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ahlem75 a écrit:
26-03-2013 15:48 - Parti combattre en Syrie au nom de l’Islam : Les révélations du djihadiste tunisien Abou Kousay
Parti combattre en Syrie au nom de l’Islam : Les révélations du djihadiste tunisien Abou Kousay
Le djihadiste tunisien Abou Kousay, parti combattre en Syrie au nom de l’islam, est rentré au pays. Il s’est exprimé, lors d’une interview accordée au journal arabophone tunisien Assarih, sur son aventure dans ce pays rongé par la guerre civile et le rôle des Tunisiens dans cette guerre.
Abou Koussay révèle que 2 000 jeunes Tunisiens, travailleurs et chômeurs, jeunes et adultes, combattent, actuellement, en Syrie avec les rebelles islamistes. Il avoue, dans la foulée, que 13 jeunes filles Tunisiennes ont rejoint la Syrie où elles s’y trouvent actuellement dans le but de faire le “djihad de nikah” qui consiste à satisfaire aux désirs sexuels des combattants de l’opposition.
Celle qui les supervise n’est autre qu’une danseuse de la chaîne Ghinwa portant le nom d’Oum Jaafar. Abou Kousay indique qu’il y a une ligne directe pour envoyer les djihadistes à partir de la Libye. Ensuite, ils rejoignent les combattants syriens via la Turquie.
C’est un voyage qu’Abou Kousay regrette, du fait d’avoir découvert les Tunisiens maltraités et exploités pour renverser le régime syrien. C’est ce qui a poussé Abou Kousay tunisien à s’échapper de ce calvaire et rentrer au pays. C’est un témoignage qui doit être pris en considération par ceux qui prêchent l’unité entre les pays arabo-musulmans, et ceux qui croient à leurs fatwas, en vue de justifier la participation des combattants étrangers dans des guerres civiles.
En fait, on remarque que même si les combattants multinationaux de l’opposition, qui se dit syrienne, sont réunis par un sentiment de nationalisme sunnite et anti-chiite, il semble que le sentiment de l’appartenance à une patrie est toujours présent dans leurs esprits, aux moins dans les esprits des combattants syriens et orientaux qui se méfient de leurs “frères” maghrébins.
Ali Karbousi, un journaliste tunisien, qui était en Syrie, avait déclaré, il y a quelques semaines que les cadavres des combattants non syriens, notamment des combattants libyens et tunisiens, sont souvent brûlés. Il donne l’exemple d’un incident qui a eu lieu à Homs, où 140 Tunisiens et Libyens ont été brûlés vifs, et ensuite, ils ont été représentés, dans les médias, comme des civils tués par le régime syrien.
“Les Tunisiens sont de la chair à canon”, a-t-il avoué à la chaîne Al-Watanya. Les blessés tunisiens et libyens ne sont pas soignés, et parfois ils sont tués pour que le régime ne les prenne pas en otages. Ce témoignage a été confirmé par un combattant libyen qui s’est échappé de la guerre civile syrienne. Le djihadiste libyen a précisé que l'exploitation des guerriers libyens et tunisiens, ainsi que les scènes traumatisantes des viols et des “brûlés vifs” sont derrière sa “démission” de son devoir djihadiste.
Des radios tunisiennes ont affirmé que le djihadiste handicapé, Hamza Ben Rejab, est rentré en Tunisie, traumatisé par ce qu’il a vu en Syrie. Hamza Ben Rejab croyait aller à la terre du djihad. Mais, comme d’autres combattants tunisiens et maghrébins, il a rencontré une réalité différente. D’autre part, Al-Qaïda au Maghreb islamique semble être consciente de la situation. Le mouvement a appelé, dans un communiqué, au djihad dans les pays du Maghreb contre la France et les laïcs.
Par : Imed O
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Rastapopûlos II a écrit:Citation
ahlem75 a écrit:
26-03-2013 15:48 - Parti combattre en Syrie au nom de l’Islam : Les révélations du djihadiste tunisien Abou Kousay
Parti combattre en Syrie au nom de l’Islam : Les révélations du djihadiste tunisien Abou Kousay
Le djihadiste tunisien Abou Kousay, parti combattre en Syrie au nom de l’islam, est rentré au pays. Il s’est exprimé, lors d’une interview accordée au journal arabophone tunisien Assarih, sur son aventure dans ce pays rongé par la guerre civile et le rôle des Tunisiens dans cette guerre.
Abou Koussay révèle que 2 000 jeunes Tunisiens, travailleurs et chômeurs, jeunes et adultes, combattent, actuellement, en Syrie avec les rebelles islamistes. Il avoue, dans la foulée, que 13 jeunes filles Tunisiennes ont rejoint la Syrie où elles s’y trouvent actuellement dans le but de faire le “djihad de nikah” qui consiste à satisfaire aux désirs sexuels des combattants de l’opposition.
Celle qui les supervise n’est autre qu’une danseuse de la chaîne Ghinwa portant le nom d’Oum Jaafar. Abou Kousay indique qu’il y a une ligne directe pour envoyer les djihadistes à partir de la Libye. Ensuite, ils rejoignent les combattants syriens via la Turquie.
