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Les révélations du djihadiste tunisien Abou Kousay
a
27 mars 2013 18:22
26-03-2013 15:48 - Parti combattre en Syrie au nom de l’Islam : Les révélations du djihadiste tunisien Abou Kousay

Parti combattre en Syrie au nom de l’Islam : Les révélations du djihadiste tunisien Abou Kousay

Le djihadiste tunisien Abou Kousay, parti combattre en Syrie au nom de l’islam, est rentré au pays. Il s’est exprimé, lors d’une interview accordée au journal arabophone tunisien Assarih, sur son aventure dans ce pays rongé par la guerre civile et le rôle des Tunisiens dans cette guerre.

Abou Koussay révèle que 2 000 jeunes Tunisiens, travailleurs et chômeurs, jeunes et adultes, combattent, actuellement, en Syrie avec les rebelles islamistes. Il avoue, dans la foulée, que 13 jeunes filles Tunisiennes ont rejoint la Syrie où elles s’y trouvent actuellement dans le but de faire le “djihad de nikah” qui consiste à satisfaire aux désirs sexuels des combattants de l’opposition.

Celle qui les supervise n’est autre qu’une danseuse de la chaîne Ghinwa portant le nom d’Oum Jaafar. Abou Kousay indique qu’il y a une ligne directe pour envoyer les djihadistes à partir de la Libye. Ensuite, ils rejoignent les combattants syriens via la Turquie.

C’est un voyage qu’Abou Kousay regrette, du fait d’avoir découvert les Tunisiens maltraités et exploités pour renverser le régime syrien. C’est ce qui a poussé Abou Kousay tunisien à s’échapper de ce calvaire et rentrer au pays. C’est un témoignage qui doit être pris en considération par ceux qui prêchent l’unité entre les pays arabo-musulmans, et ceux qui croient à leurs fatwas, en vue de justifier la participation des combattants étrangers dans des guerres civiles.

En fait, on remarque que même si les combattants multinationaux de l’opposition, qui se dit syrienne, sont réunis par un sentiment de nationalisme sunnite et anti-chiite, il semble que le sentiment de l’appartenance à une patrie est toujours présent dans leurs esprits, aux moins dans les esprits des combattants syriens et orientaux qui se méfient de leurs “frères” maghrébins.

Ali Karbousi, un journaliste tunisien, qui était en Syrie, avait déclaré, il y a quelques semaines que les cadavres des combattants non syriens, notamment des combattants libyens et tunisiens, sont souvent brûlés. Il donne l’exemple d’un incident qui a eu lieu à Homs, où 140 Tunisiens et Libyens ont été brûlés vifs, et ensuite, ils ont été représentés, dans les médias, comme des civils tués par le régime syrien.

“Les Tunisiens sont de la chair à canon”, a-t-il avoué à la chaîne Al-Watanya. Les blessés tunisiens et libyens ne sont pas soignés, et parfois ils sont tués pour que le régime ne les prenne pas en otages. Ce témoignage a été confirmé par un combattant libyen qui s’est échappé de la guerre civile syrienne. Le djihadiste libyen a précisé que l'exploitation des guerriers libyens et tunisiens, ainsi que les scènes traumatisantes des viols et des “brûlés vifs” sont derrière sa “démission” de son devoir djihadiste.

Des radios tunisiennes ont affirmé que le djihadiste handicapé, Hamza Ben Rejab, est rentré en Tunisie, traumatisé par ce qu’il a vu en Syrie. Hamza Ben Rejab croyait aller à la terre du djihad. Mais, comme d’autres combattants tunisiens et maghrébins, il a rencontré une réalité différente. D’autre part, Al-Qaïda au Maghreb islamique semble être consciente de la situation. Le mouvement a appelé, dans un communiqué, au djihad dans les pays du Maghreb contre la France et les laïcs.

Par : Imed O
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27 mars 2013 20:27
Citation
ahlem75 a écrit:
26-03-2013 15:48 - Parti combattre en Syrie au nom de l’Islam : Les révélations du djihadiste tunisien Abou Kousay

Parti combattre en Syrie au nom de l’Islam : Les révélations du djihadiste tunisien Abou Kousay

Le djihadiste tunisien Abou Kousay, parti combattre en Syrie au nom de l’islam, est rentré au pays. Il s’est exprimé, lors d’une interview accordée au journal arabophone tunisien Assarih, sur son aventure dans ce pays rongé par la guerre civile et le rôle des Tunisiens dans cette guerre.

Abou Koussay révèle que 2 000 jeunes Tunisiens, travailleurs et chômeurs, jeunes et adultes, combattent, actuellement, en Syrie avec les rebelles islamistes. Il avoue, dans la foulée, que 13 jeunes filles Tunisiennes ont rejoint la Syrie où elles s’y trouvent actuellement dans le but de faire le “djihad de nikah” qui consiste à satisfaire aux désirs sexuels des combattants de l’opposition.

Celle qui les supervise n’est autre qu’une danseuse de la chaîne Ghinwa portant le nom d’Oum Jaafar. Abou Kousay indique qu’il y a une ligne directe pour envoyer les djihadistes à partir de la Libye. Ensuite, ils rejoignent les combattants syriens via la Turquie.

C’est un voyage qu’Abou Kousay regrette, du fait d’avoir découvert les Tunisiens maltraités et exploités pour renverser le régime syrien. C’est ce qui a poussé Abou Kousay tunisien à s’échapper de ce calvaire et rentrer au pays. C’est un témoignage qui doit être pris en considération par ceux qui prêchent l’unité entre les pays arabo-musulmans, et ceux qui croient à leurs fatwas, en vue de justifier la participation des combattants étrangers dans des guerres civiles.

En fait, on remarque que même si les combattants multinationaux de l’opposition, qui se dit syrienne, sont réunis par un sentiment de nationalisme sunnite et anti-chiite, il semble que le sentiment de l’appartenance à une patrie est toujours présent dans leurs esprits, aux moins dans les esprits des combattants syriens et orientaux qui se méfient de leurs “frères” maghrébins.

Ali Karbousi, un journaliste tunisien, qui était en Syrie, avait déclaré, il y a quelques semaines que les cadavres des combattants non syriens, notamment des combattants libyens et tunisiens, sont souvent brûlés. Il donne l’exemple d’un incident qui a eu lieu à Homs, où 140 Tunisiens et Libyens ont été brûlés vifs, et ensuite, ils ont été représentés, dans les médias, comme des civils tués par le régime syrien.

“Les Tunisiens sont de la chair à canon”, a-t-il avoué à la chaîne Al-Watanya. Les blessés tunisiens et libyens ne sont pas soignés, et parfois ils sont tués pour que le régime ne les prenne pas en otages. Ce témoignage a été confirmé par un combattant libyen qui s’est échappé de la guerre civile syrienne. Le djihadiste libyen a précisé que l'exploitation des guerriers libyens et tunisiens, ainsi que les scènes traumatisantes des viols et des “brûlés vifs” sont derrière sa “démission” de son devoir djihadiste.

Des radios tunisiennes ont affirmé que le djihadiste handicapé, Hamza Ben Rejab, est rentré en Tunisie, traumatisé par ce qu’il a vu en Syrie. Hamza Ben Rejab croyait aller à la terre du djihad. Mais, comme d’autres combattants tunisiens et maghrébins, il a rencontré une réalité différente. D’autre part, Al-Qaïda au Maghreb islamique semble être consciente de la situation. Le mouvement a appelé, dans un communiqué, au djihad dans les pays du Maghreb contre la France et les laïcs.

Par : Imed O

Le problème des journaux algériens, c'est qu'ils en font trop. Ils auraient pu commettre quelques mensonges ça et là et conserver un semblant de crédibilité. Mais c'est tellement débile qu'au fond, ce n'est pas plus mal.

