Bonjour, Nous sommes habitues ma femme qui est une pure Rbatie et moi qui est aussi moitie casablancais-rbatais puisque mon defunt pere a fait toute sa carriere professionnelle comme fonctionnaire d'etat a Rabat ...... a visiter chaque fois que nous sommes a Rabat la somptueuse Mega mall qui se trouve a Souissi.Bien sur ma femme aime faire le shopping et mon fils aime faire du patinage sur glace ainsi que les attractions pour enfants de ce centre commercial.
Et chaque fois que je me promene dans la route des Zaers direction Roummani je ne peux pas compter les milliers d'etrangers que je cotoie .D'abord je croyais que ils etaient des touristes bien habilles contrairement aux prototypes des touristes ...des chinois ...des americains des francais des anglais des allemands ,,des scandinaves ..des italiens et surtout des russes et meme des iraniens et israeliens des indiens et japonais et tous ne se cachent pas ils parlent dans leurs d; origine meme en hebreu.Ma curiosite est tellement grande que je commencais a me demander qu'est ce qui attire ces "etrangers"dans ce coin.Je savais que les usa ont construit la plus grande ambassade en Afrique a Rabat ainsi que la France et l'Angleterre la Russie et la chine ont leurs grandes ambassades en Afrique a Rabat mais ce n'est pas une raison de ces mouvements de va et vient de ces etranges "touristes". Le hasard je suis tombe sur un livre ecrit en francais il y'a quelques mois qui etait un précurseur de mon etonnment avec un titre incroyable Rabat nid d'espions ,,route des Zaers" mais d'apres ce que j'ai vu il n'y'a aucun doute le titre du livre n'est pas fortuit ou imaginaire bien que peut etre c'est du satire mais on ne sait pas ......la realite!!
JE VOUS CONSEILLE DE LIRE CE LIVRE QUE JAI ACHETE http://www.le360.ma/fr/blog/le-coup-de-dent/rabat-nid-despions
Mi-fiction mi-réalité, le récit d’espionnage garanti rbati publié par un Français de Salé, fait soudain basculer la tranquille capitale du royaume dans un univers inquiétant… D’abord expert en café puis en finances russes, ensuite historien du Maroc protectoral, Guillaume Jobin, installé en Chérifie depuis moins de dix ans, peut-il, comme une divinité hindoue, revêtir successivement plusieurs avatars ? On a tendance à le penser en sortant de sa « Route des Zaërs », récit publié en ce début d’été 2015 et qui nous empoigne et nous plonge d’autorité dans un monde où tout bouge à 200 à l’heure, sur le rythme endiablé et diabolique d’un James Bond allié pour une fois à un Gérard de Villiers tempéré par Tintin, avec un brin de littérature Art déco, le tout bien mixé, bien pimenté jusqu’à nous rappeler certains bouquins « services secrets-polar-jolies femmes » d’un autre Français du Maroc, feu le pied-noir érudit Jean-Pierre Koffel, le « romancier de Kénitra ». Ce n’est pas tout, « Route des Zaërs » rappelle certains films faciles mais excellents du XXe siècle, type « Salonique nid d’espions » ou « Danger à Tanger ». Oui, ça fait beaucoup de références mais lisez et vous comprendrez : ce monsieur ultra-moderne a lu et voyagé et il nous en fait profiter. En plus il connaît la bonne orthographe française, traits d’union compris, même s’il abuse parfois des anglo-américanismes…
Modifié 2 fois. Dernière modification le 20/06/15 22:59 par derbsultan.
Vous n'etes pas loin du centre nucléaire Marocain et son réacteur, du centre Royale de detection spatiale CRTS qui gère les setallites Marocains militaires et civils et fait le traitement de données ...
Salam, Un laboratoire du monde arabo-musulman, al Maghreb al Aqsa, à l'extrême couchant, lointain et proche, cosmopolite, amazigh, arabe, mauresque, andalou, berbère, africain, musulman au confluent de la méditerranée et de l'océan atlantique, sujet d'étude du ministère des affaires indigènes, avec ses tribus, ses zaouïas, ses marabouts, ses gués, ses cols, ses tentes, ses chevaux, ses cavaliers, ses moukahlas, ses ribats, ses écoles coraniques, ses medersas, ses peintres relevant les fortifications, ses cartographes, ses souks et marchés, ses drones et ses immenses paraboles à l'écoute d' échelon ... Un nid d'espion immortalisé par le film Casablanca, un mythe entretenu par l'humanitaire des missionnaires et les ONG ... Un nid douillet où les James bond et attachés d'ambassades, se la coule douce au frais des contribuables, même sur les scènes des studios de Ouarzazate ..
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