Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Le Dajjal est déjà la
h
9 mars 2010 22:03
Dans un autre hadîth, il est dit que les femmes iront vers lui avec fougue. S''il était vraiment moche et terrorisant, celles-ci ne fuiraient pas vers lui. Donc il pourrait aussi être attrayant avec ses yeux bleus et sa belle taille (de Marines US).

Dans un autre hadîth, il est dit que les gens iront le fuir dans les montagnes. On ne fuit pas un homme isolé dans les montagnes et les grottes, sauf si c'est une force qui a une puissance de frappe et un feu terribles (wa maahou naar). Rappelez-vous de Tora-Bora!
Dans toutes les guerres de libération, les résistants prennent le maquis et la montagne pour se défendre contre les bombardements aériens et terrestres et c'est le cas ici aussi avec Addajjal.
Si c'était vraiment un homme, on n'aurait pas besoin d'allez se cacher dans les montagnes. Une motte de foin suffira.

Est-ce qu'il est possible aussi qu'il fasse le tour de la terre en 40 jours avec son âne!!!!!!!!!!
La vitesse moyenne d'un âne est en de 10 à 15 km/h, faites votre calcul selon la circonférence terrestre qui est d'environ 40000km et vous me rendrez une réponse logique, je dis bien logique!

La durée de sa vie sur terre n'est pas aussi évidente, car il y a d'autres hadîth sihah, qui parlent de 40 ans aussi (Sortez-les, ne cachez pas ce qui ne vous arrange pas!)

D'ailleurs un grand Alem et faqih a expliqué le hadith d'un jour comme une année, un jour comme une semaine, etc, d'une façon extraordinaire, en disant que le Prophète (slps) parlait d'une année d'Allah qui vaut mille de nos ans. Il a fait un calcul extraordinaire de telle façon qu'il est tombé sur le règne de L'empire britannique, qui a donné plus tard le flambeau à l'empire américain et il tombait en fin sur le 11 septembre 2001! Extraordinaire comme découverte. Le frère Casatoulouse connait le lien de ce Dars, il pourra le mettre sur ce poste s'il le désire.Il le remercie d'avance.

Wallahou Aalam.
N
9 mars 2010 22:05
" ÊÛÒæä ÌÒíÑÉ ÇáÚÑÈ ¡ íÝÊÍåÇ Çááå ¡ Ëã ÊÛÒæä ÝÇÑÓ æíÝÊÍåÇ Çááå ¡ Ëã ÊÛÒæä ÇáÑæã ÝíÝÊÍåÇ Çááå ¡ Ëã ÊÛÒæä ÇáÏÌÇá ÝíÝÊÍåÇ Çááå " [ ÑæÇå ãÓáã ]

assalaam,

est-ce que tous ces evenements n'ont toujours pas eu lieu ? et je m'excuse pour cette question pas tres brillante.

baaraka llahou fiik,
h
9 mars 2010 22:14
les caractères arabes n'apparaissent pas sur ce post, essaye de réecrire ta phrase.
N
9 mars 2010 22:16
il suffit de changer le codage en appuyant sur la droite de la souris.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 09/03/10 22:17 par casatoulouse.
h
10 mars 2010 01:04
Salam alaikoum cher frère Casatoulouse.

Une bonne question que tu poses là.
Citer une série de conquêtes ne veut pas forcément dire qu"elles se déroulent rapidement l'une après l'autre, il se pourrait, comme je l'ai déjà dit à plusieurs reprises que ces évènements soient séparés par des siècles. Il y a deux avis sur ce sujet, que je partage aussi avec certains Ulémas et les deux peuvent être complémentaires, ne s'annulent pas et ne sont pas contradictoires:

1/ La conquête de l'Arabie au temps du Prophète (slps) après la victoire sur Qoraish.
2/ La conquête de la Perse au temps du Calife Omar Ibn El-Khattab, que Dieu l'agrée, après la victoire d'El-Qadissia et de Nahawend (Saad Ibn Abi Al-Waqqas)
3/ La conquête de Constantinople ou Rome l'orientale, du temps des Ottomans.(1453).

Dans ce cas, il existe la suite de ce hadîth, qui dit qu'Addajal n'apparaitra qu'après fath el Qastantinia, et c'est extraordinaire comme révélation, car le nouveau monde, qui n'était pas connu à l'époque, soit l'Amérique, n'a été découverte que 40 ans après la conquête de Constantinople.Remarquez bien la durée de 40 ans, laquelle a une grande signification en Islam. Ce Nouveau monde est celui-là même que Tamim Eddar a vu dans son rêve et l'a raconté au Prophète (slps), à tel point que les gens croyaient qu'il avait vraiment fait ce voyage aux confins de l'occident.Il avait vu alors un dajjal symbolique ligoté, etc.
4/ La conquête de l'Amérique et de la Maison-Blanche par l'Imam El-Mahdi et son allié, Jésus fils de Marie alaihi essalam.


