Citation
stinky2 a écrit:
Abdullah ibn 'Abbâs (qu'Allah l'agrée, lui et son père) relate que le Messager d'Allah (sur lui la paix et le salut) a dit : « Allah ne regardera pas la personne qui sodomise un homme ou une femme. »
Authentique. - Rapporté par At-Tirmidhî.
Citation
Noualanour a écrit:
عن ابن مسعود رضي الله عنه مرفوعاً: أن رجلاً أصاب من امرأةٍ قُبْلَةً، فأتى النبي صلى الله عليه وسلم فأخبره، فأنزل الله تعالى : (وأقم الصلاة طَرَفَيِ النَّهَار وزُلَفًا مِنَ اللَّيلِ إِنَّ الحَسَنَاتِ يُذْهِبنَ السَّيِئَات) [هود: 114] فقال الرجل: ألي هذا يا رسول الله؟ قال: «لِجَمِيعِ أُمَّتِي كُلِّهِم».
[صحيح] - [متفق عليه]
الشرح
يخبرنا ابن مسعود رضي الله عنه أن رجلا من أصحاب النبي صلى الله عليه وسلم يسمى أبو اليسر قبَّل امرأة أجنبية، فندم على ما وقع منه "فأتى النبي صلى الله عليه وسلم فأخبره" بما وقع فيه "فأنزل الله عز وجل" في شأنه "أقم الصلاة طرفي النهار" أي صل الصلوات التي في طرفي النهار، وهما الصبح والظهر والعصر "وزلفا من الليل" أي وصل أيضا الصلاتين اللتين في أول الليل وهما المغرب والعشاء "إن الحسنات يذهبن السيئات" أي فإن هذه الصلوات الخمس كفارة لصغائر الذنوب، ومنها ما فعلت "فقال الرجل: ألي هذا ؟" أي هل هي كفارة لي خاصة أو للناس عامة "قال لجميع أمتي" أي أن هذه الصلوات الخمس كفارة لمن فعل ذلك من جميع أمتي. وفي الحديث الآخر: (ما من مسلم يذنب ذنبًا ثم يتوضأ فيصلي ركعتين ثم يستغفر الله تعالى لذلك الذنب إلا غفر له)، وقرأ هاتين الآيتين: (ومن يعمل سوءا أو يظلم نفسه ثم يستغفر الله يجد الله غفورا رحيما) (والذين إذا فعلوا فاحشة أو ظلموا أنفسهم ) الآية. رواه أحمد برقم (47) . وهذا من سعة رحمة الله تعالى بعباده أن جعل الصلوات الخمس ونوافل الصلاة كفارة لذنوبهم، وإلا لهلكوا.
Citation
Noualanour a écrit:
Abdallah ibn ‘Umar (qu’Allah l'agrée, lui et son père) relate que le Messager d’Allah (sur lui la paix et le salut) a dit : « Trois hommes appartenant à l’une des communautés qui vous ont précédés se mirent en route et se refugièrent dans une grotte afin d'y passer la nuit. Un rocher dévala la montagne et obstrua l’entrée de la grotte. Ils se dirent alors : « Vous n’avez d’autre recours, pour être délivrés de ce rocher que d’invoquer Allah par les meilleures œuvres que vous ayez accomplies. » Le premier d’entre eux dit : « Ô Allah ! J’avais deux parents âgés et je ne laissais jamais personne boire son lait avant eux, que ce soit une personne de ma famille ou de mes esclaves. Un jour, j’ai mené paître mes animaux dans un endroit éloigné, si bien que mes parents se sont endormis avant mon retour. J’ai trait pour eux leur part de lait et je les ai trouvés endormis. Cependant, j’ai répugné à les réveiller ou à donner leur lait à ma famille ou à mes esclaves. J’ai donc patienté, le bol à la main, en attendant leur réveil jusqu’à ce que le jour se lève. Pendant ce temps, mes enfants criaient de faim à mes pieds. Mes parents se réveillèrent enfin et burent leur lait. Ô Allah ! Si j’ai sincèrement fait cela pour Toi, libère-nous de ce rocher qui nous emprisonne. » Le rocher se déplaça un peu mais pas assez pour les laisser sortir. Le second dit : « Ô Allah ! J’avais une cousine que j’aimais plus que tout au monde - dans une autre version : que j’aimais aussi fort qu’un homme puisse aimer une femme - Je lui faisais des avances mais elle se refusait toujours à moi. Cependant, au cours d’une année de grande disette, elle finit par venir me voir. Je lui donnai alors cent vingt dinars à condition qu’elle s’offre à moi et elle accepta. Une fois maître d’elle - dans une autre version : Une fois entre ses jambes - elle dit : « Crains Allah ! Et ne romps le sceau de ma virginité que dans le cadre légitime du mariage ! » Je me levai alors et la laissai telle quelle ; elle était pourtant ce que j’avais de plus cher. En outre, je lui ai quand même abandonné l’or que je lui avais donné. Ô Allah ! Si j’ai sincèrement fait cela pour Toi, libère-nous de cette situation dans laquelle nous nous trouvons ! » Le rocher se déplaça encore un peu mais pas assez pour les laisser sortir. Quant au troisième, il dit : « Ô Allah ! J’ai pris à mon service des salariés que j’ai rétribués sauf l’un d’eux qui partit sans prendre son salaire. Je le lui fis fructifier jusqu’à en faire une grande fortune. Après un certain temps, il revint et me dit : « Ô serviteur d’Allah ! Donne-moi mon salaire ! » Je lui dis alors : « Tout ce que tu vois là comme chameaux, bovins, ovins et esclaves est ton salaire. » Il me dit : « Ô serviteur d’Allah ! Ne te moque pas de moi ! » Je répondis : « Je ne me moque pas de toi ! » Il prit alors tous ses biens et repartit chez lui sans rien laisser. Ô Allah ! Si j’ai sincèrement fait cela pour Toi, sors-nous de cette situation dans laquelle nous nous trouvons ! » Le rocher s’écarta, ils sortirent, puis ils continuèrent leur route à pied.
