Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Recueil de citations d'hommes politiques, banquiers, journalistes
p
2 avril 2014 13:58
"Ce n'est pas un signe de bonne santé que d'être bien adapté à une société profondément malade." J. Krishnamurti

«Craindre la mort, c'est faire trop d'honneur à la vie.» Théodore Jouffroy
«Toute la vie n'est qu'un voyage vers la mort.» Sénèque
«La crainte de la guerre est encore pire que la guerre elle-même.» Sénèque

" Si vous désirez la sympathie des masses, vous devez leur dire les choses les plus stupides et les plus crues. " Hitler

« Le souverain bien c'est une âme qui méprise les événements extérieurs et se réjouit par la vertu » Sénèque

« Je crois que s’il y a seulement le choix entre la violence et la lâcheté, je conseille la violence. » Gandhi

«Le coupable est celui à qui le crime profite.» Sénèque
p
2 avril 2014 13:59
"Tout le monde croit que le fruit est l’essentiel de l’arbre quand, en réalité, c’est la graine." Nietzsche

« Le jour où la vie d’un Américain ou d’un Israélien vaudra la vie d’un ressortissant du Tiers monde en général ou d’un ressortissant d’un pays musulman en particulier, on se rapprochera de cet universalisme tant proclamé. Les dernières agressions barbares d’Israël nous démontrent à quel point nous en sommes très très loin... » Mehdi El Mandjra , Futurologue et sociologue Marocain .
p
2 avril 2014 14:00
D'autres citations axée Nouvel ordre mondial

[fredpohl.free.fr]
p
2 avril 2014 14:01
La liberté signifie la responsabilité. C'est pourquoi la plupart des hommes la craignent.

George Bernard Shaw
p
2 avril 2014 14:05
Des citations de Georges Clémenceau :

«Je connais un tas de types à qui je ne pardonnerai jamais les injures que je leur ai faites.»

«Le gouvernement a pour mission de faire que les bons citoyens soient tranquilles, que les mauvais ne le soient pas.»

«L'honneur, c'est comme la virginité, ça ne sert qu'une fois.»

«La politique me fait l’effet d’un immense cabestan auquel sont attelés un grand nombre d’hommes pour soutenir une mouche.»

«Une phrase française [aux journalistes], ça se compose d'un sujet, d'un verbe et d'un complément direct. Et quand vous aurez besoin d'un complément indirect, venez me trouver.»

«En définitive, les victimes des guerres sont mortes pour rien. Seulement, elles sont mortes pour nous.»

«Les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, qui ont tous été remplacés.»

«Ce que nous dénommons vérité n'est qu'une élimination d'erreurs.»

«La vie est une oeuvre d'art.»

«Les polytechniciens savent tout, mais rien d'autre.»

«Les femmes vivent plus longtemps que les hommes, surtout quand elles sont veuves.»

«La France est un pays extrêmement fertile : on y plante des fonctionnaires et il y pousse des impôts.»

«La démocratie, c'est le pouvoir pour les poux de manger les lions.»

«Donnez-moi quarante trous du cul et je vous fais une Académie française.»

«Une dictature est un pays dans lequel on a pas besoin de passer toute une nuit devant son poste pour apprendre le résultat des élections.»

«L'anglais, ce n'est jamais que du français mal prononcé.»

«Les fonctionnaires sont les meilleurs maris : quand ils rentrent le soir à la maison, ils ne sont pas fatigués et ont déjà lu le journal.»

«La vanité humaine est si grande que le plus ignorant croit avoir besoin d'idées.»

«Pour prendre une décision, il faut être un nombre impair de personnes, et trois c'est déjà trop.»

«La guerre ! C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires.»

«Il suffit d'ajouter "militaire" à un mot pour lui faire perdre sa signification. Ainsi la justice militaire n'est pas la justice, la musique militaire n'est pas la musique.»

«Il n'y a pas de repos pour les peuples libres; le repos, c'est une idée monarchique.»

«La vie m'a appris qu'il y a deux choses dont on peut très bien se passer : la présidence de la République et la prostate.»

«Une commission d'enquête pour être efficace, ne doit compter que trois membres, dont deux sont absents.»

«Il est plus facile de faire la guerre que la paix.»

«Que cela nous plaise ou que cela nous choque, la Révolution française est un bloc... un bloc dont on ne peut rien distraire, parce que la vérité historique ne le permet pas.»

«On ne ment jamais autant qu'avant les élections, pendant la guerre et après la chasse.»

«Ca ne fait pas un Français en moins, mais une place à prendre.»

«Il n'a pas d'idées, mais il les défendrait jusqu'à la mort.»

«La démocratie se doit d'être une création continue.»

«La plus petite unité de mesure de poids, c'est le milligramme, la plus petite unite de mesure de volume, c'est le millilitre, la plus petite unite de mesure de l'intelligence, c'est... le militaire! "»

«Je fais la guerre, rien que la guerre. Nous serons sans faiblesse, comme sans violence. Le pays connaîtra qu'il est défendu. »

«En politique, on succède à des imbéciles et on est remplacé par des incapables.»

«Les fonctionnaires sont comme les livres d'une bibliothèque: ce sont les plus haut placés qui servent le moins.»
p
2 avril 2014 14:07
"Notre civilisation est à certains égards inhumaine, profondément inhumaine, parce qu'elle a opté pour le plus contre le mieux, c'est-à-dire pour la quantité plutôt que la qualité. On pourrait aussi dire pour «l'avoir» plutôt que «l'être». Cela donne des hommes vides aux mains pleines..."
Théodore Monod

"L'avis de la majorité ne peut être que l'expression de l'incompétence."
René Guénon

Les hypocrites comme les abeilles ont le miel à la bouche et l'aiguillon caché.
Anonyme

On dit : Méfie-toi de ton ennemi une fois Et méfie-toi de ton ami mille fois, Un ami peut se retourner contre toi Et savoir alors parfaitement te nuire.
Ibn l-Jawzi


Tu te méprends fortement...Quand tu te prends pour un Redoutable Prédateur...De tes plaisirs...Tu n'es tout simplement...Que la Vulgaire Proie...De tes désirs.

El Lobo Loco
p
2 avril 2014 14:10
"Nul n'est plus désespérément esclave que ceux faussement convaincus d'être libres"

Johann Wolfgang Von Goethe (1749-1832)

"Nous sommes en guerre contre les Etats-Unis, une guerre invisible sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort"

Aveu de françois mitterand peu de temps avant sa mort (pas sur...)


« Je vous apporte la peste. »

Sigmund Freud à son arrivée aux États-Unis.


"Qu'est-ce que le suffrage universel ? C'est l'élection du père par les enfants."
Mon journal, t. I, Léon Bloy, éd. Mercure de France, 1935, p. 19

"Un des inconvénients les moins observés du suffrage universel, c'est de contraindre des citoyens en putréfaction à sortir de leurs sépulcres pour élire ou pour être élus. Le Président de la République est probablement une charogne."
Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. Bouquins, 1999, p. 468


"(...) je me fous de la politique d'autant mieux que je suis installé, depuis des lustres, sur un pic intellectuel d'où le grouillement contemporain est à peine discernable."

Mon journal, Léon Bloy, éd. Robert Laffont, coll. Bouquins, 1999, p. 300

Léon Bloy



Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/04/14 14:11 par pseudonyme007.
p
2 avril 2014 14:12
"Dans les époques aristocratiques, ce qui a de la valeur n’a pas de prix. Dans les époques démocratiques, ce qui n’a pas de prix n’a pas de valeur."


"Après avoir discrédité la vertu, ce siècle est parvenu à discréditer les vices. Les perversions sont devenues des parcs suburbains que fréquentent en famille les foules dominicales."


"La seule différence entre riches et pauvres, aujourd’hui, c’est l’argent."


"Il ne faut pas désespérer de l’athée, tant qu’il n’adore pas l’homme."

NICOLAS GOMEZ DAVILA
p
2 avril 2014 14:15
« Les psychanalystes sont les égoutiers de l’âme ; l’odeur pénétrante de leur profession les suit jusque dans leur vie privée. » Arthur Koestler

"L'État possède le monopole de la violence légitime."
Max Weber (1864-1920), politicien et économiste allemand

"Chaque enfant est le nôtre."
Devise de l'UNICEF (United Nations Children's Fund)

"Pour pouvoir stabiliser la population mondiale, il serait nécessaire d'éliminer 350 000 personnes par jour. C'est une chose horrible à dire, mais c'est tout aussi horrible de ne pas le dire."
L'océanographe Jacques Cousteau (1910-1997), publié dans le Courrier, une publication de l'UNESCO (United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization)



Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/04/14 14:16 par pseudonyme007.
p
7 avril 2014 09:22
Les journalistes sont des prostituées intellectuelles

Quelle folie que de porter un toast à la presse indépendante ! Chacun, ici présent ce soir, sait que la presse indépendante n’existe pas. Vous le savez et je le sais : il n’y a personne parmi vous qui oserait publier ses vraies opinions, et, s’il le faisait, vous savez d’avance qu’elles ne seraient jamais imprimées. Je suis payé 250 dollars par semaine pour garder mes vraies opinions en dehors du journal pour lequel je travaille.
D’autres, parmi nous, reçoivent la même somme pour un travail semblable. Si j’autorisais la publication d’une opinion sincère dans un numéro quelconque de mon journal, je perdrais mon emploi en moins de 24 heures, comme Othello. L’homme suffisamment fou pour publier une opinion sincère se retrouverait aussitôt sur une route à la recherche d’un nouvel emploi.
La fonction d’un journaliste (de New York) est de détruire la Vérité, de mentir radicalement, de pervertir, d’avilir, de ramper devant Mammon et de se vendre lui-même, de vendre son pays et les siens pour son pain quotidien ou, mais c’est la même chose, pour son salaire.
Cela, vous le savez et moi aussi : quelle folie alors que de porter un toast à la presse indépendante !
Nous sommes les ustensiles et les valets d’hommes riches qui commandent derrière les coulisses.
Nous sommes leurs marionnettes ; ils tirent les ficelles et nous dansons. Notre temps, nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété de ces hommes.
Nous sommes des prostituées intellectuelles.

John Swinton, rédacteur en chef du New York Times, discours d’adieu à ses collègues, au cours d’un banquet en son honneur, à l’American Press Association – 25 septembre 1880



Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/04/14 09:22 par pseudonyme007.
p
7 avril 2014 09:23
Marcellin Berthelot
discours intitulé « En l'an 2000 » et recueilli dans Science et Morale (1897)


« Dans ce temps-là, il n'y aura plus dans le monde ni agriculture, ni pâtres, ni laboureurs : le problème de l'existence de la culture du sol aura été supprimé par la chimie. […] chacun emportera pour se nourrir sa petite tablette azotée, sa petite motte de matière grasse, son petit morceau de fécule ou de sucre, son petit flacon d'épices aromatiques, accommodés à son goût personnel ; tout cela fabriqué économiquement et en quantités inépuisables par nos usines ; tout cela indépendant des saisons irrégulières, de la pluie, ou de la sécheresse, de la chaleur qui dessèche les plantes, ou de la gelée qui détruit l'espoir de la fructification ; tout cela enfin exempt de ces microbes pathogènes, origine des épidémies et ennemis de la vie humaine. Ce jour-là, la chimie aura accompli dans le monde une révolution radicale, dont personne ne peut calculer la portée ; il n'y aura plus ni champs couverts de moissons, ni vignobles, ni prairies remplies de bestiaux. L'homme gagnera en douceur et en moralité […]. Dans cet empire universel de la force chimique […] la terre deviendra un vaste jardin, arrosé par l'effusion des eaux souterraines, où la race humaine vivra dans l'abondance et dans la joie du légendaire âge d'or. »

Marcellin Berthelot, Discours au banquet de la Chambre syndicale des Produits chimiques, le 5 avril 1894.
[fr.wikipedia.org]
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook