Citation
alkahina a écrit:
Il y a une cinquantaine d'années j'assistais presque tous les jours aux disputes et aux bagarres dans la médina (FEL MESSAD'H POUR CEUX ET CELLES QUI CONNAISSENT TÉTOUAN), ça partait au quart de tour, il y avait un mot magique, je dirai plutôt "tragique" : SAYEM HAL DRA"H. Et là les coups de poings partaient dans tous les sens.
Aujourd'hui, j'étais voir mon boulanger tunisien qui a du bon pain et qui fait à chaque Ramadan des gâteaux pour l'occasion. Je lui ai dit gentiment que j'ai jeté tous ses gâteaux car trop trempés dans le sucre. Déjà son visage était pâle à cause du jeune. Mais
aussitôt que mes paroles sont enfin arrivées à ses oreilles, il est devenu blême, plus blanc que blanc et s'est très en colère il m'a dit que c'est normal, que je ne connaissais pas ces gâteaux, et que les marocains les appellent "Chebbakia" .Évidemment il savait que je suis marocain, mais il l'a oublié ou tout simplement la faim lui a fait perdre la raison. Je lui ai rappellé que je suis son client et que j'ai tout simplement demandé de transmettre à la personne qui les prépare d'utiliser le sucre fondu avec modération, car c'était "inmangeable". Le boulanger n'entendait rien et j'avais peur qu'il tombe dans le coma tellement il n'avait pas de souffle et c'était vraiment la métamorphose. Lui qui d'habitude souriant qui discute avec moi de tant de choses et qui fait des blagues. Décidément l'humeur et la faim ne font pas bon ménage ! Et ce depuis toujours et ça ne changera jamais !
Salam, sa réaction à été normale, et encore tu aurais pu tombais sur un furieux, avec à la clef, une claque et bye bye surtout en plein ramadan...Citation
alkahina a écrit:
Il y a une cinquantaine d'années j'assistais presque tous les jours aux disputes et aux bagarres dans la médina (FEL MESSAD'H POUR CEUX ET CELLES QUI CONNAISSENT TÉTOUAN), ça partait au quart de tour, il y avait un mot magique, je dirai plutôt "tragique" : SAYEM HAL DRA"H. Et là les coups de poings partaient dans tous les sens.
Aujourd'hui, j'étais voir mon boulanger tunisien qui a du bon pain et qui fait à chaque Ramadan des gâteaux pour l'occasion. Je lui ai dit gentiment que j'ai jeté tous ses gâteaux car trop trempés dans le sucre. Déjà son visage était pâle à cause du jeune. Mais
aussitôt que mes paroles sont enfin arrivées à ses oreilles, il est devenu blême, plus blanc que blanc et s'est très en colère il m'a dit que c'est normal, que je ne connaissais pas ces gâteaux, et que les marocains les appellent "Chebbakia" .Évidemment il savait que je suis marocain, mais il l'a oublié ou tout simplement la faim lui a fait perdre la raison. Je lui ai rappellé que je suis son client et que j'ai tout simplement demandé de transmettre à la personne qui les prépare d'utiliser le sucre fondu avec modération, car c'était "inmangeable". Le boulanger n'entendait rien et j'avais peur qu'il tombe dans le coma tellement il n'avait pas de souffle et c'était vraiment la métamorphose. Lui qui d'habitude souriant qui discute avec moi de tant de choses et qui fait des blagues. Décidément l'humeur et la faim ne font pas bon ménage ! Et ce depuis toujours et ça ne changera jamais !
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alkahina a écrit:
. Mais j'avoue, cela ne m'est pas encore arrivé cette année. Parce que je n'ai pas encore mangé dans la rue, je n'ai même pas été dans un café. Mais le ramadan ne fait que commencer !
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alkahina a écrit:
Il y a une cinquantaine d'années j'assistais presque tous les jours aux disputes et aux bagarres dans la médina (FEL MESSAD'H POUR CEUX ET CELLES QUI CONNAISSENT TÉTOUAN), ça partait au quart de tour, il y avait un mot magique, je dirai plutôt "tragique" : SAYEM HAL DRA"H. Et là les coups de poings partaient dans tous les sens.
Aujourd'hui, j'étais voir mon boulanger tunisien qui a du bon pain et qui fait à chaque Ramadan des gâteaux pour l'occasion. Je lui ai dit gentiment que j'ai jeté tous ses gâteaux car trop trempés dans le sucre. Déjà son visage était pâle à cause du jeune. Mais
aussitôt que mes paroles sont enfin arrivées à ses oreilles, il est devenu blême, plus blanc que blanc et s'est très en colère il m'a dit que c'est normal, que je ne connaissais pas ces gâteaux, et que les marocains les appellent "Chebbakia" .Évidemment il savait que je suis marocain, mais il l'a oublié ou tout simplement la faim lui a fait perdre la raison. Je lui ai rappellé que je suis son client et que j'ai tout simplement demandé de transmettre à la personne qui les prépare d'utiliser le sucre fondu avec modération, car c'était "inmangeable". Le boulanger n'entendait rien et j'avais peur qu'il tombe dans le coma tellement il n'avait pas de souffle et c'était vraiment la métamorphose. Lui qui d'habitude souriant qui discute avec moi de tant de choses et qui fait des blagues. Décidément l'humeur et la faim ne font pas bon ménage ! Et ce depuis toujours et ça ne changera jamais !
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