voila donc la vraie culture arabe !Citation
Borhaan a écrit:
Selon les mercenaires français du Qatar, cet émirat esclavagiste est un modèle arabe d’islam et de modernité. Il a fallu le carnage de Charlie Hebdo et du magasin casher de Vincennes pour que certaines langues se délient en France et commencent à dénoncer cet émirat mafieux et esclavagiste qui finance le terrorisme islamiste mondial.
L’histoire de ce pâtissier français n’est pas une exception. Plusieurs autres citoyens français sont en prison ou retenus en otage à Doha pour avoir réclamé leurs droits, ou pour avoir eu des attitudes incompatibles avec l’islam moyenâgeux du Qatar.Il y a encore une semaine, Nicolas Sarkozy vantait les mérites du Qatar, « pays ami », qui a « réussi à concilier islam et modernité ». Esquivant l’accusation d’Etat financeur du terrorisme, l’actuel président de l’UMP a déclaré : « Lorsque je regarde le travail des architectes du monde entier, Français, Américains, étrangers, par ailleurs juifs ou non-juifs, où est-ce qu’ils travaillent ? Où est-ce qu’ils construisent ? » (voir ci-dessous vidéo en lien).
L’occasionnel conférencier du Qatar doit savoir que l’émirat islamo-mafieux qu’il défend ne retient pas en otage ou en prison des citoyens Américains, Britanniques ou israéliens ! Outre les centaines d’orientaux, de maghrébins et d’asiatiques emprisonnés ou otages de cette oligarchie mafieuse et moyenâgeuse, la France est le seul pays occidental dont les citoyens sont traités comme moins que rien par des bédouins sans foi ni loi.
Ils ne sont pas deux ou trois cas isolés, mais une vingtaine de citoyens Français à subir les conséquences de la « Kafala », ou à moisir en prison dans l’indifférence totale des autorités françaises et le mutisme complice de certains médias qui ont vendu leur âme au Fonds d’Investissement Qatari. L’un des rares à avoir brisé l’omerta est Jean-Pierre Marongiu, un spécialiste en management, retenu otage puis emprisonné pour avoir exigé son dû à son sponsor qatari. Son épouse Isabelle se bat depuis deux ans pour faire libérer son marie, en vain (voir ci-dessous son témoignage sur I-télé).
Nous avons déjà parlé des ouvriers immigrés qui préparent le Qatar à accueillir la Coupe du monde 2022 et dont le nombre atteindra en 2021 un million, selon l'Organisation internationale du Travail (OIT). Sous-payés, traités comme des esclaves, 3600 Népalais, Sri-Lankais et Pakistanais sont déjà mort sur les chantiers. Si Amnesty International en a fait allusion en mode soft, la FIDH n'en a jamais parlé, et pour cause !
On n’évoquera pas encore le cas dramatique de cet ingénieur franco-marocain, dont on a « emprunté » l’épouse pour une semaine dans le Harem d’un émir, ou celui tragique d’un médecin syrien dont on a sodomisé le garçon de 13 ans, et qui s’est pendu dans sa cellule à la prison centrale de Doha en juin 2013. Il s’agit aujourd’hui du cas tragi-comique d’un pâtissier franco-libanais, qui a payé cher le prix de son art jugé wahhabitement incorrect.
C’est Christian Chesnot et Georges Malbrunot, dont le livre « Qatar, les secrets du coffre-fort » est pourtant assez indulgent avec l’émirat islamo-mafieux, qui racontent la mésaventure du pâtissier français. Ils écrivent : « Au Qatar, une blague de potache peut valoir de sérieux ennuis. Ce pâtissier d’un grand hôtel de Doha s’en souvient encore. Un jour, il a l’idée de préparer un gâteau en peu spécial pour une jeune femme qui organise une fête avant son mariage. Son œuvre : une génoise rectangulaire sur laquelle est posée une poupée Barbie avec celle de Ken, son alter ego masculin, tous les deux enlacés sous un drap de sucre rose. On éteint la lumière, le gâteau coquin arrive, il est parsemé de bâtonnets étincelants et de bougies, les convives sont ravis. Or dans le restaurant, à la table à côté, des Qatariens religieux n’ont pas manqué une miette de la scène : le gâteau sexy les met hors d’eux ».
Comme le soulignent christian Chesnot et Georges Malbrunot, qui ont été moins audacieux que Jacques-Marie Bourget et Nicolas Beau, ou Vanessa Ratignier et Pierre Péan, « L’Histoire aurait pu s’arrêter là. Sauf que le lendemain, deux hommes débarquent incognito dans le restaurant et demandent au responsable des cuisines que le pâtissier refasse le même gâteau qui a eu tant de succès la veille. Flatté, et sns se douter du piège, le pâtissier s’exécute volontiers et confectionne une nouvelle fois l’objet du délit. Il s’agissait en fait de membres de la police religieuse ! Toute l’équipe de cuisine est alors interpellée et jetée en prison. Le pâtissier, incarcéré pour outrage aux bonnes mœurs, est un franco-libanais… ».
