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prononcer le adhan dans l'oreille du nouveau né, est ce une bid3a?
k
6 mai 2005 15:33
salamwaalikom, voila je suis en desacord avec une soeur ki me dit que prononcé le adhan ( l apel a la priere ) dans l oreille du nouveau né est une bid3a, alor que c'est bien dans la sunna du prophete (aleh salat wa salam)

je lui ai donc montrée ce texte:


Les appels à la prière

Une fois le bébé venu au monde, la Sunna de notre bien aimé prophète (alesh salat wa salam )est de prononcer l'appel à la prière, al-Adhâne, dans son oreille droite et puis al-Iqâma (second appel pour l'introduction à la prière) dans l'oreille gauche. C'est le premier droit de l'enfant après sa naissance. L'appel de l'unicité d'Allah sera ainsi le premier mot que l'enfant va entendre en venant au monde. Dans cet appel il y a tous les concepts de l'Islam. On commence par glorifier Allah (le Très Haut), il n'y a pas d'autre puissance plus forte et plus grande que Lui. Puis nous attestons qu'il n'y a pas d'autre divinité que Lui, d'où notre totale soumission à Allah. Nous reconnaissons tous Ses Prophètes et messagers à travers notre attestation que Mohammed est Son messager. Après ses attestations, on l'invite à venir accomplir la prière, à venir pour le bien et par-là éviter le mal et c'est l'Iqamah (introduction à la prière). Par ce comportement, le musulman suit la tradition prophétique. En effet, le Messager l'a fait pour non petit-fils Hassan - fils de Fatima - juste après sa naissance

Le jus de dattes

Il est aussi recommandé de mettre dans la bouche du nouveau-né un peu de jus de datte, une datte molle à sucer ou à défaut, du miel. En effet, Abou Moussa a dit: « A la naissance de mon fils, je suis parti voir le Prophète , ce dernier l'a appelé Ibrabim, lui a mis une datte à sucer dans la bouche en demandant à Allah de le bénir, puis il me l'a rendus. » Un comportement similaire, de la part du messager d'Allah a été adopté avec Abdallah fils de Abou Talha, Ibrahim fils de Abou Moussa et Abdallah Ibn Az-Zoubaïr, fils de Asmâ', belle soeur du Messager. Il était courant de voir les compagnons présenter leurs nouveau-nés, et dès leur naissance, au Messager . Les membres de la famille et plus particulièrement la mère, sont invités à respecter cette sounnah de notre bien aimé prophète en offrant aux nouveau-nés un aliment mou et sucré à sucer, et de préférence une datte

Le Prénom

A la naissance du nouveau-né, le choix du prénom s'impose. Les musulmans n'ont pas le droit de donner n'importe quel prénom à leurs enfants. Leurs significations ne doivent pas être en contradiction avec leur religion, ni être désagréable. En effet «Allah est beau, il aime la beauté.» (Rapporté par Mouslim, At-Tirmidi et Ahmed). En plus, le Messager d'Allah a changé les prénoms (laids) de ses compagnons

Quand le donner

Le prénom doit désigner ce qui est nommé. En effet, si ce dernier existe tout en l'ignorant, on ne peut dans ce cas le désigner, ni le reconnaître. Il est donc autorisé de l'appeler le premier jour de son existence. On peut le différer de trois jours, jusqu'au jour d'al-Aqîqah, avant ou après. Il y a une certaine facilité.
Le Prophète a dit: "Cette nuit, j'ai eu un enfant, je lui ai donné le prénom de mon père: Ibrahim!". (Ibn Al-Qayim A1-Jawazia)
Plusieurs autres hadiths montrent que le prénom peut être donné au nouveau-né le jour de sa naissance. D'autres hadiths précisent que le prénom peut-être donné le septième jour (jour d'al-Aqîqah). C'est aux parents de choisir en fonction de leurs propres situations

Qui le choisit?

Dans le cas d'un couple musulman, c'est à lui que revient la priorité et la responsabilité de donner un prénom à leur enfant. La majorité des hadiths cités dans ce chapitre approuve cette affirmation. En cas de désaccord, c'est donc le prénom proposé par le père qui doit être donné à l'enfant. En règle générale, l'enfant est rattaché à son père et prend son nom de famille.

Les Prénoms recommandés


Les savants s'accordent sur le bon choix des prénoms des enfants de parents musulmans. En particulier, il faut choisir des prénoms associés au nom Divin d'Allah (le Très Haut) comme Abdallah, Abderrahmân, Abdelkarîm... En effet, ces prénoms permettent à l'enfant de grandir tout en étant conscient d'être le serviteur d'Allah. Notre prophète Mohammed a dit: «Le jour du Jugement, vous allez être appelés par vos prénoms et ceux de vos pères, choisissez donc de bons prénoms.» (Abou Dawoud) «Portez les prénoms des prophètes; les prénoms les plus aimés par Allah sont: Abdallah et Abderrahmâne. Les plus véridiques sont Hârith et Houmâm. Les plus mauvais sont Harb et Morrah».(Abou Dawoud, Annasa'i et Ahmed)
On peut donner à son enfant plus d'un prénom ou surnom. La combinaison ainsi choisie (prénom composé) doit être linguistiquement correcte et facile à prononcer.
Le messager d'Allah avait plusieurs prénoms: Mohammed, Ahmad, Nabî Arrahmah, Nabî Attawoubah, al-Fâtih, al-Amîn, al-Qâcim... etc.(source numéro7)

Le surnom de l'enfant


Il est autorisé de surnommer son enfant. Les surnoms couramment cités dans la sounnah du messager d'Allah commencent par «Abou» pour les garçons (père de) et «Oum» pour les filles (mère de) et «Abou» a plusieurs significations linguistiques dont: le père de, le propriétaire de, celui qui a la qualité de, le meilleur ou le plus connu par... etc. Mais, en suivant de plus près les surnoms donnés aux enfants, nous constatons que c'est plutôt le premier sens qui est le plus répondu: «le père d'un tel» ou «la mère d'un tel». Même si la personne surnommée n'a pas ou n'aura pas d'enfant qui porte ou portera le prénom désigné. C'est ainsi que Aïcha (la mère des croyants) a été surnommée: Oum Abdallâh et n'avait pas d'enfant. La fille de Khâlid Ibn Saïd lbn al-Ass a été surnommée «oum Khâlid» et a été appelée ainsi par le Messager alors qu'elle était encore célibataire. Abou Bakr le compagnon du prophète n'avait pas d'enfant appelé Bakr. De même Omar fils d'Al-kattâb: Abou Hafs n'avait pas d'enfant appelé Hafs... etc