La 2e version des explications est celle-ci:
1/ Reconquête de l'Arabie par l'Imam El-Mahdi, car de nombreux hadiths le disent, ce n'est pas moi qui le dit.
2/ Reconquête de l'Iran.
3/Reconquête d'Istanbul et de la Turquie par le même Mahdi
4/ Conquête de l'Amérique, comme je l'ai noté plus haut.

Comme je l'ai précisé, les 2 versions sont complémentaires et non antinomiques.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 10/03/10 01:06 par hamid2660.
h
10 mars 2010 01:44
D'arabie viendra le salut et le rayonnement religieux, ainsi que du Cham. L'Islam a commencé là et il va revenir de là, et pas d'autre part. A vous, ce site intéressant et évolué:

[www.7la-ksa.com]
10 mars 2010 16:11
Salam Hamid,

et une petite question, que pense tu de Gog et Magog, moi j'ai toujours pensé que ce sont des hommes puissants qui creusent dans la montagne et le jour où ils diron Inchalah la montagne s ouvriront et ils sortiront de leur trou.

Comment tu interprete ça?
h
10 mars 2010 22:04
Salam Alaikoum

Gog et Magog sont, on ne peut plus, la puissance asiatique, qui s'est réveillée ces dix dernières années, notamment la géant chinois, qui commence déjà à envahir le monde économiquement, avant son invasion militaire. Cette puissance asiatique (l'empire jaune), ira donc supplanter l'empire blanc d'Addajjal (l'empire americano-européen).

Jamais au grand jamais de petits lutins qui grignotent le sol avec leurs mains et leurs dents pour sortir de sous-terre. Imaginer ceci, c'est sous-estimer la révélation divine, la grandeur et l'évolution du Message divin (slps). D'ailleurs la plupart des Ulémas anciens et contemporains s'accordent à dire que Gog et Magog est l'empire asiatique et un chercheur a même écrit que dans la langue chinoise la plus parlée, ya veut dire Asie et jouj veut dire continent, soit continent asiatique. Quant à ma jouj cela veut dire continent des chevaux, en relation avec le pays des Mongols.

L'EMPIRE ASIATIQUE EST EN DÉVELOPPEMENT MATÉRIEL EFFRÉNÉ. Les Chinois notamment, sont partout dans le monde, en Asie bien sûr, Afrique, Europe, Amérique,etc. Ce sont les éclaireurs et l'avant-garde de l'empire qui s'en vient. La marchandise chinoise commence a remplacer celle de l'Occident et la consommation d'énergie va crescendo. Une fois que la Chine sera incapable de faire vivre les 2 milliards de ses citoyens, c'est l'invasion militaire! C'est pour cela que les Occidentaux ménagent la Chine et la laissent faire ce qu'elle veut. Ils connaissent mieux que quiconque la vérité que peu de gens connaissent.


Ceux-ci consomment de plus en plus les ressources hydriques, les ressources énergétiques, etc..et sont de ce fait de grands pollueurs. C'EST POUR CELA QUE LE MESSAGER DE DIEU A MONTRÉ qu'ils boiront toute l'eau qui sera à leur portée et consommeront tout ce qui se trouve aux alentours. L'avant-signe de leur percée est la chute de pans entiers de la muraille de Chine, par un séisme ou des grosses inondations.
h
10 mars 2010 22:37
un lien intéressant:


[www.hdrmut.net]
h
10 mars 2010 22:38
N
12 mars 2010 00:05
assalamou 3alaykoum,

quelle pourrait etre l'interpretation de ce hadith ??

æÑÏ Ýí ÕÍíÍ ÇáÈÎÇÑí ÑæÇå ÃÍãÏ æÃÈæ ÏÇæÏ æÇÈä ãÇÌÉ æÇÈä ÍÈÇä Úä Ðí ãÎãÑ ÑÖí Çááå Úäå æÕÍÍå ÇáÃáÈÇäí Ýí ÊÍÞíÞå áÃÍÇÏíË ÇáãÔßÇÉ Ãä ÑÓæá Çááå Õáì Çááå Úáíå æÓáã ÞÇá: "ÓÊÕÇáÍæä ÇáÑæã ÕáÍÇ ÂãäÇð¡ ÝÊÛÒæä ÃäÊã æåã ÚÏæÇð ãä æÑÇÆåã¡ ÝÊÓáãæä æÊÛäãæä. Ëã ÊäÒáæä ÈãóÑúÌ Ðí Êóáæáú ÝíÞæã ÑÌá ãä ÇáÑæã ÝíÑÝÚ ÇáÕáíÈ æíÞæá: ÛóáóÈó ÇáÕáíÈ¡ ÝíÞæã Åáíå ÑÌá ãä ÇáãÓáãíä ÝíÞÊáå ÝíÛÏÑ ÇáÑæã æÊßæä ÇáãáÇÍã¡ ÝíÌÊãÚæä áßã Ýí ËãÇäíä ÛÇíÉ (ÑÇíÉ Ãæ ÏæáÉ) ãÚ ßá ÛÇíÉ ÅËäÇ ÚÔÑ ÃáÝÇð".

