Tout le monde rêve Dans cette vie. C’est un droit Aussi, c’est permis. Moi les miens, Je vais tous vous raconter. Sûr vous serez dedans, Où même a cote. Je me voyais déjà, Comme a dis aznavour. Réussir dans plusieurs Parcours. Dans celui du sport ; Vers mes 15 ans. Je me voyais déjà Sculpter mon corps, Devenir athlète De 3000 mètres. Battre des records ; Heureux ; je décrocherais L’olympiade, la médaille d’or. Mais hélas ; j’étais blessé, J’avais ni moyens pour Courir, ni pour progresser. C’est la vie ces désirs ; Je remercie dieu ; J’ai évité le pire. Mais l’histoire continue, Les rêves aussi ; Je n’ai pas de soucis. A l’age de mes 20 ans, Je me voyais déjà Boxeur ; J’avais du penche, Des directes la destruction Massives. J’étais encaisseur. Tous mes matches, Je me voyais réussir, En directe, de las végas, De Mémphis. Au tapis, j’envoyais Mes adversaires a six. Mais hélas, c’est lavie Ces désirs. J’avais ni gants, Ni sac, ni poire. Il ne faut pas que Le bon vouloir, Pour faire un boxeur, Et d’y croire. Alors ; j’esquivais, Dans un autre rêve Je plongeais. D’être cinéaste, d’être acteur. De travailler, lutter Militer avec cœur. Avoir une chaise, J’aurais mon nom sur, C est métier simple et dur. Avoir Un plateau de tournage, Etre patron ; être a l’aise. C’est l’un des rêves ; Qui m’apaises. Mais hélas c’est la vie Ces désirs. Il ne suffit pas de rêver ; Pour tourner un film. Le développer le sortir. J’avais ni plateaux ; Ni caméras ; ni acteurs A ma disposition. Ni argent pour passer a l’action.
Je me voyais déjà aussi ; Graver les sommets ; Raser les nuages. Devenir guide montagnes ; Faire de pédestre, Sentir l’air pur. Admirer le paysage ; J’aime bien ; je serais bon Je partirais loin. Mais hélas c’est la vie Ces désirs et souffrances ; Je ne sais pas pourquoi … ? J’ai passé les testes ; Excellent, je crois …. ! L’oral, l’écris. Tout le monde, Reconnaissez ma voix. J’avais les bonnes réponses. J’ai bien transpiré, Dans l’endurance ; J’ai bien couru, J’avais la cadence.
Les jours se suivaient Les rêves se succédaient Sans jamais se suicidaient. Un jour Je me voyais ; Déjà professeur, Travailler ; inculquer Le savoir ; sécher Les larmes de mes enfants ; Les éblouir ; les forger De mon expérience De mes rêves. Tous pour eux donner ; Tous leurs traduire. Mais hélas encore J’étais de moi même victime De mes bêtises de mon manque D’estime. De mes noirs désirs, Je zappée mes cours, Nulle part pour partir Dans un café voisin ; De ma faculté de mon destin. J’étais comme même bon ; L’analyse ; la littérature Dans ma bouche fondaient, Ces des bonbons.
Ces des rêves ; parmi d’autres Qui me sortaient de mon Monde Triste, ambiguë. C’est un remède ; Pour m’épanouir, Fleurir ma vie me réjouir. La parfumé en rose ; C’est mes rêves Qui s’imposent. Pleins de désirs et d’espoir. La vie c’est leurs tombe Parfois. Entre les larmes et cris de joie. Les rêves ces des vagues d’océans. Qui s’écrasent contre les rochers De désespoir et se noient Dans l’ironie et le néant. C’est encore une fois ; La vie ; la triste vérité Vulgaire casse tête et amère. Leurs assommoirs ; Gervaise et lancier ces zéros ; Leurs sacres ; leurs petits numéros.
Alors ; un autre rêve dont Je me vois maintenant, C’est possible j’y crois, Bâtir un nid appeler Ma chardonnette. Pour chanter l’hymne a l’amour Celui de piaf pas d’Aznavour.