est ce que vous pouvez m'aider à résoudre cette question: *
Il s'est tenu au 20ème siècle un congrès de pays afro-asiatiques qui a principalement traité de questions telles que la gouvernance des états, le développement et la paix mondiale. QUEL EST LE NOM DE CE congrès ? En quelle année a-t-il eu lieu et quel sont les 27 pays participants ?
Ce congrés c'est peut être déroulé en Asie pendant la période de détente entre les deux blocs ?
A moins que je confond !
Vivre sous occupation, c'est l'humiliation à chaque instant de sa vie ...
Résister à l'occupation, c'est vivre libre !Aujourd'hui Gaza, demain Al-Qods !
Citation hanaemouta a écrit: Je crois pas que ça soit un congrés mais plutôt un conférence, la conférence de Bandug qui s'est tenu en Indonésie.
Je pensais à ça !
Quelle anneé ?
Vivre sous occupation, c'est l'humiliation à chaque instant de sa vie ...
Résister à l'occupation, c'est vivre libre !Aujourd'hui Gaza, demain Al-Qods !
PAR PEDRO AZZE BESIL, spécialement pour Granma international
BANDUNG est un lieu emblématique pour l'Indonésie, pour les pays afro-asiatiques et pour le monde. Dans cette ville s'est déroulée du 18 au 24 avril 1955 une réunion qui marqua l’entrée des pays du tiers monde en tant qu’instrument politique important dans le concert international. Ni l'agression conjointe de l'Egypte de Gamal Abdel Nasser par les troupes anglaises, françaises et israéliennes, ni le débarquement des troupes interventionnistes nord-américaines sur le territoire libanais n'avaient encore eu lieu mais la guerre de Corée, l'invasion par les mercenaires du Guatemala d'Arbenz, le déploiement de la 7e Flotte nord-américaine, équipée d'armes atomiques dans la mer de Chine qui sépare Taïwan du continent, et le remplacement au Sud Vietnam des troupes françaises par celles des Etats-Unis après la défaite du contingent militaire français à Dien Bien Phu, témoignaient d'une conjoncture internationale périlleuse, qui rendait évident le désir de l'oligarchie nord-américaine de supplanter là où c'était possible ses alliés traditionnels européens affaiblis pour leur succéder dans le rôle de gendarme mondial. Cependant, en affrontant ouvertement l'impérialisme et le colonialisme, Bandoung est devenu le symbole de l'unité dans la lutte pour l'indépendance nationale. Il suffit de signaler qu'en 1955, l'année de la Conférence de Bandoung, seuls quatre Etats africains étaient membres de l'ONU. Les antécédents de la Conférence de Bandoung se trouvent dans le dénommé Pansha Shila, les cinq principes de la coexistence pacifique qui avaient été proclamés par Chou En-Lai et J. Nehru le 28 juin 1954. Ces principes sont: 1- Respect mutuel de l'intégrité territoriale et à la souveraineté. 2- Non-agression. 3- Non-intervention dans les affaires intérieures des autres Etats. 4- Egalité et avantages mutuels. 5- Coexistence pacifique. La première Conférence de Bandoung a condamné comme une violation des droits de l'homme le maintien des peuples sous le joug colonial et elle s'est engagée à soutenir la lutte des peuples colonisés pour leur indépendance. Et en déclarant son attachement à la paix et à la collaboration internationale elle a réclamé en plus des principes déjà cités: Résoudre les conflits internationaux par des moyens pacifiques, Respect du droit de chaque nation à assurer sa propre défense, Respect de la justice et des obligations internationales et Reconnaissance de l'égalité entre toutes les races et le nations, grandes et petites. A Bandoung on a lié la paix a la liberté des peuples, à leur indépendance et à leur souveraineté. On n'y a pas pris parti en faveur du socialisme ou du capitalisme, pressentant que le principe d'autodétermination des peuples incluait le droit de chaque nation à définir librement son système politique et social, un aspect qui a été nettement exprimé en 1961 par les Pays non-alignés. Inspirée par Bandoung la première Conférence de l'Organisation de solidarité des peuples d'Asie et d'Afrique a eu lieu en janvier 1958 au Caire. A ce conclave il fut décidé de créer un Secrétariat permanent, le Conseil de solidarité des peuples d'Asie et d'Afrique dont le siège serait Le Caire. A la veille de la première Conférence de solidarité tricontinentale, tenue à La Havane, Raul Roa donna à l'Université de La Havane une conférence sur son sens et sa portée. Raul Roa disait: «Le premier pas destiné à organiser le mouvement de solidarité entre les peuples d'Asie, d'Afrique et d'Amérique latine a été fait lors de la quatrième séance du Conseil de solidarité des peuples afro-asiatiques, réuni à Bandoung en avril 1961. Les circonstances de cette réunion, qui s'est déroulée à l'instant même de l'anéantissement foudroyant à Playa Giron de l'invasion mercenaire organisée et dirigée par l'impérialisme yankee, ont beaucoup contribué à impulser le mouvement de solidarité anti-impérialiste avec les trois continents, en adoptant une résolution qui recommandait d'étudier les possibilités de convoquer une conférence des peuples d'Asie, d'Afrique et d'Amérique latine».