Les Prénoms à éviter


Certains prénoms sont déconseillés ou interdits puisqu'ils contredisent les principes de la religion ou expriment un sens immoral et inacceptable.
Allah dit: "Ce ne sont que des noms que vous avez inventés, vous et vos ancêtres. Allah n'a fait descendre aucune preuve à leur sujet. Ils ne suivent que la conjecture et les passions de leurs âmes, alors que la guidée leur est venue de leur Seigneur." (sourate 53: verset 23)
Ainsi tout prénom qui signifie que la personne est adoratrice, ou rend un culte à une divinité qu'Allah est rejeté par la religion. C'est l'exemple de abd Annar (celui qui adore le feu), abd Annabi (celui qui adore le Prophète), abd Arrasoul (celui qui adore le Messager), abdel Mottalib (celui qui adore al-Mottalib), Abdel Ozza, abd Houbal, abdel Kaabah, abd-Dirham, abd-Dounia... etc.
Les musulmans sont ainsi invités à éviter tout prénom qui ressemble à ces derniers. Les significations de ces noms contredisent le fait que le musulman n'adore qu'Allah et rien d'autre «abd» ne peut être associé qu'avec un nom d'Allah (le Très Haut).
II existe d'autres attributs méprisables comme, «Chahin-Chah» ou «Malik Almolouk», qui veulent dire (roi des rois). Seul Allah (à Lui toute la Puissance et la Majesté) mérite cette appellation (ou nomination). Le messager Mohammed a dit: «Le prénom le plus ignoble auprès d'Allah (à Lui la Puissance et la Gloire) est celui de l'homme qui s'appelle (roi des rois)."
De ce hadith les savants ont déduit qu'il ne faut pas donner comme prénom: Qâdî al Qodâte (le juge des juges) qui ne peut s'attribuer qu'à Allah. Hâkim al Hokâm (le gouverneur des gouverneurs) qui ne peut s'attribuer qu'à Allah. Al-Hakam (ne peut se tromper dans son jugement) qui ne peut s'attribuer qu'à Allah. Saïd an-Nâss (le meilleur des hommes), Saïd al-koil (le meilleur de tout le monde), Saïd Waladi Adam (le meilleur des fils d'Adam) qui ne peuvent s'attribuer qu'au Messager .
Il existe aussi d'autres attributs qui ont été désignés dans différents hadiths et que les croyants ne doivent en aucun cas donner aux nouveau-nés, tels que: Yaçâr, Rabâh, Najîh, Aflah: «Ne donne pas à ton serviteur le prénom de Yaçâr, Rabâh, Najîh ni Aflah: en effet, quand tu demandes: «est-il là»? On te répond non!». Aussi tout ce qui ressemble à ces prénoms (par leurs sens) sera déconseillé comme: Baraka, Mobârak, Moflih, Khaïr, Serour, Ni'mah, Barrah, et ainsi de suite. En effet, lorsqu'on demande à quelqu'un «Baraka est-elle chez toi?» La réponse négative ne sera pas désirable, en plus, c'est un mauvais présage que personne ne souhaite prononcer.
D'autre part, les musulmans ne doivent pas porter les prénoms des non-croyants et plus particulièrement des grands dirigeants parmi eux. Comme Fir'aoun (Pharaon), Qâroûn (Coré), al-Walîd... Ils ne doivent pas non plus porter les prénoms ou les noms des démons comme: al-Ajda', al-Awar, al-Hobâb, al-Walhân, Khinzib. L'imâm Mâlik a précisé que les prénoms tirés des débuts des sourates coraniques ne sont pas conseillés: «Taha», «Yacine»...etc.
Il est aussi déconseillé de porter des prénoms issus des noms des anges comme: Gibrîle (Gabriel), Mikâ'il, Isrâtîl..., ainsi que tous les prénoms qui ont un sens désagréable ou détestable comme Kalb (chien), Hârr (brûlant), Mon (amer), Harb (guerre), Qatl (assassinat), Hazane (tristesse)...etc.
Toutes nos citations sont déduites des hadiths de différents degrés d'authenticité; pour abréger nous avons préféré donner ce résumé. (source numéro7)

Le changement des prénoms désagréables
Le prénom peut influencer le comportement de la personne qui le porte et peut lui nuire moralement et socialement. Par conséquent, il est fortement conseillé de changer les prénoms désagréables.
Omar lbn Al-kattâb (qu'Allah l'agrée) avait une fille appelée "âçya" (désobéissante); le Messager lui changea son prénom en «Jamîlah”» (belle). Le messager a changé plusieurs prénoms désagréables ou en contradiction avec la religion. Cette règle est valable pour les noms de lieux comme pour les prénoms. (source numéro7)

L'Immolati on d'une bête


La Sounnah recommande d'immoler une bête à la naissance d'un enfant selon les moyens financiers de la famille (mouton, brebis, etc.), mais il ne faut pas aller jusqu'à s'endetter pour acheter une bête. Cette pratique est appelée «al-aqîqah» et doit se faire (si c'est possible) le septième jour après la naissance, si non plus tard quand il sera possible. Il faut remarquer ici que la possibilité englobe la disponibilité physique des parents et surtout de la mère qui vient d'accoucher. Le prophète Mohammed a dit: «A chaque nouveau-né une aqîqah. Faites couler le sang (de la bête) et éloignez de (l'enfant) tout ce qui peut lui faire mal.» (Boukhari, Tirmidhi et An-Nassa'i) «Tout enfant est tributaire de son Aqîqah, qui sera égorgée le septième jour après sa naissance, jour où un prénom lui est donné et ses cheveux coupés (s'il s'agit d'un garçon).» (Boukhari, An-Nasa'i, Abou Dawoud)
Concernant la bête à sacrifier, la mère des croyants Aïcha (qu'Allah l'agrée) rapporte que le Messager a dit: «Immolez pour le garçon deux moutons similaires (ou brebis), et un (ou une) pour la fille.» ( Ahmed et At-Tirmidi) Dans un autre hadith nous constatons qu'il s'agit bien d'un ordre: «Le Messager nous a ordonné d'immoler un mouton pour la fille et deux pour le garçon.» (Rapporté par Ahmed et Ibn Mâjih)

