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la presse algérienne parle de la visite du roi M6 au Sahara.....
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22 mars 2006 12:28
Manifestations contre la visite de Mohammed VI au Sahara occidental
Violente répression marocaine


Par : Abdelkamel K.
Lu : (991 fois)


Contrairement aux images montrées par la télévision marocaine sur le “chaleureux accueil” réservé au souverain alaouite à Al-Ayoune, la réalité était tout autre dans plusieurs quartiers de la ville bouclés par les services de sécurité de Sa Majesté.

En dépit de la présence massive de soldats et policiers marocains, dépêchés spécialement à l’occasion de la venue du roi Mohammed VI, les populations sahraouies ont manifesté en signe de protestation contre cette visite. Comme il fallait s’y attendre, une brutale répression s’est abattue sur ceux qui sont sortis dans les rues pour montrer leur opposition à cette initiative.
Ainsi, au moins 10 femmes sahraouies ont été blessées et 11 domiciles sahraouis saccagés dans la ville de Smara occupée, lors des manifestations organisées par les Sahraouis, selon l’agence de presse de la République arabe sahraouie démocratique SPS.
Cette source indique que “les forces coloniales marocaines ont immédiatement réprimé les manifestants qui réclamaient également le retrait immédiat de l’occupation marocaine et le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance”. Une citoyenne sahraouie a “été arrêtée et sauvagement torturée par les forces d’occupation”, rapporte également SPS. Des manifestations dans les quartiers populaires d’Al-Ayoune avaient accueilli, la veille, le roi du Maroc Mohammed VI. “Au moins trois des quartiers de la capitale sahraouie occupée se sont élevés contre cette visite, parmi lesquels le fameux quartier Mattala ou quartier de l’Intifada”, a affirmé une source sahraouie. Celle-ci ajoute que “les autorités coloniales ont immédiatement réprimé les manifestations et procédé à l’arrestation de l’ex-prisonnier politique et président du comité de défense des droits des prisonniers de la Carcel Negra, Salek Bazeid, ainsi que plusieurs autres personnes qui n'ont pas encore été identifiées”. À Boujdour, la ville sahraouie où doit également se rendre le souverain chérifien, les étudiants et les élèves des collèges et lycées de la ville ont manifesté, lundi, dans les rues, leur réprobation de la visite de Mohammed VI dans leur pays, arborant les couleurs nationales sahraouies et scandant des slogans en faveur de l'indépendance du Sahara occidental avant d'être dispersés par les forces marocaines.
Le gouvernement sahraoui a averti sur les “conséquences dangereuses” pour la paix et la sécurité dans la région, qui peuvent découler de cette visite. “Si, par le passé, le peuple sahraoui a clairement démontré sa volonté réelle d'une solution politique, basée sur son droit légitime à l'autodétermination, a respecté à la lettre les résolutions du Conseil de sécurité et de l'ONU et a fait tant de concessions pour l'avènement de la paix et de la sécurité dans la région, il n'en demeure pas moins qu'il ne restera pas les mains liées et saura comment réagir à cette provocation et à cette nouvelle agression”, a déclaré le ministre sahraoui de l'Information, M. Sid Ahmed Batal.
Par ailleurs, le gouvernement sahraoui a émis “des doutes sur ce que Rabat appelle les projets de développement dans le territoire”, et a souligné que “tout au contraire, le Maroc n'a apporté que la destruction, le pillage des richesses naturelles, les mines, les remparts militaires, la dépravation des murs, la perversion et les drogues”. Il a surtout appelé les Nations unies “à protéger les citoyens sahraouis contre la répression qu'exercent contre eux les forces coloniales marocaines” et à “garantir leurs libertés fondamentales en attendant la décolonisation de leur pays à travers un référendum libre et démocratique, étant une tâche assignée à l'ONU et pour laquelle la Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (Minurso) se trouve dans le territoire”. Malgré toute cette hostilité à sa présence dans les territoires sahraouis, Mohammed VI s’apprête à rendre public, samedi prochain, au terme de sa visite, le projet d’autonomie qu’il envisage “d’accorder” aux Sahraouis. Celui-ci sera soumis au Conseil de sécurité de l’ONU le mois prochain.
Selon les informations en provenance de Rabat, deux propositions ont été soumises au roi par les partis politiques. Pour le Parti de la justice et de la démocratie allié aux Force citoyennes, une autonomie des provinces du Sud suppose la constitution de parlements et de gouvernements régionaux. L’État central aura à déléguer certaines de ses attributions. L’intégrité territoriale, la défense nationale, l’unité monétaire et la représentation diplomatique doivent rester de la compétence de l’État central. Quant aux principales formations (PI, USFP et PPS), elles soumettraient au souverain une proposition qui tournerait autour de la délégation de larges prérogatives aux provinces du Sud. Mais ce transfert doit concerner les organes déjà existants au Sahara, à savoir les conseils de la région provinciaux. Une chose est sûre, le projet d’autonomie suppose, dans tous les cas, un redécoupage régional, basé sur de nouveaux critères liés au développement économique. Certaines formations politiques vont jusqu’à proposer que ce projet soit élargi aux régions du Nord pour tromper l’opinion publique étrangère surtout sur les véritables raisons de toute cette agitation. Tous s’accordent à dire que le processus doit être enclenché sans tenir compte des pressions extérieures.

K. ABDELKAMEL

source [www.liberte-algerie.com]
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22 mars 2006 12:29
La visite du roi Mohamed VI au Sahara occidental
Manifestations à Smara : 10 femmes sahraouies blessées et 11 domiciles saccagés
Par : EL MOUDJAHID Le : mardi 21 mars 2006




Au moins 10 femmes sahraouies ont été blessées et 11 domiciles sahraouis saccagés dans la ville de Smara occupée, lors des manifestations organisées par les Sahraouis, rejetant la visite qu’effectue le roi Mohamed VI au Sahara occidental, rapporte hier l’agence de presse sahraouie SPS. "Les forces coloniales marocaines ont immédiatement réprimé les manifestants, qui réclamaient également le retrait immédiat de l’occupation marocaine et le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance", et "saccagé 11 domiciles", précise-t-on de même source. Une citoyenne sahraouie a, en outre, "été arrêtée et sauvagement torturée dans ces manifestations", a ajouté SPS. L’agence de presse sahraouie signale par ailleurs que des manifestations sporadiques se sont déroulées dans les quartiers d’El Ayoune et Boujdour, pour protester contre cette visite, indiquant qu’un "sit-in pacifique" a été organisé par les habitants de Smara qui, arborant des drapeaux de la RASD, ont scandé des slogans dénonçant la venue du roi du Maroc et rejetant l’autonomie qu’il propose. Le gouvernement sahraoui a averti, lundi, sur les "conséquences dangereuses" pour la paix et la sécurité dans la région, qui peuvent découler de la visite au Sahara occidental du roi du Maroc. Le ministre de l’Information sahraoui, M. Sid Ahmed Batal, cité par l’agence de presse sahraouie (SPS), avait accusé Rabat d’avoir "opté pour la provocation, l’escalade, la tension et la fuite en avant", rappelle-t-on.

La presse espagnole dénonce la répression préalable à la visite du roi Mohamed VI

Plusieurs titres de la presse espagnole parus hier ont dénoncé la campagne de «répression» qui a précédé la visite du roi du Maroc, Mohamed VI, au Sahara occidental, un territoire sur lequel, ont-ils rappelé, le Conseil de sécurité des Nations unies «n’a pas reconnu» à Rabat le statut de puissance administrante et dont il continue à «exiger l’autodétermination».
l Evoquant l’accueil réservé au roi Mohamed VI à son arrivée, lundi, à El Ayoune (capitale occupée du Sahara occidental), le quotidien ABC a relevé que «beaucoup de ceux qui étaient rassemblés, hier, dans les rues sont des colons venus du Maroc au Sahara occidental au cours de ces 30 dernières années ou leurs descendants». En dépit des «pressions» exercées par les autorités d’occupation marocaines, dont font état des témoins, «un nombre important d’habitants ont préféré rester chez eux». «Ce sont les milliers de Sahraouis (...) qui, malgré le passage des années, continuent à ne pas reconnaître l’autorité du Maroc et luttent pour la tenue du référendum d’autodétermination», écrit ABC. ABC a affirmé dans un éditorial que le «Maroc n’a aucun droit sur le Sahara occidental» et rappelé que le Conseil de sécurité des Nations unies «n’a pas reconnu au Maroc le droit d’administrer le territoire, continue à exiger l’autodétermination» du peuple sahraoui et maintient une position «ferme» sur la question de la «décolonisation». «Seuls les Sahraouis doivent décider de leur destin», a souligné le quotidien.
l Le quotidien El Mundo s’est, lui aussi, fait l’écho de la répression qui s’est abattue sur El Ayoune, «littéralement prise» par les forces d’occupation marocaines, la veille de la visite. A titre d’exemple, Il a précisé que deux lycées, Msala et Lissane Eddine, sont actuellement sous le contrôle d’agents de la police marocaine, déguisés en professeurs ou en employés». D’autre part, selon ce journal, Hammoud Iguilid, membre d’une association locale des droits de l’homme, a été arrêté samedi dernier et «passé à tabac» avant d’être conduit au commissariat où il a été «insulté et menacé d’une condamnation à 5 ans de prison».
l El Pais a, pour sa part, indiqué que la «non divulgation de la date exacte du début de la visite» du roi a été imputée par des sources sahraouies, au souci «d’éviter toute tentative de manifestations de protestation». Le même journal note, dans ce contexte, que les autorités marocaines n’ont pas invité la presse, «ni même marocaine», à se déplacer à El Ayoune pour «ne pas avoir à lui communiquer avec précision (la date de) l’arrivée du roi».

source [www.elmoudjahid.com]
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22 mars 2006 12:32
Edition du 22 mars 2006 > Internationale



Sahara-Occidental
Mohammed VI provoque des manifestations
Une visite sur fond de répression

Les manifestations des populations sahraouies contre la visite de cinq jours qu’effectue depuis lundi le roi du Maroc, Mohammed VI, dans les territoires occupés du Sahara-Occidental, ont été violemment réprimées par les milices marocaines.





Selon l’agence de presse sahraouie SPS, au moins 10 femmes sahraouies ont été blessées et 11 domiciles saccagés dans la ville de Smara occupée. « Les forces coloniales marocaines ont immédiatement réprimé les manifestations et procédé violemment au saccage de 11 domiciles sahraouis, détruisant portes, fenêtres et biens de leurs locataires », indique SPS, soulignant le cas d’une citoyenne sahraouie, Aziza Tanji, qui « a été arrêtée et sauvagement torturée » par des agents de sécurité marocaine. Le quotidien espagnol El Mundo a parlé, dans son édition d’hier, des pressions exercées par les forces de sécurité marocaines sur les populations sahraouies afin qu’elles ne sortent pas manifester dans les rues. Il a indiqué que deux lycées, Msala et Lissane Eddine, ont été mis sous le contrôle d’agents de la police marocaine, déguisés en professeurs ou en employés afin qu’ils ne fassent rien. Le même journal, repris par l’APS, a rapporté que Hammoud Iguilid, membre d’une association locale des droits de l’homme, arrêté samedi dernier, a été passé à tabac avant qu’il ne soit conduit au commissariat, où il a été maltraité et menacé d’une condamnation à 5 ans de prison. Ce militant des droits de l’homme a parlé à El Mundo de la « déportation » de certains de ses compagnons hors d’El Ayoune en leur interdisant de revenir dans cette ville avant quelques semaines. Soit pas avant la fin de la visite de Mohammed VI. Les manifestations, qui ont commencé depuis samedi dernier, se sont poursuivies dans la journée d’hier dans les territoires occupés. Elles ont touché Mattata et Intifada, deux principaux quartiers de la capitale sahraouie occupée. Selon El Mundo, de nombreux habitants du quartier Mattata, où se sont déroulées les manifestations de 2005 en faveur de l’autodétermination du peuple sahraoui, ont dû abandonner leurs maisons ou s’enfermer à l’intérieur parce que la police les a menacés de dures représailles au cas où ils protesteraient contre la visite du roi. Plusieurs autres protestations sporadiques ont éclaté à Smara, où un « sit-in pacifique » a été organisé par les habitants, arborant des drapeaux de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et scandant des slogans contre la venue du roi du Maroc et contre l’autonomie qu’il propose. A Boujdour, 180 km au sud-ouest d’El Ayoune, les étudiants et les élèves des collèges et lycées de la ville ont également manifesté lundi dernier, arborant les couleurs nationales sahraouies avant d’être dispersés. Au cours de ces manifestations, les forces de sécurité marocaine ont arrêté l’ex-prisonnier politique et président du Comité de défense des droits des prisonniers de la Carcel negra, Salek Bazeid, ainsi que plusieurs autres personnes qui n’ont pas encore été identifiées. Les manifestants, qui rejetaient la visite de Mohammed VI, réclamaient également le retrait immédiat de l’occupation marocaine et le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance. Selon le ministre sahraoui de l’Information, Sid Ahmed Batal, cité hier par SPS, les frontières du territoire sahraoui ont été fermées depuis plusieurs semaines devant les déplacements des personnes entre les villes soumises depuis 1975 à un blocus sécuritaire. Il précise, en outre, que tous les quartiers sont quadrillés et littéralement pris par une armada des corps militaires et paramilitaires. Un état de siège y a aussi été imposé, doublé d’enlèvements et d’arrestations arbitraires dans les rangs des citoyens sahraouis. Le gouvernement sahraoui a averti, lundi, quant aux « conséquences dangereuses » pour la paix et la sécurité dans la région qui peuvent découler de cette visite. Dans une longue déclaration à SPS, le ministre sahraoui de l’Information a appelé l’Onu à « protéger les citoyens sahraouis contre la répression qu’exercent contre eux les forces coloniales marocaines et à garantir leur liberté fondamentale en attendant la décolonisation de leur pays à travers un référendum libre et démocratique, étant une tâche assignée à l’ONU et pour laquelle la Minurso se trouve dans le territoire ». Sid Ahmed Batal avait accusé le Maroc d’avoir « opté pour la provocation, l’escalade, la tension et la fuite en avant ». Selon lui, le royaume marocain « se trompe s’il s’imagine qu’il peut promouvoir le fait accompli colonial à travers la visite de son roi, après qu’il ait échoué à le consacrer durant les trente dernières années avec ses différents moyens militaires, politiques et sociaux ». Rappelant l’engament du gouvernement de la RASD à respecter à la lettre les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU, Sid Ahmed Batal promet cependant que le même gouvernement « saura comment réagir à cette provocation et cette nouvelle agression ». Répondant à l’annonce de Mohammed VI d’un certain nombre de chantiers lancés dans les territoires occupés, Sid Ahmed Batal a indiqué que « le Maroc n’a apporté que la destruction, le pillage des richesses naturelles, les mines, les remparts militaires, la dépravation des mœurs, la perversion et les drogues ».

M. A. O.

source [www.elwatan.com]
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22 mars 2006 12:39
VISITE DE MOHAMMED VI AU SAHARA
Un nouveau défi à la communauté internationale
22 mars 2006 - Page : 12


Suffit-il au souverain marocain de fouler le sol du Sahara occidental, territoire en voie de décolonisation, pour affirmer sa marocanité?


Voici, en tout état de cause, une action à tout le moins spécieuse de la part des stratèges de Rabat qui, sans doute, estiment que l’organisation d’un périple du roi du Maroc au Sahara occidental -territoires en voie de décolonisation selon les textes pertinents du Conseil de sécurité de l’ONU- serait à même de forcer la communauté internationale à accepter le fait accompli marocain à Saguiet El Hamra et au Rio de Oro. Ce qui serait absurde n’était-ce les enjeux, pour le Maroc, qui accompagnent un tel défi.
Il y a un fait inéluctable, que le royaume chérifien a cherché par tous les moyens à contourner, ou de l’empêcher: le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination dans la liberté et la transparence. Les tentatives de Rabat de faire reconnaître la «marocanité» du Sahara occidental sans passer par l’autodétermination, se sont heurtées, depuis plus de trois décennies, à une fin de non-recevoir de la part du Conseil de sécurité et de l’Assemblée générale de l’ONU, alors que la Cour internationale de justice (CIJ) a, dans des avis -rendus en 1964 et 1975- affirmé qu’il n’y avait pas de liens de souveraineté entre les populations sahraouies et le royaume du Maroc. De fait, plusieurs occasions se sont présentées ces dernières années aux instances internationales responsables de réitérer la non-souveraineté marocaine sur les territoires sahraouis. Ainsi, en 2002, la commission juridique de l’ONU, statuant sur un appel du Front Polisario -suite à la conclusion entre des sociétés pétrolières américaines et françaises et le Maroc d’un accord de recherches off-shore au large des eaux territoriales sahraouies- a, dans un avis, confirmé la non-reconnaissance de la souveraineté de Rabat sur les territoires sahraouis. Dans ce même ordre d’idées, les Etats-Unis, l’un des soutiens les plus affirmés du Maroc, avaient -pour le même motif de non-souveraineté du Maroc sur les territoires sahraouis- exclu ces derniers du champ d’application de l’accord de libre-échange signé avec le Maroc, par l’introduction d’une clause y afférente dans le texte de l’accord entré en vigueur en janvier dernier.
Ceci pour dire que la visite du souverain chérifien dans les territoires du Sahara occidental n’aura pas d’incidence sur le fond du problème qui est et demeure l’organisation pour le peuple sahraoui d’un scrutin d’autodétermination. Aussi, le périple de Mohammed VI à El Ayoun, dont la finalité reste obscure, a été ressenti, notamment par les Sahraouis, comme une nouvelle provocation. De fait, à la veille de la visite du roi du Maroc au Sahara occidental, le gouvernement sahraoui avait mis en garde sur les «conséquences dangereuses» pour la paix et la sécurité dans la région, que peut engendrer la visite royale commencée lundi. Ainsi, le ministre de l’Information sahraoui, Sid-Ahmed Batal, cité par l’Agence de presse sahraouie (SPS), a accusé Rabat d’avoir «opté pour la provocation, l’escalade, la tension et la fuite en avant» indiquant: «Si, par le passé, le peuple sahraoui a clairement démontré sa volonté réelle d’une solution politique, basée sur son droit légitime à l’autodétermination, a respecté à la lettre les résolutions du Conseil du Sécurité de l’ONU et a fait tant de concessions pour l’avènement de la paix et de la sécurité dans la région, il n’en demeure pas moins qu’il ne restera pas les mains liées et saura comment réagir à cette provocation et à cette nouvelle agression».
En fait, depuis avril-mai de l’an dernier et les manifestations d’El Ayoun, sauvagement réprimées, la situation s’est nettement détériorée dans les territoires sahraouis où il ne passe plus un jour sans que l’on ne signale des manifestations ou des accrochages des populations avec les forces d’occupation marocaines. Le Maroc qui a accepté le plan de paix de l’ONU -dit plan Baker, du nom de l’ancien secrétaire d’Etat américain- est revenu depuis sur cette acceptation et cherche par tous les moyens d’imposer à la communauté internationale ce que Rabat appelle une «autonomie» -pour le Sahara occidental- à «l’intérieur de la souveraineté » marocaine. Le Maroc fait ainsi fi du plan onusien qui reste pourtant le seul moyen légal et légitime de résoudre la problématique sahraouie. De fait, le périple de cinq jours du roi du Maroc dans les territoires sahraouis intervient quelques jours avant la réunion du Conseil de sécurité consacrée au Sahara occidental lors de laquelle Rabat compte présenter son projet «d’autonomie» pour le territoire sahraoui.
De fait, le Conseil de sécurité doit, en principe, se réunir à la fin du mois pour renouveler le mandat de la Minurso (Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental) qui arrive à terme.
Aussi, le Polisario compte mettre à profit la prochaine réunion du Conseil de sécurité pour demander à l’ONU d’élargir les prérogatives de la Minurso à même de lui donner de prendre en charge la protection des droits de l’Homme selon M’Hamed Khadad, coordinateur sahraoui avec les Nations unies. Celui-ci a en effet, indiqué que la partie sahraouie a appelé le Conseil de sécurité à examiner, au cours de ses prochaines discussions -sur le dossier sahraoui- à «élargir les prérogatives» de la Minurso afin d’y inclure «la protection des droits de l’Homme qui doit faire l’objet de rapports périodiques». M.Khadad a affirmé que «la revendication sahraouie est motivée par la répression par l’occupant marocain des enfants du peuple sahraoui, lors de leur Intifadha contre l’occupation dans les territoires sahraouis».




Karim MOHSEN


source [www.lexpressiondz.com]
Z
22 mars 2006 12:41
normal
ces gens la nont rien a faire que le blablablabla
de tt facon ces algeriens meritent une punition
et ils vont lavoir
J
22 mars 2006 13:14
A chaque avancée majeure du dossier marocain sur ses provinces du sud, le gouvernement algérien (via sa presse) monte au créneau pour dénigrer la population marocaine. Dommage, mille fois dommage.
Parce que ce pouvoir algérien, incompétent et nul, ne se rend pas compte de la fracture qu'il est entrain de commettre entre les populations algériennes et marocaines. Parce que je n'ai pas vraiment honte de le dire, les marocains (je parle des gens du peuple), ne comprennent pas l'indifférence et le manque de soutien sur cette affaire de la part du peuple algérien. Et au final, la fracture. Et au final, les marocains se désinterressent complétement du sort des algériens. Alors que ... Alors que ce qui est censé nous unir est mille fois plus important que ce qui nous divise. Alors tant pis, comme nous marocains, nous ne pouvons pas changer la géographie, construisons alors un mur allant de la méditerranée au désert. Envoyons les paître dans leur nationalisme idiot et stupide, laissons les croire qu'ils sont les plus beaux et les plus forts, et surtout, continuons d'être ce que nous sommes, des gens tranquilles et sereins. Autonomie ou régionalisation, ce n'est pas vraiement important. Le projet en cours ici au Maroc, c'est la construction de l'état de droit, c'est la dignité économique pour nos compatriotes. Les algériens peuvent bien hurler et monter sur les toits, ils ne resteront que ce qu'ils sont.

Jihad
C
22 mars 2006 13:20
JE REJOINT TON OPINION
AU DEBUT JE VOYAIS PAS DE DIFFERENCES ENTRE MAROCAIN ET ALGERIENS
ET EN COMMANCANT A ETRE INFORME DE CE QUI CE PASSE MAINTENANT JE VEUX MEME PAS AVOIR DES AMI ALGERIENS
ET LESSENTIEL C4EST QUE JETAI MEME PAS INFORME PAR NOTRE PRESSE AU MAROC MAIS PAR LA PRESSE ICI EN EUROPE
MERDE A CE POUVOIR ALGERIENS
c
22 mars 2006 14:26
le polisario nous a fait la guerre de 78 jusqu'a 90, il a gagné les premières batailles, soutenu militaitement, logistiquement, finacièrement et politiquement par le régime et l'armée algérienne, or, le Maroc s'est resaisis pour infliger au polisario et indirectement à l'armée algérienne défaite aprés défaite jusqu'a ce qu'ils abandonnent les armes.

Selon tous les manuels de geostratégie et de guerre, le Maroc a bien gagné cette guerre, puisqu'il a chassé l'ennemi et a conservé la terre, l'algérie et son enfant batard se sont retrouvés soudainement à la rue, avec des milliers de dollars et des années de sacrifices qui partent en fumée ,pire encore, plusieurs leaders rejoignent le Maroc.

Depuis, le régime essaye de faire un apprentissage rapide en matière de droit international, de diplomatie, et de pression géostratégique.

Aprés les deux premiéres gifles notamment celle d'Amgala infligées à l'armée algérienne, et les féssés infligés à l'Algérie et son enfant batard vers la fin des années 80, voila une nouvelle bataille, que nous propose le régime de Boutef, celle de la geostratégie et de la propagande, mais à mon avis, le régime algérien se dirige vers une 4eme gifle.
22 mars 2006 15:21
Citation
citizen.M a écrit:
le polisario nous a fait la guerre de 78 jusqu'a 90, il a gagné les premières batailles, soutenu militaitement, logistiquement, finacièrement et politiquement par le régime et l'armée algérienne, or, le Maroc s'est resaisis pour infliger au polisario et indirectement à l'armée algérienne défaite aprés défaite jusqu'a ce qu'ils abandonnent les armes.

Selon tous les manuels de geostratégie et de guerre, le Maroc a bien gagné cette guerre, puisqu'il a chassé l'ennemi et a conservé la terre, l'algérie et son enfant batard se sont retrouvés soudainement à la rue, avec des milliers de dollars et des années de sacrifices qui partent en fumée ,pire encore, plusieurs leaders rejoignent le Maroc.

Depuis, le régime essaye de faire un apprentissage rapide en matière de droit international, de diplomatie, et de pression géostratégique.

Aprés les deux premiéres gifles notamment celle d'Amgala infligées à l'armée algérienne, et les féssés infligés à l'Algérie et son enfant batard vers la fin des années 80, voila une nouvelle bataille, que nous propose le régime de Boutef, celle de la geostratégie et de la propagande, mais à mon avis, le régime algérien se dirige vers une 4eme gifle.


Juste un petit rappel : Le " Polisario" était très activement soutenu par l'Algérie ET la Lybie au début
"Avec un H majuscule"
m
22 mars 2006 15:58
Mais c'est toujours le langage des chifonniers dans des torchons nuls ne méritent aucun intérêt...

Aucune allusion aux projets ni à la construction, tout est noir ALLAH YAHFAD...

mag3
m
22 mars 2006 16:03
ET VOILA CE QUE DIT LA PRESSE INTERNATIONALE...QUI CROIRE ???

Un pied dans la blogosphère

MAROC - 19 mars 2006 - par SONIA MABROUK

Technique révolutionnaire de communication, le « business blogging » gagne du terrain dans les pays du Sud. Illustration chérifienne.

Simples observateurs ou blogueurs confirmés, tout le monde s’accorde à dire que le blogging est en train de révolutionner Internet et la communication en général. Un « blog » est un site Web interactif, facile à administrer, organisé sous la forme d’un journal et permettant la publication et le partage d’idées. Les visiteurs peuvent intervenir en commentant les articles déjà en ligne (source : www.overblog.com).

En moyenne, il se crée dans le monde un nouveau blog chaque seconde. À ce jour, on en recense près de 29 millions. Les blogs parlent de tout et de rien, de la vie, parfois privée, de sujets précis, souvent controversés, d’histoires vécues ou imaginées, et, dans bien des cas, ils font preuve d’une grande originalité. Et lorsque les entreprises s’intéressent à ce phénomène, on parle de business blogging ou de corporate blogging. La croissance du nombre de blogs et de leurs audiences ne pouvait laisser indifférent le monde professionnel, qui y voit un précieux outil de communication interactif et direct avec ses différents publics (clients, partenaires, mais aussi salariés au sein de l’entreprise).