Il vaut la peine de rappeler ce «premier pas» qui allait déboucher sur la participation de Cuba, en 1961, au niveau du gouvernement, à la Conférence des Pays non-alignés de Belgrade, où notre pays était représenté par le président Osvaldo Dorticos, et plus tard sur la tenue à La Havane, en 1966, de la Tricontinentale.
La nécessité d'ouvrir une porte à la solidarité du tiers monde et de l'étendre aussi à l'Amérique latine n'était pas une tâche facile. Il était nécessaire de convaincre les Afro-Asiatiques et de persuader quelques camarades d'ici de l'utilité d'ouvrir ces chemins en raison du bouillonnement d'idées et de points de vue différents parmi de jeunes gens d'engagement et d'origine diverse, qui travaillaient au MINREX. Cependant, le voyage fructueux du Che dans ces pays et le prestige de plus de plus grand de la Révolution, ainsi que l'intense travail diplomatique de Raul Roa et de notre Direction, ont permis finalement qu'on nous invite à la réunion du Conseil. Guillermo Jiménez, le directeur de Politique régionale IV du MINREX, m'a appris ma future participation comme représentant des ORI (Organisations révolutionnaires intégrées), précurseur de notre parti actuel, à la réunion du Conseil de l'Organisation de solidarité des peuples d'Afrique et d'Asie qui devait avoir lieu du 10 au 14 avril suivant. Au début d'avril je pris l'avion pour Prague. La rupture d'un moteur a obligé le pilote à faire un atterrissage d'urgence aux Açores, où nous sommes restés deux jours dans l'attente du changement du moteur endommagé. Le retard m'avait fait perdre toutes les connexions. Je suis arrivé à Djajarta alors que les travaux de la Conférence avaient déjà commencé. Cette réunion est passée inaperçue à Cuba car elle s’est déroulée en même temps que les épiques batailles des Cubains à Playa Giron contre l'impérialisme nord-américain et ses cipayes. Cependant, comme source pour les recherches concernant la pensée révolutionnaire des premières années, je retranscris à la suite quelques paragraphes de mon intervention
[color=#CC6666][b][center]Il y a, dans la création des cieux et de la terre et dans la succession de la nuit et du jour, des signes pour ceux qui sont doués d'intelligence _ sourate 3/verset 190[/center][/color][/b]
Vivre sous occupation, c'est l'humiliation à chaque instant de sa vie ...
Résister à l'occupation, c'est vivre libre !Aujourd'hui Gaza, demain Al-Qods !
il y a eu aussi un congres le 18 avril 1958 à BANDOENG. et les PAYS AFRO-ASIATIQUES PRESENTS était l'Afghanistan,l'Arabie Saoudite, la Birmanie,l'Egypte,l'Inde,l'Indonésie,l'Irak,l'Iran,le Liban,le Libéria,le Pakistan,la Syrie, la Thaïlande,le Yémen,la Yougoslavie,
La vie est un CDD. lorsque tu seras DCD, l'au delà sera ton CDI ,améliores ton CV en attendant ton Entretien.Allah punit les injustes tot ou tard !
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