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BHL et les ricains
l
30 janvier 2006 22:04
Suite à la sortie de son livre "américain vertigo" BHL se fait descendre en règle par les critiques littéraires américains,ainsi que dans les émissions télevisées."l'éminent philosophe français, dont la mascotte n'est autre qu'une poupée dont la beauté n' a d'égale que le vide intellectuel et qui se nomme Mme Dombal".Mr Lévy qui voulait suivre la trace de l'écrivain Tocqueville dans une traversée des USA a fâché l'élite américaine qui a fustigé sa vision simpliste sur une société caricaturé d'obèses, de capitaliste de consommateurs effrénés............il s'est néanmoins posé la question sur la destitution de BUSH suite à son mensonge sur l'Iraq.
En France, il n' y 'a que le figaro qui relate l'accueil de son livre comme satisfaisant au USA les autres organes de presse en relaté le fiasco.
[color=#FF0000]il y'a bien des laideurs qui ne se voient pas!!!!!!!! [/color]
H
30 janvier 2006 22:07
qu'il aille au diable lui et ses livres...
s
30 janvier 2006 22:09
apparement il cartonne il est invite sur les plus celebres plateaux teles.....bref, les americains l ecoutent.....thumbs down
tres peu de francais ont pu conquerir le marche americain, on les comptes meme sur les doigts d une mainthumbs down
D
30 janvier 2006 22:11
Son livre est un Mac Gerbal !grinning smiley !
Vivre sous occupation, c'est l'humiliation à chaque instant de sa vie ... Résister à l'occupation, c'est vivre libre !Aujourd'hui Gaza, demain Al-Qods !
a
30 janvier 2006 22:11
c un imposteur
effectivement j'ai vu ca sur le monde en ligne , apparement c un fiasco
"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
b
30 janvier 2006 22:44
bhl un philosophe? c'est une blague?

ce gars là est une insulte à la pensée humaine...
"Si les singes savaient s'ennuyer ils pourraient devenir des hommes." (Goëthe)
l
30 janvier 2006 23:16
Citation
bulle a écrit:
bhl un philosophe? c'est une blague?

ce gars là est une insulte à la pensée humaine...

Si j'ai mis des guillemets en disant "l'éminent philosophe........" c'est pour qu'il n'y ait aucune ambiguïté concernant mon opinion vis à vis de ce personnage, plus apte à jouer avec ses cheveux qu'avec une certaine subtilité intellectuelle.
[color=#FF0000]il y'a bien des laideurs qui ne se voient pas!!!!!!!! [/color]
b
30 janvier 2006 23:20
la remarque ne s'adressait pas à toi voyons smiling smiley.

je ne me serais pas permise...


ce sont les médias français qui le présentent de la sorte, c'est pour cela que j'ai repris tes dires. mais j'ai bien vu les guillemets winking smiley
"Si les singes savaient s'ennuyer ils pourraient devenir des hommes." (Goëthe)
T
30 janvier 2006 23:46
Salam
BHL, un philosphe raté, un pseudo révolté, un hippie à la manque.
Il essaye de jouer partout son meilleur rôle.
Et ses tours dérisoires.
C'est un clown qui ne m'amuse pas.
Et pourtant, j'aime rire.
Tangea.
T
31 janvier 2006 00:08
Salam.
Un peu de pain, un peu d'eau fraiche, l'ombre d'un arbre et tes yeux.
Aucun sultan n'est plus heureux que moi.
Aucun mendiant n'est plus pauvre.
Omar ibn Ibrahim el Khayyam.
Ca c'est des philosophes.
Vous en connaissez d'autres?
Tangea...
a
31 janvier 2006 13:02
BHL pris de vertige américain
Quand on est grillé chez soi, rien ne vaut d'aller voir ailleurs pour s'y refaire une virginité et rentrer au pays en vainqueur. Il y a un peu de cela dans la démarche de Bernard-Henri Lévy, lequel n'est pas vraiment ressorti à son avantage de la pluie de biographies qui s'est abattue sur lui en France ces deux dernières années. Le Tocqueville de La Démocratie en Amérique ayant urgemment besoin qu'un héritier et compatriote digne de lui mît ses pas dans ses traces, Lévy s'est présenté à la douane. Il faut dire qu'il y avait été fortement encouragé par l'accueil précédemment réservé à son enquête sur Daniel Pearl par les médias américains les moins regardants. Une icône était née : le philosophe médiatique français. Lorsqu'ils découvrirent que de surcroit, celui-là ne maudissait pas l'Amérique et que, tout au contraire, il se disait prêt à faire la guerre à l'anti-américanisme, on lança de vibrants allelujah.

Bref, son reportage sur l'Amérique de Bush parût dans un premier temps dans les colonnes de The Atlantic Monthly qui le lui avait commandé, puis ces jours-ci en librairie par les soins du groupe Random House et en mars en français chez Grasset. Il est intéressant de voir comment se met en branle la machine de promotion, là-bas comme ici, mais à l'échelle américaine, pour un intellectuel français -le premier semble-t-il à bénéficier d'un tel traitement. Le correspondant new yorkais des Echos Nicolas Madelaine peut à bon droit évoquer "une campagne de marketing choc" à propos de son traitement par les éditions Random House, de la même ampleur que celui réservé d'ordinaire à des Salman Rushdie et Norman Mailer. Le marketing en question va plus loin qu'un très gros budget réservé à la publicité, à la mise en place, à la distribution et surtout au Grand Tour des librairies de ce pays-continent, d'autant plus remarquable chez auteur qui se flatte de snober leurs équivalents français à commencer par le Salon du Livre de Paris. Random House, qui a eu accès aux courriels de réactions des premiers lecteurs du livre testés par la prépublication dans The Atlantic Monthly, les a fait analyser et s'en est servi pour y adapter son marketing.

Si l'on en croit le correspondant du Figaro, les débats font salle comble, BHL est le héros de la pensée que l'Amérique s'arrache, c'est à dire pour l'instant les milieux people de la politique, du milieu littéraire et du petit monde universitaire de New York et de Washington. Plus décolleté que jamais malgré le grand froid, il déclenche des tonnerres d'applaudissements en réclamant devant des parterres démocrates "la destitution de George Bush par les forces démocratiques", ce qui ne manque pas d'audace effectivement. Parfois le show tourne au match lorsqu'on lui oppose un adversaire de poids tel que la tête pensante des néoconservateurs Irving Kristol, ainsi que le souligne Corine Lesnes dans Le Monde.

Encore le reporter du Figaro concède-t-il tout de même que son American Vertigo est "diversement reçu par les critiques américaines". Dans le langage Quai d'Orsay, on appelle cela "un accueil contrasté". Nous ignorons à l'heure où nous mettons sous presse les réactions du Lakeville Sentinel et du Greenfield Inquirer qui ne manqueront certainement pas de s'inquiéter de l'imminence de l'événement. Mais nous savons déjà par Corine Lesnes que le Los Angeles Times s'étonne de ce qu'au cours de son périple, notre philosophe faisant pipi sur le bord de la route ait pu échapper à une lourde condamnation pour exhibitionnisme car le flic qui l'avait arrêté était un lecteur de Tocqueville... Mais ceux qui se sont déjà exprimés ne manquent pas d'intérêt, même s'ils ne semblent guère s'être aperçus que parti tel un sous-Tocqueville pour écrire un néo-De la Démocratie en Amérique, BHL est arrivé de son propre aveu en Bernard-Henri Barthes produisant finalement des Mythologies made in USA. C'est d'autant plus piquant que le nom de Tocqueville figure en sous-titre sur la couverture et que dès l'incipit, l'auteur déplore la méconnaissance et l'indifférence des Français pour le grand homme.

New York magazine, sous la signature de Carl Swanson, publie un papier intitulé American psychoanalyst (merci Bret Easton Ellis !) dans lequel l'intellectuel est ridiculisé en rockstar pas vraiment animé par la haine de soi, dandy baudelairien marié à une belle extra-terrestre, parcourant les Etats-Unis dans une voiture avec chauffeur -ce que BHL justifie par son absence de permis ("une infirmité"winking smiley sans songer que celui qui prétend vouloir connaître un pays ferait mieux de s'en remettre d'abord à ses deux pieds et aux transports en commun (pas besoin de permis pour ça). Le critique note que BHL a réussi à regarder Sharon Stone dans les yeux tandis que qu'elle décroisait les jambes, et à trouver une chef Indien qui fut antisémite. Bref, l'explorateur a passé du bon temps en Amérique :"Aussi bon qu'un week-end à l'hôtel du Cap" reconnaît BHL.

Le New York Times, lui, a consacré a ouvert son supplément littéraire avec le livre. C'est la seule chose positive que l'éditeur et l'auteur peuvent en retenir. Car pour le reste, c'est une exécution en règle mais, comme le précédent, sur le mode de l'humour et de la dérision. Comme si l'un et l'autre avaient du mal à prendre BHL au sérieux, en quoi ces médias souffriraient d'un tropisme bien français, ceux dont on ne saurait les blâmer. Garrison Keillor l'évoque d'emblée d'un ton moqueur comme un penseur à paillettes, une sorte d'illusionniste qui a fait de ses notes de voyage "a sort of book". Il a lu ces 300 pages à la loupe et outre, qu'il n'a reconnu personne, en a conclu que dans l'Amérique de BHL personne ne rit jamais, il n'y a que des obèses, nul ne travaille vraiment. Un livre pour les Français dont il se demande bien pourquoi il a été traduit en anglais. "Comme toujours avec les écrivains français, Lévy est un peu court sur les faits, et plutôt long dans ses conclusions" écrit-il, avant de conclure un papier drôle et argumenté :" Merci d'être venu. Faites attention à la porte en partant. Dans votre prochain livre, parlez-nous des émeutes de banlieue en France. Qu'est-ce qui s'est passé au juste? Des gros étaient-ils impliqués dans les événements ?"

A les lire, The American vertigo n'est qu'une enfilade de lieux communs. Guettons les autres réactions au fur et à mesure de la tournée. On saura dans moins de deux mois si les échos flatteurs, car dûment sélectionnés, d'une coûteuse campagne de promotion au lointain suffiront à transmettre le vertige américain au public français.

source: lemonde (blogs)
"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
I
31 janvier 2006 13:09
Un milliardaire bourré plus qu aux as,rien de plus!

cela ne m etonnerait pas qu un jour on découvre qu en fait il n a rien écrit ni rien

philosopher,utilisant comme biens d autres un "négre".

vous verrez,vous verrez.....
l
31 janvier 2006 17:27
Merci rifton75 pour l'éclairage plus étayer à ce sujet, je rajouterai que ce n'est ni par hostilité ni par haine primaire vis à vis de ces soit disant intelos "brillant" que je porte ma reflexion, mais comme on le constate souvent par la place qui leur est accordé alors que souvent ils ne parlent que pour exprimer une haine ou penser dans le vide.
On laisse des tribunes libres pour BHL afin qu'il nous donne des leçons sur tout et n'importe quoi, tantôt sur l 'Afganistan un autre jour sur la géopolitique mondiale bref sut tout et rien
Un Finkielkraut que le seul courage et de faire quelques milliers de KMs pour laisser sortir sa haine -dans un journal israélien- vers les noirs les arabes et les musulmans en faisant l'amalgames entre un phénomène sociétal et une révolution islamique dans les banlieues, stigmatisant un peu plus tout ce qui s'approche de loin ou de près d'un conflit qui lui tient à coeur et qui s'est fait mouché par Edwil Plenel -l'ex directeur du monde- dernièrement dans l'émission de la 3 "culture et dépendances" la semaine dérnière.
Un Houellbecq qui n'a de cesse de tomber dans le culte de sa personnalité quitte à vomir des insanités sur l'islam et les musulman tel un chacal opportuniste qui vole un jour d'orage une carcasse nauséabonde laissé par quelques loups rassasiés.
L'autre baveux de Klarsfeld qui se glorifie de vouloir repenser et réécrire l'histoire coloniale alors qu'il est encore boutonneux, à le voir s'amuser avec une arme fournie par tshahal et dont le jeux préféré c'était d'humilier quelques femmes et vieillards et qui voit du nazisme dans chaque coin de rue.
Voilà ce qu'on appelle l'élite intellectuelle en France, je me pose la question si un jour nos élite commencent à cracher leur venin sur le christianisme ou le judaïsme, leur gloire ne serait pas une mise en quarantaine advitam eternam?.
[color=#FF0000]il y'a bien des laideurs qui ne se voient pas!!!!!!!! [/color]
a
31 janvier 2006 18:31
effectivement elwajdi , BHL fait des sortes de voeux dans ses "tribunes libres"notament son "bloc note" dans la revue le POINT , , il commente tout , il encense ses amis ,pour ses ennemis il enjoint aux plateaux de télés de ne plus les accueullir (ramadan ,dieudonné..), c le dieu tout puissant tel un gourou avec ses disciples qui veillent a ce que les desirs du maitre soient exaucees , et tout le monde s'execute , normal quand on a dans son reseau d'amis , Lagardere puissant patron de plusieurs medias , francois pinaut et meme les politiques de sarkozy jusqu a DSK , les journalistes n'en parlons pas , tous lui lechent les bottes , ardisson , geisbert ,karl zero , le journal marianne , michel drucker ou encore alain minc et tahar benjelloun .
ce philosophe (inconnu des philosophes) dixit serge halimi , touche a tout ,il fait tout cinema , reportages , journalisme , ecriture ..etc... mais il ne reussit rien .



Modifié 1 fois. Dernière modification le 31/01/06 20:15 par rifton75.
"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
T
31 janvier 2006 20:40
Salam
Si vous rencontrez Tahar Benjelloun, dites lui de me rendre mon stylo.
Je ne sais pas comment ils fonts ces écrivains, assis dans des cafés de Tanger en ce qui me concerne et dans d'autres endroits sans papiers ni crayons,par contre ne me dites pas de mal sur Mohammed Choukri, c'était un pôte.Négresco.
Et si vous voulez revenir à Khayyam et d'autres vrais philosophes, je veux bien aussi.
Tangea...
l
31 janvier 2006 21:04
Encore Ben jelloun n'est qu'un romancier avec son style et sa façon de relater son enfance qui au demeurant nous rappelle notre pays plus au moins avec nostalgie, de tout les livres que je lui ai lu, aucun sujet politique ne fut aborder à part le racisme, qu'il copine avec BHL c'est son problème, ceçi n'enléve rien à son talent d'écrivain.
Pour finir ceux qui sont intéressés ce soir dans vol de nuit chez PPDA il va y avoir un sujet sur le livre de BHL, j'espére je ne serai pas en train de rouppiller.
[color=#FF0000]il y'a bien des laideurs qui ne se voient pas!!!!!!!! [/color]
b
31 janvier 2006 21:20
choukri était un écrivain audacieux (entre autres).

ben jelloun est un faux-semblant (malgré ses qualités littéraires, c'est vrai...)
I
31 janvier 2006 21:24
Citation
lwajdi a écrit:
vol de nuit chez PPDA il va y avoir un sujet sur le livre de BHL.





Merci de me prevenir je ne zapperai pas de ce coté là!
l
31 janvier 2006 21:31
Citation
Iron-man a écrit:
Citation
lwajdi a écrit:
vol de nuit chez PPDA il va y avoir un sujet sur le livre de BHL.





Merci de me prevenir je ne zapperai pas de ce coté là!

Tu sais iron-man le meilleur moyen de connaitre son "ennemi" c'est tendre l'oreille pour savoir ce qu'il disent, si tu ne sait pas écouter ces gens tu ne saura jamais le fond de leurs pensées, ce n'est qu'un avis.
[color=#FF0000]il y'a bien des laideurs qui ne se voient pas!!!!!!!! [/color]
b
31 janvier 2006 21:39
Citation
lwajdi a écrit:
Citation
Iron-man a écrit:
Citation
lwajdi a écrit:
vol de nuit chez PPDA il va y avoir un sujet sur le livre de BHL.





Merci de me prevenir je ne zapperai pas de ce coté là!

Tu sais iron-man le meilleur moyen de connaitre son "ennemi" c'est tendre l'oreille pour savoir ce qu'il disent, si tu ne sait pas écouter ces gens tu ne saura jamais le fond de leurs pensées, ce n'est qu'un avis.



écouter les idioties d'un bhl? lol lwajdi.

il ne sait ni écrire, ni philosopher comme cela a été dit plus haut, mais il ne sait également pas penser.

ses propos sont un ramassis de banalités... je me demande comment il fait pour être encore crédible.

bhl est un idiot, c'est un guignol. la seule chose qui l'a mené là où il est, c'est justement sa c.o.n.n.e.r.i.e, et sa simplicité d'esprit


bhl benêt!!!! bhl benêt!!!! lol grinning smiley
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