Le business blogging est déjà bien développé aux États-Unis et en Europe. Parmi les compagnies blogueuses, on compte des noms aussi prestigieux que Microsoft, IBM, Ford, Nike, Sephora et bien d’autres. Il existe même un concours qui récompense les meilleurs blogs d’entreprise : « Les Business Blogging Awards ». « Le blogging, explique Georges-Edouard Dias, directeur Internet et eBusiness de l’Oréal, n’est pas une nouvelle forme de publicité. Ce n’est que le début d’un gros changement. »

Dans les pays du Sud, le business blogging gagne progressivement du terrain. Le Maroc, par exemple, commence à faire parler de lui dans la blogosphère à travers une expérience amorcée en 2004, celle du blog de Bestmark Multimédia, une grande chaîne de magasins informatiques. Le blog Bestmarkdirect (www.bestmarkdirect.com) permet d’annoncer les nouvelles promotions sur les différentes gammes de produits (bureautiques, périphériques et matériel informatique). Il offre également la possibilité de recueillir l’opinion des lecteurs en les autorisant à faire des commentaires sur les offres, les produits, mais aussi sur leurs expériences d’achat, ­qu’elles soient positives ou négatives. Le blog de Bestmark reste, depuis sa création, un blog dynamique et réactif, tenant compte des recommandations et des commentaires des lecteurs, qu’ils soient clients ou simples visiteurs.

Les avantages liés au blog sont nombreux : il représente une opportunité originale de faire parler de l’entreprise ; il constitue un moyen de fidéliser les clients actuels et d’en conquérir de nouveaux ; il est un indicateur du climat interne de l’entreprise à travers les commentaires des salariés ; il symbolise une gestion interactive de la clientèle ; il est un outil de veille et d’alerte ; et, enfin, il permet une capacité de référencement sans précédent.

Toutefois, bloguer n’est pas sans risque… Il y a tout d’abord l’obligation de réactivité, qui veut que de nouveaux messages soient régulièrement publiés dans le but de fidéliser les lecteurs. Il y a ensuite et surtout une contrainte de taille : la transparence. Car bloguer, c’est accepter d’avoir en ligne des messages parfois négatifs concernant l’entreprise, ses produits, ses valeurs… Ce qui peut avoir des effets dévastateurs en termes d’image de marque, le blog permettant une propagation de l’information en temps réel. À travers son blog, Bestmark a relevé le pari de la transparence des commentaires, qui fait désormais partie intégrante de la gestion de sa relation avec la clientèle : un exemple à suivre.

Outil extrêmement efficace pour communiquer et fidéliser, le business blogging, malgré ses contraintes et ses risques, semble promis à bel avenir planétaire. Il est donc grand temps pour les entreprises africaines et arabes de se poser la question : to blog or not to blog ?
m
22 mars 2006 16:05
Arrivée du roi Mohammed VI du Maroc au Sahara occidental
MAROC - 20 mars 2006 - par AFP

Le roi Mohammed VI du Maroc est arrivé lundi en début d'après-midi à El Ayoun, chef lieu du Sahara occidental.

Le souverain marocain a été accueilli à l'aéroport par des élus locaux et des chefs de tribus sahraouies, notamment des représentants des Riguybynne et des Laaroussyne, deux importantes composantes de la société sahraouie.

Des centaines de personnes, munies de photos du roi et de drapeaux marocains, étaient rassemblées sur 5 km, le long de la route empruntée par le souverain marocain entre l'aéroport et sa résidence.

Sur la place du Méchouar, au centre ville, le roi a fait une halte pour saluer des milliers de personnes rassemblées depuis le début de la matinée sous un soleil de plomb. Au milieu des groupes folkloriques, un homme scandait: "Tes fils sahraouis sont ici et le Sahara appartient aux Marocains".

Un important dispositif sécuritaire a été mis en place à El Ayoun à l'occasion de l'arrivée de Mohammed VI.

Le Front Polisario, un mouvement armé soutenu par l'Algérie, réclame l'indépendance du Sahara occidental, ancienne colonie espagnole administrée par Rabat depuis 1975. Quelque 300.000 personnes vivent sur ce territoire quasi-désertique de 266.000 Km2.

Le Front Polisario, dont l'Etat-major et les camps de réfugiés sahraouis sont installés à Tindouf (sud-ouest algérien), a dénoncé dimanche cette visite du roi du Maroc, la qualifiant d'"initiative belliqueuse" qui "menace sérieusement la sécurité régionale".

Cette visite, d'une durée de cinq jours, est la troisième de Mohammed VI depuis son intronisation en 1999.

Lors de sa dernière visite, en 2002, le roi Mohammed VI avait déclaré que le Maroc "ne renoncerait pas à un seul pouce du territoire de son Sahara, inaliénable et indivisible".

Après El Ayoun, Mohammed VI devrait cette fois se rendre à Boujdour, ville portuaire à 180 km au sud du chef lieu du Sahara occidental. Il devrait inaugurer des projets socio-économiques dans les secteurs de l'eau, des routes et de l'habitat.

Cette visite intervient alors que le Maroc doit présenter en avril à l'Onu un projet d'autonomie pour le Sahara occidental.

L'Onu a proposé en 2003 un plan de règlement du conflit du Sahara occidental basé sur une période d'autonomie de cinq ans qui doit être suivie d'un référendum d'autodétermination sur le statut définitif du territoire.

