Je viens aujourd'hui car je suis à la recherche de soeurs qui pourrait m'apprendre l'islam et même juste rencontré d'autre soeurs car je n'en connaît pas malheureusement. Je suis convertie depuis mai et je ne connais pas grand choses. Mon mari me dis sans cesse de me faire des amies musulmanes mais je n'ose pas aller vers les soeurs peur de les déranger. Aider moi svp
Ah peur de déranger ? Tu eux que je te tire les oreilles !?
Ukhty le conseille l'entraide l'amour et j'en passe fait partie des préceptes de l'islam ne tinquiète pas sa nous fait énormément plaisir de s'entraider, nous somme soeurs fillah il n'y'a pas plus beau lien qui puisse relier un être humain c'est encore plus que les liens du sangs ! Par contre ukhty pour l'arabe il y'a parfois des soeurs qui font peut être des cours via skype a toi de te renseigner hihi. Etant maghrébine je ne parle pas UN mot d'arabe ce qui est triste ( Mais kheir in sha Allah avec la volonté d'Allah on parviens a nos fins
Si t'as des questions go mp je serais ravie de t'aider avec la permission d'Allah
Ukhty mon ordi a un gros problème donc je ne peut t'envoyer de mp donc je vais te l'envoyer ici
Alors alors c'est un sujet que j'étudie en se moment :
Le mariage en Islam est une loi de la vie et l'un des signes de la toute sagesse divine. Allâh 'azawajal dit :
30.20. C’est aussi un de Ses signes de vous avoir créés de poussière et fait de vous ensuite des êtres humains répandus sur la Terre.
30.21. Et c’en est un autre que d’avoir créé de vous et pour vous des épouses afin que vous trouviez auprès d’elles votre quiétude, et d’avoir suscité entre elles et vous affection et tendresse. En vérité, il y a en cela des signes certains pour ceux qui raisonnent.
Le mariage n'est pas une transaction commerciale ou un assouvissement éphémère, mais bien un gîte, un amour et une bonté qui engendre une progéniture pieuse. Il convient de s'arrêter un instant sur l'expression qur'ânique :"et d’avoir suscité entre elles et vous affection et tendresse", laquelle souligne que les deux époux se doivent d'observer ces sens sublimes dans leur vie de couple et de faire de l'affection (mawadda) et de la bonté (rahma) deux piliers fondamentaux; ils assurent aussi le bonheur et la félicité. Afin d'assurer une harmonie entre l'époux et l'épouse, l'Islam confère à chacun, des droits, qui respectés, constituent de l'aveu générale et unanime, la recette d'une vie de couple réussie
Je vais te detailler déjà les droits de ton maris sur toi :
Tu lui doit obeissance tant que cela n'engendre pas la désobeissance au Créateur :
« Je demandai à l'Envoyé de Dieu qui a plus de droits sur une femme. Il me répondit « son mari ». Je lui demandai : "Qui a plus de droits sur un homme ?" Il me répondit : « Sa mère. »
« Si j'avais ordonné à une personne de se prosterner devant une autre, j'aurais ordonné à la femme de se prosterner devant son époux.»
Tu t'imagine à quel point l'obeissance envers son mari est importante en islam mais cela ne veut pas dire que tu t'efface devant ton mari il faut montrer que tu a du caractère mais sans pour autant être agressive les hommes aiment les femmes de caractère
" Les épouses pieuses sont obéissantes et gardent dans l'absence ce que Dieu sauvegarde " [ Sourate 4 - Verset 34 ]
Par le fait « qu'elles gardent dans l'absence », il faut entendre qu'elles préservent leurs personnes et les biens de leurs maris. Tels sont les traits les plus nobles auxquels une femme puisse prétendre. C'est par la présence de ces traits chez l'épouse que la vie du couple perdure et réussit. Exemple si des membres de ta familles ou tes amis vienne chez toi tu doit faire en sorte qu'ils ne touchent pas au affaire de ton mari
On rapporte que l'Envoyé de Dieu a dit : « La meilleure des femmes est celle qui, lorsque tu la regardes, te réjouit, et qui, lorsque tu lui donnes un ordre, t'obéit, et qui, lorsque tu t'absentes, garde sa personne et préserve tes biens. »
Par exemple sur le fait de servir son mari cela n'est pas une obligation mais c'est mieu cela peut engendrer l'amour!
Aussi ukhty tu ne dois pas parler de tes problèmes de couple a ta famille a tes amis, tu ne dois nullement raconter aussi vos ébats sexuels car cela est interdit et tu risque de le payer dans l'au delà
« On m'a montré l'Enfer et j'ai vu que la plupart de ses habitants étaient des femmes qui avaient été ingrates envers leurs maris. Quand vous avez toujours été bons pour l'une d'elles et qu'elle voit de vous une seule chose qui lui déplaît, elle vous dit : "Jamais, jamais je n'ai rien vu de bon de ta part.» [ Rapporté par Al-Bukhârî ]
Etre reconnaissante envers ton mari. Quand on mari rentre du travail tu l'accueille chaleuresement par un petit baiser, sois souriante demande lui ce qu'il a fait de sa journée et épargne lui de raconter tes problème car la première chose qu'il a envie c'est de voir son épouse ! Sinon a force il ne voudra même plus rentrer a la maison sans oublier de se faire belle , parfumée maquillée
ALORS un point important
Al-Bukhârî, Muslim et Ahmad rapportent, d'après Abû Hurayra , le hadith suivant : « Lorsqu'un homme invite sa femme à partager sa couche, qu'elle refuse et qu'il passe la nuit irrité contre elle, les anges la maudissent jusqu'au matin. »[ Rapporté par Al-Bukhârî, Muslim et Ahmad ]
Explication concernant le hadith Ceci étant, une épouse ne doit obéir à son mari que si la demande de ce dernier est raisonnable, la règle voulant que « les créatures ne sont pas tenues d'obéir à un ordre, s'il s'agit de désobéir au Créateur », en sorte que si son ordre constitue une désobéissance, elle doit refuser de l'exécuter.
Toujours répondre a la demande du mari si il veut commetre un acte charnel sauf en cas de nécésité le mari se doit d'être aussi un peu reconaissant si il voit sa femme fatigué ou autre il pourrait quand même attendre quelle retrouve sa forme
Demander a ton mari pour accomplir le jeune surérogatoire sans sa permission le jeûne est nul
Fait également partie de l'obéissance due au mari, le fait qu'une femme s'abstienne d'accomplir le jeûne ou le pèlerinage surérogatoires ou sorte de chez elle, tant que son époux ne lui en a pas donné l'autorisation.
Abû Dâwûd at-Tayâlisi rapporte, d'après 'Abdallâh Ibn 'Umar , que l'Envoyé de Dieu a dit:
« Il est du droit du mari d'exiger de sa femme qu'elle ne se refuse pas à lui, fussent-ils assis sur une monture, et qu'elle ne jeûne pas un jour entier sans sa permission, à moins que ce ne soit un jeûne obligatoire. Si elle jeûnait malgré tout, elle commettrait un péché et son jeûne ne serait pas accepté. Il est également du droit du mari d'exiger de sa femme qu'elle ne donne rien de ce qui se trouve dans la demeure conjugale sans son autorisation. Si elle le faisait, il tirerait une rétribution divine de cela et elle se chargerait d'une faute. Elle ne doit pas non plus sortir du domicile du mari sans sa permission, si elle le faisait, Dieu la maudirait, ainsi que les anges de la colère, jusqu'à ce qu'elle se repente ou retourne chez elle, et cela, même si son mari est un injuste. »
Une femme doit refuser à qui déplaît à son mari l'autorisation d'entrer chez lui.
`Amr Ibn al-Ahwas al-Jushamî rapporte ces propos prononcés par le Prophète au cours du pèlerinage d' adieu, après qu'il eut glorifié Dieu et qu'il Lui eut adressé des louanges :
« Je vous invite à traiter vos femmes avec bienveillance. Elles sont comme des captives dans vos demeures et vous n'avez pas d'autre droit sur elles, sauf si elles commettent un acte répréhensible. Dans ce cas, cessez d'avoir avec elles des rapports conjugaux et heurtez-les sans les brutaliser ; mais si elles vous obéissent, ne leur cherchez plus querelle. Certes, vous avez des droits sur vos femmes de même qu'elles ont des droits sur vous. Vous êtes en droit d'exiger d'elles qu'elles refusent à ceux qui vous déplaisent l'autorisation d'entrer dans votre demeure et de s'y installer. Et vous devez en revanche assurer leur nourriture et leur habillement. »
Tu dois prendre soin de toi et de ta maison
Les épouses du Prophète et celles des Compagnons moulaient la farine, faisaient le pain, préparaient le repas, faisaient le lit, dressaient la table, et l'on n'a jamais entendu que l'une d'entre elles avait refusé d'accomplir ces tâches, ni que quiconque leur avait permis de refuser de les accomplir.
Déguiser la vérité dans l'interêt du conjoint
Préserver l'harmonie du couple et renforcer les liens conjugaux sont des fins qui justifient parfois que l'on déguise la vérité pour les atteindre.
On racontait à l'époque du califat de 'Umar qu'un certain Ibn Abî 'Udhra ad-du'alî répudiait les épouses avec lesquelles il se mariait, or, les femmes se mirent à parler de lui en des termes qui lui déplurent. Ibn Abî 'Udhra invita donc `Abdallâh Ibn al-Arqam à venir chez lui, puis il demanda à sa femme en présence de celui-ci : « Dis-moi la vérité ! Est-ce que tu me détestes ?
– Ne me demande pas de te dire la vérité, répondit-elle. – Pourtant je te le demande, insista-t-il. Dis-moi la vérité ! – Oui, je te déteste, rétorqua-t-elle. » Ibn Abî 'Udhra se tourna alors vers `Abdallâh Ibn al-Arqam et lui dit : « As-tu entendu ? » Aussitôt, ils allèrent trouver `Umar et Ibn Abî 'Udhra se plaignit : « Vous dites que je suis injuste à l'égard des femmes et que je les répudie ; demande donc à Ibn al-Arqam ce qu'il vient d'entendre. » Ibn al-Arqam ayant raconté à 'Umar ce qu'il avait entendu, ce dernier fit appeler la femme d'Ibn Abî 'Udhra, qui arriva avec une tante à elle.
Il lui demanda : « Est-ce toi qui dis à ton mari que tu le détestes ? –Oui, répondit-elle, et je suis la première à me repentir, mais il m'a demandé de dire la vérité et je n'ai pas voulu mentir. Dois-je donc mentir, ô Commandeur des croyants ? – Oui, tu le dois. Si l'une d'entre vous n'aime pas son mari, qu'elle ne le lui dise pas. Car, si les demeures conjugales qui sont bâties sur l'amour réciproque sont peu nombreuses, les gens peuvent toujours cohabiter ensemble au nom de l'islam et de la noblesse de l'ascendance. »
ALORS n'oublions pas que la femme a ses droit aussi !
Je vais te les citer in sha Allah
Le croyant qui a la foi la plus parfaite est celui qui a le meilleur caractère et les meilleurs d'entre vous, sont les meilleurs pour leurs épouses." Rapporté par Abû Dawoud et At-Tirmidhi, ce dernier le qualifiant de bon
Le Prophète indique dans ce hadith sublime que le bon comportement de l'homme à l'égard de son épouse révèle son élévation morale, la perfection de sa foi par rapport à celle de ses pairs ainsi que ses mérites; l'islam a été le premier à établir cette attitude morale honorant la femme, laquelle attitude se trouve être la chose dont s'enorguellit la civilisation moderne. Avant l'Islam, la femme était en Arabie ainsi qu'en Europe, humiliée et lésée dans beaucoup de ses droits. Les droits accordés à la femme musulmane par l'Islam sont tels que celle-ci peut s'en honorer face à ses semblables du monde occidental
L'Islam a recommandé à l'homme de supporter tout désagrément que lui causerait sa femme et d'être magnanime face à ses maladresses et ses emportements ; Allâh 'azawajal dit :
4.19. ش croyants ! Il ne vous est pas permis de vous attribuer des femmes par voie d’héritage contre leur gré . Ne les soumettez pas à des contraintes, dans le but de leur reprendre une partie de ce que vous leur avez donné, à moins qu’elles n’aient commis un adultère prouvé. Entretenez de bons rapports avec vos femmes , et si vous avez quelque aversion pour certaines d’entre elles, sachez que l’on peut avoir parfois de l’aversion pour une chose qui peut cependant être pour vous la source d’un grand bonheur.
Ce verset recommande aux hommes de ne pas s'emporter contre leurs femmes lorsqu'elle se conduisent mal et de ne pas rendre le mal par le mal pour ne pas succomber à ce qui conduit à la séparation; leur patience pourrait renfermer pour eux un grand bien.
II) L'indulgence face à ses imperfections :
Le Messager d'Allâh a recommandé au mari de ne pas ambitionner à ce que sa femme soit d'une perfection absolue, car elle pourrait avoir des qualités qui compensent ce qui risque de ne pas être à son goût. Le Messager d'Allâh a dit :
"Qu'un croyant ne déteste pas une croyante. Si l'un de ses côtés lui déplaît, elle lui plaira par un autre. " (Mouslim)
Du reste, le Messager d'Allâh recommande aux hommes d'être bons envers les femmes et d'observer à leur égard un comportement noble :
"Faîtes de bonnes recommandation en faveur des femmes, car la femme a été créée à partir d'une côte et la partie la plus tordue de la côte est sa partie supérieur. Si tu cherches à la redresser, tu la briseras et, si tu la laisses comme elle est, elle ne cessera d'être tordue. Aussi, faîtes de bonnes recommandations en faveur des femmes" (Al Bukhari et Muslim)
Ce hadith, pouvant être mal interprêté, nous préférons pour lever toute ambiguïté souligner l'explication qu'en fait l'auteur de "Tahrîr Al-Mar'a Fî 'Asr Ar-Risâla" Cela signifie tout d'abord que la nature de la femme diffère quelque peu de celle de l'homme, puis qu'elle contient quelque irrégularité. Pouvons-nous donc, en nous appuyant sur les faits, interprêter cette irrégularité comme une allusion à l'affectivité intense et à la sensibilité extrême des femmes, ainsi qu'à leurs rapides changements d'humeurs ? Le contraire de "tordu", c'est "droit" ou régulier : si la stabilité affective représente la régularité, une affectivité intense est au contraire signe d'irrégularité ; si dominer ses émotions est associé à la régularité, se laisser dominer par elles est associé à l'irrégularité. Or, la femme est particulièrement succeptible de se laisser dominer par ses émotions, avec pour résultatde prendre des décisions mal avisées ou d'agir ou de parler d'une façon peu appropriée. Son émotivité peut donner lieu à de brusques changements d'humeur... Cette variabilité peut irriter l'homme et susciter sa colère. Voir Encyclopédie de la femme musulmane, Tome 1, pp.270. Editions Al-Qalam, Paris, 1998, [NDT]
Dans la version de Muslim, le Messager d'Allâh a dit : "La femme a été crée d'une côte. Jamais elle ne se maintient sur une seule voie. Elle te comblera tout en demeurant tordue, et si tu cherches à la redresser, tu la briseras, autrement dit, tu la répudieras."
Les choses étant ainsi, l'homme doit tolérer ce qu'il peut constater chez sa femme comme aspects irréguliers, car aucune femme n'en est entièrement exempte. D'autant que les hommes eux-mêmes ne sont pas tous d'un comportement irréprochable. Que l'époux ferme donc les yeux sur l'ingrattitude qu'il peut, par moment, constater chez sa femme, et qu'il se rappelle cette parole du Messager d'Allâh :
"Il m'a été montré que vous (les femmes) formiez la majorité des gens de l'Ebfer. Lorsqu'on lui demanda : "Pourquoi ?" Il répondit : "Elles font preuve d'ingratitude envers leurs maris. Vous pouvez passer votre vie à faire du bien à l'une d'elles, si un jour elle trouve quelque chose à vous reprocher, elle vous dira :
"Jamais tu ne m'as témoigné la moindre bonté." (Rapporté par Al-Bukhari.)
III) Les dépenses
Le mari a l'obligation de nourrir sa femme, de lui assurer un logement décent et de ne pas l'astreindre à une vie de privation alors qu'il n'est pas dans la gêne.
Hakim Ibn Mu'awiyya Al-Quchayrî radhiaAllâhou'anhou a rapporté d'après son père :
"J'ai demandé au Messager d'Allâh : "Quels sont les droits de la femme sur son mari ? Il dit : "Il doit la nourrir quand il a de quoi la nourrir et la vêtir quand il a de quoi la vêtir. Il ne doit pas frapper sa femme au visage, ni lui souhaiter de devenir laide, ni la mettre en quarantaine en dehors de la maison" (Abû Dawoud)
Le Messager d'Allâh a dit à propos des dépenses en faveur de l'épouse :
"D'un dinar que tu as dépensé sur le sentier de Dieu, d'un dinar que tu as dépensé pour affranchir un esclave, d'un dinar dont tu as fait aumône à un pauvre et d'un dinar que tu as dépensé pour ta famille, le meilleur est celui que tu aura dépensé pour ta famille, car il te rapportera le plus grand salaire" (Muslim)
La femme et les enfants viennent en tête des membres de la famille dont la charge incombe à l'homme; c'est pourquoi le Messager d'Allâh a dit : "Il suffit pour l'homme comme péché qu'il manque au droit de ceux qu'il doit nourrir. (Abpu Dawoud et An-Nasaï)
IV) La juste mesure dans la jalousie
La jalousie qu'éprouve l'homme pour sa femme procède des hautes qualités caractérisant les hommes nobles; Le mari est cependant tenu d'observer la juste mesure en matière de jalousie. Le Messager d'Allâh a dit :
"Il est une jalousie que Dieu le Tout-Puissant déteste, c'est lorsque le mari est jaloux de sa femme sans raison" (Abou Dawoud et An-Nasaï)
Si tu vois, ô Mari ! Chez ton épouse ce que tu redoutes, avertis-la, mets la en garde et empêche-la d'y persévérer; car la prévention coupe la voie au mal, mais ne sois pas exagérément suspicieux et ne recherche pas à la surprendre dans une situation compromettante, car ce faisant tu la corromps.
Mais si son comportement t'inspire des doutes, tu es en droit de la surveiller et d'être jaloux, à condition d'observer la prudence; si tes soupçons s'avère fondés, sépare-toi d'elle sans ternir sa réputation, tu préserveras ainsi l'honneur de tes enfants et celui des siens.
V) Aider sa femme dans les tâches ménagères.
Le mari est tenu d'aider sa femme dans les tâches ménagères, notamment lorsque celle-ci occupe un emploi respectable pour aider son mari à supporter les dépenses du foyer; cela n'est pas un manquement au droit du mari, le foyer étant commun aux deux époux.
Le Messager d'Allâh sala llâhou 'aleyhi wa salam a montré l'exemple dans ce domaine également; en effet, Al-Aswad Ibn Yazîd radhiaAllâhou'anhou a dit :
"J'ai demandé à 'Aïcha radhiaAllâhou'anha : "Quel était le comportement du Prophète au sein de son foyer ? " Elle dit :" Il aidait sa famille, mais lorsqu'il entendait l'appel à la prière, il se dirigeait à La Mosquée. (Al-Buhari)
Le Prophète trayait ses brebis, réparait ses vêtements et ses chaussures, se servait lui-même, donnait à manger à la chamelle, partageait la nourriture du domestique, l'aidait à faire le pain et portait lui-même ses achats du marché à la maison.
L'un des compagnons du Prophète a dit : "Je n'ai jamais vu quelqu'un d'aussi bon envers sa famille que le Messager de Dieu "
Le mari ne doit être ni violent, ni dur dans ses rapports avec sa femme, au contraire il doit être affable avec celle-ci. Qu'il se rappelle cette parole du Messager d'Allâh :
"Le croyant qui a la foi la plus parfaite est celui qui a le meilleur caractère et est plus affable avec les siens." (Et-Tirmidhi)
VI) Se satisfaire de la progéniture qu'Allâh lui donne d'elle
Le droit de la femme sur son mari implique que celui-ci accepte les enfants qu'elle met au monde, fussent-ils garçons ou filles; il ne doit pas la maltraiter ni s'emporter contre elle si elle est stérile ou ne procrée que des filles, cela ne dépendant nullement d'elle mais de la seule volonté d'Allâh. Et que le mari ne perde pas de vue cette parole d'Allâh l'exalté :
42.49. ہ Dieu appartient le Royaume des Cieux et de la Terre. Il crée ce qu’Il veut. Il donne des filles à qui Il veut. Il donne des enfants mâles à qui Il veut,
42.50. ou à la fois des enfants, de sexe différent, et Il rend stérile qui Il veut. Il est Omniscient et Puissant.
Il y'a tellement de chose a apprendre sur le mariage je t'invite donc a te renseigner aussi sur ce site qui m'aide beaucoup aussi
( 
, parfumée maquillée 
chargement...
+ 
