collègue fait mine de prendre en photo la voiture - dont il est distant d’une bonne trentaine de mètres -, en prenant bien soin de se faire remarquer par le couple. Déstabilisé, parce qu’il doit vraisemblablement être marié et grand-père, le conducteur démarre en trombe, d’abord, avant de se raviser. Il freine net (dans un crissement de pneus apocalyptique), ensuite, bondit de sa voiture, se dirige vers nous, furax, menaçant, insultant ! Apeurée, constatant que les passants commençaient à s’agglutiner autour de la voiture, la Lolita sort à son tour de la voiture, profil bas, et prend la poudre d’escampette. Le plan Kama-Sutra vole en éclats.
L’auteur des photos qui agrémentent ce présent article, bien plus jeune et dispos que son « assaillant », monte, pour sa part, sur sa bécane, me demande énergiquement ce que j’attends pour en faire autant, et file entre les doigts du pédophile, du pépé pervers.
Il est vraisemblable que si tous ceux qui viennent à croiser les nombreux « Marc Dutroux » qui sévissent parmi nous réagissaient comme l’a fait mon collègue, qu’ils ne passaient pas leur chemin comme si de rien n’était, les pédophiles réfléchiraient à deux fois avant d’aborder une jeunette en pleine rue. Maintenant qu’il croit qu’un photographe détient des photos compromettantes le montrant dans sa voiture en compagnie d’une petite mineure en tablier de lycéenne, l’envie de traîner tel un loup dans une bergerie à proximité des « lycées de jeunes filles » ne prendra plus le pédophile qui a croisé notre chemin ce jour-là ; pour un bout de temps, au moins.
J’ai tellement kiffé le geste de mon collègue que j’ai décidé de traquer dorénavant, à ma façon, tous les pédophiles qui draguent les fillettes (ou les garçonnets) à la sortie des collèges et lycées. Je vais devenir l’empêcheur de tourner en rond de ces enfoirés, leur pire cauchemar. A chaque fois que j’en croiserai un, je crierai à tue-tête, jusqu’à ce quelqu’un intervienne pour me fermer le clapet, en pointant du doigt la scène du crime : « Au trou, Dutrouduc ». Évidemment, je ne pourrai pas couvrir en même temps tous les collèges et les lycées de Casa et du Maroc. Ce serait cool, par conséquent, que tous ceux qui estiment qu’infliger des rapports sexuels avec un enfant n’est pas une mince affaire, s’enhardissent un peu. A chaque fois que vous verrez un gros et vieux bourgeois dans une belle bagnole en train de s’escrimer à lever une mineure misérable, faites en sorte de lui passer l’envie de laisser libre cours à ses vils fantasmes. Et caftez aussi ! La délation est une vertu lorsqu’elle vise à empêcher de nuire à des détraqués sexuels !

Quelles sont les solutions ????

mag3

franchement c trop triste, les histoires comme ca maintenant ca va se répéter a gogo depuis l'affaire servati

de la pédophilie en pluss!!!!!!!

La pédophilie est trés répandue au Maroc et ces abus ne sont pas pris au sérieux.
Maintenant qu´un allemand est impliqué tout le monde saute pour crier au scandale.
Enfin un bouc émissaire et il vient de RFA. Messieurs les maux de la sociètè marocaine sont home-made.

Citation
Zackmtl a écrit:
Ce n'est que la partie emergé de l'Iceberg...Quand un peuple en arrive à prostituer des bébés , il n'ya plus rien à faire...

zack c'est qu'une minorite

le maroc n'est pas entierement comme ca !!

safi !!

sinon je vais deprimer ana

Citation
Krim a écrit:
Messieurs les maux de la sociètè marocaine sont home-made.

Tout à fait...Eduquez le peuple avant de s'en prendre aux Occidentaux...
à defaut de dignité peut etre que l'instruction permettra de lutter contre la dech marocaine.

Citation
Marokaine84 a écrit:
250 photographies obscènes de jeunes hommes nus, âgés entre 15 et 21 ans et dont 15 parmi eux sont des Marocains, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale.



[www.aujourdhui.ma]

(

Quelqu'un a parlé de bébés; des jeunes hommes âgés entre 15 et 21 ans. Oui, des bébés attardés sans doute, avec déjà un sens prononcé de l'argent... A force de crier à la pédophilie à la moindre affaire de moeurs, voilà encore un mot qui va être vidé de tout sens. Il y a une différence entre l'homosexualité, la pédophilie ou encore la pornographie... Pendant ce temps, les "papas" continuent de violer tranquillement les petites bonnes...

Il faut atteindre l’objectif coûte que coûte :


10 MILLIONS

De touristes



Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/03/06 16:58 par HARIBO1.

Citation
HARIBO1 a écrit:
Il faut atteindre l’objectif coûte que coûte :


10 MILLIONS

De touristes

Voila des paroles sensées!!!!
Si il faut que 10 millions de marocains se prostituent , c'est pas grave!
Purée, on va pas rester le 137eme pays mondial pour des limitation d'ordre "moral", non mais!