Raser les cheveux


«Tout enfant est tributaire de son Aqîqah, qui sera égorgée le septième jour après sa naissance, jour où un prénom lui est donné et ses cheveux coupés (s'il s'agit d'un garçon).» (Boukhari, An-Nasa'i, Abou Dawoud)
Rappelons qu'il est interdit de raser à l'enfant une partie des cheveux de la tête et d'en laisser une autre, mais on a l'autorisation de raser tout le crâne pour le garçon (ou l'homme) à l'exception de la fille (la femme): «Le Messager d'Allah a interdit de se raser une partie des cheveux et d'en laisser une autre.» (Boukhari et Mouslim) Plus précisément: «Le messager d'Allah vit une fois un enfant à qui on avait rasé une seule partie du crâne. Il leur a interdit cette pratique et leur a dit: «rasez-le en entier!»" (Abou Dawoud) (source numéro7)




et elle me montre ce texte ci, qui est en desacor avec le texte suivant:

On a interrogé shaikh Muhammad Nasir Din Al-Albani


Question : Shaikh le hadith qui parle de l'adhan dans l'oreille du nouveau-né est faible, alors pouvons-nous l'utiliser ?

Réponse : Non

Question : Quel est votre conseil pour les frères qui ne savent peut être pas que vous avez déclaré le hadith faible.


Réponse : Mon conseil est un exposé pour les gens. Nous disions auparavant qu'il était légiféré de faire l'adhan dans l'oreille du nouveau-né, tout en sachant que le hadith disant qu'il fait partie de la sunna de faire l'adhan dans l'oreille du nouveau-né est rapporté dans les Sunan de At-Tirmidhi avec une chaîne de transmission faible. Mais, (comme il est connu dans la science du hadith) nous avons appuyé ce hadith par d'autres, et nous nous sommes appuyés sur le livre de l'imam Ibn Qayim Tuhfatul wadud fi ahkam al-mawlud. Ibn Qayim a renforcé le hadith en s'appuyant sur un livre de l'imam Al-Bayhaqi : Shu'ab Al-Iman. Et bien que le hadith soit faible, je pensais que sa faiblesse n'était pas très importante, et je me suis appuyé sur la transmission d'Abu Rafi ' pour renforcer le hadith. A cette époque, je ne disposais pas du livre Shu'ab Al-Iman, ni publié ni en manuscrit. Et bien que je sois dans la Maktaba Dhahirya qui contient des milliers de livres, celui-ci du Hafidh Al-Bayhaqi n'y était pas comme dans la plupart des bibliothèques du monde. Mais aujourd'hui, Shu'ab Al-iman a pu être publié et il est très profitable car il contient beaucoup de hadith qui ne sont pas rapporté dans les « six livres » (Al-Bukhari, Muslim, Abu Dawud, At-Tirmidhi, Ibn Majah) ou ailleurs. Parmi ceux-ci, le hadith sur lequel je m'appuyais d'après Ibn Qayim pour renforcer le hadith d'Abu Rafi' rapporté dans Sunan At-Tirmidhi. Mais, dans la chaîne de ce hadith que rapporte l'imam Al-Bayhaqi, il y a deux transmetteurs qui sont considérés comme menteurs. Il m'est donc apparu que l'imam Ibn Qayim a été un peu complaisant en disant seulement que le hadith était faible. Il aurait dû dire qu'il était très faible, et dans ce cas il n'est pas permis à celui qui s'intéresse à la science du hadith d'utiliser un hadith très faible pour appuyer un autre hadith faible. C'est pourquoi, nous ne pouvons que revenir sur ce que nous avons dit de ce hadith dans Sunan At-Tirmidhi (faible mais il trouve un appui ailleurs), d'après le hadith rapporté dans Shu'ab Al-iman qui est très faible. Ainsi le hadith d'Abu Rafi' reste faible. Et puisqu'il ne nous est pas permis de mettre en pratique le hadith faible, nous sommes revenus sur ce que nous disions auparavant du caractère sunna ou légiféré de l'adhan dans l'oreille du nouveau-né. (Il n'est donc pas légiféré de faire l'adhan dans l'oreille droite du nouveau-né, encore moins l'iqama dans l'oreille gauche qui est rapporté dans un hadith inventé (mawdhu')).