On ne s’attardera pas longtemps sur les « bonnes mœurs » d’une société moralement dépravée et sexuellement frustrée. En relatant cette histoire, notre message est une mise en garde aux candidats Français qui voient encore dans le Qatar un eldorado. Le très honnête Jean-Marc Ayrault, alors premier ministre, a eu raison de dire : « Le Qatar ? Avant d’y aller, je réfléchirai » !!!
source: nationspresse
rien a voir avec les banu hilal.Citation
Borhaan a écrit:
La ou ces banou hilal passent l'herbe ne repoussent plus, la pire création!!
Ceux qui manquent de connaissance du monde sont de parfaites proies pour les attardés wahhabites:Citation
allami78 a écrit:
rien à voir avec les banu hilal.
mais la mentalité du moyen orient est en train de contaminer le Maroc, nous allons retourner 100 ans en arrière si ça continue.
quand je pense que dans les années 70, il n'y avait presque pas de voiles dans les écoles marocaines et toutes les filles étaient en jupe. il a fallu de 20 ans de bourrage de crânes avec les télés saoudiennes et qatari pour que les choses s'inversent
Citation
Borhaan a écrit:
Selon les mercenaires français du Qatar,
L’histoire de ce pâtissier français n’est pas une exception. Plusieurs autres citoyens français sont en prison ou retenus en otage à Doha.
Ils ne sont pas deux ou trois cas isolés, mais une vingtaine de citoyens Français à subir les conséquences de la « Kafala », ou à moisir en prison dans l’indifférence totale des autorités français.
Ce pâtissier d’un grand hôtel de Doha s’en souvient encore. Un jour, il a l’idée de préparer un gâteau en peu spécial pour une jeune femme qui organise une fête avant son mariage. Son œuvre : une génoise rectangulaire sur laquelle est posée une poupée Barbie avec celle de Ken, son alter ego masculin, tous les deux enlacés sous un drap de sucre rose. On éteint la lumière, le gâteau coquin arrive, il est parsemé de bâtonnets étincelants et de bougies, les convives sont ravis. Or dans le restaurant, à la table à côté, des Qatariens religieux n’ont pas manqué une miette de la scène : le gâteau sexy les met hors d’eux ».
Comme le soulignent christian Chesnot et Georges Malbrunot, qui ont été moins audacieux que Jacques-Marie Bourget et Nicolas Beau, ou Vanessa Ratignier et Pierre Péan, « L’Histoire aurait pu s’arrêter là. Sauf que le lendemain, deux hommes débarquent incognito dans le restaurant et demandent au responsable des cuisines que le pâtissier refasse le même gâteau qui a eu tant de succès la veille. Flatté, et sns se douter du piège, le pâtissier s’exécute volontiers et confectionne une nouvelle fois l’objet du délit. Il s’agissait en fait de membres de la police religieuse ! Toute l’équipe de cuisine est alors interpellée et jetée en prison. Le pâtissier, incarcéré pour outrage aux bonnes mœurs, est un franco-libanais… ».
Moi, je suis cuistot, franco marocaine, je peux te certifier que jamais un gâteau pareille n'aurait été réalisé comme il est indiqué ci - dessus même pour une américaine pour l'enterrement de sa vie de jeune fille... de la propre initiative d'un pâtissier... C'est limite et ce gâteau aurait terminer à la poubelle et le pâtissier licencier...
Si, j'avais fait confiance au pâtissier vu son origine libanaise, sensé connaître les meurs, les usages, la culture... des arabo - musulmans... Et que je vois ce gâteau au dernier moment... J'aurai pris une photos et j'aurai licencier le pâtissier... pour faute grave... Et j'aurais enlevé tous les éléments sur le gâteau... Qui induirait en erreur la bonne moralité... de l'entreprise pour laquelle je suis liée par contrat... Et lorsque je signe un contrat avec un employeur et sachant que tout contrat est synallagmatique... Je ne m'en tient pas qu'au SALAIRE, en contre partie de mon travail... Je suis aussi très attentive au condition de travail... Tous mes contrats sont soumis à un avocat consultant avant de les signer... Et jamais je n'aurai accepté d'être sous KAFALA
Accepter d'être sous KAFALA, c'est accepter d'être sous TUTELLE par acte juridique contractuelle...
Prendre les qataris pour des va nus pieds, des sortis de nul part du désert... C'est se mettre le doigt dans l'anus et ils n'hésiteront pas un instant de te pousser le doit jusqu'à l'épaule... Les affaires sont les affaires et dans le monde des affaires des mercenaires (c'est à dire de s'offrir aux plus offrants... ) il faut être prudent, lors de la conclusion des contrats... Car un mercenaire n'a ni foi ni loi autre que celle de l'argent et du plus offrant... Donc la Kafala pour se prémunir contre les mercenaires...
J'ai travaillé quelques semaines pour les "pétrodollars", j'en garde un bon souvenir de mes employeurs... Mais pas des dits mercenaires... Ils sont à chier aussi bien comme subordonnés que supérieurs hiérarchiques... Ils ne voit dans les qataris ou les saoudiens... Que des pigeons à plumer ou que l'on peut entauler... la mentalité de ces dits "mercenaires" est plus proches des michetonneuses... ou des prostitués occasionnelles... Et heureusement, qu' ils ne sont pas nombreux et verrouillés par contrat Kafala...
L'argent n'est qu'un moyen pas une finalité ce qui prime dans les relations humaines, c'est ce que l'on ne peut jamais vous prendre ou acheter, le savoir faire, le savoir être... Et le qataris peut comprendre les choix de vie des uns et des autres... Il y a ceux qui font le choix de se cramer pour un salaire de misère... Ceux qui préfèrent gagner de la tunes en "dansant" ils savent que pour quelques pas de danse bien exécutés sur scène, cela représente beaucoup d'heure de travail... au préalable... Si vous croyez qu'ils se satisfasse de la première venues qui sait remuer du popotin c'est que vous vous mettez le doigt dans l'œil jusqu'au coude... Jusqu'au coude...
Je garde un bon souvenir de mes employeurs "les pétrodollars" Et mon point de vue concernant ce franco - libanais, les franco - marocain... ou tous les autres franco je ne sais quoi... et prétendu musulmans... Ils sont sensés connaître les us et coutumes ainsi que la culture arabo - musulmane et nul n'est sensé ignorer les lois du pays où l'on vit et où l'on travaille... et selon moi ces ignares étaient libres de refuser le contrat de travail sous Kafala... Qu'ils se démerdent avec leurs tuteurs afin qui les aident à se sortir de cette fâcheuse situation...
Pour ce qui me concerne j'ai eu des bonnes relations de travail avec mes employeurs durant les quelques semaines... Mais jamais je ne prendrai le risque de travailler sous autorité des "mercenaires" sous Kafala; Pour moi, cela consisterait à travailler sous autorité d'une mentalité " de mère maquerelle ou d'un taulier proxénète"... Les esclavagistes sont tous "les petits chefs" qu'ils soit sur les chantiers ou d'autres secteurs et souvent ces "petits chefs" sont issues des compatriotes de ces travailleurs... Et rien qu'à l'idée de me trouver sous autorité de ce franco - libanais... Je donne ma démission d'avance.. et je ne signerai pas de contrat... même pour quelques jours... par crainte de me trouver en cette situation... Ou à me trouver en conflit avec lui dans le labo...
Rien à cirer... Il y a beaucoup de chômage et peu de pros et encore moins de gens qui peuvent s'adapter à différentes cultures entreprises ou des différentes nations.
Citation
allami78 a écrit:
rien a voir avec les banu hilal.
mais la mentalité du moyen orient est en train de contaminer le maroc, nous allons retourner 100 ans en arriere si ca continue.
quand je pense que dans les années 70, il n'y avait presque pas de voiles dans les écoles marocaines et toutes les filles étaient en jupe. il a fallu de 20 ans de bourrage de cranes avec les télés saoudiennes et qatari pour que les choses s'inversent
pas du tout la scolarisation dans les campagnes au maroc avaient commencé dès l'indépendance (et meme pendant la colonisation) et les filles ne portaient pas le voile.Citation
marokia91 a écrit:
Quelle belle manipulation !
Il aura plutôt fallu 20 ans pour que les écoles marocaines s'ouvrent aux marocaines de tout horizon, non seulement aux petit pourcentage féminin qui représentait non pas la jeunesse marocaines mais des "filles de... "
oui mais les jeunes filles ne la respectaient plus au maroc.Citation
marokia91 a écrit:
Le voile est une obligation religieuse, pas une tradition du moyen orient. Les filles instruites et qui connaissent leur religion le porte tout naturellement.
et si on inverse les roles et que c est les hommes qui portent le foulard?Citation
allami78 a écrit:
oui mais les jeunes filles ne la respectaient plus au maroc.
ce n'est que récemment que le voile a fait sa réapparition.