Rabat a rejeté ce plan ainsi que le principe du référendum, proposant en échange une large autonomie sous souveraineté marocaine.
a
22 mars 2006 18:00
Tres bien dit Jihad
la caravane passe et ...
z
22 mars 2006 18:10
SM le Roi a inauguré l'extension du port de Laâyoune Retour aux dépêches


SM le Roi Mohammed VI a inauguré, mercredi 22 mars à la municipalité d'El Marsa, l'extension du port de la ville de Laâyoune, destinée à accompagner le développement continu de l'activité au niveau de ce port, considéré comme une locomotive de promotion économique et sociale dans la région. Ce projet a nécessité une enveloppe globale de 280 millions DH, répartie entre la réalisation de nombreuses infrastructures (220 millions de DH) et l'acquisition d'équipements portuaires (60 millions de DH). A noter que le trafic de commerce transitant par le port de Laâyoune, notamment les phosphates, les sables et les hydrocarbures, est passé de 3.167.000 t en 2001 à 4.514.000 t quatre ans après, selon l'Office d'Exploitation des Ports. Durant la même année, le trafic de commerce dans ce port a représenté 7% du trafic dans l'ensemble des ports marocains, tandis que la pêche côtière s'est accaparée 40% et la pêche maritime 36%. Par la suite, des explications ont été fournies au Souverain sur le secteur des pêches maritimes dans les provinces du Sud. SM le Roi s'est ensuite enquis du projet de construction d'une nouvelle hall au poisson au port de Laâyoune qui s'étendra sur une superficie de 8.600 m2. Cette hall, qui sera la plus grande au Maroc, nécessitera une enveloppe budgétaire globale de 40 millions DH.



Synt-L'Economiste/Map - Mercredi 22 mars - 15h14
z
22 mars 2006 18:10
Le Roi de Bahreïn réitère le soutien de son pays à l'intégrité territoriale du Maroc

22.03.2006 | 15h26

Le Roi de Bahreïn Hamad ben Aïssa Al Khalifa a réitéré, mardi, la position de son pays soutenant l'intégrité territoriale du Maroc. Un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération indique que le Souverain de Bahreïn a réaffirmé cette position lors de l'audience accordée au nouvel ambassadeur du Maroc à Manama, Mohamed Aït Ouali, qui lui a remis ses lettres de créance.

Lors de cette rencontre, le Roi de Bahreïn a informé le diplomate marocain qu'il suit avec grand intérêt la visite bénie qu'effectue actuellement S.M. le Roi Mohammed VI dans les provinces de Sud du Royaume, saluant les efforts considérables déployés par S.M. le Roi dans différents domaines pour le progrès et la prospérité du Maroc.

Il s'est, à cette occasion, félicité de l'excellence des relations fraternelles, sincères et solides qui l'unissent à son frère S.M. le Roi Mohammed VI, exprimant son estime ainsi que ses voeux sincères de santé et de longue vie à S.M. le Roi et de davantage de progrès et de prospérité au peuple marocain sous la conduite éclairée du Souverain.
| MAP
z
22 mars 2006 18:12
L¹autonomie élargie : l¹alternative qui fait paniquer (3/22/2006)

Par Dr Jamal Hafsi


N¹en déplaise aux fossoyeurs de l¹histoire, aux nihilistes et aux félons de tout bord et de tout horizon, le Maroc est dans une situation confortable sur la question de son Sahara.
Et ce ne seront ni les envolées gesticulatoires de Abdelaziz et de ses géniteurs, ni les pitoyables errances des nouveaux mercenaires de la plume qui influeront de quelque manière que ce soit sur cet irrévocable constat.
Il faudrait bien plus qu¹une cabale médiatico-littéraire, mercantiliste à souhait, ou qu¹une quincaillerie terrestre ou volante de première ou de deuxième main pour ébranler un pays à l¹histoire plusieurs fois centenaire et un peuple qui en a vu d¹autres.
Pacifique et respectueux du droit international, le Maroc l¹a toujours été et le sera toujours.
Cependant, et nous n¹insisterons jamais trop là-dessus, le Maroc ne saurait sacrifier sur l¹autel d¹un pacifisme à sens unique, ou sur celui d¹une interprétation biaisée et fantaisiste du droit international, une quelconque partie de son territoire national.
Le Polisario, ses mentors et ses «scribes-relais» ont beau ergoter, il est des signes qui ne trompent pas. A commencer par ceux d¹inquiétude, de désarroi et d¹affolement qui leur font perdre jusqu¹au sens du réalisme et de la mesure.
Doit-on souligner que l¹incursion des hordes polisariennes avec la bénédiction d¹Alger dans la zone tampon sous contrôle onusien en est la manifestation la plus significative ? Nul besoin de le faire. Tout comme il n¹est nul besoin de préciser que, plus serein que jamais, le Maroc prend une sérieuse longueur d¹avance sur ses détracteurs en s¹apprêtant à soumettre à l¹ONU, dans les jours qui viennent, un projet d¹autonomie élargie pour ses provinces du sud.
Les ennemis de notre cause savent que le projet d¹autonomie élargie, librement décidé par le Maroc, sera favorablement accueilli et fortement soutenu par une communauté internationale qui, de toute évidence, en a marre de l¹acharnement schizophrénique des gouvernants d¹Alger sur cette question.
Ils savent aussi que ce sera là l¹ultime offre du Maroc et qu¹il n¹est plus d¹autres issues pour une résolution pacifique de ce faux problème qui aura duré trente années et coûté à la communauté internationale et aux parties impliquées le prix fort que l¹on sait.
Ils savent, enfin, qu¹en commanditant MAINTENANT les grotesques élucubrations de J.P Tuquoi, ils ne font que confirmer ce qui n¹est plus un secret : leur débandade....
z
22 mars 2006 18:13
Libération.ma

La Libye contre le séparatisme au maghreb

C’est à Laâyoune que l’émissaire spécial du guide de la révolution du 1er septembre, a été reçu, mardi 21 mars, par SM le Roi. La symbolique du lieu de l’audience Royale accordée à l’envoyé spécial du Colonel Mouammar Kadhafi ne saurait passer sous silence. D’ailleurs les observateurs ne s’y sont pas trompés. Le numéro 2 libyen a rencontré en sa résidence à Laâyoune, le Souverain, en tournée depuis lundi 20 mars dans les provinces du Sud. Dans sa symbolique, le fait ne saurait passer inaperçu chez nos voisins maghrébins d’autant que Tripoli a observé un gel absolu de ses relations avec la RASD sans pour autant procéder au retrait de sa reconnaissance de la république des mirages.

L’audience Royale accordée à Laâyoune au Libyen Ahmed Kadhaf Al-Dam n’aura pas été le seul événement de cette journée du mardi. La déclaration accordée à la presse par celui qui était porteur d’un message de Kadhafi au Souverain, au sortir de la résidence Royale retiendra, elle, toute l’attention en même temps qu’elle fera le tour de chancelleries et rédactions. Et quand, à Laâyoune, l’émissaire du colonel Mouammar Kadhafi en appelle à l’union, il laisse transparaître une vraie rancœur libyenne. Cette rancœur a un nom, c’est l’Union Africaine, une belle idée dont le père géniteur n’est autre que le guide de la révolution du 1er septembre. Kadhafi pourra-t-il un jour accepter de s’être fait voler la vedette et l’idée de l’Union Africaine désormais «drivée» par l’axe Alger-Prétoria-Abuja?
Z
22 mars 2006 21:04
QUE FAIRE AVEC DES GENS QUI VEULENT RIEN COMPRENDRE
YA QUE AVEC LES ARMES QUE CE CONFLIT PEUT SE RESOUDRE
LES ALGERIENS ILS VEULENT PAS COMPRENDRE ET BIEN ILS COMPRENDRONT MALGRE EUX POINT C TT
m
22 mars 2006 21:42
Zouzou,

soyons concrets et logiques. Si nous prenons les armes nous allons les prendre contre nos frères Sahraouis qui sont détenus malgré eux dans les camps de concentration de Lahmada. Ceci d'une part. D'autre part, ceux qui furent aguéris et qui nous ont opposé une résistance farouche il faut le reconnaître ont tous vieilli. s'ils avaient 20 ans à l'époque ils en ont plus de cinquante maintenant. Ils connaissaient le terrain et voyaient bien. Lerus yeux et leur santé dans les camps de concentration ont faibli. Maintenant il reste à Abdelaziz de revoir son effectif, jeune, ne connaissant pas le terrain et se battant pour quelle cause ?

Il y a des données qui ne répondent plus aux interrogations stratégiques d'une guerre. Le Polisario ne porte que le nom. Tous ces hommes, les plus instruits sont rentrés au pays et occupent des postes pour aider ceux qui veulent travailler et non ceux qui sèment la zizanie le trouble comme ce bandit qui se fait passer pour un héros à Laayoun et que la presse algérienne voudrait faire passer pour Al Khattabi ou un autre preux Marocain.

Le conflit armé est au bénéfice de l'armée marocaine et la moindre provocation la transporterait directement à Tindouf qui deviendrait par la force des choses marocaine. Les militaires algériens vont se battre pour quelle cause. Ils n'en ont pas. Ils vont se demander mille fois avant de tirer pourquoi je le fais et contre qui et pour quelle terre ?

Dans le cas où le Maroc accèpterait de recevoir ceux qui sont restés à Lahmada, leur retour va être aussi un hadicap. Ils ne reconnaîtront ni les leur ni les endroits qu'ils ont laissés desertiques et maintenant radieux.

Alors le choc dans tous les cas va être terrible. L'Algérie a commis et commet encore des erreurs graves. Il v a y avoir un choc humain bouleversant. Un acte criminel plus grave que ceux renvoyé en 1975. Que d'actes criminels que d'exactions dans la terre maghrébine.

Les 10 000 personnes ne vont pas quand même imposer leur olonté à 300 000 ou plus qu'ils trouveront devant eux au Sahara.

Imagine-toi Zouzou, une personne qui vient du désert et qui a vécu trois décennies sous une tente sans lumière sans électricité et qui rencontre au berrcail et rencontre un autre Sahraoui qui vient de l'université qui manie les langues et les TIC Technologie de l'Infornmation et de la Communication.

Quel fossé ? quel crime fais-tu Boutef ? Te rends-tu compte de ce phénomène humain d'aliénation de dépravation ?

Quand le pouvoir nous tient et le NIF s'érige comme un ROC à quoi s'attendre ?

mag3
H
22 mars 2006 22:30
Citation
ZOUZOU6378 a écrit:
normal
ces gens la nont rien a faire que le blablablabla
de tt facon ces algeriens meritent une punition
et ils vont lavoir

En tout cas ça se voit qu'ils n'ont rien a faire....ils ne peuvent pas passer une journée sans parler du Maroc??
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