alor je voudrai savoir vos avis sur ce sujet, avez vous des hadits sahih qui prouve que ce n'est pas une bid3a svp ?

merci d 'avence..

salamwaalikom
t
6 mai 2005 17:02
salam, bonjour, smiling smiley

[www.madressa-online.com]


tawmat smiling smiley
e
6 mai 2005 18:52
Salam,
Ce n'est pas une bid3a. Ce qui serait une bid3a, c'est de ne pas le faire (les références abondent et il est facile d'en savoir plus).
De toute manière, ce n'est pas un simple geste, un mouvement, une posture ou un ajout quelconque aux "cha3a'ir fondamentales". C'est un adhan. Et l'adhan, que dit-t-il? "Allah est Grand! (n'est-t-il pas Grand?) J'atteste qu'il n'y a de dieu qu'Allah, et que Mohammad (sws) est Son Messager.. etc..). C'est quelque chose de recommandé et de louable que de faire cet adhan dans l'oreille du nouveau né, et que ce soit les premières paroles qui feront vibrer ses tympans, et impressionneront son cerveau! C'est mille fois mieux qu'une tzaghrita ou une parole profane!
Salamualaikum.
k
6 mai 2005 20:50
merci barakaALLAH o fikom smiling smiley
k
9 mai 2005 18:19
salamwaalikom
je revien avec ce sujet, car malgrée que j'ai expliquer a la personne ( une connaissance) que reciter le adhan dans les oreilles du nouveau né n'est pas une bid3a, mais elle ne me croi pas et dit que je m'egare, et que tous ceux qui croivent comme moi sont egaré aussi, car cela est une bid3a dit-elle, elle me demande de lui montrer un hadit sahih disant que ce n'est pas une bid3a, svp connaissez vous un, ou des hadits sahih a ce sujet..j attend vos reponse merci

barakaALLAH o fikom...
y
11 mai 2005 02:12
salut
au sujet d'al adhan qu'on recite dans l'oreille du nouveau né c'est celui de la prière qu'on fait qu'on il meure ( salate al janaza). normalement chaque prière a un adhan, et bien celui de la prière d'al janaza est fait quand il est né. on recite aladhan dans l'oreille droite et on récite (kiyam assalate) dans l'oreille gauche, et la prière reportée jusqu'à sa mort.
'
15 mai 2005 12:51
Bismillâhir Rahmânir Rahîm...

Assalâmou 'alaykoum wa rahmatoullâhi wa barakâtouh...



Voiçi quelques éléments de réponse à ce sujet:



Citation:
(...)
2- Les ulémas ont mentionné parmi les pratiques recommandées par la Sunna dans le cadre du baptême du nouveau-né la prononciation de l’appel à la prière sur à son oreille droite pour que le nom de l’unicité d’Allah soit le premier qu’il entend dans ce bas monde. Cela a un effet immense. Quant à la prononciation de l’annonce du début de la prière sur son oreille gauche, cela n’est pas confirmé. Voir As Silsilatou Ad-dayifa( 1/491).
(...)

Source: [63.175.194.25]






Citation:
(...)
Après la naissance, la première chose qu'il est "Sounnah" de faire est de prononcer les paroles de l'adhân (appel à la prière) dans l'oreille droite de l'enfant. Abou Râfi' (radhia Allâhou anhou) raconte en ce sens qu'il a vu le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) dire l'adhân dans l'oreille de Hassan (radhia Allâhou anhou), fils de Ali (radhia Allâhou anhou), lorsqu'il vint au monde. (Ahmad, Abou Dâoûd et Tirmidhi, qui authentifie le Hadith). Certains Hadiths font également allusion au fait de prononcer les paroles de l'iqâmah (second appel prononcé juste avant la prière) dans l'oreille gauche de l'enfant. (Deux traditions sont rapportées notamment par Ibnous Sinniy r.a. et Bayhaqui, elles ne sont pas authentiques.) La raison avancée pour expliquer cette pratique est que celle-ci a pour but de faire en sorte que le nom d'Allah (azza wa djalla) soit la première chose qui imprègne le subconscient de l'enfant.
(...)

Source: [www.musulmane.com]







Voir également ces discussions à propos du hadîth de l'adhân en question:

[www.madressa-online.com]

[www.madressa-online.com]




Enfin, sachons qu'il y a toujours eu, et qu'il y aura toujours des divergences au sein des savants à propos de l'authenticité des chaînes de transmission des ahâdîths.





Je vous invite à lire cet article très intéressant, ainsi que tous les liens cités en complément, pour plus d'informations et davantage de compréhension à propos des divergences:




Bismillâhir Rahmânil Rahîm


Assalâmoualaïkoum wa rahmatoullâhi wa barakâtouh



1° je vois qu'il y a des hadiths authentiques et des faibles. Comment savoir lesquels sont bons ou pas ?



A notre niveau, l'attitude la plus responsable et la plus judicieuse à adopter par rapport à la question de l'authenticité des Ahâdith consiste à se fier aux avis et appréciations qui ont été énoncés à ce sujet par les oulémas spécialistes, en gardant cependant à l'esprit deux points essentiels:



- Il a toujours existé et il existe encore plusieurs oulémas compétents dans la science d'authentification des Hadiths; Cheikh Albâni (rahimahoullâh) comptait justement parmi ces oulémas et il n'a pas été le seul…



- Il arrive souvent que des spécialistes de l'authentification des Hadiths ne soient pas d'accord sur la valeur d'une chaîne de transmission : Dans ce cas, on doit agir exactement comme pour les autres types de divergences qui oppose les oulémas compétents. Pour en savoir plus à ce sujet, voir: [www.madressa-online.com]





2° je suis le coran et la sunnah, je respecte du mieux que je peux et je lis que si on se revendique pas salafi, on est pas parmi la secte qui sera sauvée. il y a pas mal de dalil à se propos. j'ai peur de pas faire le bon choix. je me pretend musulmane et pas salafia. fais je une erreur ? comment savoir la voie juste ?



L'essentiel, pour tout musulman et musulmane, est bien de s'attacher au Qour'aane et à la Sounnah, à la lumière des enseignements transmis par les oulémas compétents et digne de confiance. Il n'est pas nécessaire de revendiquer son appartenance à un mouvement quelconque.






Wa Allâhou A'lam !



Wassalâmoualaïkoum wa rahmatoullâhi wa barakâtouh


Source: [www.madressa-online.com]


Il faut donc éviter de se précipiter à déclarer une chose ou un acte de bid'ah (innovation) sans connaitre tous les textes s'y rapportant ainsi que les avis des différents savants. De plus, dans le cas où l'on adopterait l'avis d'un savant sur une question, il faudra respecter la position de ceux qui adoptent l'avis d'autres savants, qui basent également leurs avis sur des arguments tirés du Coran et de la Sounnah...


Wallâhou A'lam.

Wassalâmou 'alaykoum wa rahmatoullâhi wa barakâtouh...

'
15 mai 2005 13:01
Bismillâhir Rahmânir Rahîm...

Assalâmou 'alaykoum wa rahmatoullâhi wa barakâtouh...



A lire également au sujet des hadîths faibles:

[www.maison-islam.com]



Wassalâmou 'alaykoum wa rahmatoullâhi wa barakâtouh...
o
15 mai 2005 13:55
salam alikoum

cet acte n'est pa une bid3a étant donné que le prophète MOHAMMEDsaw l'a fait pour ses deux petits fils AL HASAN WA AL HOUSAIN. c la même chose pour le jus de dattes qui s'appelle en arabe AL TAHNIK et le rasage de cheveux au 7 ème jour a partir de la naissance. D'ailleurs moi aussi j'ai eu un petit garcon il y a deux mois de ca est toutes ses sunnas du prophète je les ai pratiquer.
Il y a aussi dan scette catégorie de la sunna du nouveau né l'égorgement de deux moutons pour le garcon et d'un seul pour la fille.
Qu'ALLAH nou guide sur la bonne voie amin
salam alikoum
f
3 avril 2013 07:25
salam Alikoum

Je souhaiterais savoir si cette sunna a été oublier d'etre pratiquer s'il y a moyen de faire qqch pour la récupéré inchAllah
Chokran a toutes mes soeurs et frères musulmans qui me partagerons leurs savoirs et leur honaiteter
f
3 avril 2013 07:27
Salamou Alikoum,

je souhaiterai savoir si on a oublier de pratiquer cette sunna car on ne la connaissais pas y a t il moyen de la recuperer

Chokran
 
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