Ahmed Boukkous, recteur de l’Institut royal pour la culture amazighe (IRCAM), se met à dos le mouvement associatif amazigh. Un collectif d’ONG berbères, Azetta, a en effet récemment organisé un sit-in de protestation. Il reproche au président de “n’avoir rien fait de concret en faveur de l’intégration de la langue amazighe dans la vie de tous les jours, conformément aux statuts de l’institut”.
qui a dit que seuls les arabes ne se mettent jamais ok?