Culture, Histoire et régions du Maroc

Yabiladi

Annonces

Général

Actualité du Maroc et du Monde

Voyages & vacances

Culture, Histoire et régions du Maroc

Aide, astuces & bons plans

Formalités administratives & aide juridique

Sports

Halka : Blagues, poèmes, jeux, détente

Yabiladies

Mariage et administration

Organisation mariage # Maroc

Organisation mariage # International

Relations sentimentales

Problèmes de couple

Relations familiales et sociales

En attendant bébé...

Bébés, enfants, et éducation

Mode & beauté

Santé, psychologie & diététique

Ch'hiwates : Cuisine & gastronomie

Islam

Apprendre l'islam : prière, dou3a, hadith...

Islam & pensées religieuses

Ramadan 2024

Interprétation des rêves, roqya, djinn

MediaTIC

Informatique, téléphonie & multimédia

TV, Ciné, musique, people

International

Foro de Marruecos y de Marroquíes

Morocco # English board

منتدى المغرب و المغاربة حول العالم

oui aussi connu par l'eau mais mnt il nèya que la sechresse

Bonjour à tous,

Est-ce qu'il y quelqu'un de Beni-Zeroual qui pourra nous donner des détails sur :
1) Ain Soufa ou Souf
2) Jorf Al Bahmout
3) Kahf 3arouss?

TA7iyyati.......

pr kaf 3rouss kayn fsidi lmoukhfi saknino jnon ala makaykolo okaychjriw lham bzaf mn souk dial lakhmiss had chi li 3arf ana ala kaf 3rouss

Citation
ourtzagh a écrit:
pour el bassri , j'étais pas sûr , je sais qu'il est natif de settat , mais quelqu'un m'as dit que ses origines sont de houwarra , province de taounate,pour moi c'est plutôt un honneur qu'il ne vient pas de la même région que moi.
sinon ce n'est pas grave!je suis même content que tu défends jebala et comme tu dis inchallah nous entamerons le parcour ensemble

En parlant de Driss Basri, voici un article de MHI 557 qui parle de sa mort en août 2007:
Par Abdellatif Mansour du journal MHI

Driss Basri est mort. Retour sur la vie et la carrière d’un homme qui a marqué pendant un quart de siècle l'une des périodes les plus mouvementées du Maroc indépendant.

Le dernier vizir

Driss Basri aura été un monstre politique jusqu'au bout. Pour la circonstance, on ne prendra que le sens métaphorique du vocable. La tradition islamique ne nous commande-t-elle pas de n'évoquer les morts qu'en bien. Humainement, son épouse, ses enfants et ses proches ont droit à une quarantaine de répit religieux. C'est notre culture. Nous y sommes avec Driss Basri plus qu'avec quiconque d'autre. Une pause que lui-même ne s'est pas accordée. Il a été l'acteur politique tonitruant jusqu'à son dernier souffle, omniprésent même dans son absence physique sur le territoire national. Son décès et ses funérailles ont pris une signification politique post-mortem, à son corps mortuaire défendant. En pleine période estivale, la nouvelle tombe. Driss Basri est mort le 27 août 2007 dans un hôpital parisien.
L'annonce est faite par une dépêche laconique de la MAP. Sur le moment, on est plutôt surpris par l'économie d'effort de l'agence officielle d'information par rapport à un personnage qui a marqué pendant un quart de siècle l'une des périodes les plus mouvementées du Maroc indépendant. Sans être un mordu de la chose politique, on aura compris que le passage de vie à trépas de Driss Basri pose problème, tout comme, toute sa vie, il aura posé problème.
C'était un 9 novembre 1999, Driss Basri est officiellement déchargé de ses fonctions de ministre d'État à l'Intérieur. On n'avait pas encore bouclé le premier semestre de l'intronisation de SM Mohammed VI que l'homme fort sous le long règne de Hassan II a été promptement débarqué. Si ce n'était pas un limogeage, cela lui ressemblait beaucoup. On imaginait à peine un Maroc gouvernable et, surtout, sécurisable sans Driss Basri. Certains obligés de l'ancien super ministre à qui ils devaient leurs carrières et leurs fortunes en sont arrivés à se demander s'il y avait une vie après que Driss Basri se soit dessaisi des affaires publiques.
La page était tournée.
Une époque était révolue. Driss Basri lui-même avait-il pris la mesure des temps nouveaux qui annonçaient un renouvellement du personnel de la proximité royale? Rien n'est moins sûr. L'ex-homme tout puissant sous Hassan II ne s'est jamais remis de son éloignement des dorures du palais royal. Il ne pouvait s'imaginer une autre forme d'existence.

Les funérailles de Driss Basri, le mercredi 29 août 2007, à Rabat.

Il se croyait possesseur d'une longévité de carrière qui n'avait de limite que son espérance de vie. C'était le sentiment qui l'envahissait dans la matinée du jeudi 10 juillet 2003 lorsqu'il prenait l'avion à l'aéroport de Rabat-Salé pour Paris, où il devait subir un suivi médical aussi régulier que précautionneux. Malgré les apparences et la force indéniable de caractère, le tout Maroc politique savait que Driss Basri était rongé par un mal inexorable. Le général Moulay Driss Archane, ancien médecin particulier de Hassan II, avait, en effet, diagnostiqué chez Driss Basri la présence d'une hépatite C qui n'a cessé d'évoluer vers une chronicité régulière pour muer en cirrhose de foie dite hépatocarcinome. C'est pour cette raison qu'il a été hospitalisé à plusieurs reprises, au service du professeur Henri Bismuth, praticien hospitalier à l'hôpital Paul Brousse, à Villejuif, en banlieue parisienne. On ne peut donc pas dire que Driss Basri n'a pas été entre de bonnes mains durant sa lutte désespérée contre la maladie. Dans ce groupement hospitalier universitaire, Driss Basri était en attente d'une greffe totale ou partielle du foie.
Le greffon a tardé à venir et l'état de santé de Driss Basri s'est progressivement détérioré. Les clichés disponibles de l'ex-vizir flamboyant ne montraient plus qu'un sexagénaire affaibli, le teint jaunâtre, le visage ponctué de couperose, les jambes fluettes et le ventre bedonnant. L'homme de tous les pouvoirs a manifestement perdu de sa superbe d'hier et de sa prestance de toujours.

Driss Basri et HassanII.

Driss Basri a bénéficié par décision personnelle de SM Mohammed VI d'une prise en charge totale pour une transplantation d'organe. Le Palais royal, en la personne de Mounir El Majidi, signera de nouveaux certificats de prise en charge à chaque hospitalisation.
Suite ...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 20/09/07 08:46 par N7abb-bladi.

Suite Décès de Basri...Journal MHI

Cette sollicitude royale en a surpris plus d'un et pour plus d'une raison. Quoi qu'il en soit, il restait à savoir si Driss Basri allait prendre sa maladie avec le stoïcisme des gens pieux. Au début, il a tenté de faire face à sa disgrâce avec une certaine retenue. Mais plus le temps passait, plus l'homme devenait aigri, hargneux et vindicatif, allant jusqu'à vouloir faire passer son séjour médical pour un exil politique.
Depuis Paris, Driss Basri a multiplié les déclarations aux médias étrangers et à certaines publications nationales. Tout y passe, la question du Sahara, la responsabilité de l'armée à propos de Tazmamart, le mode de gouvernance depuis l'avènement du Roi Mohammed VI, l'entourage du Souverain. De temps à autre, Driss Basri évoque son intention d'écrire ses mémoires. Un projet qu'il agite comme une menace et qui intéresse au plus haut point les éditeurs, les rédactions et le microcosme politique de Paris, de Madrid et de Rabat. Le dernier vizir des temps modernes vit mal son éloignement. Le pays lui manque, particulièrement la Chaouia, où il a passé l'essentiel de ses 69 ans d'existence.
L'attitude d'un homme persuadé d'être victime d'un complot sournois et d'une traque géante, consumé par le mépris et un trop plein d'orgueil se répercutera sur le déroulement de ses funérailles. Le mercredi 29 août 2007, le cercueil de Driss Basri est rapatrié au Maroc. En pointillés, certes, mais ce fut quand même l'événement qui a fait passer au second plan une campagne électorale déjà suffisamment fraîche. Un dernier pied de nez de l'ancien premier flic du Royaume qui a si longtemps régné sur les scrutins électoraux. À part une annonce furtive sans images, la télévision marocaine a choisi d'ignorer les funérailles de Driss Basri.
Signe fort des temps nouveaux sans lui. Lui sur qui s'ouvraient systématiquement les journaux télévisés à l'exception, toutefois, des discours royaux. Driss Basri aurait voulu être enterré au cimetière des Mnasra, à 6 km de Settat sur la route de Marrakech, près de ses parents qui y reposent. Sa volonté ne sera pas respectée. Alors que les préparatifs battaient leur plein à Settat, des ordres sont venus d'en haut pour que Driss Basri soit inhumé au cimetière Chouhada, à Rabat. L'ex-épicentre du pouvoir central n'aura droit qu'à des funérailles strictement administratives, avec la présence d'un seul membre du gouvernement, Chakib Benmoussa, l'un des successeurs de Driss Basri au ministère de l'Intérieur. À titre de consolation symbolique, les frais des funérailles et des cérémonies religieuses ont été, eux aussi, couverts par le Palais royal.
Un ultime adieu, plutôt mitigé, en tout cas d'une froideur cadavérique, à un fidèle parmi les fidèles serviteurs du Trône alaouite. Bien que la personnalité de Driss Basri fasse exception, il faut croire que le makhzen n'a jamais eu “les mots pour le dire” quand il s'agissait de se séparer de ceux qui l'ont farouchement servi. Depuis que les affaires de malversations touchant les deniers publics ont éclaté, le patronyme de Driss Basri est devenu une sorte d'enseigne générique qui couvre plusieurs dossiers et plusieurs noms. Son fils Hicham n'a pas échappé à cette saga judiciaire. Son nom a été régulièrement cité par la presse aux côtés de Abdelaziz Laâfora, de Abdelmoughit Slimani et, surtout, de Abderrahim Qanir.
La présence même de Hicham Basri aux funérailles de son père est devenue un sujet de prédilection et de supputations à longueur de colonnes des quotidiens nationaux. Viendra, viendra pas? Il est finalement venu après que sa mère, Fatiha Slimani, ait obtenu des assurances suffisantes pour qu'aucune procédure judiciaire n'entrave le retour à sa navette Paris-New York. Ainsi, le commerce du pouvoir, dans ses aspects les plus sulfureux, aura poursuivi Driss Basri jusqu'à sa mise en terre.

Vous pouvez lire aussi au autre article du journal LE REPORTER en cliquant sur ce lien:

[www.lereporter.ma]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 20/09/07 08:56 par N7abb-bladi.

Citation
N7abb-bladi a écrit:
Bonjour à tous,

Est-ce qu'il y quelqu'un de Beni-Zeroual qui pourra nous donner des détails sur :
1) Ain Soufa ou Souf
2) Jorf Al Bahmout
3) Kahf 3arouss?

TA7iyyati.......

qui aurait des détails sur ces 3 lieux qui sont très intéressant au niveau archéologique vu les écrits européens?

Vive ain barda!!! l3ayn al 7bayeb

oui l3ayn sa3a kharjo aliha mskhit lwalidine mabka walo flblad mskina

enfin voici un site qui parle de jbel oudka avec detail, surtout du douar lamcha3 avec photos et videos aussi que traditions.

bonne visite sur: www.mdadna.c.la

Citation
mchaa6 a écrit:
JE VOUDRAIS BIEN AVOIR CONNAISSANCE AVEC DES GENTS DE CETTE REGION ....AUSSI QISCUTER TOUT CE QUI LA CONSERNE...NATURE TRADITION CULTURE VIE RURALE....MERCI

Photos ajoutées sur panoramio, en les consultant vous augmentez leur
cote de popularité et seront visible sur tout le Google Maps et Earth de
partout dans le monde.N'oubliez pas de voter et de laisser un commentaire
si c'est possible.
Merci pour votre contribution

[www.panoramio.com]
[www.panoramio.com]
[www.panoramio.com]
[www.panoramio.com]
[www.panoramio.com]
[www.panoramio.com]
[www.panoramio.com]
_________________

OURTZAGH,Café,BENTAHRA,EX:REPOS du Chasseur.COté Ghafsai,il y a oued AWLAY,lieu cité,dans les écrits coloniaux pour une bataaille digne d'un film Holiwodien.Ghafsai administratif,en bas,souk de la semaine HAD, au de la rivière,à gauche wlad Salah ,vers Boubane(SOUK Lundi) puis à droite direction RATBA(Souk Samedi,Bni MAJRO) en laissant à droite Jbel OUDKA,conne par sa grotte.Cé la frontière entre bni zerwal et Bni Melloul,Yar Melloul,Kalaa BNI KACEM?et cette route(non praticable mène d'un coté jusqu'à CHEFCHAWEN,et de l'autre coté à Tawnate par SIDI EL MEKHFI.toute la région est connue par ses Oliviers et ses Figuiers et ses OUlamas .....

Du nouveau pour Mchaa et Oudka sur google <--- Cliquez

SALUT TOUT LE MONDE !!

Je suis Jeblia de Rhafsai et plus precisement mon JBEL C OUDKA!!

Ya t-il des gens qui viennent du meme coin??

BYE!!!
SORAYA[/color]

salut,

Moi j ai etudié à Rhafsay. Je suis pas de cette region mais j ai obtenu le chahada (ecole primaire) à ourzagh en 1980 puis priemière année au lycée a rafsay puis on a quité la region, j ai passé de bon moment à ourzagh et a rhafsay. Quelqu un connait tchah à ourzagh? Mes amie de ourzagh etaient Adadi Abelkader, laoudiwi aziz, Tchah Abdelillah, Ben Fares hicham; Momunir Rahmouni.....

salut

Salam soraya 84

je suis également de rhafsai ,originaire de France mais j'y viens chaque été tu es des France ?

Bonjour svp est ce qu'il ya un hôtel ou une maison d'hôte a ghafsai merci