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reflexion sur la racisme et l'antissémitisme
23 août 2004 05:37
avez-vous remarquez que l'orsque les hebreux sont attaqués il crient a "l'antisemitisme" aulieu de dire simplement "racisme".

nous aussi, arabes, lorsque nous sommes harselés nous devons crier a "l'antissimitisme" puisque les arabes sont les véritables sémites.

si le juif est emerdé c'est de l'antissimitisme par contre si l'arabe et les autres races se font tabassés c'est du rassisme.

question: le rassiste est aussi antissémite?

si oui pourquoi on ne dit pas simplememt rassiste?(?(

:o
s
23 août 2004 12:07
Racisme = ne pas accepter tous ce qui est etranger , par sa religion ou ses coutumes ,

Antisémite = ne pas surtout critiquer en mal tout ce que font les sionistes ,

Donc un juif , peut accuser les autres de racistes et d'antisémites .

les autres n'ont pas le droits de s'appropriés le mot antisémite .

C'est injuste , mais le monde est injuste ,

Tu peus insulté et tabasser et meme tuer l'un , tu sera concidérer de raciste ,

L'autre il suffit de dire juste ce n'est pas bien ce qu'il fait , et tu sera traiter d'antisémite .

Alors si tu insulte et en plus tu critique , là tu sera accuser meme de terroriste

siryne
i
23 août 2004 14:03
IL Y A UN MOT ISLAMOPHOBIE
ça permet de ne plus noyer le poisson
certains essaient de dire qu'ils ont droit à être islamophobe
ils ne veulent pas qu'un terme soit mis sur une réalité
racisme est trop général et ne spécifie pas ce que les arabes rencontrent à l'etranger mais englobe le racisme envers les femmes, les homo, les noirs et les tortues ninja
Islamophobie permet de spécifier le problème

imad
7
23 août 2004 14:43
voici un article extrait du site de l'intelligent

Qui sont les Sémites ?

Question posée par Fatiha Addi, France

Il se passe peu de journées sans que l’on n’entende parler d’antisémitisme. Sont désignés par là des actes ou des propos dirigés contre des membres ou des symboles (notamment les synagogues) de la communauté israélite. L’expression est ainsi employée au sens d’antijuif. Pourtant, les Juifs sont loin d’être les seuls Sémites. Le terme a été inventé en 1781 par l’orientaliste allemand August Ludwig Schlözer, à partir du nom d’un des fils de Noé, Sem, pour désigner des langues dont la parenté avait été établie dès le Moyen-Âge par les savants juifs : l’hébreu, l’araméen, l’arabe. Les spécialistes ont ensuite regroupés sous l’appellation de « sémite » tout un ensemble de peuples qui, dans le courant du IIIe millénaire avant Jésus-Christ, émigrèrent de la péninsule Arabique vers la Mésopotamie, la Syrie, la Palestine, puis, vers 700 avant Jésus-Christ, vers la corne de l’Afrique. Ils se caractérisent par leur appartenance à une même famille linguistique, mais ne présentent pas nécessairement d’autre parenté.
Aujourd’hui, les peuples qu’on peut qualifier de sémites sont essentiellement les Juifs et les Arabes, mais, dans l’Antiquité, on comptait également les Assyriens, les Babyloniens, les Araméens, les Cananéens et les Phéniciens. Les Sémites donnèrent

naissance à des alphabets et à des dialectes qui se répandirent dans toute la Méditerranée orientale, le Proche-Orient et l’Afrique du Nord-Ouest.

L’araméen, langue du Christ et des apôtres, servit de lingua franca au Proche-Orient pendant près de mille ans. Elle fut supplantée par sa proche cousine, l’arabe, après l’Hégire (622 après Jésus-Christ). Le syriaque est une forme tardive de l’araméen d’Edesse, une région chrétienne d’Asie mineure, qui exerça une grande influence dans la région à partir du IIIe siècle après Jésus-Christ jusqu’à la conquête turque, vers le début du XVe siècle. Comme l’araméen, l’alphabet syriaque est composé de vingt-deux lettres, et, comme l’arabe, uniquement de consonnes, les voyelles étant indiquées par des signes.

De nos jours, les linguistes rattachent les langues sémitiques à un ensemble plus vaste dénommé chamito-sémitique, qui englobe aussi bien l’égyptien ancien que le copte (encore utilisé dans la liturgie des chrétiens égyptiens), le berbère dans ses diverses variantes (tamazight, tachelhit, chaouïa, tamasheq…), le haoussa et quelque deux cents autres langues tchadiques, le somali et les langues apparentées, appelées couchitiques, ainsi qu’une trentaine de langues, dites omotiques, parlées dans la région du bassin du fleuve Omo, en Éthiopie.

Dominique Mataillet

********************************************************** Tout le monde ment. Bien mentir, voilà ce qu'il faut.
7
23 août 2004 14:45
toujours la meme source

Antijuifs et judéocentristes

Dans une contribution au quotidien « Le Monde », le sociologue français Edgar Morin réinterroge une série de mots que l’on a tendance à employer à tort et à travers. Et dénonce la dialectique infernale d’une double intoxication.

Il y a des mots qu’il faut réinterroger ; ainsi du mot antisémitisme. En effet, ce mot a remplacé l’antijudaïsme chrétien, lequel concevait les juifs comme porteurs d’une religion coupable d’avoir condamné Jésus, c’est-à-dire, si absurde que soit l’expression
pour ce Dieu ressuscité, coupable de déicide.

L’antisémitisme, lui, est né du racisme et conçoit les juifs comme ressortissants d’une race inférieure ou perverse, la race sémite. À partir du moment où l’antijudaïsme s’est développé dans le monde arabe, luimême sémite, l’expression devient aberrante, et il faut

revenir à l’idée d’antijudaïsme, sans référence désormais au « déicide ».

Il y a des mots qu’il faut distinguer, comme l’antisionisme de l’anti-israélisme, ce qui n’empêche pas qu’il s’opère des glissements de sens des uns aux autres. En effet, l’antisionisme dénie non seulement l’installation juive en Palestine, mais essentiellement

l’existence d’Israël comme nation. Il méconnaît que le sionisme, au siècle des nationalismes, correspond à l’aspiration d’innombrables juifs, rejetés des nations, à

constituer leur nation. Israël est la concrétisation nationale du mouvement sioniste.

L’anti-israélisme a deux formes ; la première conteste l’installation d’Israël sur des terres arabes, se confond avec l’antisionisme, mais en reconnaissant implicitement l’existence de la nation israélienne. La seconde est partie d’une critique politique devenant globale de l’attitude du pouvoir israélien face aux Palestiniens et face aux résolutions de l’ONU qui demandent le retour d’Israël aux frontières de 1967.


Comme Israël est un État juif, et comme une grande partie des juifs de la diaspora, se sentant solidaires d’Israël, justifient ses actes et sa politique, il s’opéra alors des glissements de l’anti-israélisme à l’antijudaïsme. Ces glissements sont particulièrement

importants dans le monde arabe et plus largement musulman où l’antisionisme et l’anti-israélisme vont produire un antijudaïsme généralisé.

Y a-t-il un antijudaïsme français qui serait comme l’héritage, la continuation ou la persistance du vieil antijudaïsme chrétien et du vieil antisémitisme européen ? C’est la thèse officielle israélienne, reprise par les institutions dites communautaires et certains intellectuels juifs.

Or il faut considérer que, après la collaboration des antisémites français avec l’occupant hitlérien, puis la découverte de l’horreur du génocide nazi, il y eut

affaiblissement par déconsidération du vieil antisémitisme nationaliste-raciste ; il y eut, parallèlement, suite à l’évolution de l’Église catholique, dépérissement de l’antijudaïsme chrétien qui faisait du juif un déicide, puis l’abandon de cette imputation grotesque. Certes, il demeure des foyers où l’ancien antisémitisme se trouve ravivé, des résidus des représentations négatives attachées aux juifs restés vivaces dans différentes parties de la population ; il persiste enfin dans l’inconscient français des vestiges ou des racines de « l’inquiétante étrangeté » du juif, ce dont a témoigné l’enquête La Rumeur d’Orléans (1969), dont je suis l’auteur.