Citation
Noualanour a écrit:
Abdallah ibn ‘Umar (qu’Allah l'agrée, lui et son père) relate que le Messager d’Allah (sur lui la paix et le salut) a dit : « Trois hommes appartenant à l’une des communautés qui vous ont précédés se mirent en route et se refugièrent dans une grotte afin d'y passer la nuit. Un rocher dévala la montagne et obstrua l’entrée de la grotte. Ils se dirent alors : « Vous n’avez d’autre recours, pour être délivrés de ce rocher que d’invoquer Allah par les meilleures œuvres que vous ayez accomplies. » Le premier d’entre eux dit : « Ô Allah ! J’avais deux parents âgés et je ne laissais jamais personne boire son lait avant eux, que ce soit une personne de ma famille ou de mes esclaves. Un jour, j’ai mené paître mes animaux dans un endroit éloigné, si bien que mes parents se sont endormis avant mon retour. J’ai trait pour eux leur part de lait et je les ai trouvés endormis. Cependant, j’ai répugné à les réveiller ou à donner leur lait à ma famille ou à mes esclaves. J’ai donc patienté, le bol à la main, en attendant leur réveil jusqu’à ce que le jour se lève. Pendant ce temps, mes enfants criaient de faim à mes pieds. Mes parents se réveillèrent enfin et burent leur lait. Ô Allah ! Si j’ai sincèrement fait cela pour Toi, libère-nous de ce rocher qui nous emprisonne. » Le rocher se déplaça un peu mais pas assez pour les laisser sortir. Le second dit : « Ô Allah ! J’avais une cousine que j’aimais plus que tout au monde - dans une autre version : que j’aimais aussi fort qu’un homme puisse aimer une femme - Je lui faisais des avances mais elle se refusait toujours à moi. Cependant, au cours d’une année de grande disette, elle finit par venir me voir. Je lui donnai alors cent vingt dinars à condition qu’elle s’offre à moi et elle accepta. Une fois maître d’elle - dans une autre version : Une fois entre ses jambes - elle dit : « Crains Allah ! Et ne romps le sceau de ma virginité que dans le cadre légitime du mariage ! » Je me levai alors et la laissai telle quelle ; elle était pourtant ce que j’avais de plus cher. En outre, je lui ai quand même abandonné l’or que je lui avais donné. Ô Allah ! Si j’ai sincèrement fait cela pour Toi, libère-nous de cette situation dans laquelle nous nous trouvons ! » Le rocher se déplaça encore un peu mais pas assez pour les laisser sortir. Quant au troisième, il dit : « Ô Allah ! J’ai pris à mon service des salariés que j’ai rétribués sauf l’un d’eux qui partit sans prendre son salaire. Je le lui fis fructifier jusqu’à en faire une grande fortune. Après un certain temps, il revint et me dit : « Ô serviteur d’Allah ! Donne-moi mon salaire ! » Je lui dis alors : « Tout ce que tu vois là comme chameaux, bovins, ovins et esclaves est ton salaire. » Il me dit : « Ô serviteur d’Allah ! Ne te moque pas de moi ! » Je répondis : « Je ne me moque pas de toi ! » Il prit alors tous ses biens et repartit chez lui sans rien laisser. Ô Allah ! Si j’ai sincèrement fait cela pour Toi, sors-nous de cette situation dans laquelle nous nous trouvons ! » Le rocher s’écarta, ils sortirent, puis ils continuèrent leur route à pied.
Citation
Noualanour a écrit:
Abdallah ibn ‘Umar (qu’Allah l'agrée, lui et son père) relate que le Messager d’Allah (sur lui la paix et le salut) a dit : « Trois hommes appartenant à l’une des communautés qui vous ont précédés se mirent en route et se refugièrent dans une grotte afin d'y passer la nuit. Un rocher dévala la montagne et obstrua l’entrée de la grotte. Ils se dirent alors : « Vous n’avez d’autre recours, pour être délivrés de ce rocher que d’invoquer Allah par les meilleures œuvres que vous ayez accomplies. » Le premier d’entre eux dit : « Ô Allah ! J’avais deux parents âgés et je ne laissais jamais personne boire son lait avant eux, que ce soit une personne de ma famille ou de mes esclaves. Un jour, j’ai mené paître mes animaux dans un endroit éloigné, si bien que mes parents se sont endormis avant mon retour. J’ai trait pour eux leur part de lait et je les ai trouvés endormis. Cependant, j’ai répugné à les réveiller ou à donner leur lait à ma famille ou à mes esclaves. J’ai donc patienté, le bol à la main, en attendant leur réveil jusqu’à ce que le jour se lève. Pendant ce temps, mes enfants criaient de faim à mes pieds. Mes parents se réveillèrent enfin et burent leur lait. Ô Allah ! Si j’ai sincèrement fait cela pour Toi, libère-nous de ce rocher qui nous emprisonne. » Le rocher se déplaça un peu mais pas assez pour les laisser sortir. Le second dit : « Ô Allah ! J’avais une cousine que j’aimais plus que tout au monde - dans une autre version : que j’aimais aussi fort qu’un homme puisse aimer une femme - Je lui faisais des avances mais elle se refusait toujours à moi. Cependant, au cours d’une année de grande disette, elle finit par venir me voir. Je lui donnai alors cent vingt dinars à condition qu’elle s’offre à moi et elle accepta. Une fois maître d’elle - dans une autre version : Une fois entre ses jambes - elle dit : « Crains Allah ! Et ne romps le sceau de ma virginité que dans le cadre légitime du mariage ! » Je me levai alors et la laissai telle quelle ; elle était pourtant ce que j’avais de plus cher. En outre, je lui ai quand même abandonné l’or que je lui avais donné. Ô Allah ! Si j’ai sincèrement fait cela pour Toi, libère-nous de cette situation dans laquelle nous nous trouvons ! » Le rocher se déplaça encore un peu mais pas assez pour les laisser sortir. Quant au troisième, il dit : « Ô Allah ! J’ai pris à mon service des salariés que j’ai rétribués sauf l’un d’eux qui partit sans prendre son salaire. Je le lui fis fructifier jusqu’à en faire une grande fortune. Après un certain temps, il revint et me dit : « Ô serviteur d’Allah ! Donne-moi mon salaire ! » Je lui dis alors : « Tout ce que tu vois là comme chameaux, bovins, ovins et esclaves est ton salaire. » Il me dit : « Ô serviteur d’Allah ! Ne te moque pas de moi ! » Je répondis : « Je ne me moque pas de toi ! » Il prit alors tous ses biens et repartit chez lui sans rien laisser. Ô Allah ! Si j’ai sincèrement fait cela pour Toi, sors-nous de cette situation dans laquelle nous nous trouvons ! » Le rocher s’écarta, ils sortirent, puis ils continuèrent leur route à pied.
Citation
CHN-W a écrit:
Assalāmou 'alaykoum wa rahmatoullāh.
Beaucoup de hadith authentifié par Al-Albani et personne d'autre. Détails ici.
L’authentification de hadith par Al-Albani ne vaut rien. Il authentifie et affaiblit à tort et à travers. Détails ici et là.
Concernant le sujet initial, Allah a interdit les rapports sexuels pendant les règles. C'est tout.
Wassalāmou 'alaykoum wa rahmatoullāh.
Sourate 2, La vache :
222- Et ils t'interrogent sur la menstruation des femmes. -Dis : « C'est un dommage. Eloignez-vous donc des femmes pendant les menstrues, et ne les approchez que quand elles sont pures. Quand elles se sont purifiées, alors cohabitez avec elles suivant les prescriptions d'Allah car Allah aime ceux qui se repentent, et Il aime ceux qui se purifient ».
223- Vos épouses sont pour vous un champ de labour ; allez à votre champ comme [et quand] vous le voulez et œuvrez pour vous-mêmes à l'avance. Craignez Allah et sachez que vous Le rencontrerez. Et fais gracieuse annonce aux croyants !
Citation
Oumar_Delife a écrit:
Salam,
Selon vous, quelles sont les conditions pour qu'un couple soit considéré comme mariés ?
Citation
Oumar_Delife a écrit:
Salam,
Selon vous, quelles sont les conditions pour qu'un couple soit considéré comme mariés ?