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Casasurseine a écrit:
Cet immonde personnage était au dîner de c.ons du Crif.Pas étonnant...
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Hamza a écrit:Citation
Casasurseine a écrit:
Cet immonde personnage était au dîner de c.ons du Crif.Pas étonnant...
oui , il parait qu'ils ont financé l organisation de son soutient .
redeker n est qu un petit prof . on fait trop de bruit autour d un ignorant .
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Casasurseine a écrit:Citation
Hamza a écrit:Citation
Casasurseine a écrit:
Cet immonde personnage était au dîner de c.ons du Crif.Pas étonnant...
oui , il parait qu'ils ont financé l organisation de son soutient .
redeker n est qu un petit prof . on fait trop de bruit autour d un ignorant .
Hamza:c'est pas "il paraît",c'est sûr.Quant à ce personnage odieux,il n'est plus "petit prof"puisqu'il vient d'avoir de la promotion et a été bombardé au CNRS!!!Il pourra donc continuer ses "recherches" et ses insultes envers les musulmans à nos frais!!!
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redeker a écrit:
Exemple: Aucune des fautes de l'Eglise ne plonge ses racines dans l'Évangile. Jésus est non-violent. Le retour à Jésus est un recours contre les excès de l'institution ecclésiale. Le recours à Mahomet, au contraire, renforce la haine et la violence. Jésus est un maître d'amour, Mahomet un maître de haine. La lapidation de Satan, chaque année à La Mecque, n'est pas qu'un phénomène superstitieux. Elle ne met pas seulement en scène une foule hystérisée flirtant avec la barbarie. Sa portée est anthropologique. Voilà en effet un rite, auquel chaque musulman est invité à se soumettre, inscrivant la violence comme un devoir sacré au coeur du croyant.
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l'ilslamophobe redeker a dit a écrit:
Exemple: Aucune des fautes de l'Eglise ne plonge ses racines dans l'Évangile. Jésus est non-violent. Le retour à Jésus est un recours contre les excès de l'institution ecclésiale. Le recours à Mahomet, au contraire, renforce la haine et la violence. Jésus est un maître d'amour, Mahomet un maître de haine. La lapidation de Satan, chaque année à La Mecque, n'est pas qu'un phénomène superstitieux. Elle ne met pas seulement en scène une foule hystérisée flirtant avec la barbarie. Sa portée est anthropologique. Voilà en effet un rite, auquel chaque musulman est invité à se soumettre, inscrivant la violence comme un devoir sacré au coeur du croyant.