C’est un voyage qu’Abou Kousay regrette, du fait d’avoir découvert les Tunisiens maltraités et exploités pour renverser le régime syrien. C’est ce qui a poussé Abou Kousay tunisien à s’échapper de ce calvaire et rentrer au pays. C’est un témoignage qui doit être pris en considération par ceux qui prêchent l’unité entre les pays arabo-musulmans, et ceux qui croient à leurs fatwas, en vue de justifier la participation des combattants étrangers dans des guerres civiles.
En fait, on remarque que même si les combattants multinationaux de l’opposition, qui se dit syrienne, sont réunis par un sentiment de nationalisme sunnite et anti-chiite, il semble que le sentiment de l’appartenance à une patrie est toujours présent dans leurs esprits, aux moins dans les esprits des combattants syriens et orientaux qui se méfient de leurs “frères” maghrébins.
Ali Karbousi, un journaliste tunisien, qui était en Syrie, avait déclaré, il y a quelques semaines que les cadavres des combattants non syriens, notamment des combattants libyens et tunisiens, sont souvent brûlés. Il donne l’exemple d’un incident qui a eu lieu à Homs, où 140 Tunisiens et Libyens ont été brûlés vifs, et ensuite, ils ont été représentés, dans les médias, comme des civils tués par le régime syrien.
“Les Tunisiens sont de la chair à canon”, a-t-il avoué à la chaîne Al-Watanya. Les blessés tunisiens et libyens ne sont pas soignés, et parfois ils sont tués pour que le régime ne les prenne pas en otages. Ce témoignage a été confirmé par un combattant libyen qui s’est échappé de la guerre civile syrienne. Le djihadiste libyen a précisé que l'exploitation des guerriers libyens et tunisiens, ainsi que les scènes traumatisantes des viols et des “brûlés vifs” sont derrière sa “démission” de son devoir djihadiste.
Des radios tunisiennes ont affirmé que le djihadiste handicapé, Hamza Ben Rejab, est rentré en Tunisie, traumatisé par ce qu’il a vu en Syrie. Hamza Ben Rejab croyait aller à la terre du djihad. Mais, comme d’autres combattants tunisiens et maghrébins, il a rencontré une réalité différente. D’autre part, Al-Qaïda au Maghreb islamique semble être consciente de la situation. Le mouvement a appelé, dans un communiqué, au djihad dans les pays du Maghreb contre la France et les laïcs.
Par : Imed O
Le problème des journaux algériens, c'est qu'ils en font trop. Ils auraient pu commettre quelques mensonges ça et là et conserver un semblant de crédibilité. Mais c'est tellement débile qu'au fond, ce n'est pas plus mal.
Passons sur les 2000 Tunisiens, chiffre largement exagéré pour un si petit pays et éloigné du champ de bataille. Si on compte 2000 Tunisiens, combien d'algériens et de marocains? On parle de quelques dizaines de marocains, tout au plus, du Rif occidental. Alors 2000 Tunisiens...Dans un pays peu conservateur religieusement...
Il aurait donc au moins 20 000 combattants étrangers...N'importe quoi.
Ensuite, sur le “djihad de nikah”...Effarant. Mais vraiment, la presse algérienne ne recule devant rien.
Et comment sait-il qu'elles sont précisément 13??
140 tunisiens et libyens brûlés vifs par les combattants et présentés comme des victimes d'al-Assad...On aura tout lu. Et en plus ils sont violés? Je suis mort de rire....
Sachant que la plupart des combattants étrangers rejoignent le Front al-Nusrah, le plus réputé pour sa discipline, le mieux organisé, le plus aguerri...
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a écrit:
Lotfi Nezzar et Sid-Ali Médiène, deux enfants gâtés de généraux algériens sont associés dans SLC (Smart Link Communication) créée en 2001 et qui emploie plus de 200 personnes1. Cette entreprise a pour objet la mise en place et l’exploitation d’un réseau de télécommunication sans fil, à haut débit (WiMAX). Bien entendu, pour monter ce genre d’affaires en Algérie, il faut impérativement bénéficier de larges facilités. Quoi de plus simple quand on est les rejetons des papounets Khaled Nezzar et Mohamed Médiène, alias Tewfik, alias « Rab edzaier », littéralement le dieu de l’Algérie !
Les débouchés sont garantis d’avance puisque les clients de cette société ne sont autres que les PME et les grandes entreprises activant en Algérie, aspirant à être dans les bonnes grâces de ces puissants du moment, plaçant ces enfants gâtés en situation de monopole à laquelle ils doivent une croissance assurée par un véritable dinaroduc. Poussés par cette réussite sans gloire, ces « hommes d’affaires » décident de fonder une danseuse. Ayant constaté que la presse écrite nationale était complètement discréditée aux yeux des Algériens, tant la manipulation était criarde, et s’étant rendu compte de l’impact sans cesse grandissant des médias en ligne, ils optent pour un journal électronique au doux nom d’Algérie patriotique. Ce journal a vu le jour il y a tout juste une année et depuis, il s’emploie à donner un visage humain aux criminels qui ont endeuillé l’Algérie en la plongeant dans un océan de sang.
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ouldabbas a écrit:
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"Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida."