Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
SAHARA OCCIDENTAL Une région sous surveillance
b
1 juillet 2005 12:15
Maghreb et Sahel malades d'un conflit oublié

PAR DJAMILA CHIKHI *
[01 juillet 2005]

Le Figaro.



Les violences qui ont touché le Sahara occidental ces derniers jours nous rappellent la situation précaire de la sécurité régionale au Maghreb et au Sahel. Le statu quo qui n'est plus tenable humainement et politiquement. Depuis plus de trente ans, ce conflit perturbe les plans européens qui plaident pour une intégration du Maghreb et complique la stratégie de stabilisation des Etats-Unis au Sahel. Cette vaste région désertique est sous haute surveillance américaine.


Perçue comme un sanctuaire parfait pour des cellules terroristes dormantes ou en phase de reconstitution, elle fait l'objet d'un plan de sécurisation – initiative Pan-Sahel – mis en place par le Pentagone et auquel sont étroitement associées les armées des pays du Maghreb et du Sahel. Cette présence croissante des Etats-Unis, dans une région auparavant sans intérêt, participe de l'élargissement d'un champ de vision qui englobe, à présent, un espace allant de la Mauritanie à l'Afghanistan. Sans revenir sur les limites conceptuelles de ce Grand Moyen-Orient, la nouvelle répartition des rôles dans ce qui devient sa «partie occidentale» fait l'objet d'une offensive forte, diplomatique, économique et militaire.


Avec une Europe qui doute et dont la politique méditerranéenne s'étiole, les Etats-Unis prennent de plus en plus de place. Les pays du Maghreb l'ont bien compris et jouent ouvertement cette carte. Le Maroc est ainsi renforcé dans son statut séculaire d'allié fiable. L'Algérie se dévoile en allié stratégique et son armée s'affirme comme une force d'appoint indispensable sur un axe allant de la façade méditerranéenne aux prolongements territoriaux sahéliens. La Libye absoute devient un appui dans le renseignement sur les réseaux islamistes en Afrique. Reste la grande inconnue du Sahara occidental et de son statut final. Il est permis de penser que, dans un tel contexte, les Américains ne laisseront pas l'agencement sécuritaire qu'ils mettent en place dans cette partie du monde souffrir de la moindre faille possible. Une reprise des affrontements armés au Sahara occidental aurait des conséquences désastreuses pour la sécurité régionale. Une telle situation est toujours propice à la circulation d'armes et, en cette période de crispation internationale, à l'infiltration de groupes terroristes.


Face aux blocages de la voie diplomatique onusienne empruntée depuis quatorze ans, faut-il redouter la méthode américaine ? Aussi surprenant que cela puisse paraître, il est difficile d'imaginer les Etats-Unis jouer une autre carte que celle du multilatéralisme et de l'ONU précisément parce qu'elle sert leurs intérêts de sécurité. Le maintien de l'équilibre régional au Maghreb s'impose actuellement comme un impératif stratégique. La France est sur la même longueur d'onde, soucieuse d'entretenir à un haut niveau de confiance ses relations bilatérales avec deux partenaires privilégiés, le Maroc et l'Algérie.


Tout comme Washington, Paris redoute que la question sahraouie n'exacerbe à nouveaux les rivalités intramaghrébines. Cependant, en rappelant au premier ministre marocain que la seule voie possible est celle du plan Baker, Jacques Chirac franchit un pas. La France, longtemps attentive aux revendications marocaines, ne peut désormais tourner le dos aux principes ardemment défendus pendant la crise irakienne, à savoir le respect de la légalité onusienne et le renforcement d'une communauté internationale. Les récentes émeutes sahraouies ont été l'occasion d'une large convergence de positions entre l'UE, les Etats-Unis, la France, l'Espagne et plusieurs pays arabes et africains qui ont réitéré leur attachement au plan de paix élaboré par James Baker et approuvé à l'unanimité par le Conseil de sécurité en décembre 2004.