Passons sur les 2000 Tunisiens, chiffre largement exagéré pour un si petit pays et éloigné du champ de bataille. Si on compte 2000 Tunisiens, combien d'algériens et de marocains? On parle de quelques dizaines de marocains, tout au plus, du Rif occidental. Alors 2000 Tunisiens...Dans un pays peu conservateur religieusement...
Il aurait donc au moins 20 000 combattants étrangers...N'importe quoi.

Ensuite, sur le “djihad de nikah”...Effarant. Mais vraiment, la presse algérienne ne recule devant rien.
Et comment sait-il qu'elles sont précisément 13??

140 tunisiens et libyens brûlés vifs par les combattants et présentés comme des victimes d'al-Assad...On aura tout lu. Et en plus ils sont violés? Je suis mort de rire....

Sachant que la plupart des combattants étrangers rejoignent le Front al-Nusrah, le plus réputé pour sa discipline, le mieux organisé, le plus aguerri...
r
27 mars 2013 21:05
J'espère que le PEUPLE Tunisien agira vite pour dissuader l'engouement de sa jeunesse pour les couloirs de la mort dressés par l'Otan et ses collaborateurs du Golf !
[www.tunivisions.net]

[www.france24.com]

[www.kapitalis.com]
"Sois unique. Sois vrai. Sois libre. Sois toi-même. Parce que la vie est bien trop courte pour être quelqu'un que tu n'es pas !"
o
28 mars 2013 08:11
Faut etre un tigre pour marcher avec les tigres et un loup pour marcher avec les loups. Dans cet article on parle d'un petit chat tunisien qui est alle se mesurer a des tigres. Maintenant il est revenu se cacher chez sa maman la chatte.

Et le journaleux boukhnouna veut en faire un film holywoodien.

Les videos qui me viennent me montre des tigres, des loups, des chacals qui font mal jour et nuit
au bras casses de tonton Bachar.

Dites a ce journaleux que les marocains ont le 3G et biento le 4G ils peuvent faire la difference entre
un tigre et un chat. Entre un loup et un boubi.

Franchement les boukhnounas aimeurs de tonton Bachar sont devenu tres pathetique.
a
28 mars 2013 12:45
Citation
Rastapopûlos II a écrit:
Citation
ahlem75 a écrit:
26-03-2013 15:48 - Parti combattre en Syrie au nom de l’Islam : Les révélations du djihadiste tunisien Abou Kousay

Parti combattre en Syrie au nom de l’Islam : Les révélations du djihadiste tunisien Abou Kousay

Le djihadiste tunisien Abou Kousay, parti combattre en Syrie au nom de l’islam, est rentré au pays. Il s’est exprimé, lors d’une interview accordée au journal arabophone tunisien Assarih, sur son aventure dans ce pays rongé par la guerre civile et le rôle des Tunisiens dans cette guerre.

Abou Koussay révèle que 2 000 jeunes Tunisiens, travailleurs et chômeurs, jeunes et adultes, combattent, actuellement, en Syrie avec les rebelles islamistes. Il avoue, dans la foulée, que 13 jeunes filles Tunisiennes ont rejoint la Syrie où elles s’y trouvent actuellement dans le but de faire le “djihad de nikah” qui consiste à satisfaire aux désirs sexuels des combattants de l’opposition.

Celle qui les supervise n’est autre qu’une danseuse de la chaîne Ghinwa portant le nom d’Oum Jaafar. Abou Kousay indique qu’il y a une ligne directe pour envoyer les djihadistes à partir de la Libye. Ensuite, ils rejoignent les combattants syriens via la Turquie.

C’est un voyage qu’Abou Kousay regrette, du fait d’avoir découvert les Tunisiens maltraités et exploités pour renverser le régime syrien. C’est ce qui a poussé Abou Kousay tunisien à s’échapper de ce calvaire et rentrer au pays. C’est un témoignage qui doit être pris en considération par ceux qui prêchent l’unité entre les pays arabo-musulmans, et ceux qui croient à leurs fatwas, en vue de justifier la participation des combattants étrangers dans des guerres civiles.

En fait, on remarque que même si les combattants multinationaux de l’opposition, qui se dit syrienne, sont réunis par un sentiment de nationalisme sunnite et anti-chiite, il semble que le sentiment de l’appartenance à une patrie est toujours présent dans leurs esprits, aux moins dans les esprits des combattants syriens et orientaux qui se méfient de leurs “frères” maghrébins.

Ali Karbousi, un journaliste tunisien, qui était en Syrie, avait déclaré, il y a quelques semaines que les cadavres des combattants non syriens, notamment des combattants libyens et tunisiens, sont souvent brûlés. Il donne l’exemple d’un incident qui a eu lieu à Homs, où 140 Tunisiens et Libyens ont été brûlés vifs, et ensuite, ils ont été représentés, dans les médias, comme des civils tués par le régime syrien.

“Les Tunisiens sont de la chair à canon”, a-t-il avoué à la chaîne Al-Watanya. Les blessés tunisiens et libyens ne sont pas soignés, et parfois ils sont tués pour que le régime ne les prenne pas en otages. Ce témoignage a été confirmé par un combattant libyen qui s’est échappé de la guerre civile syrienne. Le djihadiste libyen a précisé que l'exploitation des guerriers libyens et tunisiens, ainsi que les scènes traumatisantes des viols et des “brûlés vifs” sont derrière sa “démission” de son devoir djihadiste.

Des radios tunisiennes ont affirmé que le djihadiste handicapé, Hamza Ben Rejab, est rentré en Tunisie, traumatisé par ce qu’il a vu en Syrie. Hamza Ben Rejab croyait aller à la terre du djihad. Mais, comme d’autres combattants tunisiens et maghrébins, il a rencontré une réalité différente. D’autre part, Al-Qaïda au Maghreb islamique semble être consciente de la situation. Le mouvement a appelé, dans un communiqué, au djihad dans les pays du Maghreb contre la France et les laïcs.

Par : Imed O

Le problème des journaux algériens, c'est qu'ils en font trop. Ils auraient pu commettre quelques mensonges ça et là et conserver un semblant de crédibilité. Mais c'est tellement débile qu'au fond, ce n'est pas plus mal.

Passons sur les 2000 Tunisiens, chiffre largement exagéré pour un si petit pays et éloigné du champ de bataille. Si on compte 2000 Tunisiens, combien d'algériens et de marocains? On parle de quelques dizaines de marocains, tout au plus, du Rif occidental. Alors 2000 Tunisiens...Dans un pays peu conservateur religieusement...
Il aurait donc au moins 20 000 combattants étrangers...N'importe quoi.

Ensuite, sur le “djihad de nikah”...Effarant. Mais vraiment, la presse algérienne ne recule devant rien.
Et comment sait-il qu'elles sont précisément 13??

140 tunisiens et libyens brûlés vifs par les combattants et présentés comme des victimes d'al-Assad...On aura tout lu. Et en plus ils sont violés? Je suis mort de rire....

Sachant que la plupart des combattants étrangers rejoignent le Front al-Nusrah, le plus réputé pour sa discipline, le mieux organisé, le plus aguerri...

Il faut stopper la paranoïa avec l'Algérie, l'info vient de journaux Tunisiens!!! Non mais...!!!
o
29 mars 2013 00:28
Un chatton reste un chatton et un tigre reste un tigre. winking smiley
r
29 mars 2013 08:45
Ce sont des mercenaires jihadistes-sionistes que les merdias occidentaux appelent "révolutionnaires, ou rebelles voir même "combattants de la liberté" et "Thouars" dans Al khanzira....
"Sois unique. Sois vrai. Sois libre. Sois toi-même. Parce que la vie est bien trop courte pour être quelqu'un que tu n'es pas !"
o
29 mars 2013 10:39
Riad,

Les chacals font peur a tout le monde.Mais ils sont la. Faut faire avec.

Tonton bachar comme tonton qaddafi sont des incompetents qui n'ont pas bien compris que
le monde a change,

Et maintrenant les chacals sont en syrie pour lui donner la fesse da sa vis,

Dans une video qui me parvienne de la syrie. Un chacal parlait a des prisonniers bras casses de Bachar,

"Saviez vous qui nous sommes. AlQaida ya kelb. AlQaida."

"Saviez vous qui nous sommes. AlQaida ya kelb. AlQaida."

"Saviez vous qui nous sommes. AlQaida ya kelb. AlQaida."

"Saviez vous qui nous sommes. AlQaida ya kelb. AlQaida."

"Saviez vous qui nous sommes. AlQaida ya kelb. AlQaida."

"Saviez vous qui nous sommes. AlQaida ya kelb. AlQaida."

"Saviez vous qui nous sommes. AlQaida ya kelb. AlQaida."

"Saviez vous qui nous sommes. AlQaida ya kelb. AlQaida."
"Saviez vous qui nous sommes. AlQaida ya kelb. AlQaida."
"Saviez vous qui nous sommes. AlQaida ya kelb. AlQaida."
"Saviez vous qui nous sommes. AlQaida ya kelb. AlQaida."
A
30 mars 2013 18:27
Citation
a écrit:
Lotfi Nezzar et Sid-Ali Médiène, deux enfants gâtés de généraux algériens sont associés dans SLC (Smart Link Communication) créée en 2001 et qui emploie plus de 200 personnes1. Cette entreprise a pour objet la mise en place et l’exploitation d’un réseau de télécommunication sans fil, à haut débit (WiMAX). Bien entendu, pour monter ce genre d’affaires en Algérie, il faut impérativement bénéficier de larges facilités. Quoi de plus simple quand on est les rejetons des papounets Khaled Nezzar et Mohamed Médiène, alias Tewfik, alias « Rab edzaier », littéralement le dieu de l’Algérie !

Les débouchés sont garantis d’avance puisque les clients de cette société ne sont autres que les PME et les grandes entreprises activant en Algérie, aspirant à être dans les bonnes grâces de ces puissants du moment, plaçant ces enfants gâtés en situation de monopole à laquelle ils doivent une croissance assurée par un véritable dinaroduc. Poussés par cette réussite sans gloire, ces « hommes d’affaires » décident de fonder une danseuse. Ayant constaté que la presse écrite nationale était complètement discréditée aux yeux des Algériens, tant la manipulation était criarde, et s’étant rendu compte de l’impact sans cesse grandissant des médias en ligne, ils optent pour un journal électronique au doux nom d’Algérie patriotique. Ce journal a vu le jour il y a tout juste une année et depuis, il s’emploie à donner un visage humain aux criminels qui ont endeuillé l’Algérie en la plongeant dans un océan de sang.
I
3 août 2013 23:48
Des savants de l'égarement prétendent etre musulmans et attaquent la Syrie et demandent aux jeunes de faire le djihad, ils se referent meme aux hadiths, alors que c'est eux qui sement la pagaille et déstabilisent tout un pays, ils veulent Restaurer le khilafat et ça sera une BETE, un Monstre Islamiste
qu'Allah nous protege de cette Fausse khilafat qui se prépare

U
4 août 2013 02:55
Citation
ouldabbas a écrit:
...
"Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida.""Saviez vous qui nous sommes. AIQaida ya kelb. AIQaida."

Ce qui fait penser à un proverbe:
Le nom des fous
s'écrit partout




Modifié 1 fois. Dernière modification le 04/08/13 02:57 par Unesuggestion.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt. Les chiens aboient, la caravane passe. ***********************************************************************
A
4 août 2013 06:14
J'espère que les djihadistes auront bientôt des armes lourdes, malgré la rétissence des américains qui ne veulent pas d'un vrai pays musulman

J'espère que de nombreux djihadistes iront rejoindre les forces sunnites pour contrer tous les chiites qui arrivent là-bas pour soutenir le tyran Bachar.
 
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