Mais les critiques de la répression israélienne, voire l’anti-israélisme lui-même, ne sont pas les produits du vieil antijudaïsme. On peut même dire qu’il y eut en France, à partir de sa création accompagnée de menaces mortelles, une attitude globalement favorable

à Israël. Celui-ci a été d’abord perçu comme nation-refuge de victimes d’une horrible persécution, méritant une sollicitude particulière. Il a été, en même temps, perçu comme une nation exemplaire dans son esprit communautaire incarné par le kibboutz, dans son

énergie créatrice d’une nation moderne, unique dans sa démocratie au Moyen-Orient. Ajoutons que bien des sentiments racistes se sont détournés des juifs pour se fixer sur les Arabes, notamment pendant la guerre d’Algérie, ce qui a bonifié davantage l’image d’Israël.

La vision bienveillante d’Israël se transforma progressivement à partir de 1967, c’est-à-dire l’occupation de la Cisjordanie et de Gaza, puis avec la résistance palestinienne, puis avec la première Intifada, où une puissante armée s’employa à réprimer une révolte de

pierres, puis avec la seconde Intifada qui fut réprimée par violences et exactions disproportionnées. Israël fut de plus en plus perçu comme État conquérant et oppresseur. La formule gaullienne dénoncée comme antisémite, « peuple dominateur et sûr de lui », devint truisme. La poursuite des colonisations qui grignotent sans cesse les territoires palestiniens, la répression sans pitié, le spectacle des souffrances endurées par le

peuple palestinien, tout cela détermina une attitude globalement négative à l’égard de la politique de l’État israélien, et suscita un anti-israélisme dans le sens politique que nous avons donné à ce terme. C’est bien la politique d’Israël qui a suscité et amplifié cette forme d’anti-israélisme, et non la résurgence de l’antisémitisme européen. Mais cet anti-israélisme a très peu dérivé en antijudaïsme dans l’opinion française.

En revanche, la répression israélienne et le déni israélien des droits palestiniens produisent et accroissent les glissements de l’anti-israélisme vers l’antijudaïsme dans le monde islamique. Plus les juifs de la diaspora s’identifient à Israël, plus on identifie Israël aux juifs, plus l’anti-israélisme devient antijudaïsme. Ce nouvel antijudaïsme musulman reprend les thèmes de l’arsenal antijuif européen (complot juif pour dominer le monde) qui criminalise les juifs dans leur ensemble. Cet antijudaïsme s’est répandu et aggravé, avec l’aggravation même du conflit israélo-palestinien, dans la population française d’origine arabe et singulièrement dans la jeunesse.

De fait, il y a non pas pseudo-réveil de l’antisémitisme européen, mais développement d’un antijudaïsme arabe. Or, plutôt que reconnaître la cause de cet antijudaïsme arabe, qui est au cœur de la tragédie du Moyen-Orient, les autorités israéliennes, les institutions communautaires et certains intellectuels juifs préfèrent y voir la preuve de la persistance ou renaissance d’un indéracinable antisémitisme européen.

Dans cette logique, toute critique d’Israël apparaît comme antisémite. Du coup, beaucoup de juifs se sentent persécutés dans et par cette critique. Ils sont effectivement dégradés dans l’image d’eux-mêmes comme dans l’image d’Israël qu’ils ont incorporée à leur identité. Ils se sont identifiés à une image de persécutés ; la Shoah est devenue le terme qui établit à jamais leur statut de victimes, de gentils ; leur conscience historique de persécutés repousse avec indignation l’image répressive de Tsahal que donne la télévision. Cette image est aussitôt remplacée dans leur esprit par celle des victimes des kamikazes du Hamas, qu’ils identifient à l’ensemble des Palestiniens. Ils se sont identifiés à une image idéale d’Israël, certes seule démocratie dans un entourage de dictatures, mais démocratie limitée, et qui, comme l’ont fait bien d’autres démocraties,

peut avoir une politique coloniale détestable. Ils se sont assimilés avec bonheur à l’interprétation bibliquement idéalisée qu’Israël est un peuple de prêtres.

Ceux qui sont solidaires inconditionnellement d’Israël se sentent persécutés intérieurement par la dénaturation de l’image idéale d’Israël. Ce sentiment de persécution leur masque évidemment le caractère persécuteur de la politique israélienne.

Une dialectique infernale est en œuvre. L’antiisraélisme accroît la solidarité entre juifs de la diaspora et Israël. Israël lui-même veut montrer aux juifs de la diaspora que le vieil antijudaïsme européen est à nouveau virulent, que la seule patrie des juifs est Israël, et par là même a besoin d’exacerber la crainte des juifs et leur identification à Israël.

Ainsi les institutions des juifs de la diaspora entretiennent l’illusion que l’antisémitisme européen est de retour, là où il s’agit de paroles, d’actes ou d’attaques

émanant d’une jeunesse d’origine islamique issue de l’immigration. Mais comme, dans cette logique, toute critique d’Israël est antisémite, il apparaît aux justificateurs d’Israël que la critique d’Israël, qui se manifeste de façon du reste fort modérée dans tous les secteurs d’opinion, apparaît comme une extension de l’antisémitisme. Et tout cela, répétons-le, sert à la fois à occulter la répression israélienne, à israéliser davantage

les juifs et à fournir à Israël la justification absolue. L’imputation d’antisémitisme, dans ces cas, n’a pas d’autre sens que de protéger Tsahal et Israël de toute critique. […]

Avec l’aggravation de la situation en Israël-Palestine, la double intoxication, l’antijuive et la judéocentrique, va se développer partout où coexistent populations juives et musulmanes.

Il est clair que les Palestiniens sont les humiliés et offensés d’aujourd’hui, et nulle raison idéologique ne saurait nous détourner de la compassion à leur égard. Certes, Israël est l’offenseur et l’humiliant. Mais il y a dans le terrorisme anti-israélien devenant antijuif l’offense suprême faite à l’identité juive : tuer du juif, indistinctement, hommes, femmes, enfants, faire de tout juif du gibier à abattre, un rat à détruire, c’est l’affront, la blessure, l’outrage pour toute l’humanité juive. Attaquer des synagogues, souiller des tombes, c’est-à-dire profaner ce qui est sacré, c’est considérer le juif comme immonde. Certes, une haine terrible est née en Palestine et

dans le monde islamique contre les juifs. Or cette haine, si elle vise la mort de tout juif, comporte une offense horrible. L’antijudaïsme qui déferle prépare un nouveau malheur juif. Et c’est pourquoi, de façon infernale encore, les humiliants et offensants sont eux-mêmes des offensés et redeviendront des humiliés. Pitié et commisération sont déjà submergées par haine et vengeance. Que dire dans cette horreur, sinon la triste parole du vieil Arkel dans Pelléas et Mélisande de Maeterlinck : « Si j’étais Dieu, j’aurais pitié du cœur des hommes » ?


Y a-t-il une issue ? L’issue serait effectivement dans l’inversion de la tendance : c’est-à-dire la diminution de l’antijudaïsme par une solution équitable de la question palestinienne et une politique équitable de l’Occident pour le monde arabo-musulman. C’est bien une intervention au niveau international, comportant sans doute une force d’interposition entre les deux parties, qui serait la seule solution réelle. Mais cette

solution réelle, et de plus, réaliste, est aujourd’hui totalement irréaliste. Que de tragédies encore, que de désastres en perspective, si l’on n’arrive pas à faire entrer le réalisme dans le réel.

Edgar Morin

********************************************************** Tout le monde ment. Bien mentir, voilà ce qu'il faut.
m
23 août 2004 20:54
Ma petite reflexion a ce sujet :

Je pense que le racisme c'est lorsque tu reporches a une personne un certain attribut qui est INDEPENDANT de lui. Par example race, couleur, pays de naissance.

Le racisme est donc lorsque une personne est victime de quelque chose qu'il N'A PAS CHOISIT.

Personnellement je ne considere pas l'ISLAMOPHOBIE comme un racisme. Car l'Islam est un choix.

De meme pour etre juif. Si tu reproches a un juif d'etre juif c'est un racisme car on est soit ne juif soit non juif et donc une personne ne l'a pas choisit. Par contre l'anti-sionisme n'est pas du tout un racisme vu que chacun choisit d'etre sioniste ou pas....

Je trouve plus logique qu'une personne me reproche le fait que je suis musulman que le fait que je suis arabe. Car l'Islam est MON choix, Arabe n'est pas Mon Choix.

Dans ce sens, je condamne les sionistes et je respecte les juifs.

Dans ce meme sens, je condamne un homosexual et je ne le considere pas du tout comme un racisme et je respecte toute personne avec une invalidite sexuelle INDEPENDANTE de lui.

Wa Allaho A3lam.
z
23 août 2004 21:19
Dans ce sens, je condamne les sionistes et je respecte les juifs.

Bien parlé petit frère.
smiling smiley
c
24 août 2004 11:29

Racisme:
Système qui affirme la superiorité d´un groupe racial sur les autres, en préconisant, en particulier, la separation de ceux-ci à l´interieur d´un pays ( ségrégation ratiale) ou meme en visant à l´extermination d´une minorité.

Antisémitisme :
Doctrine ou attitude de ceux qui sont hostiles aux juifs et tendent a prendre contre eux des mesures d´exeption.

Sémite:
Personne appartenant au groupe ethnique et linguistique à qui l´on attribue Sem comme ancetre.

Sém :
Fils de Noé.

Mais les sémites sont beaucoup de races comme l´a indiqué 7azine.

Usually, terrible things that are done with the excuse that progress requires them are not really progress at all, but just terrible things. Russell Baker
l
24 août 2004 19:21
Impulsion je ne suis pas d'accord avec ta theorie sur l'islamophobie.

L'islamophobie est un nouveau concept qui a permis de faire ressortir les vieilles rancoeurs a l'egard des arabes, rancoeurs qui ne pouvaient plus s'exprimer grace aux nombreuses campagnes des ligues anti-racistes.

De plus, tous les arabes ne sont pas musulmans, qu'en fais-tu de ceux-la?

Enfin, comme le dit Mdlazreg et meme si je condamne l'islamophobie, la religion n'est pas une caracteristique immuable telle que la couleur de peau ou l'origine nationale, et en tant que choix il est normal qu'elle soit soumise a la critique publique (bien que les dicriminations religieuses doivent etre abolies).

________________" Etre libre, ce n'est pas pouvoir faire ce que l'on veut, mais c'est vouloir ce que l'on peut. " Jean-Paul Sartre, Situations I
24 août 2004 19:42
excusez moi mais je crois que vous n'avez pas bien compris le sens de ma question.

soit que vous avez la tete dure soit que je me suis mal exprimé.

ce n'est pas une deffinition que je veux.
je voulais dire que meme dans la ségregation et le rejet de l'autre les juifs se démarquent des autre races lorsqu'ils sont victimes de racisme.

s'ils sont attaqués ils crient a l'antissimitime et non simplement au racisme.

c'est comme s'ils veulent dire: nous c'est nous et les autres races on s'en fout.

:o
m
24 août 2004 20:00
salaam amirsmiling smiley,

>>>>>>les juifs se démarquent des autre races lorsqu'ils sont victimes de racisme.

Mais est-ce que cela est un crime?!. Si ils sont victimes de racisme, ca fait tres plaisir qu'ils puissent crier haut et fort qu'ils sont victimes. Le fait que d'autres groupes ne le font pas aussi efficacement que les juifs n'enlevent pas ce droit aux juifs.
m
24 août 2004 20:03
L'olive doucesmiling smiley,

>>>>>>Bien parlé petit frère.

Ca fait bien de te voir enjoying le Maruecoswinking smiley.
s
24 août 2004 20:20
Salam frere mohamed ,

Meme si ils ne sont pas accuser de quoi que ce soi ,

Ils se considerent comme le peuple élu , donc !!!

Salam amir ,

Ca me rassure au moins que je ne suis pas la seule à ne pas comprendre ta question ,

siryne
24 août 2004 21:08
mdlazrag,

tu n'as pas compris le sujet.

:o
m
24 août 2004 23:28
amirsmiling smiley,

c'est pas gravesmiling smiley.

Syrine,

>>>>>>>Ils se considerent comme le peuple élu , donc !!!

Et apres?! si une fille par example se considere la plus belle ou un mec se considere le plus beau, il est ou le problem?! Le problem vient seulement lorsque ce sentiment se traduit par une haine de l'autre.

Si un juif me dit je fait partie de peuple elu et il me laisse tranquille je lui dis tres bonne chance.

Par example nous les musulmans, nous nous considerons comme etants LES BIEN GUIDES. Chacun a le droit de se considere comme il veut.

En plus les juifs ont ete bel et bien un peuple elu vu que c'etait eux qui ont recu les premiers le message de l'Islam :

Al-Baqara - 2.47. ô enfants d'Israël, rappelez-vous Mon bienfait dont Je vous ai comblés, (Rappelez-vous) que Je vous ai préférés à tous les peuples (de l'époque).

Si il ya toujours des juifs qui continuent a croire qu'ils sont toujours le peuple elu, c'est leur droit.
f
25 août 2004 03:58
les juifs se sont toujours "stigmatisés", tantôt intentionnellement comme pour la shoa, tantôt involontairement comme pour leur rang en toute société. Donc, c'est quelque chose qui leur inhérent depuis la nuit des temps. Certainement un fait de l'histoire et aujourd'hui des médias par exemple. C'est alors impossible aujourd'hui que d'autres éthnies ou peuples octroient un vocable bien précis et universel à ce qu'ils peuvent subir dans le rejet ou la xénophobie.

Par ailleurs, je crois savoir que les arabes du Moyen Orient (syriens par exemple) sont dits descendants de Sem, comme les africains orientaux de Cham, donc ces arabes musulmans sont bien sémites. Mais il me faudrait d'avantage de connaissances pour le confirmer (ne maîtrisant pas le sujet de façon approfondie) !







Excusez du peu !
m
25 août 2004 04:13
salaam feyssalsmiling smiley,

>>>>>les arabes du Moyen Orient (syriens par exemple) sont dits descendants de Sem

En fait pas seulement les syriens, mais tous les arabes sont des semites.

Les semites c'est en reference a Sem fils de Nou7 ASWS. Abraham ASWS est un semite, les Juifs ont pour pere son fils Isaac ASWS, les Arabes pour pere son fils Ismaeil ASWS et donc les Juifs et les Arabes sont tous des semites. C'est des cousins en plus. Et en plus de tous ca le Judaisme et l'Islam sont les plus proches theologiquement. La seule difference c'est que les Juifs ne croient ni en Jesus ASWS ni en Mohamed SAAWS alors que les Arabes [la majorete ecrasante est musulmane] croient dans tous les prophets ASWS.
25 août 2004 04:44
mais alors si les juifs forment une race ils doivent avoir la meme gueule, non?

pourquoi donc golda meir est blonde alors que les falachas sont noirs, pourquoi les juif du maroc nous ressemblent physiquement alors que les ashkinazes ressemblent aux vikigns?(?(

vous ne trouvez pas que les hebreux sont bizares a comprendre?(?(?(?(

ps: je risque toujours d'etre l'invité de notre cousin Charly.

:o
C
25 août 2004 08:53
Tous les antisemites, antimusulmans, antichretiens, anti-anti et anti-tout-ce-que-vous-voudrez sont les memes idiots ! Tous des ordures qu'il faudrait mettre dans un sac et jeter a la mer, loin loin du rivage pour eviter la pollution....D'ailleurs, je pense que cela sera un grand bienfait pour l'humanite ( et un grand malheur pour la faune aquatique....)
Pour ce qui est du terme "antisemite" c'est vrai que les semites ne sont pas uniquement des juifs, mais il faut comprendre que ce mot a acquerri un certain sens et une connotation au dela de ses racines etymologiques.
Je ne crois pas au concept de "peuple elu" !! Tous les hommes sont egaux, et si il y a eu election, ils faisaient tous partie de l'humanite universelle !
Alors, tous ces racistes, c'est que quand le Bon Dieu il a distribue l'intelligence et la sagesse, ils etaient tous au WC....
Et pour Amir qui a parle des Falacha : tu sais pourquoi aux petits enfants Ethiopien on ne donne que du chocolat blanc ??-------->>>> Pour pas qu'ils ne se mordent les doigts ..! :-)

Charly

Natif de Casablanca
f
25 août 2004 12:22
Les arabes aussi sont des Sémites !

I'm black man, de coeur !
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