BAARAKA LLAHOU FIIK,
h
12 mars 2010 02:27
salam alaikoum


« Vous ferez la paix avec les Romains : une paix sécuritaire , alors vous envahirez (ensemble) un ennemi derrière vous. Vous vaincrez, vous prendrez des butins et vous serez épargnés (sains et saufs), ensuite vous descendrez à « Marj Dhi Taloul », et un chrétien lèvera la croix et dira : « la croix a vaincu ! » Un homme faisant partie des Musulmans se mettra alors en colère et la brisera, et à ce moment là, Rome trahira et se préparera à l’épopée… »

A notre avis, la classification de ce Hadît dans le Livre d’Abou Daoud, tout juste derrière celui d’Al-Mansour, l’homme qui doit sortir de derrière le fleuve , ne serait pas fortuit, car il semblerait qu’à travers cet arrangement, le narrateur veut nous faire comprendre que l’ennemi situé derrière la ligne de front des gens d’Arabie, auxquels s’adresse le Prophète, ne serait en aucune façon l’ennemi de Dieu, mais plutôt l’ennemi de la coalition arabo-occidentale dans la dernière guerre du Golfe, en l’occurrence l’Irak. Cet adversaire est situé derrière (la ligne de front) des gens d’Arabie, d’après le propre du Hadît, et il est donc situé au-dessus de l’Arabie , soit au nord de ce pays et derrière cet aspect se profile encore l’Irak, qui se trouve effectivement « derrière » le fleuve Euphrate, comme il est notifié dans le « Hadît d’Al-Mansour », d’autant plus que ce personnage est le bâtisseur de la ville des mille et une nuits : Bagdad la millénaire, laquelle est située sur les bords du fleuve Tigre ! Ce Hadît dit en substance :

« Un homme appelé El-Hareth Ibn Harrath, sortira de derrière le fleuve. A son avant-garde un homme appelé Mansour, qui raffermira la famille de Mohammad, tout comme Qoraïch avait raffermi le Messager de Dieu (slps) Il est du devoir de chaque croyant de l’assister »

Il est donc assez troublant de retrouver ici les mêmes termes qui régissent aujourd’hui même les relations occidentales avec l’Arabie Saoudite, ses satellites du Conseil de Coopération du Golfe, l’Egypte, la Jordanie et les pays du Maghreb, hormis la Libye ! Pour fixer les idées, nous tenons à souligner que le Prophète (slps) a dit : « Bientôt ceux des routes (les Irakiens) ne recevront ni leur part de farine, ni argent (…), de la part des Non-Arabes… »
N’est-ce pas l’embargo qui a été imposé à la Mésopotamie par la coalition occidentale et ses suppôts musulmans de la région ? ! L’invasion du sud de l’Irak, après la « libération du Koweït » par la coalition arabo-occidentale : « alors vous envahirez (ensemble) un ennemi derrière vous », a dit le Prophète (slps), la victoire militaire : « vous vaincrez », la prise de butins divers comme l’armement irakien abandonné pendant la retraite, son pétrole volé pour le remboursement des dommages de guerre, son argent gelé dans les banques arabo-occidentales.. : « Vous prendrez des butins » et la sortie des contingents arabo-saoudiens sains et saufs de cette terrible confrontation : « et vous serez épargnés », entrent dans le cadre des faits tels qu’ils se sont déroulés sur le champ de bataille, et il n’est nul besoin donc de les appuyer par d’autres arguments qui pourraient être pris pour des pléonasmes. Toutefois cet aspect prouve, on ne peut plus, le miracle des prophéties célestes et la justesse des messages codés qui nous ont été communiqués à travers les siècles par les apôtres de Dieu, que la paix soit sur eux. Cela dit, cette « paix sécuritaire » ou « accord de sécurité » ou mieux encore, « accord de paix » dont les exemples foisonnent, va durer le temps qu’il faille et tenir jusqu’à la révolution de l’Imam Al-Mahdi (El-Hareth dans le Hadît d’Al-Mansour), qui sera l’étincelle de la grande épopée libératrice, annoncée par le Prophète (slps)

(2) Une paix sécuritaire

« Vous ferez la paix avec les Romains : une paix sécuritaire (ou un accord de sécurité)… », a dit le Prophète Mohammad (slps)

Vu ce qui s’est réellement passé alors dans la péninsule arabique, nous convenons que c’est le « Koweït » en premier lieu qui serait sous-entendu dans la seconde tranche de la prophétie et bien sûr dans la première avec d’autres pays de la région. Il n’en est pour preuve qu’avant même la fin de la guerre, les Américains avaient pensé à installer une base permanente dans l’Emirat. « Une présence militaire américaine et alliée massive sera nécessaire au Koweït pendant plusieurs mois après la fin de l’occupation par les forces irakiennes », a estimé le 25 février à Riyad, le secrétaire général du C.C.G., Abdellah Bichara. « Les armées étrangères, a-t-il souligné, seront nécessaires jusqu’à ce que le Koweït puisse se tenir sur ses pieds et jusqu’à ce qu’un nouveau système de sécurité soit mis en place. » « A long terme, une présence réduite des forces américaines, combinées à des forces arabes régionales importantes, constituera une force de dissuasion, chapeautée par les Nations-Unies, à toute agression future », a expliqué Bichara.
h
12 mars 2010 02:28
« Il est également important de mettre en place un système de sécurité permettant l’arrivée rapide des forces militaires dans la région en cas d’agression », a-t-il souhaité, avant de constater qu’ « une des tragédies du Golfe, c’est que ces Etats n’ont pas été capables de se défendre eux-mêmes contre leur voisin agressif. »
Quatre mois après la « libération » de l’Emirat, le ministre koweïtien de la défense, Cheïkh Ali Sabah Al-Salem Al-Sabah a manifesté un vœu qui le transcendait lorsqu’il a réaffirmé que le Koweït n’avait pas l’intention d’accepter l’installation de bases militaires américaines ou étrangères sur son sol. « Mais la présence aérienne et maritime est nécessaire pour garantir la sécurité de la région », a-t-il cependant tenu à corriger. L’acte suivant la parole, des manœuvres militaires américano-koweïtiennes se déroulèrent ainsi au Koweït, en février 1992, « les troisièmes du genre depuis la signature en septembre 1991, d’un accord de sécurité entre les deux pays », avait annoncé alors un responsable du ministère koweïtien de la défense. Selon lui, des unités des armées de terre, de l’air et de mer des forces combinées ont participé à ces manœuvres : le 13eme corps expéditionnaire du corps des marines et cinq navires dont un porte-hélicoptères d’assaut : l’Okinawa. A peine un mois plus tard, environ 500 marins et marines américains ont participé aux 4emes manœuvres combinées avec l’émirat depuis sa « libération. »
Au mois de février de la même année, le Koweït et la Grande-Bretagne avaient signé un accord de défense similaire, qui comporte des dispositions en matière d’exercices militaires conjoints et d’entraînements. Selon l’agence britannique « Associated Press », le ministre koweïtien de la défense a signé ce protocole d’accord à Londres, début février.
A la mi-mars 1993, les Etats-Unis décident de déployer au Koweït un bataillon spécial qui « contribuera à la défense de l’Emirat », c’est ce qui ressort alors des déclarations de son porte-parole, le colonel Ned Longsworth. Le contingent avait pour mission de déployer un équipement limité et d’utiliser du matériel pré positionné au Koweït, dirigé évidemment contre l’Irak. Par ailleurs, 300 soldats des forces spéciales américaines se trouvaient déjà là, depuis la fin décembre 1992, pour des manœuvres communes avec l’armée koweïtienne, baptisées « Iris Gold. »
h
12 mars 2010 02:29
Plus de deux années plus tard, soit le 29 août 1995, près de 1400 soldats américains ont entamé dans le désert koweïtien, à proximité de la frontière irakienne, des manœuvres baptisées « Intrinsic action », destinées, disait-on, à faire face à toute menace de l’Irak contre ses voisins. Des chars d’assaut M1-A1, des transports de troupes blindés « Bradley » et de l’artillerie lourde avaient été engagés dans ces manœuvres provocatrices, qui s’étaient déroulées dans le désert, juste au sud de l’Irak, selon les confidences d’un porte-parole militaire américain, le capitaine Austin Johnson. Au demeurant, 150 à 200 militaires yankees stationnent en permanence sur la « base militaire de Doha », près de Koweït-city. Les unités américaines relèvent du « Commandement central » (CENTCOM) dont le chef, le Général James Henry Binford Peay, a effectué alors une visite au Koweït. Fin octobre de la même année, l’armée américaine y a procédé à des exercices de tir d’un système de lance-roquettes multiple (MLRS) pour la première fois depuis la guerre du Golfe. Les exercices se sont déroulés dans la région d’Adeïreh, dans le désert , à 45 km au sud de la frontière avec l’Irak, en présence d’officiers de l’armée autochtone . Deux systèmes de lance-roquettes multiples, tirant chacun à la fois 3 missiles d’une portée de 428 km, ont été testés par des soldats américains faisant partie des troupes arrivées dans l’Emirat en août 1995.
Dans le récit prophétique de l’accord de sécurité, l’Apôtre de Dieu (slps) s’adressait, en premier lieu, à ses descendants de la péninsule arabique, avant de se tourner théoriquement vers leurs frères du Machreq et du Maghreb. En effet, c’est la première fois dans l’histoire que le territoire sacré de l’Islam et berceau du Prophète (slps) sert de tremplin à une agression contre un autre pays arabo-musulman. En avril 1991, soit deux mois à peine après la fin des opérations militaires contre l’Irak, le commandant en chef de l’armée saoudienne, le général Khaled Ben Sultan, s’était prononcé en faveur d’une « présence permanente » des troupes américaines dans la région. En janvier 1996, le secrétaire d’Etat américain à la défense, William Perry, persiste et signe : « Les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite continueront à œuvrer ensemble pour favoriser la paix, la stabilité et la sécurité non seulement dans le Golfe, mais à travers le monde. »
h
12 mars 2010 02:29
A Mascate, W. Perry a examiné avec le Sultan Qabous les perspectives de coopération entre Oman et les Etats-Unis pour faire face, selon eux, aux menaces de l’Irak et de l’Iran. En effet, ces deux puissances régionales passent pour être le souci numéro un des monarchies du Golfe, à telle enseigne qu’elles ne considèrent plus comme tabou le présence des troupes infidèles dans le sanctuaire de l’Islam, mais comme un devoir institutionnel et une nécessité absolue ; d’où leur déviation des préceptes coraniques qui exigent tout à fait le contraire, quel qu’en soit les conditions. En mars 1995, les Etats-Unis avaient obtenu l’autorisation de déployer pour la première fois, des troupes au Qatar pour, disent-ils, défendre les pays du Golfe contre l’Irak et l’Iran. Washington « a obtenu l’autorisation du Qatar de stationner dans ce pays une brigade américaine dans le cadre de la présence militaire américaine dans le Golfe », a déclaré William Perry, lors d’une conférence de presse sur une base aérienne du Koweït, où il était arrivé le 20 mars. « Au Qatar, je discuterai de l’arrivée de cette brigade », a-t-il précisé. Le haut-responsable américain a estimé alors que l’Irak et l’Iran représentaient une « menace » pour la région du Golfe. « J’établis une distinction entre une menace immédiate et une menace future. L’Irak représente pour la région une menace immédiate alors que nous considérons que l’Iran représente une importante menace à l’avenir », a déclaré W. Perry. « Depuis octobre dernier, ils ont montré qu’ils n’avaient pas retenu la leçon de la guerre du Golfe », en faisant allusion au renforcement militaire irakien à la frontière Nord du Koweït, qui avait été suivi alors d’un déploiement américain dans l’Emirat.
h
12 mars 2010 02:29
Les U.S.A. « veulent maintenir leur présence aérienne en Arabie Saoudite et au Koweït. Nous allons œuvrer en coopération avec les Saoudiens et les Koweïtiens ainsi qu’avec d’autres gouvernements dans la région pour garantir la sécurité et la stabilité », a-t-il poursuivi. Cette idée remonte déjà à la fin de la guerre, au cours de laquelle le secrétaire à la défense de l’époque, Dick Cheney, a annoncé que les Etats-Unis pourraient conserver « une présence aérienne plus solide dans la région du Golfe en maintenant un groupe d’avions de transport de troupes. » Il a précisé alors que des avions de combat américains pouvaient être maintenus sur une « base aérienne régulière » si les Etats de la région étaient d’accord (pour la forme en fait.) En estimant qu’un seuil important avait été franchi, il a souligné alors que de nouvelles mesures de sécurité étaient nécessaires dans le Golfe..
« Les Etats-Unis établiront une base militaire à Bahrayn et stationneront leurs troupes en Arabie Saoudite », écrivait le 25 mars 1991, le « New York Times », qui citait des sources officielles aux Etats-Unis et dans le Golfe, contrairement à ce qu’a déclaré Dick Cheney début mars, selon quoi les U.S.A. ne souhaitaient pas une présence militaire terrestre permanente et de grande envergure dans la région. Or, d’après le « Times », le secrétaire d’Etat à la défense ainsi que son chef d’Etat-major Collin Powell, étaient en privé favorables au stationnement de troupes de l’US Army en Arabie, contingent qui a été estimé alors à environ 3000 hommes par le journal. Le Pentagone était prêt, selon lui, à signer un accord avec Bahrayn pour l’établissement d’un poste avancé du CENTCOM dans ce pays. En mai 1991, le secrétaire américain à la défense affirme que les propositions américaines sur les arrangements de sécurité dans la région du Golfe avaient été bien accueillies par les 6 pays du Conseil de Coopération du Golfe (C.C.G.) L’idée d’une unité d’un centre de commandement a été acceptée en principe. Ce projet parlait alors de bases flottantes , car celles-ci permettent de cumuler tous les avantages : elles peuvent accueillir des hommes, des matériels et même des avions et des hélicoptères . D’un point de vue politique, elles présentent moins de risques que des « forces basées à terre », indiquait récemment un responsable dans un pays du Golfe. Les monarchies régionales, qui ont opté pour le « parapluie occidental », consolident, de plus en plus, leurs relations avec le triumvirat impérialiste (U.S.A., G.B. et France.) Ainsi, en janvier 1992, le ministre britannique de la défense, Tom King, a effectué une visite dans la région. Ce périple de cinq jours l’avait conduit alors en Arabie et dans les anciennes colonies du Koweït, d’Oman et des Emirats-Arabes-Unis, avec comme sujet de discussion les contrats en cours, négociés dans la région par les entreprises d’armement britanniques. En vue d’assurer leur « sécurité nationale », vis à vis de leurs coreligionnaires, plusieurs pays du C.C.G. ont confirmé les accords de défense conclu avec des pays occidentaux, et ce au 13eme sommet du Conseil qui s’était tenu à Abou Dhabi en décembre 1992. Dans ce sillage, l’ambassade britannique au Koweït a rappelé, le 23 septembre 1997, que le ministre de la défense britannique avait signé avec le gouvernement koweïtien, un contrat concernant l’équipement de la marine koweïtienne de matériel militaire sophistiqué, tels que les « sea-scow. »
h
12 mars 2010 02:31
La preuve de la dépendance viscérale des monarchies du Golfe vis à vis de l’Occident, est ce projet de formation d’une armée régionale, forte de 100.000 hommes, avancé du bout des lèvres par Mascate, mais qui n’a guère fait l’unanimité au sein du C.C.G..Le journal « Boston Globe » a rapporté que les Etats-Unis étaient résolus à maintenir, pour un délai indéterminé, leur présence militaire dans la région après la guerre du Golfe. Celle-ci tend, en fait, à défendre les gisements de pétrole , rétablir l’équilibre des forces entre les Etats de cette zone et jouer le rôle de médiateur dans les négociations de paix entre Israël et les pays arabes. Les Etats-Unis avaient l’intention de maintenir pendant de longues années encore, au moins une formation navale renforcée et accroître sensiblement les stocks des moyens techniques de combat en Arabie Saoudite et d’en créer au Koweït et dans d’autres Etats du Golfe, selon les confidences du journal. En application de ce plan, la firme américaine « Raytheon » a, depuis la guerre du Golfe jusqu’en avril 1993, vendu plus de 860 missiles « Patriot » aux Saoudiens et 210 unités aux Koweïtiens pour un montant de 2 milliards de Dollars. Sept mois plus tard, les six pays du C.C.G. manifestaient le désir d’acquérir un système aérien commun de pré alerte. Ce « parapluie » est appelé à assurer une couverture de l’espace aérien des monarchies du Golfe par l’acquisition de 3 ou 4 avions AWACS , d’une valeur de 3 à 5 milliards de Dollars. L’Arabie Saoudite dispose déjà de 3 AWACS, achetés dans les années 80, au moment de la crise avec l’Iran. Autre mesure à l’ordre du jour de cette réunion des ministres de la défense, organisée en novembre 1993 : l’examen de la possibilité de renforcer les forces communes appelées « Bouclier de la péninsule », formé en 1986 et basé en Arabie. Cette force totalise environ 4500 hommes. Ce mois même, des bâtiments de la marine américaine, britannique et française, sous la tutelle du CENTCOM, ont entamé (un vendredi !) des manœuvres de quatre jours dans le Golfe, destinées, selon les alliés, à « servir la paix dans la région », baptisées « GULFEX 21. » L’exercice, impliquant notamment des Tornados britanniques, s’est déroulé avec la participation de l’USS Nicholson, des bâtiments britanniques « HMS Cornwall » et « HMS Campbell Town » et du navire français « la Motte Picquet. » Gulfex 21 a été conçu dans le cadre d’un important programme de manœuvres avec les pays du C.C.G. et les marines d’autres pays occidentaux, selon les confidences du vice-amiral Douglas J.Katz, chef de l’US Navy pour le Proche-Orient. Les Etats-Unis ont, par ailleurs, déployé en mars 1995, des équipes nécessaires pour une brigade, et 13 de leurs bâtiments de guerre se trouvaient depuis le mois d’août 1995, dans le Golfe. La tournée du secrétaire d’Etat américain à la défense, William Perry, dans la région eurasiatique (Italie, Hongrie, Bosnie, Ukraine, Oman, Arabie, Jordanie, Israël) en janvier 1996, a été, d’ailleurs consacrée à trois grands dossiers : « la paix en Bosnie », « la dénucléarisation de l’Ukraine » et « les accords de sécurité avec les pays du Proche-Orient. »
La Jordanie n’était pas en reste, puisqu’au mois de septembre 1995, les navires de guerre américains « New Orléans », « Juneau », « Comstock » et « Mont Vernon », qui font partie d’un groupe amphibie dirigé par l’US New Orléans, ont achevé dix jours de manœuvres conjointes avec l’armée jordanienne sur le territoire du royaume. Le groupe, qui comprenait alors 2000 soldats de l’infanterie de marine (les Marines) et une escadrille d’hélicoptères , devait passer plusieurs journées à « Djebel Ali » dans l’émirat de Dubaï, en attendant alors l’arrivée pour le 7 septembre 1995 de quatre bâtiments de guerre américains dans un port des Emirats-Arabes-Unis, en prélude à des exercices dans le Golfe. D’autre part, malgré les démentis préliminaires des dirigeants jordaniens, 34 avions américains se sont déployés en avril 1996 en Jordanie, sur la base aérienne d’Azraq, à 75 km au nord-est d’Amman, selon les confidences même du chef d’Etat-major de l’armée de l’air jordanienne, le général Mohamed Ababneh. La base sera utilisée par l’aviation us pour surveiller la zone d’exclusion aérienne instaurée depuis le 27 août 1992, par le « triumvirat occidental » dans la partie du territoire irakien située au sud du 32eme parallèle.
h
12 mars 2010 02:32
De leur côté, les Emirats-Arabes-Unis ont opté pour une coopération militaire accrue avec la France. La coopération militaire bilatérale a été le principal axe des entretiens entre le ministre français de la défense, Pierre Joxe et son homologue des E.A.U., le cheikh Mohamed Ben Rached El-Mektoum, fin décembre 1991. le ministre français a visité dans le même contexte le sultanat d’Oman. Deux mois plus tard, on arrivait à l’application de cet accord militaire, puisque des centaines de soldats français ont pris part à des exercices militaires avec les forces armées des E.A.U. en un lieu tenu secret du pays. Les Français ont mobilisé dans ce sens des chasseurs-bombardiers « Jaguar », des navires de guerre et des véhicules blindés « AMX-10RC » équipés de canons. Ces manœuvres, baptisées « petit renard », ont débuté (un vendredi !) 21 février 1992 et se sont achevées le 26 du même mois. Nous notons au passage que des compagnies pétrolières françaises activent dans les E.A.U. et possèdent des participations dans plusieurs compagnies d’Abou Dhabi et Dubaï. « La France est engagée à défendre les E.A.U., conformément à l’accord de coopération militaire signé début 1995 entre les deux pays », a affirmé le 23 octobre 1995, à Abou Dhabi, le ministre français de la défense, Charles Million. « L’accord de défense conclu avec les Emirats ne porte pas uniquement sur les livraisons d’armes, mais concerne aussi les manœuvres communes, la coordination entre les chefs d’Etat-major des deux pays et d’autres points que je ne peux mentionner ( !) », a déclaré Million. S’adressant aux journalistes, celui-ci a affirmé : Vous avez observé comment notre pays est intervenu (le 4 octobre) aux îles Comores (…) conformément à un accord de défense entre les deux pays », même si l’agresseur de la Tchétchénie-sœur avait pris, lui aussi, l’initiative d’un rapprochement avec le même pays, dès la fin de la guerre du Golfe. En effet, des diplomates dans la région ont indiqué en octobre 1992, que la Russie avait assuré les E.A.U. de son engagement à les protéger aussi contre toute agression extérieure, au moment où un conflit territorial latent oppose ce pays à l’Iran. Le ministre des affaires étrangères russe de l’époque, Andrei Kozyrev, a d’ailleurs discuté de cette question lors d’une tournée dans le Golfe.

En Afrique du Nord cette fois-ci, des manœuvres conjointes baptisées « Bright Star 95 », ont commencé le 11 novembre de l’année indiquée. Elles rassemblent alors plus de 55.000 soldats : 33.500 Egyptiens, 21.900 Américains, 1.031 Français, 530 Britanniques et 180 Emiratis. Il s’agissait des plus importantes manœuvres militaires conjointes entre l’Egypte et les Etats-Unis qui mènent ces exercices bisannuels depuis 1980. Selon le quotidien officiel libyen « Echams » : « Les exercices auxquels participeront pour la première fois la France, la G.B., les E.A.U., consacrent le rôle américain dans la région et servent la stratégie globale de l’OTAN. » Echams souligne alors que ces manœuvres permettent à l’Occident de connaître les secrets militaires et les méthodes de combat des Arabes, échappant aux satellites d’espionnage , elles permettent également à Washington d’avoir un accès libre aux sources du pétrole arabe et d’établir des frontières sûres pour Israël. Cependant, cette remontrance libyenne n’a pas réussi à infléchir la volonté de certains régimes arabes d’aller de l’avant dans la consolidation de leurs relations militaires avec l’OTAN, puisque de la fin octobre au 2 novembre 1997, les opérations « Bright Star 97 » se sont déroulées en Egypte par un débarquement spectaculaire sur le littoral désertique méditerranéen. Les manœuvres conjointes arabo-occidentales ont regroupé alors 500 militaires de la 24eme unité des Marines américains et 200 commandos égyptiens, débarqués de sept bâtiments de guerre sous la protection de 26 avions et hélicoptères sur le littoral d’Al-Omayed, à 85 km à l’ouest d’Alexandrie. Ces troupes d’élite, faisant partie des 58.000 soldats des sept pays, soit les U.S.A., la G.B., la France, l’Italie, les E.A.U. et le Koweït, disposaient alors de 337 avions, 24 bâtiments de guerre, des milliers de tanks et des véhicules blindés. Notons que la 24eme unité des Marines a déjà participé à plusieurs opérations de débarquement dans le monde, notamment en Sierra Leone et en Albanie, selon les précisions du lieutenant-colonel Mme Jill Morgenthaler du corps des Marines et le lieutenant Mark Bayd, porte-parole de l’US Navy. En 1997, les manœuvres consistaient à « déloger des forces ennemies ayant occupé le territoire désertique d’un pays allié », peut-être bien des manœuvres préventives contre les partisans futurs de l’Imam Al-Mahdi qu’ils sont en train d’attendre de pied ferme ? ! Dieu seul connaît leurs véritables desseins et ce qu’ils cachent exactement au fond d’eux-mêmes.
A la mi-décembre 1995, en visite à Tunis, Robert Pelletreau, secrétaire d’Etat adjoint américain, a déclaré :
h
12 mars 2010 02:41
A la mi-décembre 1995, en visite à Tunis, Robert Pelletreau, secrétaire d’Etat adjoint américain, a déclaré : « La coopération entre nos forces armées se poursuit et les Etats-Unis se sentiraient concernés par toute menace ou agression à l’encontre de la Tunisie », sous-entendant, en premier lieu, la Libye voisine.

Dans la région anatolienne, cette fois-ci, Turcs, Français et Britanniques décidaient d’y prolonger la durée de vie de la force multinationale basée à Silopi, à la frontière avec l’Irak, au delà de l’année 1991. Cette force sera composée d’éléments terrestres britanniques, français et italiens, appuyés par l’US Air Force.
Le reste vous le savez tous, arrogance américaine dans la région, ce qui a mis en colère un groupe connu, lequel a riposté par plusieurs opérations. L'Occident trahit ses alliés de la région et envahit leurs frères en Somalie, Irak, Afghanistan, etc....., c'est la malhama (épopée) dont parle le Prophète (slp) et qui se poursuit jusqu'à aujourd'hui. Eriger la croix, ne veut nullement dire un acte isolé, mais un acte de provocation émanant des pouvoirs occidentaux, disant que le christianisme était en train de vaincre l'Islam. Un Musulman fier de la région s'est alors rebellé et a cassé cette alliance et l'arrogance chrétienne.ça continue encore de nos jours jusqu'à la venue d'Al-Mahdi et de Jésus (slps), qui vont mener la dernière bataille de Palestine et vaincre l'Antéchrist.
h
13 mars 2010 01:21
Salam Alaikoum

Autre argument inébranlable selon lequel Addajjal ne pourrait être un seul homme:

Le Messager de Dieu (slps) a dit:

Vous allez combattre les polythéistes (El-Mouchrikine), jusqu’à ce que vos successeurs combattent Addajjl sur le Jourdain, eux sur la rive occidentale et vous sur la rive orientale.

4 autres preuves ici qu’Addajjal est une nation (voir début de Sourate El-kahf qui évoque El –mouchrikine) :
- El Mouchrikine sont les judéos-chrétiens en premier lieu (ceux qui prétendent que Dieu a un enfant, voir : début de Sourate el-kahf, avec laquelle on connaitra Addajjal et on préviendra son mal)
- Addajjal est l’héritier de ces nations polythéistes comme il ressort de ce hadîth en débat.
- Le prophète a usé du pluriel (eux) pour définir Addajjal, ce qui fait que ce n’est pas un homme mais une pluralité d’hommes (les soldats us).
- Israël est l’allié numéro un de Washington dans le monde et c’est pour cela que ce pouvoir ne l’abandonnera pas jusqu’à la dernière goutte de sang de ses soldats et jusqu’au dernier souffle de l’Amérique. Les dirigeants américains ont toujours soutenu Israël et menacé de tout temps, celui qui ose toucher à leur enfant gâté. Ils ont toujours dit que toucher à un seul cheveu d’Israël équivaudrait à déclarer la guerre aux États-Unis. Ce qui fait que lorsque Jésus (slps) reviendra sur terre (et ce jour est plus proche qu’on le pense, InchAllah), l’Amérique va envoyer ses troupes en Palestine (Megiddo, Tel-Aviv, etc…pour défendre l’État d’Israel dans la dernière bataille d’Armageddon (Megiddo). Une grande partie de cette relation profonde est basée sur cette bataille ultime comme aiment à le proclamer tous les dirigeants américains.
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook