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Realisations de M6, a vous les Pro-M6-Monarchie-executives
28 février 2011 22:29
Citation
Simple terroriste a écrit:
wikipedia et le copier/coller a encore de beaux jours devant lui visiblement... Heu

La même question posée à un libyen pro système aura les mêmes réponses... A savoir le manuel d'éducation nationale.
Quelqu'un a un doute sur l'objectivité de cette personne ?

c'est ca !!!

vas trouver tout ca sur wikipedia
t
2 mars 2011 21:31
Citation
lahlay9i a écrit:
L’INDH : redonner de la dignité et promouvoir l’égalité des chances

La fibre sociale de Sa Majesté le Roi Mohammed VI a imprimé magistralement sa marque au cours de cette dernière décennie. En effet, le chef de l’Etat a fait du développement humain un chantier de règne en mettant
l'être humain au centre de toutes les réformes et les actions entreprises.
Lancée le 18 mai 2005, l'Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH) est un grand chantier social du Royaume du Maroc. Elle vise à lutter contre la pauvreté, la précarité et l'exclusion sociale à travers quatre programmes : «La lutte contre la précarité», «La lutte contre la pauvreté dans le milieu rural», «La lutte contre l'exclusion en milieu urbain» et «Le programme transversal».
Initiative louable et perspicace, l'INDH est issue d'une vision globale pour l'édification d'un Maroc moderne. Une Vision Royale fondée sur la démocratie, l'Etat de droit et la justice, afin de gérer des réformes et des projets générateurs de progrès, de développement humain dans ses dimensions économiques, sociales et culturelles. Elle traduit également la Volonté Royale de donner aux couches sociales défavorisées la possibilité de se prendre en main et d’emprunter le chemin de la réinsertion socio-économique sans exclusion ni marginalisation. De ce fait, elle constitue une réponse idoine en matière de lutte contre toutes les formes de disparité et d’exclusion sociale en se fondant sur une approche novatrice de participation, de proximité et de ciblage mettant l'accent sur le renforcement des capacités des acteurs locaux.
Tout le monde s’accorde à dire que l'INDH a déclenché une dynamique exceptionnelle et vertueuse dans les quatre coins du Royaume en faveur du développement humain. Elle sied parfaitement avec les objectifs du millénaire ayant pour valeurs le respect de la dignité de l’Homme, la protection et la promotion des droits de la femme et de l’enfant, l'ancrage de la confiance des citoyens en l’avenir, l’implication et l’intégration de tous les citoyens dans le circuit économique du pays.
Multidimensionnelle, l'INDH n'a pas cessé de multiplier ses actions dans toutes les régions du pays à travers des actions de soutien aux activités génératrices de revenus, de développement des capacités, d’amélioration des conditions d'accès aux services et infrastructures de base (éducation, santé, culte, route, eau et assainissement, protection de l’environnement etc.) et des actions de soutien aux personnes vulnérables.
L’INDH s’appuie sur une démarche déconcentrée qui respecte les principes de participation, de planification stratégique, de partenariat et convergence des actions et de bonne gouvernance.
INDH
L'INDH est incontestablement sur les bons rails. Les acquis sont très perceptibles tant au niveau de l'amélioration des conditions de vie et de l'activation du tissu associatif qu’au niveau de l'adoption de la population de ses projets et la mise en place des mécanismes de bonne gouvernance.
Les chiffres sont éloquents et témoignent de la réussite de l’initiative. L'implication des acteurs locaux a déjà donné ses preuves. En atteste le taux de financement qui évolue au fil des années. D’autant plus que les mécanismes de gouvernance ont donné leurs fruits à travers la mobilisation de plus de 11.000 hommes et femmes dans le cadre de différentes commissions de développement humain ainsi que les groupes d'animation des quartiers et des communes.
Les perspectives de 2009 et 2010 sont axées sur l'amélioration de la qualité de vie et la promotion de l'élément humain ainsi que sur la pérennité des acquis.
Le développement humain et social est, aujourd'hui plus que jamais, au cœur des stratégies nationales. Les projets d'infrastructure et d'assistance ont cédé la place à des programmes de développement social et territorial avec une participation communautaire.
L'INDH est passée par deux phases clefs : le programme prioritaire 2005 et le programme INDH au titre de la période 2006/2010. La première s'assignait pour objectif le ciblage des régions, l'adoption des programmes et le suivi de tous les intervenants tandis que la deuxième est plutôt axée sur le renforcement des mécanismes de la bonne gouvernance et la réalisation des projets.
Les différentes préfectures et provinces du Royaume disposent désormais d'un cadre institutionnel et opérationnel définissant les objectifs, tant généraux que particuliers, afin de veiller à élaborer des projets qui répondent à la méthodologie participative et intégrée de l'INDH.
Sur le plan organisationnel, les efforts se sont traduits par l'élaboration des textes de base de l'INDH, l'instauration de l'ensemble des organes de gouvernance, la mise en service d'un système d'information et de suivi des projets de l'INDH, le lancement du site web INDH visité par des milliers d'internautes, la mise en
INDH
place du réseau d'experts et de l'Observatoire National de Développement Humain créé le 21 juillet 2006, la production et la diffusion des manuels de procédures, l'élaboration de la stratégie de communication et du plan de formation et de renforcement des capacités
En outre, l'INDH a apporté un diagnostic renouvelé des politiques publiques menées dans ce domaine et une nouvelle manière d'approcher les problèmes de pauvreté, d'exclusion et de précarité. Un financement de 10 milliards de dirhams étalé entre 2006-2010, dont 6 milliards du budget général de l'Etat, deux milliards des collectivités locales et deux milliards dans le cadre de la coopération internationale, a été consacré à ce grand projet.
L'importance de l'Initiative Royale et sa force résident dans le fait qu'elle offre à la société civile l'occasion de proposer des projets, des idées et des conceptions dans les domaines économique, social et culturel à des comités spécialisés sur les plans local, provincial ou national.
Le résultat est très probant, avec une myriade de projets et de grandes réalisations, l’INDH est arrivée à libérer les initiatives locales en associant le tissu associatif à travers des projets générateurs de revenu ciblés territorialement. Améliorer les conditions de vie du citoyen marocain et œuvrer pour la réalisation d'un développement humain, durable, harmonieux, équilibré et au service de la cohésion sociale du Royaume, sont autant d’objectifs assignés à ce grand chantier de règne qu’est l’INDH.

En jetant un coup d oeuil sur les statistiques, je me rend =compte que vous avez tt a fait raison, le maroc en 2005, 2006, 2007 et 2008 le maroc se situait a peu pres au rang: 126 ou 130 mondialement dans le developement humain

maintenant, on vient au 2009 ou bien 2010 et du coup le maroc se situe au rend 114, le rapport meme dientifie le maroc comme l un des pays qui ont relaise une grosse amelioration en 2010, maintenant, la question qui se pose:

Les marocians habitant au maroc ont vriament note une nette amelioration au niveau du devleopement humain pendant l annee 2010, un progres et des realisations nettement plus importantes et tres remarquable ou bien s agit il tout simplement du au fait que le Maroc a presente des fuax chiffres et a joue sur ces chiffres.

Un autre exemple: regardez ici:

[www.photius.com]

on classe que la couverture de sante et systeme de sante au Maroc est mieux que celui du canada, la finlande, l Iran...etc alors qu on sait tous la qualite du systeme de sante auquel la majorite des marocains ont acces: des dras salles avec du sang, des medecins qui n ont memem pas un ordinateur, on parle meme pas de recuperer votre dossier par ordinateur et envoyer celui ci aux autres medecins referes par email, la corruption, l incompetence, l ambulance qui n a meme pas de gazoille



Est ce qu au Maroc on rappelle les patients de la part de l hopital pour leur rappeler leur rendez vous, est ce que les medecins envoie votre prescriptios et votre dossier a la pharmacie par Internet et la pharmacie voit le tout immediatement? car c est ce qu on fait au Canada qui est mal classe que le Maroc

Au canada, les gens ne paient rien pour le medecin, aucun medecin ne peut avoir de l argent comptant, sauf les psychologues et paramedical...etc

Au canada j ai jamais vu un patient filer 5$ a l infirmiere ???

les ambulance arrivent sur le champ si il y a qq un qui tombe ds la rue, 3 ambulances , 2 ou 3 voiture de police ds un laps de temps de 2 minutes maximum

Au canada, on nous dit pas il faut aller a la capitale ou a une grande ville rien que pour faire un scanner de rien du tout, des scanners, des radios...etc tout ca est present presque a tous les hopitaux meme les hopitaux de la compagne, est ce le cas au maroc ou bien encore dans les petites villes: arraddio khassarr et datent de 1977

S.V.P on parle du systeme auquel la majorite du peuple ont acces et non pas un systeme auquel seulemtn 5% ou 10% du peuple a acces

bref, parlons de ces chiffre de merde, d ou est ce qu ils recuperent ces statistiques, qui leur alimentent ces chiffres ???
3 mars 2011 15:08
ça se voit que vous êtes du Makhzen vous.
Vous utilisez le même language de Merda ou bien Ssimi.
C'est cela ce qu'on voua a appris !

Voilà, j'affiche ma carte Monsieur Lamkhazni, je suis Directeur des Opérations d'intégration des solutions CRM/GED chez un grand Opérateur Telecom français.

Allez y, répondez moi.
3 mars 2011 15:12
Révolutions arabes : le Maroc est-il une exception ?

Portés par l'élan des tunisiens et des égyptiens qui ont renversé leurs dirigeants dictateurs et autocrates et les systèmes mis en place par ces derniers, une certaine contestation populaire apparaît au Maroc (où tous les ingrédients sont réunis pour une contestation sérieuse : misère, inégalités sociales, chômage massif des jeunes, corruption, absence de démocratie, etc.) pour réclamer une modification en profondeur de la constitution et amorcer une nouvelle ère politique. Les autorités marocaines répondent que la situation y est différente car un processus "irréversible" de démocratisation est en cours et que la liberté d'expression existe à l'exception de trois sujets tabous : la monarchie, la religion et le Sahara. En réalité, derrière une apparence de démocratie, le système politique marocain correspond à une monarchie autocratique qui dirige et contrôle à peu près tout.
UNE DÉMOCRATIE DE FAÇADE
Pour affirmer que le Maroc est lancé dans un processus démocratique, plusieurs leurres sont mis en avant. Tout d'abord, la constitution de 1996 (adoptée par référendum avec un oui à plus de 99 % !) affirme que "le Maroc est une monarchie constitutionnelle, démocratique et sociale" et que les citoyens disposent des libertés d'opinion et d'expression, sous réserve de limitations apportées par la loi ! Ensuite, il est mis en avant que les dernières élections législatives ont été libres. Les résultats des scrutins correspondent globalement aux votes réellement exprimés et les partis ont présenté globalement les candidats qu'ils souhaitaient. D'ailleurs, il est invoqué que le Maroc connaît depuis l'indépendance le multipartisme. Enfin, de nombreux journaux sont publiés et plusieurs radios émettent. Ainsi, les principaux critères déterminant une démocratie sont remplis et permettent aux autorités publiques d'affirmer que le Maroc est lancé dans un processus de démocratisation. Mais derrière cette apparence, se cache le fonctionnement d'un régime assez autoritaire. Certes, il ne s'agit pas de la Corée du Nord ni de la Lybie, mais le pouvoir est exercé par un seul homme, le roi, assisté de conseillers, plus ou moins influents et éclairés. On peut critiquer le gouvernement, les parlementaires, les élus locaux et les préfets, mais c'est pour mieux interdire toute critique du roi !
Le roi règne et gouverne seul. Au terme de la constitution, il est le chef de l'Etat, des armées et des croyants. Ainsi, en tant que commandeurs des croyants disposant de quasiment tous les pouvoirs politiques, cette constitution établit une monarchie de droit divin. En outre, par la constitution, il dispose d'un pouvoir de nomination très large : il nomme et révoque librement et discrétionnairement le premier ministre et les ministres, les ambassadeurs, les Walis et gouverneurs (préfets), les directeurs d'établissements publics et des autorités administratives, etc. A peu de chose près, il nomme qui il veut, quand il veut et au poste qu'il veut ! Il peut dissoudre discrétionnairement et librement chacune des assemblées du parlement. Il promulgue les lois et peut demander le réexamen d'un projet de loi.
Au-delà du terrain politique, la monarchie occupe le terrain économique. Au travers d'une holding qu'il contrôle, l'Omnium nord africain (ONA), le roi, et plus largement la famille royale, contrôle de nombreuses entreprises (Wana, troisième opérateur téléphonique du pays, Attijariwafa Bank, première banque du Maroc et septième d'Afrique, etc.). L'ONA intervient par ailleurs dans d'autres secteurs (agroalimentaire, assurance, immobilier, distribution : les voitures Peugeot et Citroën sont commercialisées via une société contrôlée par l'ONA qui est par ailleurs actionnaire de Lafarge Maroc). Ainsi, avec l'ONA, Attijariwafa Bank et la Caisse des dépôts (dont le directeur général est nommé par le roi), une partie importante de l'économie est contrôlée par le palais.
LA LÉGITIMITÉ DU ROI N'EST PAS DISCUTABLE
Au terme de la constitution, la personne du roi est "sacrée et inviolable" et aucun membre du parlement ne peut remettre en cause le régime monarchique ni porter atteinte au "respect dû au roi". Ainsi, toute critique des faits, gestes ou paroles du roi et de la famille royale, est interdite. Au-delà de cette légitimité indiscutable, le système organisé par le palais empêche tout contre-pouvoir, en discréditant la classe politique et la justice et en contrôlant les médias. Les partis politiques ne remplissent pas vraiment leur rôle d'établir des projets de société, de structurer le débat politique, de militer et de s'opposer au gouvernement pour ceux qui sont minoritaires. La très grande majorité d'entre eux, avec leurs leaders, sont compromis dans le système imposé par le roi. En effet, l'absence de parti majoritaire au parlement (le premier parti compte environ 50 députés pour une assemblée de plus de 300 députés ), fait que sept partis sont représentés au gouvernement, des anciens communistes, aux conservateurs, en passant par les socialistes.
Depuis quinze ans, tous les gouvernements sont "composés" de représentants de plusieurs partis, de gauche et de droite. L'objectif est de faire participer, ou compromettre, le plus de partis possible pour qu'ils ne constituent pas une force d'opposition alternative à la politique poursuivie. Il s'agit de diviser pour mieux régner. Le discrédit vient aussi du fait que les partis historiques d'opposition – le parti de l'Istiqlal et l'l'Union socialiste des forces populaires (USFP) – et leurs leaders sont aujourd'hui de fidèles serviteurs du roi. Ces partis, qui ont été dans l'opposition contre Hassan II durant plus de trente ans, ont accepté en 1997 de former un gouvernement de coalition aux conditions fixées par ce dernier, les mêmes qu'ils avaient refusé quatre ans auparavant. Depuis, ils ont participé à tous les gouvernements devenant ainsi la caution du système (malgré des dissensions internes, notamment à l'USFP) !
Par ailleurs, beaucoup (pas tous) d'hommes politiques ne poursuivent pas un engagement et une conviction politique, mais une carrière et des intérêts personnels. Certains entretiennent des liens étroits avec des conseillers influents du roi et sont soupçonnés de prendre leurs instructions auprès du palais, avant d'agir dans leur parti. Les conditions dans lesquelles a été formé l'actuel gouvernement illustrent cela : des personnalités ont été choisies pour y entrer, non pas en raison de leur appartenance à un parti politique, mais grâce à leur proximité avec certains conseillers du roi. Cela a été ensuite habillé politiquement en les faisant adhérer, deux ou trois jours avant l'annonce de la composition du gouvernement, dans un parti politique, afin d'affirmer que ce gouvernement est le fruit du jeu politique "naturel" et du résultat des élections.
SOUPÇONS DE CORRUPTION
Le discrédit s'explique enfin par le fait que les élus et le gouvernement ne choisissent pas la politique menée. Les orientations politiques et les projets importants sont déterminés par le palais, et le gouvernement exécute les "directives royales". Une démocratie ne peut être et fonctionner que si la justice est indépendante, que si la loi s'applique à tous de manière égale et que la justice est rendue sans favoritisme. Au Maroc, ce n'est pas toujours le cas. Il n'est pas rare de lire dans la presse que des poursuites pénales sont initiées par un procureur suite à la colère du roi contre tel ou tel commis de l'Etat dont le roi soupçonne (parce qu'on le lui a soufflé à l'oreille) une malhonnêteté. Curieusement, la machine judiciaire a plus de mal à s'enclencher indépendamment du roi ou de ses conseillers. Plus généralement, c'est tout l'appareil judiciaire qui est décrédibilisé par des soupçons de corruption.
L'existence de plusieurs journaux, radios et chaînes de télé donne l'illusion d'un pluralisme. Il ne faut pas s'y tromper : si au début des années 2000, ces médias ont initié un début de liberté de ton, révélant et dénonçant les années de plombs de l'époque Hassan II, ils ont payé le prix de leur "audace". Aujourd'hui, plus aucun média ne s'aventure à critiquer les décisions et paroles du roi ou de ses conseillers les plus proches. L'intimidation se fait par la poursuite en justice de ces médias en "dictant" des peines d'amendes très lourdes contre ces journaux, afin de les asphyxier financièrement. D'autres méthodes sont utilisées : blocage des comptes bancaires, saisie du matériel de travail, jugement d'interdiction d'exercice de la profession de journaliste, etc., et appel des différents annonceurs pour les dissuader de diffuser leurs publicités dans ces journaux. Certains de leurs fondateurs ont été contraints de quitter la profession et le Maroc. Aujourd'hui, les médias sont contrôlés étroitement et tout écart de langage est sanctionné !
En conclusion, un pouvoir concentré essentiellement entre les mains d'un seul homme qui n'a de compte à rendre à personne, une classe politique et un appareil judiciaire discrédité et une presse verrouillée. Voici la réalité de la "démocratie" marocaine. Parler de processus démocratique n'est donc pas très sérieux ! Il est dans l'intérêt de la monarchie d'écouter la contestation actuelle et d'accepter que la constitution soit substantiellement réformée pour que le roi règne sans gouverner. La monarchie montrerait qu'elle a compris les événements et le sens de l'histoire. Juan Carlos l'avait compris en 1975.
w
3 mars 2011 15:54
réalisations de m6 : pour sa propre personne(sa propre fortune) ou pour le maroc ?

je pense qu'il faut différencier les deux...sauf s'i on continue de penser que le maroc lui appartient !

et dans ce cas là je ne peux que dire,, vive le roi : âche almalik ,allah ynsar almalik ;oulli darha sidna mazyana ...
3 mars 2011 16:21
Votre niveau est vraiment très bas.
En gésticulant avec quelques mots appris aux bancs de l'école du colonisateur, vous croyez apporter des réponses à ce que votre peuple éspère de tout son coeur.
L'hisoire seule vous provera que vous êtes hors jeu et en marge des aspirations populaire de ce peuple digne et généreux qui ne demande que sa dignité et sa liberté dans le respect totale de son histoire et sa culture.
S
3 mars 2011 16:34
Citation
Abdounti a écrit:
Votre niveau est vraiment très bas.
En gésticulant avec quelques mots appris aux bancs de l'école du colonisateur, vous croyez apporter des réponses à ce que votre peuple éspère de tout son coeur.
L'hisoire seule vous provera que vous êtes hors jeu et en marge des aspirations populaire de ce peuple digne et généreux qui ne demande que sa dignité et sa liberté dans le respect totale de son histoire et sa culture.

Encore un donneur de leçons... angry smiley

Votre niveau est vraiment très bas : 1ère insulte.
En gésticulant : 2nd insulte.
mots appris aux bancs de l'école : 3ème insulte.
du colonisateur : 4ème insulte.
vous êtes hors jeu : 5ème insulte.
en marge des aspirations : 6ème insulte.

Au vu du nombre de provocations constaté, crois-tu toujours que c'est les autres qui ont appris quelques mots aux bancs de l'école ?
Allez, je me calme. whistling smiley



Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/03/11 16:37 par Simple terroriste.
Je ne prétends pas détenir LA vérité, je revendique simplement que personne ne la détient.
G
3 mars 2011 16:35
Citation
Abdounti a écrit:
dignité

C'est exactement ce que le peuple demande. En 12 ans M6 n'a pas livré la marchandise.
Son nonveau concepte de de l'autorité est un flop total. On fait quoi a partir de la? On lui accorde un autre 12 ans?



Modifié 2 fois. Dernière modification le 03/03/11 16:36 par Ghiwani0.
4 mars 2011 17:27
oh la la comme dit l'autre thal likoum al foume, remerciez le bon dieu qui vous a donné un pays stable et vous voulez foutre la merde. Vous avez quelqu'un meiux que lui pour réunir les marocains. Et comme qui?
Moi, peut que j'ai l'âge de vos mères ou vos grand-mères au jour d'aujourd'hui, j'ai vu des leader arrivaient au Maroc promettant monde et merveille et dès qu'il ont eu le pouvoir il n'ont fait que grossir le chiffre de leur compte en banque, c'est dans l'être humain.
Apparemment, vous êtes pour la plupart à l'étranger, et vous avez fait des études, alors pourquoi vous n'êtes pas revenus au Maroc pour le construire et partagé le meilleur et le pire avec vos compatriotes. Chacun a préféré son petit confort , c'est facile de parler et critiquer derrière son clavier, allez sur le terrain, retroussez vos manches et construisez le Maroc. Montrez ce que vous avez dans les tripes et on pourra un jour vous confier le destin du Maroc.
Pourquoi, vous voulez vous attaquez à la seule personne au Maroc qui travaille.
Pour ceux qui habitent au Maroc qui se plaignent et qui ne font rien, allez y vous aussi, si vous voyez un fonctionnaire touché rachoi dénoncer le, si un élu ne fait pas son travail dénoncez le et si le voisin jette la poubelle dans la rue, empechez le ou peut être vous faites toutes ces choses vous même Le roi ne vas pas travailler à la place de tout le monde, et en plus vous n'êtes même pas satisfait.
Hamdou lah bi li 3takoum ou chamrou 3la draw3koum ou khadmou al maghrib rah daba rabi ytayr 3likoum al baraka ou tnadmou hta 3la had nhar.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/03/11 16:29 par hamamabayda.
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