La conjoncture est quasi parfaite pour que la France et les Etats-Unis, comme dans le cas du Liban, se retrouvent à nouveau du même côté pour impulser, dans le cadre de l'ONU, la recherche d'une solution. Sauront-ils être décisifs ? Le Maroc n'est pas la Syrie. Et il est plus difficile de faire pression sur un pays ami et allié dont on sait à quel point le Sahara occidental relève d'une question nationale. A cette contrainte s'ajoutent les attentats de Casablanca en mai 2003 qui ont dévoilé un champ religieux éclaté et une crise sociale profonde. Dans ce contexte incertain, ni le roi ni la classe politique ne prendront le risque d'une initiative ouvrant la voie à un bouleversement de l'organisation étatique. Aucune chancellerie n'ignore ces paramètres internes qui font que, pour l'instant, la pression diplomatique s'arrête là où commence la stabilité interne du Maroc.


Pour l'heure, et à moins d'un coup de théâtre majeur, la gestion du conflit se limite à deux priorités : désamorcer les risques d'une escalade de violence ; désigner le prochain envoyé spécial de l'ONU. Or cette nomination ne s'annonce pas aisée. D'une part, parce qu'elle devra porter sur une personnalité au profil politique fort, acceptable par les deux parties, d'autre part, parce qu'après plus d'une décennie de gestions infructueuses, de dépenses s'élevant à 580 millions d'euros et de deux démissions (celle de James Baker et de son successeur, Javier de Soto) Kofi Annan n'est pas prêt à engager de nouveau l'ONU sans assurances préalables. Son silence actuel n'est pas si surprenant.


Bien que la Communauté internationale incarnée notamment par l'ONU reste l'otage des stratégies de puissance des Etats, le monde a besoin de l'ONU et de son expérience en matière de résolution et de reconstruction postconflit. Résoudre un vieux conflit comme celui du Sahara occidental ne relève pas de techniques de pacification mais d'un projet politique où sont en jeu des processus de légitimation et de délégitimation. Plus que jamais, les défis d'une paix durable passent par une conception politique de la sécurité, et non uniquement militaire.

* Enseignante chercheuse, Centre Morris Janowitz-Forces armées et sécurité, Institut d'études politiques de Toulouse.



b
1 juillet 2005 13:08
article redige par une algerienne et repris d'un journal algerien:


[www.algeria-watch.de]

***********
Sahara occidental: vieux conflit face à de nouveaux défis
Par Djamila Chikhi*, Le Quotidien d'Oran, 23 juin 2005

Les violences qui ont touché le Sahara occidental nous rappellent la situation précaire de la sécurité régionale. Ils nous interpellent sur un

[...]
b
1 juillet 2005 13:35
Et alors??
b
1 juillet 2005 13:46
faut juste le dire.

on ne va pas faire passer une position algerienne deguisee en article publie au figaro et redigee par une scientifique.

sinon on connait l'histoire.
V
1 juillet 2005 14:04
je sais que je vais en énérver quelues uns , mais j'ai trouvé l'article equilibré et objectif , j'ai aimé winking smiley
m
1 juillet 2005 15:18
Bonjour,

Attendez les gars, l'article parle de lui-même. L'auteur (e) elle-même dénonce implicitement l'attitude de l'ONU. La léthargie de Kofi Annan, assomé par la position américaine lors de l'invasion d'un pays, l'Irak où toute une mascarade fut montée, rappelez-vous. Mais aussi la démission de deux grands ténors des relations internationales dans le dossier du Sahara.

L'auteur (e) souligne un point très important, l'apparition de mouvements islmistes.

Certaines gens, je précise bien certaines (gens est féminin), pas tous les mouvements n'attendent que l'occasion pour transformer la région en feu et en sang.

Les derniers affrontements en Mauritanie viennent témoigner à ceux qui se voilent la face que ni l'Algérie, ni le Maroc, ni la Mauritanie ne sont à l'abri d'une balkanisation de la région.

Le plus dangereux comme le souligne l'article c'est que le peuple Marocain fait de son Sahara une affaire nationale et Hassan suivi de son fils jouent leur trône avec cette affaire.

Le Kassam rédigé par Hassan et lu et relu par tout le monde signifie que cette affaire ne sera résolue ni par l'ONU ni par l'OUA ni par aucune instance, mais bel et bien par l'Algérie et le Maroc.

350 000 marcheurs Marocains ont surpris le monde, ont bravé tous les dangers pour récupérer leur terre.

Cette face a son revers, 35 000 autres Marocains ont été jetés comme du bétail aux frontières de Zouj Bghal et sont venus semer la confusion et la suspicion dans les esprits.

Pourquoi s'en prendre à une population civile ? Et Pourquoi Boukharrouba (baptisé Boumedienne) a-t-il agi de la sorte en 1975 alors que les Polisariens n'existaient pas.

Certains égarés vont vite être recrutés par des Marocains eux-mêmes tels Abdelaziz El Marrakchi, El Ouali encore universitaire à Rabat, et d'autres égarés.

C'est ce qui enlève toute crédibilité et surout toute sincérité aux thèses de Boumédienne.

On n'a pas répondu aux interrogations internationales au sujet de l'expulsion illicto-facto de 30 000 âmes qui participaient activement à l'épanouissement du pays ? Pardon qui avaient participé à l'indépendance de l'Algérie.

Aucune thèse, aucun universitaire n'a touché à ce phénomène qui peut être débattu sous de nombreux angles :

-relationel
-social
-fraternel
-politique
-régional etc...etc...

Ce phénomène rejoint un autre qu'on s'efforce d'occulter. Si le premier refoulement ressemble à la Shoha, le socond, celui des plus détenus du monde ressemble curieusement aux camps de concentration. Lahmada témoigne et pleure à larmes chaudes de cette haine entre deux voisins. Elle pleure son sort de terre spoliée et de terre-prison.

Est-ce un pur hasard ? Est-ce une politique tracée, voulue ? Attention nous sommes en face de stratèges, de généraux qui ont vu dans leur carrière et vécu de nombreux événements. Je veux dire pas des naifs. Ce qui porte à croire que ce sont des décisions mûrement réfléchies identiques aux jeux d'échec ou aux jeux de dames. Il place ici, je marque ici. Il se positionne là-bas, je le contrecarre par là.

En définitive, les politiciens pataugent, jouent, deviennent de jour en jour incrédules, songez aux votes en Europe qui ont permis aux peuples de donner une fessé magistrale à leurs chefs hiérarchiques :

Raffarin, ayant promis monts et vaux, vite limogé, la Hollande discréditée, l'Angleterre qui souffle le chaud et le froid et temporise... Le Zigoto, Aznar, menteur et tricheur, vite dévoilé et viré,

Cette comparaison à l'Europe nous permet de vérifier que nos votes en 1982, vraie mascarade éléctorale ont permis au FIS de remporter la victoire, vite arrachée, fissure, explosion, GIA et situation tendue...

Au Maroc, trois décennies de dictature, explosion sociale, apparition de nouveaux opportunistes se déguisant sous le manteau de l'Islam pour s'octroyer le pouvoir. Situation très tendue, dangereuse pour toute la région. Attentats à Casa, à Madrid, et procès de journalistes pour arriver à toucher un ténor par voie interposée, sa fille la nouvelle dame du pays, Yassine...

Je voulais dire que dorénavant ce sont les peuples qui décident de leur sort.

Les généraux ne font que perdre leur temps et leurs milliards dans l'affaire du Sahara et dans l'armement. Ils savent pertinemment qu'ils ne pourront jamais rien obtenir par la force. Un conflit armé entrainerait la région dans les géhennes. Ils sont conscients que le moindre tir va détourner l'attention du vrai problème. Ils sont conscients que certains les attendent au tournant, que certains veulent leur revanche. Le GIA et autres sont des cellules dormantes, qui de temps en temps se livrent à des barouds d'honneurs pour siginifier leur présence. Se trouver entre deux feux est dangereux. Les généraux veulent assurer l'adhésion du peuple en lui indiquant un ennemi, même si l'ennemi est fictif, faux, ce n'est pas grave parce qu'il menace MOKADDASSAT ATTAOURA.

Et le mot est lâché, ATTAOURA, ce fut le mot à la mode à l'épque Boumedienne. Des slognas vides qui ont mené notre population Maghrébine au fiasco . ATTAOURA AZZIRAYA, on déshabille Jacques pour vêtir Paul. Des terriens qui avaient fait leurs preuves ont été déshérités de leur patrimoine qui fut livré à des gens qui ne savaient quoi faire de la terre.

Boumedienne avait une fois dans l'un de ses dicours décidé d'arracher CE SEM, qui veut dire ce poison. Il parlait de la vigne. Ce fut l'une des richesses du pays après le pétrole. Du jour au lendemain plus de vigne, plus de vin, ce fut une appellation réputée mondialement. Je n'encourage pas la poduction d'alcool mais je souligne les erreurs qui nous ont conduit au fiasco.

Notre destinée n'était pas entre les mains sortant d'école polytechnique ni politique ni...ni...

Ce ne fut et c'est tojours que du colmatage, du bricolage au niveau politique.

Attaoura ASSINAIYA, l'industrialisation d'El Hajjar fut un fiasco totale. Et dire que nous pensions avoir nos propres voitures construites chez nous, nous pensions fabriquer nos propres fusées nos propres satellites, non par pour l'instant. LE MOMENT IMPORTANT EST LA GUERRE INTESTINALE...

Si cette situation profite à certains dans les deux camps, au Maroc elle renforce l'adhésion autour du roi, en Algérie elle prolonge la vie des généraux qui excellent dans l'art du jonglage, de driblage, de feintes et tirs au but pour marquer des buts, en s'alliant l'OUA, donc presque tout le continent africain, en s'adjugeant récemment le Kénya qui vient épauler l'Afrique du Sud, donc en gros maintenir un statu-quo qui arrange l'oncle SAM pour venir faire les yeux doux aux protagonistes.

À l'Algérie promettre de combattre les forces du Mal comme ils les appellent. Parce qu'avec la nouvelle politique de l'oncle SAM, il faut écraser la tête du serpent. Et au Maroc, premier pays à reconnaître l'indépendance de l'Amérique face à l'hégémonie anglaise, relation séculaire qui ne doivent pas être ternies par un microbe état et un miller d'individus.

L'Amérique ne s'est pas soucié des peuples quand elle a lancé ces deux bombes sur Hiroschima et Nagasaki ni plus récemment ses tonnes d'explosifs sur des civils Irakiens. J'entends par là, pour eux c'est d'abord Business, l'être humain n'a aucune valeur. MONNEY IST MONNEY...

Et l'intérêt tout l'intérêt est de contrôler la situation par eux-mêmes, donc de s'installer dans la région, la surveiller, la parainner, comprenez par la, une colonisation moderne.

Alors les analyses et les prévisions sont dorénavant sujettes à caustion. Il y a l'imprévisible qui menace. On ne peut plus prévoir comme auparavant parce qu'aucun état au monde ne connaît la vraie stabilité. Il y a une menace qui plane sur la terre, et du jour au lendemain, on peut en une demi-heure vous détruire deux tours construites durant de nombreuses années, on peut vous destabiliser une région en dirigeant un objet vers le Pentagone, on peut vous faire exploser un train pendant une heure de pointe dans l'une des plus grandes capitales du monde européens et on peut séquestrer, menacer, s'exploser etc...etc...

Je veux dire qu'il y a un malaise mondiale, le monde est sous infusion, le médecin épuisé somnole, les infiermières dépassées désertent leur postes...LE PATIENT ETOUFFE...AGONISE...IL RISQUE...

sans rancune

mag3
o
1 juillet 2005 15:34
Vador a écrit:
-------------------------------------------------------
> je sais que je vais en énérver quelues uns , mais
> j'ai trouvé l'article equilibré et objectif , j'ai
> aimé


C'est clair, mais y en a qui verront plus d'objectivité dans les articles de la MAP.
Au fait, il ya pas eu de suite sur l'affaire des hellicoptères algériennes qui tiraient sur des citoyens marocains lol :-)
b
1 juillet 2005 16:29
Et comme elle est "Enseignante chercheuse, au Centre Morris Janowitz-Forces armées et sécurité, Institut d'études politiques de Toulouse."

Ce centre est certainement financé par les genéraux Algériens avec la complicité des services secrets Français? N'est ce pas?

J'ai jamais vu d'esprits aussi obtus !

b
1 juillet 2005 16:36
wallah ghir desespere si tu veux. no pasaran.

une chercheuse algerienne qui publie son opinion sur un conflit d'actualite, dans un quotidien algerien.

pas avec moi en tout cas.



belloumi a écrit:
-------------------------------------------------------
> Et comme elle est "Enseignante chercheuse, au
> Centre Morris Janowitz-Forces armées et sécurité,
> Institut d'études politiques de Toulouse."
>
> Ce centre est certainement financé par les
> genéraux Algériens avec la complicité des services
> secrets Français? N'est ce pas?
>
> J'ai jamais vu d'esprits aussi obtus !
>
>


b
1 juillet 2005 16:43
NO Pasran? Tu sais c'est le républicains espagnols pedant la guerre civile


Allez que la paix soit avec toi

b
1 juillet 2005 16:48
et avec toi.

belloumi a écrit:
-------------------------------------------------------
>
>
> Allez que la paix soit avec toi
>
>


b
1 juillet 2005 16:49
Avec des raccourcis et de fausses hypothèses concotées aux boole de crystal, on peut inventer toute une théorie et la faire passer pour une vérité.
Voici, quelques raccourcis qui sont balancés pour une fausse argumentation :

1. Les violences qui ont touché le Sahara occidental ces derniers jours nous rappellent la situation précaire de la sécurité régionale au Maghreb et au Sahel

---> les embuscades toujours perpétrés contre les forces de "l'ordre" en Algérie ont plus d'étendue et font plus de victimes !

2. Avec une Europe qui doute et dont la politique méditerranéenne s'étiole, les Etats-Unis prennent de plus en plus de place. Les pays du Maghreb l'ont bien compris et jouent ouvertement cette carte. Le Maroc est ainsi renforcé dans son statut séculaire d'allié fiable. L'Algérie se dévoile en allié stratégique et son armée s'affirme comme une force d'appoint indispensable sur un axe allant de la façade méditerranéenne aux prolongements territoriaux sahéliens.

--> L'armée algérienne est entrain d'apprendre les 'abcd' des manoeuvres conjointes avec les forces de l'Otan et notamment des américains. C'est une armée de néophytes et sa seule expérience sur le terrain est la repression des Kabyles et les complots de dix ans de massacres.

3.Cependant, en rappelant au premier ministre marocain que la seule voie possible est celle du plan Baker, Jacques Chirac franchit un pas...

--> Où est ce qu'elle a entendu ça ?!!!

-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-   Un grand peuple sans âme est une vaste foule-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-
b
1 juillet 2005 16:56
Ya bolzo ma bika ya bounay?


Ecoute, tu n'as qu'à écrire à la dame en question, Il se pourrait que tu retiennes son attention avec des arguments qui crêvent les yeux.

Peut-être que vous envisageriez, ensemble, de faire un article commun?

Un chercheur est ouvert à tous les points de vue.

b
1 juillet 2005 16:59
Tu n'es pas son porte parole à ce que je sache !
Attirer l'attention d'une "scientifique" malhonnête, c'est le dernier de mes soucis !
Si tu publies un "article", tu dois t'attendre à des commentaires ? n'est ce pas Monsieur Lakhder smiling smiley ?



Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/07/05 17:01 par bolzo.
-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-   Un grand peuple sans âme est une vaste foule-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-
b
1 juillet 2005 17:00


et ca passe bien sur mieux quand on use de sa carte de chercheur.

meci en tout cas bolzo.



bolzo a écrit:
-------------------------------------------------------
> toute une théorie et la faire passer pour une
> vérité.
b
1 juillet 2005 22:18
bolzo a écrit:
-------------------------------------------------------
> Tu n'es pas son porte parole à ce que je sache !
> Attirer l'attention d'une "scientifique"
> malhonnête, c'est le dernier de mes soucis !
> Si tu publies un "article", tu dois t'attendre à
> des commentaires ? n'est ce pas Monsieur Lakhder
> ?
>
>  -=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-
>   Un grand peuple sans âme est une vaste foule !
>  -=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-
>
>
>
> Edité 1 fois. Dernière modification
> le 01-07-05 17h01.


Oui certes, mais il y a commentaire et commentaire. Je peux par exemple faire le suivant :

Ecrire Scientifique entre guillemets pour un chercheur reconnu par des instances qui lui ont decerné un titre, c'est mettre entre guillemets le processus même du savoir. Cela ressemble bcp à la démarche des extrémistes de tout bord.

La traiter de malhonnête est jugement gratuit qui reléve d'une réaction epidermique que d'une attitude qui veut débattre.

Pour débattre, il faut se libérer du joug des idées reçues et dans le cas qui nous interesse d'un nationalisme hors d'époque.

b
1 juillet 2005 22:21
tu defends le diable.
la dame abuse de son statu scientifique.
c'est pas bien du tout.


belloumi a écrit:
-------------------------------------------------------
>
> Oui certes, mais il y a commentaire et
> commentaire. Je peux par exemple faire le suivant
> :
>
> Ecrire Scientifique entre guillemets pour un
> chercheur reconnu par des instances qui lui ont
> decerné un titre, c'est mettre entre guillemets le
> processus même du savoir. Cela ressemble bcp à la
> démarche des extrémistes de tout bord.
>
> La traiter de malhonnête est jugement gratuit qui
> reléve d'une réaction epidermique que d'une
> attitude qui veut débattre.
>
> Pour débattre, il faut se libérer du joug des
> idées reçues et dans le cas qui nous interesse
> d'un nationalisme hors d'époque.
>
>


b
1 juillet 2005 22:31
Cette Dame je ne la connais pas. Je ne savais même pas qu'elle est Algérienne. Je me suis avant tout interessé à l'article. Tres bien écrit et trés bien argumenté.

Mais je comprends la réaction de marocains qui se sentent "lésés" par une telle publication. Le nationalisme peut être bon, mais des lors qu'il devient nationaliZme il il peut s'avérer très dangereux.


Les marocains de bons sens gagneraient à méditer sur cela. Et j'en connais beaucoup qui le font déjà. Aux partisans des grains de sable je leur dirais que la Maroc mérite mieux que ce statut quo.
b
1 juillet 2005 22:39
mettre cette reaction sur le compte de nationalisme c'est prendre les gens pour des betes et leur refuser tout sens de critique et de vigilence.





belloumi a écrit:
-------------------------------------------------------
> Cette Dame je ne la connais pas. Je ne savais même
> pas qu'elle est Algérienne. Je me suis avant tout
> interessé à l'article. Tres bien écrit et trés
> bien argumenté.
>
> Mais je comprends la réaction de marocains qui se
> sentent "lésés" par une telle publication. Le
> nationalisme peut être bon, mais des lors qu'il
> devient nationaliZme il il peut s'avérer très
> dangereux.
>
>
> Les marocains de bons sens gagneraient à méditer
> sur cela. Et j'en connais beaucoup qui le font
> déjà. Aux partisans des grains de sable je leur
> dirais que la Maroc mérite mieux que ce statut
> quo.


b
1 juillet 2005 22:40
bikhir a écrit:
-------------------------------------------------------
> mettre cette reaction sur le compte de
> nationalisme c'est prendre les gens pour des betes
> et leur refuser tout sens de critique et de
> vigilence.
>


bof
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook